En cette deuxième journée de la Convention démocrate, je n’ai pu m’empêcher de regarder l’auditoire de plus près.
Il n’y a pas que les féministes radicales de Women In Pink qui viennent frapper le regard. Il n’y a pas seulement les gauchistes échappés d’Occupy Wall Street. Il y a tout un assortiment de gens qui semblent avoir quasiment tous un point commun : ils sont en colère et ne le cachent pas. Ils ne sont pas en colère contre le Président, puisqu’ils sont venus le soutenir. Non, ils sont en colère contre tout. Ils sont en colère contre les hommes qui sont censés exploiter les femmes, contre l’humanité, qui est censée exploiter la nature et tout détruire sur son passage en provoquant un réchauffement global et un dérèglement climatique, contre le capitalisme qui crée des inégalités, contre les patrons qui sont décrits comme des rapaces, contre les financiers qui sont décrits comme des vampires, contre les blancs qui sont décrits comme potentiellement racistes, contre les républicains et les conservateurs, qui sont coupables de tout ce que je viens d’énumérer, et plus encore contre les tea parties, qui se réclament de mâles blancs morts il y a plus de deux siècles, des types du style de George Washington et Thomas Jefferson. Il doit rester des modérés chez les démocrates de 2012, mais on les voit très peu.
Les interventions qui se sont succédées à la tribune en la journée du mercredi avant l’heure du prime time, ont d’ailleurs correspondu à ce qu’on pouvait voir dans la salle. Des féministes obsédées par l’avortement se sont succédées, comme la veille. Il n’y a décidément que l’avortement qui les intéresse, au point que cela semble devenir une obsession.
Aux féministes obsédées par l’avortement se sont ajoutés des syndicalistes fulminant contre les dirigeants d’entreprises, avec parmi eux Bob King, président de United Auto Workers, le syndicat de l’automobile, qui a remercié Obama d’avoir « sauvé » l’industrie automobile : sans dire que l’UAW avait encaissé un pactole et des milliers d’actions de General Motors au passage, et sans avoir dit davantage que Rahm Emanuel, la veille, que les vingt milliards de dollars mis dans le secteur par les contribuables l’ont été en pure perte, puisque General Motors est à nouveau au bord du dépôt de bilan, et que Chrysler ne se porte pas très bien (la seule firme automobile américaine qui va bien est Ford, qui n’a pas demandé un centime au gouvernement), et Richard Trumka, président de l’AFL-CIO, qui a souligné que les « travailleurs » ont bâti l’Amérique : seulement les travailleurs, comme dirait un membre de Lutte Ouvrière en France.
Aux syndicalistes se sont ajoutés de multiples cadres du parti, dont Nancy Pelosi, qui dirigea la Chambre des représentants de 2008 à 2010, et qui a répété ce qui s’est dit souvent : « Obama a créé des emplois ». On ne sait quels emplois ont été créés puisque le nombre d’emplois occupés aux Etats-Unis est aujourd’hui encore inférieur à ce qu’il était en janvier 2009. Les gens dans la salle ne savaient pas non plus, mais ils ont applaudi quand même. Le jeune marié homosexuel Barney Frank a rappelé que le mariage devait être ouvert à tous, et que les républicains avaient sur ce plan une vision plus étroite, et ce n’est pas quelqu’un au sein du Democratic National Committee qui lui aurait rappelé ses aventures endiablées dans l’univers de la prostitution masculine.
Pour la première fois lors d’une convention nationale, un immigrant illégal, en l’occurrence une immigrante, Benita Veliz, s’est adressé à l’assemblée pour exiger la légalisation de tous les illégaux, sous les acclamations de l’assistance. Verra-t-elle sa situation régularisée en remerciement, et passera-t-elle grâce à son soutien à l’administration Obama devant tous ceux qui ont respecté les règles et la loi ? C’est très envisageable.
Lorsque l’heure du prime time est venue, il restait trois orateurs, et chacun en disait long sur l’esprit qui règne chez les démocrates cette année. Le premier orateur était une femme, étudiante en droit, gros besoins de contraceptifs, plusieurs milliers de dollars par an, Sandra Fluke. Venant après tant de féministes obsédées par l’avortement, elle devait en rajouter, ce qu’elle a fait en déclarant carrément que les républicains voulaient laisser mourir les femmes enceintes : et elle a accusé nommément Mitt Romney. En déduire qu’elle accusait Mitt Romney de complicité de meurtre n’était pas très difficile : que dans la convention d’un des deux grands partis américains on donne une place aussi importante à une personne qui n’a rien accompli et qui se contente de proférer ce genre de propos est terrifiant.
Le deuxième orateur était une femme encore, Elisabeth Warren, ancienne professeur de droit à Harvard, nommée à la tête du U.S. Consumer Financial Protection Bureau par Barack Obama lorsqu’il a créé celui-ci en juillet 2011 aux fins de placer sous tutelle les institutions financières, candidate au Sénat dans le Massachusetts. Et le discours d’Elisabeth Warren a été très proche d’idées marxistes. Il a été une longue diatribe contre le « système », constitué selon elle des institutions et de tous les rouages du capitalisme. Le « système » a-t-elle dit écrase les petits, les sans grades, les travailleurs et les exploite sans leur laisser la moindre chance. Heureusement, a-t-elle ajouté, des dirigeants politiques sont prêts à affronter le système pour que puisse venir un monde plus juste et, bien sûr, un dirigeant politique joue ce rôle aux Etats-Unis, Barack Obama. Un discours aussi à gauche et aussi hostile à ce que sont les Etats-Unis depuis plus de deux siècles n’a guère de précédent dans la convention d’un des deux grands partis américains.
Le troisième orateur était celui que tous attendaient : Bill Clinton. Celui-ci s’est montré brillant, et nul ne pourrait dire qu’il n’est pas l’un des meilleurs orateurs politiques du pays. Il a captivé et enthousiasmé l’auditoire.
Il ne s’en est pas moins livré à une manœuvre qui, pour être habile, n’en a pas moins été peu glorieuse.
Il a en effet présenté Barack Obama comme un homme modéré, raisonnable, ouvert au consensus, proche de ce que lui-même, Bill Clinton, a été pendant l’essentiel de sa présidence.
Et, dans la continuité de ce qu’avait fait Michelle Obama la veille, il a décrit un Barack Obama qui n’a quasiment aucun rapport avec le vrai Barack Obama.
Pour parvenir à ses fins, il a décrit, comme tous les orateurs démocrates depuis deux jours, la situation dont a hérité Barack Obama comme infiniment plus sombre qu’elle ne l’était (sans noter, cela va de soi, la responsabilité des démocrates, qui tenaient le Congrès depuis 2006, dans cette situation). Il a ensuite procédé à une réécriture essentiellement fausse des quatre années de la présidence Obama, décrivant, entre autres, la loi de stimulation et la loi de réforme des assurances maladie sous un jour totalement fantasmatique, sans rapport avec les faits. Et il a ajouté que sur les bases de ces quatre années, le pays pouvait considérer qu’une direction était tracée qu’il restait à suivre, ce qui mènerait à une prospérité égale à celle qui a existé quand, lui, Bill Clinton, était président. Il ne s’est, bien sûr, pas privé de décrire caricaturalement et tout aussi faussement les propositions républicaines.
Comme le tout a été énoncé de manière virtuose, et avec l’allure d’un professeur sûr de son fait, ceux qui ont écouté et qui ne chercheront pas à vérifier, pourront être convaincus. Et Bill Clinton a rendu ainsi un immense service à Barack Obama.
Quel sera l’impact de ce service ? On le verra dans les jours qui viennent.
Pourquoi Bill Clinton a-t-il procédé ainsi alors qu’il est de notoriété publique qu’il méprise Barack Obama et le considère comme un gauchiste très éloigné de ses propres positions ?
Il entend favoriser une candidature d’Hillary en 2016, dit-on, et il veut pouvoir compter sur un soutien d’Obama le moment venu. Mais si Obama poursuit sur sa lancée, et si son deuxième mandat éventuel est plus désastreux que le premier, comme c’est probable, quelles seront les chances d’Hillary en 2016 ?
Pense-t-il que si Obama est réélu, aussi désastreux soit son éventuel deuxième mandat, le pays serait alors si engagé vers le socialisme et la ruine qu’un candidat démocrate, Hillary, aurait toutes ses chances malgré tout, et devrait alors avoir l’approbation d’Obama.
Voulait-il seulement séduire une foule acquise à la cause de Barack Obama ? Je n’ai pas la réponse, et nul ne l’a.
Il n’empêche, l’assemblée à laquelle s’est adressé Bill Clinton est très différente de celles auxquelles, lui, Bill Clinton, pouvait s’adresser au temps de sa présidence.
Le parti démocrate aujourd’hui n’est plus celui des nouveaux démocrates auxquels Bill Clinton disait appartenir.
En décrivant Barack Obama comme un nouveau démocrate, Bill Clinton a tenté de vendre Obama à l’électorat modéré. Il a présenté le loup sous les traits de l’agneau. Il a mis sa crédibilité en jeu pour certifier que le loup n’était pas un loup. Il s’est vendu au loup.
Pour quel impact, demandais-je ? Pour qu’il y ait un impact, il faudrait que les électeurs oublient la monstrueuse parade de l’essentiel de ceux qui se sont succédés à la tribune jusqu’à présent. Les journalistes des mainstream media vont s’employer à agir en ce sens. Dans son discours, Obama va faire de même sans doute.
Nous sommes dans un univers conforme à la doctrine de Saul Alinsky : le parti démocrate est aux mains de révolutionnaires très à gauche, mais les foules sont crédules, et il suffit d’enrober aux moments cruciaux les discours très à gauche sous des atours plus avenants pour que la révolution avance.
Heureusement, il reste pour ceux qui veulent ouvrir les yeux quelques accrocs. La plateforme du parti démocrate présentée mercredi était une version revue profondément de la plateforme de 2008. Le nom de Dieu en avait été enlevé. Les mentions concernant Israël avaient été considérablement changées, dans une direction « pro-palestinienne ». Et le nom de Jérusalem avait été omis. Un journaliste de Fox News l’a remarqué. Un scandale a commencé à se dessiner. Le Parti démocrate a décidé de revoir sa plateforme à la hâte en y réintroduisant le nom de Dieu et celui de Jérusalem. Cette révision impliquait l’adhésion des deux tiers des délégués. Le président de la Convention, Antonio Villaraigosa a demandé à l’assemblée l’adoption de la révision. Les refus l’emportaient visiblement sur les approbations. Il a déclaré qu’il n’entendait aucun refus et que la révision était adoptée. Les protestations dans l’auditoire étaient nombreuses. Ceux qui veulent voir ont vu. Ceux qui ne veulent pas voir ne verront rien et n’entendront rien.
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© Guy Millière pour www.Dreuz.info
La bêtise humaine n’a d’égal que l’immensité de l’univers. ( Einstein ?)
C’est dire si toutes les tentatives de rattrapage vers un mieux s’avèrent vaines ! Pourtant, chez ces démocrates-là, on compte là-dessus pour perpétuer la démocrassie …
C’est pas tout à fait ça: « …Two things are infinite: the universe and human stupidity, but I’m still not sure about the universe… » Einstein.
Cela ne se rapporte pas à l’essentiel de votre article, mais que pensez-vous de la déclaration de Romney sur Sciencedebate (il admet le réchauffement climatique, le rôle de l’homme dans celui-ci, la nécessité de prendre en compte des conséquences néfastes, mais rappelle que le débat n’est pas tranché quant à l’importance et aux risques du réchauffement) ?
Vous me l’apprenez et c’est lamentable de penser que le candidat anti-O croit aux fadaises réchauffistes.
L’Amérique conquérante de la Lune et même de L’ouest est bien morte!
Oui, quand on voit cela on ne peut qu’être inquiet en cas de victoire Obama. Personnellement j’ai systématiquement changé de chaine (même FNC ou FBN) tellement ça me parait insupportable.
J’ai dit dans un autre post que tpite une série d’indicateurs pointent à ce qu’Obama est en difficulté. Il y a le fait que l’argent rentre mal: il en obtient moins que Romeney alors qu »en 2008 McCain s’était fait écranouiller sur ce plan là. Et il y a la fait que les Démocrates ont choisi un pavillon de baskett de 13 mille places alors que dans la même ville il y avait un stade de soixante mille: en 2008 Obama replissait les stades, aujourd’hui il a du mal ) reùir les pavillons de baskett. Sa campagne a dit que celà a été à cause du risque de pluie mais outre le fait que le météo dit qu’il est faible il en a déjç prononcé des discours sous la pluie.
N’étant pas masochiste, je n’ai pas voulu suivre sur l’écran le déroulement de la Convention démocratique, mais j’entends et je lis des commentaires à la radio et sur internet, en plus de ceux exprimés sur Dreuz. Je ne voudrais pas me montrer trop optimiste, mais il me semble que les démocrates sont en train de creuser leur tombe.
Ils ont accumulé les fausses manœuvres.
En un temps ou l’Amérique rentre en soi-même et remet en question tous les thèmes «libérateurs» des années soixante en fonction des résultats obtenus, ils ont choisi d’appuyer au cours de cette Convention précisément là où ça fait mal : l’avortement et la «libération sexuelle» sous ses formes les plus extrêmes.
En un temps où l’Amérique, chrétienne dans sa grande majorité depuis sa création, et inquiète à juste titre de voir depuis plusieurs années cette religion systématiquement combattue par les démocrates transformés en gauchistes enragés, ils choisissent de faire huer Dieu en plein milieu de la Convention.
Et pour obtus que puissent être les Juifs archi-démocrates qui n’ont toujours rien compris au plan d’Obama concernant Israël, est-il croyable que ces mêmes huées dirigées également contre le pays et sa capitale Jérusalem vont leur apporter un seul vote juif supplémentaire?
J’avais imaginé qu’ils essaieraient au contraire de balayer tous ces points litigieux sous le tapis, de dissimuler leur extrêmisme sous une apparence douceureuse orientée vers «le centre» afin d’apaiser les hésitants et des Indépendants et de gagner leurs votes. Je me trompais.
N’ayant pu remplir le stadium de 60.000 places initialement prévu pour la Convention malgré le transport gratuit offert à tout un chacun, ils ont dû se rabattre sur l’arène TWC de 20.000 places (l’excuse du temps pluvieux ne tient pas, la météo avant-hier ne prévoyait plus aucune perturbation sur la région). Est-ce pour cela qu’ils ont délibérement renoncé à séduire le nombre non négligeable des indécis pour se concentrer sur la fraction moins nombreuse mais plus solide de leurs supporters « de base », celle qui regroupe les loosers, les éternels mécontents, les minables, les idiots utiles et les ultra-gauchistes qui reprochent à M. Obama de n’avoir pas encore transformé l’Amérique suivant le modèle de l’URSS d’antan ?
En tous cas, ces supporters valeureux se sont révélés tels qu’en eux-mêmes à ceux chargés de nettoyer la salle avant-hier soir : ils ont laissé sur les gradins, sous leurs sièges, partout, une quantité incroyable de détritus de toutes sortes, plateaux avec reliefs de repas, centaines de pancartes, papiers de toutes sortes, containers encore remplis de boissons, etc.. tout à fait dans le style des «militants» de OWS. Quand on pense que ces guignols comptent nombre de «verts» parmi eux, on voit tout de suite combien ils méritent d’être pris au sérieux .
je ne suis pas aussi optimiste que vous, depuis longtemps je pense qu’obama sera réélu, à mon grand regret. espérons que de nous deux c’est vous qui aurez raison…
Merci Guy,
Je n’ai pas regarde en totalite leurs discours, puisque beaucoup des bla, bla qui me donne la nause. Bref, aucune surprise, donc je n’ai rien loupe.
By the way, le speach du « Grand » Obama va passe dans 2h aprox, et je sent que mon alergie m’empeche de l’ecouter…prefere les comentaires sur la Fox par la suite, que m’infige 1-2 h de torture cerebrale.
Ceci dit, je suive la campagne presidentiele comme j’ai suivie la serie « 24 Chrono » en France; et pour vous dire la verite, je pense q’on a besoin d’un Jack Bouer en ces moments terrible.
J’attend votre livre ! il dois etre sur la route..
Be safe, et encore Mille merci pour les details.
Mes amis, on asiste a la destruction de l’Amerique en live !..il y a que ceux avec bon sens qui se rend compte.
Il faut prie, et peu emporte a qui, pour que l’actuel locataire de la Maison Blanche ne sois pa re-elu.
Oui, une destruction tant attendu par les Français depuis des décennies… Jamais un président américain n’avait été autanti adulé en France (et respecté dans le monde islamique). Il y a des signes qui ne trompent pas…
Oui, mais ce que les français oublient, bêtement, c’est qu’ils ne votent pas pour désigner le président des USA, c’est con pour eux et heureusement.
« Oui, mais ce que les français oublient, bêtement, c’est qu’ils ne votent pas pour désigner le président des USA, » : quelle chance pour le monde libre.
Quand j’entends L. Wauquiez, il y a qq années, dire qu’il se situait politiquement parlant, du côté des démocrates américains, tout en étant à droite en France, avec toute la suffisance convenue, oui, effectivement, quelle chance pour le monde libre de ne pas être empoisonné.
Je me trompe peut-être, mais il ne me semble pas qu’on gagne une ré-élection (qui n’a strictement rien à voir avec une première élection) en ne faisant rien d’autre qu’attaquer son adversaire.
Un candidat à sa propre succession n’a d’autre choix que de gagner sur son bilan et si ce dernier est mauvais, alors seul un miracle peut sauver le candidat en question.
Le bilan d’Obama n’est pas mauvais, il est cataclysmique.
C’est une donnée que tous les cireurs de pompe de la presse française ont de plus en plus de mal à dissimuler malgré leur aveuglement (bien que sur le site de Libération, une espèce de crétin dégénéré ait qualifié ce bilan « d’honorable » en une analyse qui rappelait furieusement Marchais décrivant l’oeuvre des pays du bloc de l’Est comme « globalament positive »).
Reagan et W. ont fait campagne sur le thème « regardez ce que nous avons fait en 4 ans, confiez moi à nouveau le pays pour persévérer sur cette voie quatre années de plus et nos résultats seront encore meilleurs. »
Obama n’est évidemment pas en mesure de le faire (cette nuit il n’a d’ailleurs pas pu dire un mot de positif sur l’action qu’il a accomplie) et je crois que c’est ce qui causera sa perte.
Car s’il ne peut pas faire campagne sur son bilan, que lui reste-t-il ? Attaquer ses adversaires n’est pas un projet mais une manoeuvre dilatoire grossière qui ne trompera pas les Américains.
On pourrait s’étonner de la prestation de Bill Clinton. En fait, ce fringant queutard ne fait que retrouver les idées de sa jeunesse, dont il passa une partie à Oxford, Grande Bretagne, afin d’échapper à la mobilisation pour le Vietnam. Chassez le naturel, il revient au grand galop tôt ou tard.
Ensuite, il y a cet « Il doit rester des modérés chez les démocrates de 2012, mais on les voit très peu ». Ceux-ci rejoindraient-ils le GOP. Si c’est le cas, le problème est qu’ils amèneront certaines idées démocrates avec lesquelles ils pollueront le GOP, qui est le seul représentant sérieux de l’idée américaine originelle. Le GOP est libéral (au sens français) et conservateur, et donc aussi pro-life, n’en déplaise à certains. Il faut effectivement une majorité pour gagner, sans oublier le collège électoral, mais pas une majorité grâce à une marée de transfuges. Les « undecided » et les « indépendants » suffiront, merci. Que les déçus restent au DNC. On a besoin d’un DNC, mais d’un DNC sérieux!
Et puis, Clinton « a captivé et enthousiasmé l’auditoire ». Disons surtout qu’il a beaucoup menti et fait preuve à tout le moins d’une mauvaise foi extraordinaire. Au lieu de parler de brio, je parlerais de culot, caractéristique bien gauchiste quand on n’a pas ou plus d’argument.
« Les protestations dans l’auditoire étaient nombreuses. Ceux qui veulent voir ont vu. Ceux qui ne veulent pas voir ne verront rien et n’entendront rien ». C’est très bien vu, ça: quand on vous dit qu’Obama veut européaniser l’Amérique, non pas pour faire des citoyens de nouveaux Mozart, mais pour s’inspirer du vieux continent en ce qu’il a de plus médiocre et de plus hypocrite dans une moutonnerie. Sous Obama II, les USA s’apprêtent donc à devenir un « failed state ».
Bizarre, ils n’ont pas fait une minute de silence en l’honneur de Saint Skittles.
l’amerique qui a soutenu Israel dans le passe ne peut plus continuer a le faire.car comme le soutient une partie des ennemis d’Israel. ce minuscule etat n’aurait pu tenir si les etats unis n’eyaient pas derriere lui/et le maitre du monde ne peut accepter un tel etat de fait.comme Darius et la Perse avaient permis aux juifs de reconstruire le 2eme Temple a Jerusalem et ainsi on aurait pu croire que grace a l’intervention humaine les choses ce sont faites le Maitre du monde a envoye amman le perse pour detruire les juifs et faire ainsi perdre a la perse tous ses merites.de meme avec les etats unis et il ne faudra pas s’etonner de les voir se presenter en ennemi numero un d’Israel….on y va doucement.ceux sont des schemas historiques contenus dans la Tora d’Israel….
il me reste en mémoire un phrase prononcée par le général vernon walters devant le congrès : il faut que les états unis réalise ce qu’Israël apporte à notre sécurité
À ceux qui ne l’auraient pas déjà découverte, je voudrais signaler l’existence d’un blog sur le site du Figaro qui, ô miracle, ne raconte pas n’importe quoi sur le sujet de la Présidentielle.
Je n’avais jamais lu ce type d’analyse ailleurs que sur dreuz.info
Je ne sais s’il existe depuis longtemps (il me semble que non mais je peux me tromper)…
En tout cas, c’est un très bon complément aux informations que l’on trouve ici.
http://blog.lefigaro.fr/dugua/2012/09/amnesie-collective-a-charlotte.html
http://blog.lefigaro.fr/dugua/2012/09/obama-se-trompe-de-moteur-de-c.html
Par ailleurs,
la presse française nous explique que le discours de Clinton est ce qui peut faire gagner Obama.
Bien sûr, oui.
Les Américains vont voter pour Obama parce que Clinton a fait un bon discours.
Du grand n’importe quoi.
Comment peut-on trouver rassurant pour Obama le fait qu’un ancien Président, ennemi déclaré du sortant, lui fasse de l’ombre le jour où ce dernier déclare briguer sa ré-élection ????
En réalité, cette convention démocrate a été un échec total.
Le couac invraisemblable du vote sur le statut de Jérusalem et les références à Dieu couplé au fait que la star a été Clinton et non Obama nous démontre que le Président est proche de la sortie.
Même s’il ne faut pas exclure une manoeuvre vipérine dont ce personnage a le secret, je le crois en bout de course.
Même si la situation de NY et des US dans leur ensemble n’est en rien comparable, ne peut-on pas voir dans l’actuelle situation d’Obama une sorte de remake à l’échelle nationale de ce qui s’est passé avec David Dinkins en ’93 ?
Un incompétent est élu sur des critères totalement ineptes (à savoir la symbolique induite par la couleur de sa peau) et au bout du premier mandat, on voit bien ce qu’il en coûte d’élire quelqu’un pour de mauvaises raisons.
Résultat, l’incompétent se fait congédier.
L’épisode du retrait dans le programme gouvernemental démocrate de toutes références à Dieu et à Jérusalem comme capitale de l’Etat d’Israël est très révélateur des intentions des stratèges de l’Administration Obama. C’est clairement une décision venant du sommet de l’Etat. Il ne peut bien sûr en être autrement.
Cet épisode mérite qu’on s’y attarde car il est grave et porteur de funestes évolutions, de funestes projets.
La première, est que la base démocrate, celle du moins présente et militante à la DNC, en manifestant pour conserver le retrait de la référence à Dieu, montre clairement qu’elle ne comprend pas, ou plus, l’esprit de la Constitution Américaine. Ou au contraire, que comme ceux qui sont à la source de cet initiative et de cet incident, elle comprend assurément trop bien ce que cela veut dire. Ils veulent combattre et abattre ce qui fait l’Amérique en propre par l’esprit de sa constitution. Pour ceux là, les Droits Humains ne sont pas « naturels » ou universels mais doivent être le fruit d’une idéologie politique. Pour certains d’essence athée, marxisme scientifique, et/ou pour d’autres d’essence religieuse, droit divin musulman. Ces deux courants s’attelant pour l’instant à la même charrette.
La seconde, le refus de nommer Jérusalem comme capitale de l’Etat Hébreux, est l’annonce d’un changement d’attitude au sommet de l’Etat en cas de réélection de l’actuel locataire de White House vis-à-vis d’Israël, lutant pour son existence et sa survie. C’est purement et simplement de sa délégitimation qu’il s’agit là. C’est bien l’annonce pour Israël de graves problèmes à venir car une porte ouverte à ses ennemis qui veulent sa disparition, selon différents scénarii, dont un qu’on ne peut exclure et qui serait une nouvelle shoa.
Les Américains croyants comme la communauté juive se sont fortement émus de cet incident. Le Président Barack Hussein Obama s’est dès lors empressé de tourner sa veste et de défaire, tout haut, ce qu’il avait fait, en catimini précédemment. White House valant bien une messe sans doute.
» Le Parti démocrate a décidé de revoir sa plateforme à la hâte en y réintroduisant le nom de Dieu et celui de Jérusalem »
« Detail » par rapports aux enjeux cyclopeens de cette election :si l’obama est pour une Jerusalem Unifiée, pourquoi lui ou la clinton ont ils ouvert leur boite a fromage des qu’Israel rajoutait une pierre dans une maison abrtitant des citoyens Juifs ?
M Millière, je partage votre combat mais est-il raisonnable et productif de réduire les démocrates et leurs représentants à un cortège de marxistes haineux et d’obsédés sexuels ? Si c’était le cas,les électeurs leur tourneraient naturellement le dos etl’Amérique ne serait pas en danger. Il importe de rappeler que les 2 candidats sont au coude à coude dans les sondages. Rien n’est joué et je pense que sous estimer l’adversaire, ne pas défendre nos idées programme contre programme en préférant le mépris et la dérision risque de nous amener à une nouvelle et douloureuse désillusion.
Jean, votre question est pertinente. GM vous fournira sans doute sa réponse circonstanciée. Mais vous devez savoir que ce sont les Démocrates qui jouent les marxistes et que GM ne fait qu’établir un constat. Quant aux électeurs, il n’est pas certain qu’ils tourneraient le dos aux Dems aussi naturellement que vous le prétendez. Tout est question de vente (la juste gauche Justin Grigoux ne peut jamais se tromper), de propagande (vive le confort des allocs) et de chantage intellectuel (racisme anti-obama, la droite est méchante, individualisme=égoïsme, etc.). Et ceci ne diffère en rien de la situation en Europe où les électeurs n’ont toujours pas tourné le dos à ces idioties socialo-marxistes. C’est exactement pour ça qu’il ne faut pas sous-estimer l’adversaire. En effet, il est plus facile de dire aux gens « on s’occupe de tout » sous-entendu « en échange de vos libertés », que de leur dire « il va falloir bosser » sous-entendu « mais le jeu en vaut incroyablement la chandelle ». Le premier agit sur le court terme, le second – sur le moyen et le long terme. Cela peut paraître paradoxal mais la plupart des êtres humains pensent plus souvent à court terme avec le plaisir immédiat, le risque quasi-zéro (sécurité immédiate) et s’apitoyent ainsi sur leur sort de pauvre petit chouchou. C’est un système genre spirale infernale ou cercle vicieux. Obama et sa clique le savent très bien et jouent là-dessus à fond. La manipulation est donc à son comble. C’est quasi-diabolique. Le DNC intellectuellement honnête est actuellement minoritaire. Avec Obama réélu, le processus de destruction des USA et de là d’Israël et de ce qui reste de libertés en Europe est bien engagé. C’est crucial et Obama vous le dit lui-même d’ailleurs: 4 années, c’est insuffisant pour assurer le « changement » de manière irréversible. Obama nous le dit. Ecoutez-le et surtout – surtout – DECODEZ-LE.
Obambi, vous m’effrayez ! Je pensai naïvement que la propagande que vous décrivez ne prend corps qu’en France où les âmes sont perverties par l’Education Nationale. Mais de même que le discours « anti-Obama = raciste » est fragile par sa puérilité, ne pensez-vous pas que le slogan « Obama = Islam + Lénine + débauche » soit un peu léger pour convaincre au-delà des convaincus ? Que dire au chômeur ? A la victime des subprimes qui doit vendre sa maison ? A l’étudiant surendetté ? A l’entrepreneur qui met la clef sous la porte ? A l’ouvrier qui n’a pas les moyens de se soigner les dents ?
N’est-ce pas là que réside l’essentiel du questionnement d’un électorat perplexe et hésitant ? Ne sont-ce pas des réponses concrètes à ces problèmes qu’il importe de diffuser largement, programme contre programme ?
Souligner les échecs d’Obama ne sera efficient que si des mesures alternatives convaincantes sont énoncées. Sinon, il faudra, en novembre, regarder 2016 en se rappelant avec nostalgie les certitudes de victoires que nous avions en septembre.
Des mesures alternatives précises ont été proposées par le parti républicain, et j’y reviendrai. J’en ai parlé lors de la convention républicaine. J’ai décrit ici la convention démocrate telle que vous ne pouvez l’avoir vue à la télévision française. Et ce que je dis est, hélas, exact. La moitié des discours ont été consacrés à l’avortement, quasiment tout le reste jusqu’aux heures de prime time a été consacré à des discours à tonalités marxistes et à des invectives contre les républicains. Dans les heure de prime time, n’ont échappé à la règle que les discours de Michelle Obama, Bill Clinton, Jope Biden et Barack Obama. Et ces discours contenaient de hautes doses de mensonge. Je n’ai pas établi le programme de la convention démocrate. J’ai décrit ce que je voyais, que les médias français en général se sont gardés de décrire.
Que dire au chômeur ? Qu’un retour à la croissance permettra des créations d’emplois. C’est ce que font le républicains. A la victime des subprimes qui doit vendre sa maison ? Que les subprime ont été un piège conçu par les démocrates et qu’il a été victime de ce piège, et qu’un assainissement du marché immobilier accompagné de croissance lui permettra de retrouver un logement conforme à ses moyens et au prix du marché. A l’étudiant surendetté ? Que les études supérieures en contexte de plein emploi permettent de trouver un emploi bien rémunéré. A l’entrepreneur qui met la clef sous la porte ? Que la croissance et la baisse des charges et impôts lui permettra de sauver son entreprise. A l’ouvrier qui n’a pas les moyens de se soigner les dents ? Que la réponse à ses problèmes n’est pas dans un systeme bureaucratique de rationnement des soins. Je n’ai pas le temps de développer. J’y reviendrai. Mais le rôle du gouvernement n’est pas de distribuer aux uns l’argent des autres ou d’exonérer les gens de leurs responsabilités, ou plus exactement, cela, c’est la conception socialiste du gouvernement, qui conduit à la faillite
@Jean: attention de ne pas tomber pas dans le piège d’une certaine facilité. Le message est qu’il faut abolument moins d’interventionnisme étatiste dans l’économie et le social. Obama veut exactement le contraire. On a vu le résultat en Europe. Ce n’est pas à l’état de sauver la société. Il est incompétent pour ça et agrandir le nombre de contrôle et de fonctionnaires ne sert absolument à rien, sinon à alourdir la facture et la fracture. Quant aux subprimes, celles-ci ont été initiées sous l’administration de Bill Clinton sur une idée géniale de Barney Frank notamment. L’Administration Bush a ensuite averti très régulièrement le Congrès sur les dangers des subprimes. Rien n’y a fait. Par ailleurs, ce que vous soulignez sur les soins de santé et le surendettement est bien plus grave en Europe. J’ai travaillé avec beaucoup d’Américains et dans des contextes différents. Leurs dents étaient impéccables, ce qui n’était pas le cas de leurs homologues européens, ce qui est impardonnable et injustifiable dans un système aussi merveilleux que la sécurité sociale européenne (belge, française, allemande, etc.), vous ne croyez pas? Mitt Romney et surtout Paul Ryan ne font pas que dénoncer les échecs cuisants d’Obama. Ils ont des propositions très concrètes afin de résorber la crise, l
la dette publique, le « surétatisme », etc. La relance passe tout d’abord par la réforme fiscale pour les entreprises et les ménages, histoire de relancer la compétitivité, la consommation et surtout la confiance. Les entreprises ne font pas du tout confiance en Obama. D’où le chômage élevé aux USA. Qui veut investir dans un système confiscatoire? Plus personne. C’est aussi le problème de l’Europe. Ensuite, la privatisation des assurances sociales et du système des retraites permettrait d’éviter de grever les entreprises et de mettre à mal leur compétitivité. Cela permettrait aussi aux individus de reprendre en main leur destin et leur argent. Je pense que l’individu est plus compétent pour gérer son argent et sa vie qu’un petit fonctionnaire tâtillon, qu’un syndicat nombriliste ou qu’un politicard idéologue. Au lieu de procéder par répartition pour les retraites, on procéderait par capitalisation et des comptes individuels. Pour les soins de santé, on copierait ce qui se fait pour l’assurance-auto qui, elle, ne relève pas du secteur public et ça se passe très bien (concurrence, choix des produits, etc.).
Le système européen ne fonctionne plus. Pourquoi le système Obama (Obamacare, Stimulus, etc.) devrait-il fonctionner? On nous parle de médecine à deux vitesses et de toutes sortes d’inégalités plus ou moins réelles. Si le système européen actuel est si bien, comment se fait-il que l’état, devenu exsangue par son système Ponzi, recommande les assurances complémentaires? Comment se fait-il que près de 20.000 personnes ont perdu la vie en France à cause de la canicule de 2003? Enfin, on ne crée pas de l’emploi. On recrute du personnel compétent lorsque cela en vaut la peine et que cela rapporte. C’est pour ça que l’entreprenariat est aussi une issue pour ceux qui ne trouve pas d’emploi. Laissez-les gagner au lieu de les « protéger » dans le « fascistanat » (assistanat obligatoire). Comme le dit Janet Daley, financer la social-démocratie avec le capitalisme, c’est terminé. Que vous le vouliez ou non. Ce débat qui est le vrai débat doit avoir lieu en Europe également et la liberté de choisir doit être restaurée. J’y vois une chance énorme d’éviter le déclin jusqu’au point de non-retour, qui à certains égards est peut-être déjà atteint en Europe. Je ne peux tout expliquer dans ce post. Prenez le programme de Romney et « décomplexez »-vous un peu.
Obambi et M Millière, je préfère entendre ce discours et cet argumentaire. Je pense que l’élection se gagnera sur la pertinence des propositions économiques plus que sur des slogans du type tea party (Obama = Lenine; Obama= Hitler; Obama = Satan). Si les discours de la convention démocrate ne sont qu’arguties marxistes et vociférations pro avortement, alors inutile de militer: le peuple américain n’est pas stupide et éconduira Obama. Je crains que cela soit plus complexe et qu’il ne soit pas si aisé de convaincre du bien fondé de la politique proposée par les républicains.Ne nous laissons pas endormir par un vent d’optimisme béât et ne prenons pas nos adversaires de haut. Si Obama ne s’effondre pas dans les sondages, c’est que son argumentaire prend encore. C’est lors des débats que cela se jouera et il faudra travailler dur pour diffuser (y compris en Europe) le discours de Romney. J’attends de M Millière une analyse plus fine des interventions des démocrates afin d’en prendre un contre-pied efficace.
En même temps, peut-être que je me trompe, que les militants démocrates ne sont que d’hystériques marxistes, des islamistes violents, des libertins incurables et que cela transparait d’évidence dans leurs discours en prime time. Auquel cas, tout est joué. Contentons nous de mettre le champagne au frais !
Les démocrates que je connais ne sont ni « d’hystériques marxistes, des islamistes violents, des libertins incurables ». En revanche ils sont sans le moindre doute assez sourds et assez aveugles – pas complètement certes. Surtout, ils sont totalement psycho-rigides au mot républicain, ce qui ne plaide pas en leur faveur.
Ah ! La propagande officielle de francekipu, cette France antifrançaise et anti occidentale, qui collabore avec les déchets nazislamistes et tous leurs complices dans le monde, donc la propagande ne tarissait pas d’éloges sur cette convention.
On sentait la ferveur dans les voeux de réélection du semi-déchet, dans les gloussements des propagandistes. Ils n’étaient pas sur place, mais ils communiaient. Ah s’ils pouvaient apporter à leur idole, le soutien de ceux qui les écoutent…
Pour une fois que les USA ont un président que les déchets du monde entier adorent, les Américains menacent de ne pas le réélire. Le monde est mal fait quand même.
Bref, en Europe et en France, si nous voulons survivre, nous devons commencer par mettre les propagandistes hors d’état de nuire, par tous les moyens. Il n’y a plus d’autre solution.
Messieurs
Simple question de candide.
Quelqu’un peut-il me dire qu’est ce qui se passera si Obama est assassiné durant sa campagne électorale (question fort plausible les américains nous ont habitués à cela)
Mitt Romney serait il en très bonne position par rapport à un rival non connu à ce jour, le vice président par exemple.
Ou bien tout est balayé et on recommence tout à zéro.
Ou bien suite de cela les démocrates remporteront les élections haut la main
Je suis agréablement surpris par le traitement par la presse française du discours d’Obama la nuit dernière. On ne sent aucun enthousiasme dans les articles en question, voire même un certain doute.
Les propagandistes gauchistes semblent intégrer la possibilité d’une défaite de leur idole …
Nous sommes loins des envolées lyriques de 2008.
@GM: afin de faire pleinement honneur à votre texte, j’en avais oublié le titre éloquent de votre article. Celui-ci rappelle en effet le titre d’un grand livre anti-gauche/anti-cons de feu Jean-François Revel: « La Grande Parade ». C’était très bien vu. Et JFR nous manque beaucoup.
Cette convention a ete splendide.Qui avons vus?Le vrai visage du parti,le meurtrier et menteur Ted Kennedy,l’homme de Chappaquidick.L’homme non seulement venere par le parti,mais aussi son idol,la fameuse « conscience du Senat » enfin d’apres eux.Quelle concience!
Nous avons aussi vu le menteur perjureur et deserteur Bill Clinton,celui qui nous a donne les subprimes,celui qui adore JFK,mais pas au point d’aller au Vietnam!
Nous,ecore une entendu parler de mere d’Obama et de sa mort,sur ce chapitre il y a pas de versions.BGon Obama etant un menteur pathologique,ce n’est pas surprenant!Cela doit faire rire dans les chancelleries.
Nous avons assistes aussi a un tres bel example de Democratie En « live ».Le vote sur Dieu et Jerusalem.La majorite a vote contre,mais ce vote fut annule.Les vieux reflexes sont toujours la.Belle lecon et belle exemple.
Bon nous avons bien rit et j’espere et souhaite qu’Obama soit reelu,la c’est l’hilarite assurree pour les 4 prochaines annees!
Exusez-moi mais moi quelqu’un qui ne pense qu’a rire quand l’enjeu c’est entre autres de recavoir une bombe atomique sur la g… je trouve ça de la derniere imbécilité.
Moi ci les gens sont imbeciles je ne peux rien y faire.Il n’y a aucune cure ou remede contre l’imbecilite.Les enjeux,je les connais tres bien, a mon niveau je fais ce que je peux.Je ris quand j’entend une de mes niece qui se plaint qu’elle doit payer son mortgage alors que sa maison a Chino Hills ne vaut rien!Pourtant,j’avais prevenu et pas que sur ce chapitre!
Que votre nièce la rende à la banque et qu’elle loue, elle dépensera moins.
La estle probleme tout est perdu.Je parlais de ma niece et ce n’est pas la seule car comme toujours ce sont les gogos et les cocus de l’histoire qui se plaignent.Dans ces cas la je sort ma longue liste et donne les noms des champions de la compassion,des pauvres etc etc… avec l’avis suivant,allez frappper a leur porte.
Un peu de bonheur et d’espoir, un exemple à suivre… en Europe, en France ?
http://www.europe-israel.org/2012/09/video-israel-parade-2012-a-new-york/
voila 1beau cadeau pour Mr Milliere et Mr Grumberg,
a lire et peut-etre traduire car trop long sur clinton.
http://www.businessinsider.com/how-bill-clintons-balanced-budget-destroyed-the-economy-2012-9?fb_action_ids=4202023781365&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%7B%224202023781365%22%3A341891529237310%7D&action_type_map=%7B%224202023781365%22%3A%22og.recommends%22%7D&action_ref_map=%5B%5D
Romney contre Obama vis-à-vis d’Israël
par Daniel Pipes
National Review Online
5 septembre 2012
http://fr.danielpipes.org/11931/romney-obama-israel
> Jeudi 6 septembre 2012 à 12:16
Ruby Rivlin ne croit pas à la sincérité d’Obama sur la formule « Jérusalem, capitale d’Israël »
Le président de la Knesset Reuven (Ruby) Rivlin a accusé jeudi le président américain Barack Obama de n’avoir rétabli la référence à Jérusalem, comme « capitale d’Israël », dans le programme de son Parti démocrate que « pour des raisons politiques et électorales ». « L’absence initiale de cette mention dans le programme des Démocrates n’était le fruit ni d’une erreur ni d’une omission, et il ne fait pas de doute que le président Obama l’a réinsérée pour des raisons politiques et électorales », a-t-il déclaré.
Le titre aurait du etre « la parade des Monstres »
C’est fou ce qu’un homme politique est capable de mentir en période électorale !! Aux asperges Obama….
> Vendredi 7 septembre 2012 à 14:52
Convention démocrate : Obama réitère l’engagement US inébranlable à la sécurité d’Israël
Le président américain Barack Obama a évoqué Israël et le dossier iranien devant la convention démocrate en Caroline du Nord. »Il faut torpiller les tentatives d’attentats terroristes. La crise européenne doit s’arrêter. Notre engagement à la sécurité d’Israël est inébranlable, de même que notre recherche de la paix », a-t-il affirmé. »Le gouvernement iranien doit faire face à une communauté internationale unanimement opposée à ses ambitions nucléaires. Le changement historique qui balaie le monde arabe doit être défini, non par la main de fer d’un dictateur ou de radicaux haineux, mais par des espoirs et des ambitions de gens normaux qui
aspirent aux mêmes droits que ceux que nous fêtons aujourd’hui », a-t-il ajouté.
@GM, Jean: The Daily Caller rapporte que Joe Biden et les deux Obamass ont menti à la Convention de Charlotte sur les soins de santé. L’auteur donne quelques beaux petits exemples:
http://dailycaller.com/2012/09/07/biden-obamas-tell-health-care-tall-tales-at-charlotte-convention/
1) La vérité sort de la bouche de Bill. Il enlaçait Monica Lewinsky, et ensuite asséna sous serment : « I have NEVER met that woman » !
2) L’élection d’Obama avait-elle calmé les ravages de l’antiaméricanisme viscéral ?
Absolument pas. La haine de l’Amérique est l’oxygène des médias.
3) Les « indignés » : ils détestent tout le monde…
À commencer par eux-mêmes.
4) Sandra Fuck : pourquoi s’arrêter en chemin ? Les vibromasseurs devraient aussi être remboursés.
5) Petite précision. « Succédé » reste toujours invariable. Exemple : Plusieurs dynasties se sont succédé.
Non. Revoyez votre grammaire. Les règles sont différentes pour être at avoir et dans le cas de être il ya a toujours accord. Plusieurs dynasties ses sont succédéES
Quand à Bill il n’a jamais dit ça. Il a dit « I never had sex with that woman » en quoi il jouait sur les mots en ne comptant pas les « petites gateries » comme relations sexuelles
Vous avez tout bon, bien entendu.
JFM, vous vous trompez. Cette règle n’a rien à voir avec les auxiliaires mais les verbes pronominaux. Une rapide recherche sur internet vous permettra de le constater.
On dit « se sont succédé » quoi qu’il arrive.
Non.
Si.
Cherchez par vous-même en tapant « conjugaison se succéder passé composé ». Il est vrai que c’est une erreur fréquente, y compris chez les gens qui n’ont pas de problème d’orthographe.
Le passé composé de succder c’est « ont succédé » et il est solumis aux règles géralaes de « avoir ». Ici nous ne sommes pas en présence d’un paqqé composé mais d’une forme réflexive. Avec être, soumises aux règles du verbe être.
Le verbe utilisé n’est pas « succéder » mais « se succéder ».
C’est un verbe pronominal qui n’est par conséquent pas soumis aux règles classiques d’accords avec les auxiliaires au passé composé.
On écrit « plusieurs dynasties se sont succédé. » Encore une fois, une recherche sur Google contenant « conjugaison se succéder » vous permettra de le vérifier en trois secondes.
Non. On écrit : Plusieurs générations se sont succédéees, et
la pluie a succédé au soleil.
Cew n’est pas si difficile que cela, qu’est-ce qu;on leur apprend à l’école, maintenant !
Comme vous êtes manifestement très xxxx, ignorant du sujet que vous abordez et rétif à toute forme de contradiction, je vais vous mettre quelques liens prouvant ce que j’avance (puisque manifestement, vous n’avez pas été capable de taper les notions « conjugaison se succéder passé composé » sur un moteur de recherche).
http://la-conjugaison.nouvelobs.com/du/verbe/se_succeder.php
http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-19880.php
Ce dernier lien contient d’ailleurs en milieu de page la règle qui explique pourquoi le verbe « se succéder » est invariable en toute circonstance.
On écrit « plusieurs générations se sont succédé ».
Si on vous a appris le contraire à l’école (ce qui m’étonnerait beaucoup), allez trouver vos professeurs et dites-leur qu’ils ont mal fait leur travail.