Les conventions politiques américaines sont des cérémonies bien orchestrées s’achevant en apothéose, par l’intronisation du candidat. La convention républicaine de Tampa n’a pas failli à la règle. Après deux journées consacrées à souligner le renouvellement du parti, sur le plan des idées comme sur celui des personnes, son ouverture à la diversité de la société américaine, sa volonté de mener à bien des débats de fonds d’une manière résolument offensive, après avoir commencé à brosser un portrait de Mit Romney, l’être humain au delà du politicien, la troisième journée était censée venir parachever l’ensemble, et c’est ce qui s’y est fait.
Par delà les interventions de Jeb Bush, suggérant à Barack Obama de commencer à assumer ses responsabilités plutôt que de continuer à dire que tout est de la faute de George W. Bush, et soulignant la nécessité de libérer l’école en rétablissant la liberté de choix, par delà une video émouvante rappelant que le parti républicain est plus que jamais celui du grand Ronald Reagan, et une intervention de Newt Gingrich rappelant que l’économie de l’offre a permis aux Etats-Unis de trouver un nouveau souffle après les lamentables années Carter (Gingrich a tracé un parallèle entre le désastre Carter et le désastre Obama), ce qui a marqué a été une suite de témoignages présentant des dimensions de Romney que le discours de sa femme, Ann, n’avaient fait que frôler.
Se sont succédés à la tribune des gens dont l’entreprise a pu voir le jour grâce à Mitt Romney, des gens dont l’entreprise a pu grandir grâce à lui, des gens qui ont été ses associés en affaires, et ce fut un éloge composite du capitalisme américain dans ce qu’il a de plus fécond.
Se sont ajoutés des témoignages de ceux qui ont redressé avec Romney les Jeux Olympiques de Salt Lake City voici dix ans, puis des gens simples, aux propos poignants, à l’émotion non feinte, qui sont venus parler de la générosité de Romney, de son esprit de compassion.
Ce n’étaient là que des témoignages parmi des centaines d’autres, car c’est une réalité, Mitt Romney est Chrétien, mormon, et il a mené sa vie conformément à ses valeurs chrétiennes, d’une manière souvent admirable. C’est, je dois le dire, un Romney que j’ai appris à découvrir ces derniers temps, et plus j’en ai appris, plus j’ai découvert un homme d’une immense qualité. Ces témoignages de gens simples ont ajouté à l’éloge composite du capitalisme américain, un éloge des valeurs si profondément ancrées dans l’Amérique profonde, et qui font des Etats-Unis un pays comparable à nul autre.
Sont venus alors les moments décisifs de la soirée.
Ils ont commencé par une prestation de l’un des plus grands acteurs et cinéastes contemporains, Clint Eastwood. Cette prestation a profondément irrité et mis en colère la gauche américaine, ce qui est bon signe. Elle avait un rôle précis : dire ce que nul politicien républicain ne pouvait dire. Obama est absolument incompétent, et doit retourner chez lui à Chicago de toute urgence pour le bien du pays et du monde. Et le parti démocrate est, entrainé dans une dérive gauchiste illimitée, d’une nullité intellectuelle crasse (la phrase par laquelle Clint Eastwood définit Joe Biden comme l’intellectuel du parti a fait rire toute la salle, à juste titre. Eastwood s’est adressé à une chaise vide censée représenter Obama, qui a répliqué aussitôt qu’il occupait bien son siège, et que celui-ci n’était pas vide. Qu’Obama ait pensé devoir répondre est un signe intéressant. Clint Eastwood ne m’est pas apparu « sénile », comme je l’ai lu ici et là dans la presse de gauche française (pléonasme, toute la presse française, sauf Valeurs Actuelles et une page du Figaro est de gauche), il a joué le rôle du vieil homme qui s’autorise à dire ce qui ne serait pas convenable dans la bouche de quelqu’un d’autre.
A succédé à Clint Eastwood Marco Rubio, qui, avec Paul Ryan, avec Chris Christie et quelques autres incarne le nouveau parti républicain. Rubio est un orateur puissant, brillant. Comme d’autres orateurs lors de ces trois jours, il a rappelé ce que le rêve américain avait été pour lui et pour sa famille, et c’est là un trait commun à tous les intervenants de cette convention : le rêve américain est vivant, et c’est de la multitude des rêves de ceux qui font le peuple américain, et qui savent que parce que l’Amérique est l’Amérique, on peut penser que tout est possible, qu’est fait le rêve américain lui-même. L’une de ses phrases marquantes a insisté sur le fait que nombre de ceux qui sont venus en Amérique l’ont fait pour fuir le système bureaucratique et socialiste qu’Obama veut imposer au pays.
Ce fut enfin le tour de Mitt Romney. Et ceux qui ont regardé son discours sans œillères ont pu découvrir un homme différent. On a reproché (je l’ai fait moi-même) à Romney son manque de charisme et de chaleur humaine. L’homme qui a parlé jeudi soir était porteur de charisme et de chaleur humaine. Romney a été souvent réservé lorsqu’il s’agissait de parler de lui-même : là, il l’a fait, et il a évoqué son père, venu du Mexique et parti de presque rien. Il a aussi évoqué son propre parcours, ses activités d’entrepreneur, sa foi religieuse. Dès lors que la campagne Obama a déclaré qu’il était en guerre contre les femmes, il a prononcé un éloge des femmes et de leur rôle dans la société. Il a ensuite tracé les grandes lignes de son projet, qu’il détaillera au fil de la campagne.
Déréglementation, baisse d’impôts et de charges aux fins que les entreprises puissent investir et les entrepreneurs entreprendre, libération des ressources énergétiques du pays aux fins que celui-ci ne dépende plus de pays producteurs de pétrole. Il n’a pas laissé les valeurs de côté, et a dit défendre le mariage dans sa conception judéo-chrétienne. Il n’a pas laissé la politique étrangère de côté, non plus, insistant sur la nécessité que les Etats-Unis redevienne les Etats-Unis et retrouvent leur place, indispensable, dans le monde. Il a souligné qu’Obama, par son attitude d’apaisement avec l’Iran et la Russie, et sa faiblesse face à la Chine, avait rendu le monde plus dangereux. Il a reproché à Obama d’avoir trahi des alliés essentiels des Etats-Unis, Pologne et Israël.
En regardant Mitt Romney, j’ai vu un Président des Etats-Unis, tout comme en regardant Paul Ryan la veille, j’ai vu un futur Président des Etats-Unis.
J’ai songé qu’il y aurait peut-être à nouveau un Président des Etats-Unis à la Maison Blanche. Et j’ai songé que les Etats-Unis et le monde auraient bien besoin qu’il y ait un Président des Etats-Unis à la Maison Blanche.
La présidence Obama a été un désastre, comme je l’explique de façon détaillée dans mon nouveau livre. J’aurais, parce que j’aime les Etats-Unis et le peuple américain, souhaité qu’elle soit autre chose. Elle ne pouvait être autre chose, au vu de ce qu’est Barack Obama.
Le parti républicain est le parti de l’Amérique, et il l’est plus que jamais. Il est le parti des Américains qui aiment l’Amérique, qu’ils soient latinos, Afro-Américains, asiatiques, Juifs, Chrétiens. Il est le parti du rêve américain toujours vivant depuis l’ère des Pères fondateurs. Il est le parti du conservatisme américain où se conservent les valeurs qui ont permis à l’Amérique d’être l’Amérique : droits inaliénables de l’être humain, liberté de parole et d’entreprise, fraternité, générosité, courage, opiniâtreté. Romney et Ryan incarnent ce parti de l’Amérique. Et face aux manœuvres sordides de division et d’hostilité venues du camp Obama, leur discours n’a cessé d’être un discours d’ouverture. Face à la démagogie irresponsable du camp Obama, leur discours n’a cessé d’être sérieux, posé, argumenté.
Le parti démocrate est devenu, et je le dis avec tristesse, le parti du gauchisme débile et dogmatique, très loin de ce qu’il était au temps de John Kennedy, qui a pourtant commis bien des erreurs et n’a pas vraiment été exemplaire, très loin même de ce qu’il a pu être quand Bill Clinton a tenté de le recentrer.
Le parti démocrate est le parti de ce que Norman Podhoretz dans un essai publié en 1979 appelait la « nouvelle classe » et la « culture hostile » : il est le parti de l’anti-Américanisme, le parti des anciens de la contre-culture des années 1960, des professeurs d’université élucubrant sur Che Guevara et Franz Fanon, le parti des féministes radicales, des anti-capitalistes, des anti-impérialistes, des admirateurs du « modèle européen », le parti des adeptes de la coexistence « paisible » avec le djihadisme et les diverses dictatures de la planète.
Le parti démocrate a gagné il y a quatre ans la présidence après huit années consacrées à déstabiliser l’Amérique et à diaboliser George Walker Bush, et après trente années consacrées à déliter les principes fondamentaux qui ont fait l’Amérique. Il bénéficie de l’appui inconditionnel des grands médias, des universitaires, de quasiment tout Hollywood, d’entrepreneurs rêvant d’une économie mixte où ils bénéficieraient d’accointances et de versements de « subventions » massives. Il bénéficie de la stratification qu’il tente de mettre en place et qui a beaucoup avancé sous Obama. D’un côté une forme de nomenklatura proche du pouvoir, une élite se prétendant proche des pauvres au point de les multiplier, et d’un autre côté une sous-classe immense, déculturée, dépendante du gouvernement et recevant de celui-ci des subsides et sa pitance. Cette sous-classe devrait voter massivement Obama. Elle contient nombre de noirs, nombre de latinos, nombre de mères célibataires, nombre d’anciens étudiants inadaptés socialement grâce à leurs consternants professeurs. Ce qui est laminé dans cette stratification, c’est la classe moyenne américaine, qu’Obama prétend défendre et qu’en réalité, il écrase.
Ce sera une élection décisive. L’objectif d’Obama est de parachever ce qu’il a entrepris et de parvenir à l’irréversible. L’objectif des républicains est d’empêcher que l’irréversible advienne. Tout se jouera dans les soixante jours qui viennent. L’issue reste très incertaine, hélas.
La semaine prochaine a lieu la Convention démocrate. Je la commenterai. Si elle est porteuse d’autre chose que de thématiques de lutte de classe, de caricatures grossières des républicains, de propos de haine contre les conservateurs, de mensonges divers et de propositions pour imbécile moyen, je serai surpris. Ce serait une rupture par rapport à la campagne menée par Obama depuis plus d’un an. J’attends de voir.
Vendredi a commencé la Jumah at the Democratic Convention, avec orateurs islamistes compris dans le prix d’entrée. C’est un bon commencement, non ?
J’ai noté les commentaires de la presse de gauche française sur Clint Eastwood. Je ne suis pas allé plus loin. La presse de gauche française (pléonasme disais-je), se contente de reproduire ce qu’il y a de plus navrant et de plus désinformateur dans la presse américaine de gauche dès qu’il s’agit des républicains. Abuser de la presse française de gauche nuit gravement à la santé mentale. Je l’ai déjà dit. Je le redis.
Reproduction autorisée, et même vivement encouragée, avec la mention suivante et impérativement le lien html ci dessous :
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Bel article M.Millière. 60 jours c’est beaucoup et pourtant si peu à la fois. Le tandem Romney/Ryan et l’équipe de campagne doivent rester sur leurs gardes. Les démocrates n’hésiteront sans doute pas à faire éclater un scandale pour tenter de salir Mitt Romney. Si l’inverse survient, un Obama sali et à la réputation publiquement entamée ne serait que justice.
Pour en revenir à l’intervention de Clint Eastwood que j’affectionne en tant que comédien et cinéaste, j’ai un peu moins apprécié sa prestation à la tribune. J’ai trouvé cela d’un goût moyen et à 60 jours d’une échéance aussi importante, il faut redouter et éviter tout effet pervers.
A choisir, Clint Eastwood était préférable à Chuck Norris. Je trouve les célébrités soutenant les républicains assez différents de ceux qui sont favorables aux démocrates da
Mon pro-américanisme, je le dois aux Républicains et à tout ce qui s’y rattache. Dès que l’Amérique commence à ressembler à la Vieille Europe, elle m’emmerde, car il y a toujours, comme en Europe, une manupilation qui vous attend au tournant avec au final toujours moins de liberté, moins de choix et toujours plus de contradictions et de troubles dans les esprits. On s’est fait chier pendant 4 ans. Obama aura cependant rendu un grand service comme antidote radical contre une certaine gauche folle à lier pour au moins 20 ans, sauf coup du sort providentiel. Quand je pense à l’Europe, je pense immédiatement à “talent”, et c’est ce qui lui reste encore. Sinon, c’est “crise permanente”, “socialisme”, “les autres”, “impôts”, “solidarité”, “il faut sauver la sécurité sociale”, “c’est la faute aux Chinois” et autres couillonneries pour demeurés. Quand je pense à l’Amérique, je pense à “talent”, “liberté”, “management”, “entreprise”, “réussite”. Les USA sont et restent le seul espoir du monde dit “libre”. Et cela grâce à leurs valeurs et à l’idée américaine qui sont, on le constate tous les jours, défendues essentiellement, et ce dans la diversité, par le GOP et ce qui s’y rattache, sans oublier les Démocrates conservateurs, qui pour le coup, sont avec nous.
Mon pronostic élections US large victoire du candidat républicain Romney devant le sortant Obama pour 3 raisons
http://observatoiredumensonge.wordpress.com/2012/08/14/mon-actu-2/
hier sur france 3, le journaliste traitant de l’intervention du GRAND CLINT, a dit que cette intervention était “ridicule”. Je me demande ce que peuvent être les états de service de ce minus pour pouvoir juger une prestation d’un géant tel que Clint Eastwood.
J’ai appris aussi que Inspecteur Harry était REACTIONAIRE (?!?!?!?!?!?!). J’en conclus donc que pour nos journamerdeux, un flic qui fait son boulot, à savoir mettre hors d’état de nuire les criminels, c’est un flic réactionnaire
Bel article M.Millière. 60 jours c’est beaucoup et pourtant si peu à la fois. Le tandem Romney/Ryan et l’équipe de campagne doivent rester sur leurs gardes. Les démocrates n’hésiteront sans doute pas à faire éclater un scandale pour tenter de salir Mitt Romney. Si l’inverse survient, un Obama sali et à la réputation publiquement entamée ne serait que justice.
Pour en revenir à l’intervention de Clint Eastwood que j’affectionne en tant que comédien et cinéaste, j’ai un peu moins apprécié sa prestation à la tribune. J’ai trouvé cela d’un goût moyen et à 60 jours d’une échéance aussi importante, il faut redouter et éviter tout effet pervers.
A choisir, Clint Eastwood était préférable à Chuck Norris. Je trouve les célébrités soutenant les républicains assez différents de ceux qui sont favorables aux démocrates dans leur profil. George Clooney ou Sharon Stone favorables à Obama sont susceptibles, car plus “médians” et “passe-partout”, d’être des soutiens plus efficaces, électoralement parlant.
Il faut reconnaître que Sean penn c est autre chose en tant qu acteur que Chuck Norris …
Ceux qui disent que Clint Eastwood est réactionnaire disent vraiment n importe quoi, sur les sujets dits de société, il a des positions très équilibrées (mariage homo notamment, et je ne parle même pas de l euthanasie…). Il est moins sectaire que les gauchistes américains, le rôle qu il a offert à Sean Penn le gauchiste pote de Chavez dans mystic river lui a valu un oscar…
Bien vu pour les commentaires de la gaucherie journalistique française ! Ainsi, hier, sur Europe 1, les chroniqueurs des journaux étaient étonnés d’apprendre que Clint Eastwood était proche du GOP alors que depuis des années et des années, il l’est !!
De nature pessimiste en ce qui concerne la nature humaine, il ne m’est pas possible de partager entièrement l’enthousiasme de Guy Millière. Une bonne partie des Républicains qui aujourd’hui disent incarner le renouveau du rêve américain furent de ceux qui approuvèrent d’abord W. Bush sans esprit critique puis le rejetèrent comme un pestiféré quand le vent tourna.
Cela dit, la clarté morale est essentielle pour mener un combat et les Républicains d’aujourd’hui valent milles fois mieux que les Démocrates version Obama-Alinsky. Je me méfie de l’enchantement du monde non pas parce qu’il n’y a pas de quoi s’enchanter, mais parce qu’il y a des gens qui s’obstinent à vivre un cauchemar bien que le rêve soit à portée de main. Il est ainsi du rêve américain.
Des Américains préféreront toujours écouter Noam Chomsky et cie pour se convaincre qu’ils vivent dans un enfer. Le problème est que ces Américains sont trop nombreux au regard du désastre Obama. En 1980 et en 1984, le coeur de l’Amérique battait clairement la chamade au son du rêve américain. En témoigne les victoires écrasantes de Reagan sur Carter et Mondale. Aujourd’hui, on est réduit à espérer une victoire de Romney sur le fil.
On a critiqué le manque de charisme de Romney. Mais à mon avis, ce manque est bon pour la démocratie. L’électeur n’est pas subjugué et peut alors exercer son intelligence pour examiner les propositions du candidat.
Pour finir, j’ai survolé les âneries journalistiques sur la prestation de Clint Eastwood. Je ne perds pas mon temps à les lire et pour me faire une idée de la vérité, je déduis tout simplement le contraire de ce qu’elles racontent. Je n’ai pas encore regarder cette prestation. Mais comme ces feuilles de choux affirment qu’elle était “étrange”, je conclus que c’était une pépite de lucidité. Comme elles suggèrent que le vieux Clint était sénile, je conclus que, n’eut été les rides de son visage, la vivacité de son esprit a épaté plus d’un.
Je tire mon chapeau à M. Millière qui, par professionnalisme, est obligé de lire des débilités pareils. Merci ! J’attends impatiemment votre couverture de la convention démocrate.
@charly. Je suis aussi plutot pessimiste. Je pense que rien n est joue. Le vote pour obama reste un vote ethnique, un vote bobo et, effectivement, un vote de la contre culture. C est aussi un vote de la underclass qui vit d allocations. Cela dit, les dirigeants republicains n ont pas tourne le dos a george w bush. En 2008, bush etait tres impopulaire, helas, et la campagne ne pouvait se faire dans la continuite de bush. Cette anne, un hommage a ete rendu a bush, mais il est reste en retrait. Je reviendrai bientot a ce que fait bush aujourd hui.
Je continue et continuerai de considérer que George W. Bush a été l’n des meilleurs leaders américain ainsi que du monde occidental en général depuis Ronald Reagan et Margaret Thatcher. Sans Reagan et Thatcher, depuis Winston Churchill.
l’électorat d’Obama ressemble étrangement à celui de Hollande.
Les gauchistes sont les mêmes partout: ils aiment l’assistanat, le multiculturalisme, ils ont honte de leurs racines et trouvent tellement plus intéressantes les racines des autres …
Merci M. Millière pour cet article convaincant.
la meilleur c’est lorsque la presse française le nome le veille homme Clint Eastwood et que l’autre débile de hessel l’homme de référence pour la France ,on ne peut dire a ces gens de gauche ,acheter des GPS et retrouver les chemins de l’intelligence ,et arrêter de rèpandre votre venin nous ne marchons pas dans un désert.
Ha ha, bien vu !
Sans parler des oeuvres de clint comparèes à celles de hessel… Une autre profondeur !
“Le parti républicain est le parti de l’Amérique, et il l’est plus que jamais.”
D’un point de vue intellectuel cet article est totalement incohérent. xxxxx
Tiens, notre premier troll du jour !
Apprenez à lire un article en entier et non par petits bouts, vous trouverez peut-être la cohérence. Si, en revanche, vous ne comprenez pas ce que vous lisez, j’ai bien peur que vous n’ayez rien à faire sur Dreuz.
Vous avez dit “intellectuel” ? comme c’est intellectuel !
tous a fait d’accord, la presse francaise est afligeante, surtout au sujet democrates et republicains
J’ai été lire, par curiosité, les articles de la “presse” française au sujet du discours de Clint, ainsi que leurs commentaires : risible ^^
On y trouve ce genre de perles, entre appel au boycott de ses films et critique de Reagan considéré pratiquement comme le pire président des USA (à ce niveau d’aveuglement volontaire, ça en devient pathologique :roll:) :
Sorti par un commentateur de la presse de gauche française, c’est savoureux
Très bon article.
“Abuser de la presse française de gauche nuit gravement à la santé mentale” Tout à fait !
C’est hors -sujet mais :
-les médias français (officiels) nuisent gravement à la santé mentale,
-l’éducation nationale nuit gravement au développement de la santé mentale,
-l’état français nuit gravement à la société civile,
“Abuser de la presse française de gauche…” = PLEONASME !
L’intervention de Clint Eastwood a été délibérément ridiculisée.
Son “show” comme l’on appelait nos journalistes aurait été pleins de cafouillages.
FAUX !!
Si l’on tend l’oreille, Clint cafouille très peu…en revanche le traducteur, en plus de prendre une voix de niais, béguait et “beuguait” de manière à rendre l’intervention de Clint ridicule.
Clint Eastwood, s’il revient dans l’hexagone et offre une interview à la télé française, devrait exiger 5mm pour casser de manière nominative les connards qui lui ont craché dessus. Je suis sûr que ça serait négociable!!
N’en déplaise à M. Millière, la grande majorité de chretiens aux Etats-Unis ne considère pas les mormons comme des chrétiens. Le prophète Mohamed était un escroc et un pédophile et le prophète Joseph Smith, fondateur du mormonisme, de même. Voyez vous-mêmes si ceci n’est pas la réalité historique.
Vous vous trompez. Seule une petite minorite de chretiens se defient des mormons aujourd hui aux etats unis. Les mormons ont une reputation de respect des regles ethiques exemplaire. Le peuple americain est ouvert et tolerant. Le courant mormon s appuie sur la bible, et y ajoute le livre de mormon. Je ne pense meme pas que les democrates vont utiliser la religion de romney pour le trainer dans la boue, ce sont de vieux trucs de propagandiste fatigue. A la convention republicaine, il y avait des catholiques, des protestants, dont des mormons, des juifs, des bouddhistes…le theme etait l union autour des valeurs communes, pas la division. L islam et l eglise des saints des derniers jours n ont absolument rien a voir. Toutes les rumeurs peuvent circuler sur joseph smith, je dois dire qu elles m interessent peu, et qu elles interessent peu les americains aujourd hui, sinon une infime fraction d entre eux.
Il n’y a que sur un point que je m’écarte de votre commentaire, Professeur Millière : je crois que les “libéraux” ne reculeront devant rien pour essayer de garder le pouvoir et qu’il faut s’attendre à des attaques contre la religion de M. Romney.
Ces gens ont oublié jusqu’au sens du mot “décence” et tout est à craindre de leur part.
Il se peut que vous ayez raison, Atikva. Rien n’est effectivement impossible de la part de ces gens.
Very good article! qui est un bon echo de la convention. J’espere que tu as raison sur “une petite minorite de chretiens se defient des mormons aujourd hui aux etats unis”. Je sais que des eglises evangeliques essaient d’informer leurs fideles sur les points communs entre les deux religions. Hopefully, it’s occurring elsewhere and accross the U.S. Le parti republicain essaie de rassembler les americains sous une meme tente, alors meme que les democrates s’efforcent de les diviser; ca n’a jamais ete aussi clair.
J’ai remarque le pretre durant la convention qui nomma l’eglise mormon sous son vrai nom “The Church of Jesus Christ of Latter Day Saints”; ceci afin d’etablir une relation entre mormons et chretiens au travers du meme Jesus Christ. It was a good move, les pratiques religieuses et croyances des deux groupes sont presque identiques.
Non, M. Millière, la plus part des Américains qui connaissent le mormonisme le considèrent comme un culte. Suivant les documents historiques conservés dans les archives du temple à Salt Lake City, Joseph Smith s’est marié avec pas moins que 34 femmes ! De plus, l’âge matrimonial moyen aux USA, au milieu du 19ème siècle, était de 19 ans. Sept de ses jeunes filles étaient âgées entre 14 et 17 ans, en 1843, lors de leurs mariages avec Smith, alors qu’il était lui même âgé de 38 ans. De nos jours, on s’accorderait pour dire que Joseph Smith était un débauché.
Ramener le débat à ce qu’il se passait il y a 2 siècles est vraiment minable, digne de la campagne Obama.
Joseph Smith est mort, pas vrai ? Paix à son âme.
Ce qui nous préoccupe à présent c’est de saisir l’occasion qui nous sera donnée en novembre de nous débarrasser de M. Obama avant qu’il ait pu terminer son œuvre de destruction de l’Amérique.
En tant que Catholique Américaine, tout ce que j’attends de l’homme en qui nous mettons notre espoir pour ce faire, c’est qu’il se conduise en Chrétien, quelle que soit l’Eglise qu’il fréquente – et même, en fait, s’il n’en fréquentait aucune. Sous ce rapport, M. Romney pourrait servir de modèle à bien des politiciens, et le reste est sans intérêt.
Les guerres de religion qui ont ensanglanté l’Europe pendant tant de siècles n’ont rien à faire en Amérique, et j’ai du mal à croire que certains de mes compatriotes seraient assez niais pour s’opposer à M. Romney à cause de l’Eglise qu’il fréquente. Je m’étonne qu’ils ne se soient pas préoccupés lorsqu’il en était encore temps de la soi-disant “Eglise” fréquentée par M. Obama pendant plus de vingt ans, qui n’est en fait qu’une officine socialo-communisme scandaleuse s’abritant derrière une façade religieuse et visant à créer une guerre raciale.
Sorry Tintin,
Vous aussi êtes dans l’erreur.
L’histoire des USA démontre qu’il y eu une époque lointaine, aux US où les Mormons étaient poursuivis et interdits, chassés… et se sont vus obligés de fuir. Ils fuirent donc par caravanes entières vers le Nord, et le Canada. Durant ce long exode, ils furent affaiblis par la faim, due à la rareté des aliments, le manque d’eau, le climat rigoureux, les maladies, les attaques des Indiens etc. un grand nombre d’entre eux ont péris durant l’exode et surtout les hommes, car ce sont eux qui devaient assurer la survivance et faire les plus durs des travaux et devaient constamment protéger femmes et enfants.
Si bien que quand ils purent enfin atteindre des terres moins hostiles et s’y établir en fermiers, principalement, non seulement le nombre d’hommes avaient considérablement diminués, mais le nombre de femmes étaient largement supérieur à celui des hommes jeunes. C’est précisément pour ce motif que leur autorités religieuses ont décidé, à l’époque, de permettre la bigamie. Durant un certain temps, la bigamie fût donc autorisée et pratiquer et comme les hommes avaient plusieurs épouses, et que les Mormons étaient très respectueux des lois de la procréation, les familles nombreuses ont rapidement élargie la population, évitant ainsi le danger du dépeuplement.
Par la suite, les Mormons interpellés par les lois civiles américaines ont volontairement aboli la bigamie, jugée illégale aux États-Unis d’Amérique. Les Mormons tels que je les ai connus, se surjettent assez strictement au Lois Civiles,et Bibliques et généralement sont respectueux de leur gouvernement et par patriotisme acceptent de combattre pour leur pays. Quand à Joseph Smith, je n’ai jamais entendu dire de références négatives à son sujet, et jusqu’à date, il est toujours considéré comme leur Chef Spirituel ayant vu l’apparition d’un d’une Entité Lumineuse lui indiquant où se trouvaient enfouis des antiques manuscrits contenant les bases, et préceptes sur lesquels sont établis les fondements de cette religion.
Erreur volontaire ou simple ignorance? La « pluralité des épouses » a été proposée en 1843 par Joseph Smith lui-même, au grand conseil de Nauvoo. Il rétablissait aussi la pratique biblique de la pluralité des épouses, qui aurait été voulu par Dieu, dans les temps bibliques, pour accroître son peuple. Et c’est en 1852, à Salt Lake City, que la doctrine du mariage plural fut annoncée pour la première fois en public.
Les mormons furent chassés des USA principalement à cause de cette pratique, y compris l’arrière grand-père de Romney, Miles Park Romney, qui fuit avec ses cinq « femmes » au Mexique, vers la fin du 19ème.
Je n’ai pas une très bonne opinion de Joseph Smith. Mais je ne suis pas sûr que ce débat soit ni opportun, ni intéressant pour ce qui nous concerne aujourd’hui.
Je dirais que les valeurs chrétiennes ont triomphé du prophète des Mormons. C’est cela qui est important : les valeurs et les comportements des mormons aujourd’hui sont les valeurs chrétiennes que nous partageons. Les Mormons sont de ce point de vue là, pour l’ensemble, exemplaires, comme le dit Millière.
Je ne faisais que répondre à M. Millère qui louait le prophète. Je suis entièrement d’accord que la religion de Romney n’a rien à voir avec sa candidature, sauf surement pour l’aile droite intégriste du parti Républicain et autres fanatiques.
Mitt Romney est le même Mitt Romney qui a été le gouverneur du Massachusetts 2003-07. Le 12 April, 2006, il a signe la loi, la Massachusetts health reform law, populairement connue sous le nom de “Romneycare”, qui décrète que tout résident du Massachusetts doit acheter une police d’assurance maladie ou être passible d’une amende et de la perte de ses dégrèvements d’impôts. C’est exactement ce que Obama a proposé au niveau national avec son « Omabacare », et que Romney et son parti Républicain ont combattu (sans succès) jusqu’à la Cour Suprême des EU, et ont maintenant juré de supprimer si Romney était élu.
Soit vous ne manquez pas de culot, soit vous ne savez pas de quoi vous parlez. Les pénalités et taxes étaient ridicules ($219 !) comparé aux $2,000 d’Obamacare. De plus on parle de Romneycare en faisant semblant d’oublier que cette loi a été très fortement amendée en 2008 et 2010 quand Mitt Romney n’était plus Gouverneur.
Ni l’un ni l’autre, M. Jacques. Bien que rien ne soit simple dans les deux cas, O or R, la pénalité (je ne parlerai pas des dégrèvements d’impôts) dépend naturellement du revenu annuel de l’individu ou de la famille, et de la taille de celle-ci. Les $219, plus précisément $228, que vous cité c’est pour un revenu annuel d’un seul individu compris entre $16.344 et $21.780. Pour un revenu supérieur a $32.676, celui-ci paillerait $1.212/an (ce qui reste une bonne affaire, vu qu’une police d’assurance individuelle minimum est de l’ordre de $4.248 !).
Pour « Obamacare », la pénalité de $2.000 ($2.025 exactement) que vous proposez est pour un couple avec un revenu annuel de $100.000. Mais là je vous accorde que cela reste assez nébuleux. Cependant, la pénalité ne pourra être supérieur la moyenne nationale d’une police la moins chère, dite « bronze », qui pourrait s’élever en 2014, jusqu’à $4.159.
Finalement, le « Romneycare » n’a pas été amande entre 2008 et 2010, si ce n’est que pour tenir compte de l’augmentation des assurances et du coup de la vie.
Comment savez-vous que le plan du Gouverneur Romney est le même que celui de M. Obama, vous êtes donc le seul à avoir lu, compris et analysé les quelque 2.000 pages qui constituent pour le moment le projet Obamacare ?
Bien vu!
Je m’excuse Atikva, ce n’est pas 2000 pages… c’est 2700 pages ! 🙂 et depuis ils ont rajoute 13,000 pages de regulations afin d’enumerer les details (I’m not kidding) http://www.thegatewaypundit.com/2012/07/lawyers-have-already-drafted-13000-pages-of-regulations-for-new-obamatax-law/
Merci pour la rectification, Annika, cette pantalonnade d’Obamacare est encore pire que je croyais.
Quand on pense que ces juristes bureaucrates sont recrutés en masse et payés avec notre argent pour produire un tel monstre de document inutilisable et qu’on finira par jeter aux oubliettes, on a envie de faire un sérieux ménage non seulement à la Maison Blanche, mais également au Capitol.
Et aussi dans les bureaux de l’IRS, ou “travaillent” maintenant les 2 ou 3.000 nouvelles recrues chargées d’organiser le recouvrement des taxes perçues au titre d’Obamacare.
Tintin, you make a good point au sujet de Romneycare, mais vous oubliez l’element principal; la nature localisee de Romneycare (etat federe du Massachussets plutot que l’etat federal) fait toute la difference. On a de nombreux programmes assurance sante differents suivant les etats federes, Romney a deja dit de nombreuses fois que son programme ne pouvait s’appliquer a 50 etats – bien sur il peut mentir – mais ca m’etonnerait.
We have to take a chance, the other guy is so much worse.
“C’est exactement ce que Obama a proposé au niveau national”
Suffit pas de répéter ce que vous avez lu dans notre presse. Étayez donc votre réponse. Montrez nous ce que ces deux lois ont de si exactement en commun et montrez nous que dans leur nature, leur rédaction, leur financement, leur mode de fonctionnement, l’étendue de la couverture, leur portée, leur application, leurs conséquences économiques, elles sont identiques.
Le nombre de pages déjà : pouvez-vous nous en dire quelque chose.
Dans l’attente de vous lire…
Vous voulez rire ! Une comparaison, même assez élémentaire, de ces deux programmes ne peut se faire dans l’espace limité qu’il nous est attribué. Je vous suggère donc de voir, par exemple,
http://www.boston.com/lifestyle/health/health_stew/2012/08/romneycare_vs_obamacare_which.html
et vous serez renseigner sur ce sujet plus que vous pouviez l’espérer, et dans la foulée vous aurez acquit des faits et non des opinions. En résumé, il s’avère que « Obamacare » est une amélioration incontestable du « Romneycare » qui en était le prototype.
à Tintin:
À en juger par votre hargne contre un Homme respectable comme Mr. Romney et votre dévotion sans bornes pour louer et défendre l’idiot utile anti-américain muslim barack hussein obama, il ne fait aucun doute que vous êtes un socialiste de la même niche que tous les autres pourris qui sont en train d’achever la France.
Dit en passant, tout ce que vous racontez sur Joseph Smith n’est que MENSONGES, CALOMNIES gratuites. J’ai été parmi eux suffisamment de temps pour savoir que vous mentez et ne cherchez qu’a salir ce groupe.
Vous êtes un typique socialo enragé.
Qu’est-ce que vous foutez sur ce site, allez plutôt prêcher dans une mosquée…
Et puis, vous ne méritez pas le pseudo Tintin, celui de Mohamerde vous irait à merveille.
Au plaisir de ne plus jamais lire vos conneries.
C’est un délice de vous lire, Monsieur Millière!
Obama est musulman, même s’il ne s’affiche pas comme tel, G. Millière a parfaitement expliqué le jeu qu’il a mené pour islamiser l’Amérique et ré-islamiser les Pays pas suffisamment théocratiques selon l’idéologie destructrice des valeurs occidentales de B. Hussein Obama.
On dirait que le choix de Mitt Romney, mormon, n’est pas le fruit du hasard mais bien un énorme contrepoids, une antidote à l’islamisation de l’Amérique et du reste du Monde.
Puisse la taupe Obama être éjectée et que l’Amérique retrouve ses valeurs fondatrices.
Reste l’Europe pourrie jusqu’à la moëlle dont les merdias, surtout en Francarabia, ne manqueront pas d’accuser les américains de racistes en cas de victoire de M. Romney !
Les journaleux commencent à se déchaîner, cela me semble pire que pour G.W. Bush déjà tellement traîné dans la boue pendant les élections…
J’ai hâte de voir leur mine déconfite en proclamant le résultat !
Il faut continuer à y croire !
Yes!
Barack Hussein Obama. Avec un nom comme cela, c’est évident qu’il ne peut être que musulman. Mais vous oubliez que, non seulement cela, il n’est même pas né aux Etats-Unis, donc il n’est pas citoyen des Etats-Unis, et donc un imposteur à la présidence.
A propos, aux US, la liberté de religion existe encore, alors je ne pense pas que cela serait un « péché », même si Obama était de confession musulmane.
Liberté de religion n’est pas laxisme suicidaire.
Tout d’abord, l’islam n’est pas une religion c’est une idéologie totalitaire qui a de nouveau enfourché depuis 1920 la chimère toujours renaissante du jihad, violent ou dissimulé, visant à la conquête et à la subjugation du monde occidental. Omar Ahmad, fondateur de CAIR, a été on ne peut plus clair sur ce point en déclarant lors d’une conférence (en Californie, je crois) en 1998 : «l’islam en Amérique n’est pas destiné à être sur le même pied que les autres religions, mais à les dominer… Le coran devrait être l’autorité suprême en Amérique et l’islam la seule religion autorisée sur terre».
Ensuite, les Américains ne sont tout de même pas dupes de la taqyia au point d’accepter de mettre à la Maison Blanche, sous prétexte de liberté religieuse, un Président ayant partie liée avec l’ennemi islamiste, et c’est bien pour cela que M. Obama a dû se déclarer chrétien afin de ne pas ruiner automatiquement ses chances d’être élu.
Quant à son lieu de naissance et sa nationalité, ni vous ni personne n’êtes capable d’en apporter la preuve irréfutable, du moins pour le moment.
L’Amérique n’est pas la France. ET l’Amérique va rejeter le candidat Obama qui est certes un bon acteur mais un mauvais président.
Mon pronostic va se vérifier pour 3 raisons…http://observatoiredumensonge.wordpress.com/2012/08/14/mon-actu-2/
Superbe article. Hélas, en Europe on n’en a que pour Obama le socialo.
Sinon, ne pensez-vous pas que Ryan en fait un peu trop en promettant de défendre Medicare? Franchement, ce n’est pas une position très conservatrice, ce type de programme doit être complètement aboli. Les républicains ont lutté contre à son établissement.
Idem pour la position de Romney au sujet de la social security. Rick Perry avait raison d’affirmer que c’est une chaîne de Ponzi.
Hélas, je crois aussi qu’Obama va gagner. Il risque de ruiner les USA. Et en cas de crise, Obama serait capable de se proclamer dicateur. Il faut donc espérer à tout prix que tout le monde se mobilise derrière Romney. D’ailleurs, dommage que Gary Johnson n’ait pas retiré sa candidature, il roule pour Obama.
I’ve asked myself exactly the same question about Medicare, Patrick. Actually, my take is that the internals of the Ryan Plan are solid for its transformation in the current climate. The “undecided” and Independents are so squeamish about any entitlement reform that it literally forces people like Ryan (an actuary, by-the-by) to create the hoops through which he himself must jump…If he were to say “privatise”, the election would be lost…immediately. For some pathetic reason, the MSM have been successful in defining “privatisation” – or, entrusting things to the private sector (Capitalism, duh!) – as “bad.” Just like in France by the way. Of course, at the end of the day, full-gear privatisation is the ultimate goal. That’s why I support the Romney-Ryan ticket. Down with the Obamacare chains and the Obama gang!
Ça, Omabi, c’est bien parler en VRAI Républicain: l’abolition pure et simple de Medicare, ce qui a été le but incontesté des Républicains conservateurs depuis son début en ’65 (surtout n’oublions pas aussi la Sécu). Et si les vieux c/o/n/s de retraités n’ont pas assez d’économies pour pouvoir se payer une assurance maladie exorbitante, qu’ils crèvent donc, de toutes façons, c’est ce qui va leur arriver tôt ou tard.
@Tintin
Vous montrez votre age car plus de deux tiers des jeunes savent que medicare/social security ne sera plus en existence d’ici leur retraite. Tout simplement parce que c’est une caisse dont l’etat detourne les fonds. Renseignez vous, we need reform http://blog.heritage.org/2012/08/23/debunking-medicare-reform-myths/
Merci Tintion. C’est pareil en Europe, Annika, vous savez. Toutes ces caisses sont là pour renflouer (bail out, vous connaissez?) les faillites successives, voure permanentes, de certains secteurs qui ne sont même pas régaliens. Je n’ai jamais trop cru au système. Aujourd’hui, celui-ci a montré toutes ses limites. Game over. Nous ne sommes plus en 1945. Les choses doivent changer. Les choses doivent radicalement changer. La SS à la pépère supervisée par l’état a vécu.
C’est entendu, vous aussi avez appris par cœur le manuel du parfait gauchiste, et le ton doucereux qui va avec. Vous aussi vous assénez vos contre vérités comme s’il en pleuvait et vous aussi vous vous gardez bien de répondre lorsqu’on les démolit une par une. Vous seriez bien en peine d’ailleurs d’analyser Obamacare puisque vous ne lisez ni ne parlez l’Anglais. C’était une bonne performance, quoiqu’un peu longue – et tout à fait inutile.
Parce que malheureusement pour vous, vous n’avez rien accompli sinon inciter les lecteurs de Dreuz à s’abstenir de vous lire. Votre manuel du parfait gauchiste, vous savez quoi en faire, hein ? C’est ça, fourrez-le bien soigneusement là ou le soleil ne brille pas, c’est la seule place qui lui convienne.
eh, eh, parfaitement d’accord
en réalité, les gens pensent avoir droit à quelque chose, la retraite, ou autre car ils ont cotisé. Hélas, leur argent a été dépensé depuis longtemps, il s’agissait juste d’un impôt comme un autre, seulement mieux “déguisé”…