J’ai regardé une deuxième fois le débat Ryan-Biden. La modératrice m’est apparue plus encore comme outrepassant son rôle. Questions biaisées posées à Ryan. Interruptions péremptoires de Ryan au moment où il commençait à exposer les détails d’une proposition. Aucun rappel à l’ordre adressé à Joe Biden, même au cours de ses pires débordements.
Accepter qu’un débat soit « modéré » par une militante démocrate, épouse du directeur de la Commission Fédérale de la Communisation nommé par Obama (car Martha Raddatz est une militante démocrate, et a pour mari Julius Genachowski, directeur de la FCC), est une erreur majeure que les Républicains ne devraient pas avoir commise. Craignent-ils d’être considérés plus négativement encore par les journalistes des grands médias ? Peut-être.
Paul Ryan, comme je l’ai écrit, connaissait ses dossiers et il est apparu digne, scrupuleux.
Il ne s’est pas fait déstabiliser par l’histrion qui était à côté de lui, ce qui est très bien. Mais il n’a jamais réfuté les affirmations ineptes de Biden, alors que celles-ci étaient innombrables. Peut-être ne l’a-t-il pas fait pour éviter quoi que ce soit qui puisse ressembler à un pugilat. Il n’empêche : le dossier Benghazi est accablant pour l’administration Obama, et il y avait là la possibilité de clouer Biden sur place.
Joe Biden, en soi, s’est montré tel qu’il est, lorsqu’il ne commet pas des bourdes énormes : hâbleur, démagogue, outrancier. On peut même dire qu’il s’est surpassé en accentuant les traits les plus sombres de son caractère et de son comportement.
On peut aller jusqu’à dire qu’il a adopté un comportement inqualifiable et dégradant pour la fonction qu’il occupe. Non seulement il a été irrespectueux vis-à-vis de Paul Ryan et n’a cessé de montrer qu’il le prenait pour un crétin méprisable, mais il l’a fait d’une manière grandiloquente qui, à certains moments, l’a fait ressembler au personnages du Joker incarné par Jack Nicholson dans le Batman de Tim Burton.
Ce comportement, comme l’ensemble du débat, a plu à la base démocrate, montrent les sondages qui, par ailleurs, donnent dans l’ensemble Ryan légèrement gagnant.
Ce quoi compte dès lors n’est pas l’effet que le débat aura sur l’électorat, mais le comportement lui-même.
Joe Biden n’a eu aucun mal à se transformer en Joker tout seul, mais je pense qu’il y a été incité. Et je pense que la campagne électorale américaine est entrée dans une nouvelle phase.
Il s’agit plus que jamais de la part du camp Obama de mener une campagne de démolition de l’adversaire, qui repose non pas sur la réfutation des arguments de celui-ci, mais sur la tentative de le traîner personnellement dans la fange ou de le montrer comme un être méprisable et haïssable.
Il s’agit de faire semblant de jouer encore selon les règles du jeu démocratique, tout en en sortant et en s’en éloignant pour glisser vers un fonctionnement de type totalitaire où l’appel à l’instinct remplace la logique et la rationalité et où l’instinct auquel on fait appel est une forme d’instinct de mort. Il s’agit d’inciter à la curée.
Le mot le plus souvent employé pour désigner Ryan et Romney depuis une semaine, tant par Obama et Biden que par leurs agents est « menteur ».
Dès lors que le programme et les propositions de Ryan et Romney sont désignées comme un ensemble de mensonges, il n’est plus besoin de les réfuter. On peut les jeter avec une moue de dédain ou un ricanement. Et si Ryan et Romney répondent que ce sont les gens du camp Obama qui mentent, une forme de tournoiement peut résulter dont la victime est globalement la vérité.
Dès lors que celui à qui on a fait face n’est plus un adversaire politique, mais un menteur, il n’est plus nécessaire de présenter son propre programme ou d’évoquer son propre bilan : ceux à qui on s’adresse ne peuvent décemment pas confier le pays à des gens décrits comme vils et abjects.
Comme l’ont écrit Daniel Henninger dans le Wall Street Journal (« Obama and the L-Word », online.wsj.com) et Caroline Glick sur son blog (« Biden, Obama and the politics of personal destruction » carolineglick.com), cette façon de faire a été employée dans les années 1930 par Mussolini, Hitler, Goebbels. Elle ‘est aujourd’hui par des hommes tels qu’Hugo Chavez.
La campagne électorale américaine a été sale et sordide jusqu’à présent, en raison des choix de campagne adoptés par le camp Obama. Elle va sans doute devenir bien plus sale et bien plus sordide encore au cours des trois semaines qui restent.
Que la gauche américaine ait trouvé que Joe Biden a été un bon contradicteur dans le débat de jeudi dernier est inquiétant et montre que c’est une gauche qui dérive réellement vers l’extrémisme. Que nombre de journalistes des grands médias américains aient considéré le comportement de Joe Biden et celui de Martha Raddatz acceptables montre que les grands médias américains ne sont plus vraiment des organes d’infirmation. Que les grands médias français n’aient pas fait mieux n’est, hélas, pas surprenant, et je le dis : j’aimerais qu’ils me surprennent.
Qu’en ce contexte la gauche américaine et les grands médias américains ou français osent qualifier Ryan et Romney d’extrémistes ou de gens qui changent de position de manière opportuniste montre que ces gens vivent dans leur monde idéologique et perdent contact avec la réalité. Et, dois-je le dire, les gens qui vivent dans leur monde idéologique et perdent contact avec la réalité sont dangereux. C’est avec des gens de ce genre qu’on définissait le bilan de l’Union Soviétique comme globalement positif sous Brejnev, qu’on rejoignait les chemises brunes sous Hitler ou qu’on rejoint les chemises vertes anti-israéliennes aujourd’hui.
C’est avec des gens de ce genre qu’on fait des mouvements tels qu’Occupy Wall Street.
Obama a dit récemment que dans le premier débat qui l’a opposé à Mitt Romney, il a été trop « poli » : il fallait oser, mais ce type ose tout. Obama n’a pas été poli : il a débuté des fragments de discours de propagande appris par cœur et a ignoré totalement ce que lui disait un homme qu’il a reconnu mépriser et détester. Il a semblé dominé et anéanti : la réalité est qu’il entendait faire comme si Romney était un non être. Mardi prochain, Obama va se comporter autrement s’il en a l’opportunité. Pas comme Joe Biden, mais d’une manière qui s’en approchera sans doute.
Romney doit se préparer à être traité de menteur et à recevoir au visage des bordées d’insultes dissimulées sous des falsifications, des accusations infondées, des procès d’intention perfides, des propos viciés destinés à le présenter sous le jour où il a été dépeint dans les pires clips de propagande du camp Obama. Comment ? Disons : un homme en guerre contre les femmes, un fanatique religieux, un fraudeur, un assassin, l’un des responsables du krach de Wall Street, un homme qui veut faire mourir les pauvres et les personnes du troisième âge.
Le camp Obama pensait la victoire à portée de main. Elle est en train de perdre pied et de sombrer, et si l’élection avait lieu aujourd’hui, Obama serait sans doute battu. C’est un retournement de situation que le camp Obama ne peut admettre.
Le camp Obama ne sombrera pas sans essayer tous les mauvais coups imaginables. Ils feront feu de tout bois.
Cela ne signifie pas qu’ils ne feront pas d’erreurs. Les clips de campagne de cette semaine utilisant le gros oiseau de Sesame Street étaient ridicules. Le sourire de Joker, les roulements d’yeux exorbités et les gesticulations de maffioso excédé de Joe Biden étaient effarants. Les propos de matamore façon Duce tenus par Obama étaient navrants. Mais ces gens partent du principe qu’il leur suffit de rameuter quelques milliers de gens qu’ils auront traités comme des imbéciles et qu’ils pourront ainsi gagner.
Le camp Obama peut aussi se trouver confronté aux suite de l’affaire de Benghazi. J’ai parlé ici de Benghazigate, et j’ai dit que c’était plus grave que le Watergate. Les auditions de la Commission d’enquête au Congrès ont commencé. J’y reviendrai très vite.
Reproduction autorisée, avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info
PS. J’écris beaucoup sur l’élection américaine, je sais : c’est tout simplement, en ce moment, l’événement le plus important du monde, et c’est infiniment plus que l’avenir des Etats-Unis qui se joue. Je l’ai déjà dit. Je pense utile de le redire.
Bravo GUY continuez à nous informer sur le sinistre islamiste obamerde
lol
« Il s’agit plus que jamais de la part du camp Obama de mener une campagne de démolition de l’adversaire, qui repose non pas sur la réfutation des arguments de celui-ci, mais sur la tentative de le traîner personnellement dans la fange ou de le montrer comme un être méprisable et haïssable. »
Tout à fait exacte, ils feront TOUT ce qui est en leur pouvoir, les plus basses besognes comprises, pour gagner.
Bien sur qu’il feront tout!Ils viennent de Chicago!
Vous savez encore mieux que moi que les campagnes aux USA sont assez dures. Ce n’est donc pas surprenant. Envie ou pas , il faudra compter avec la réalité économique et là , c’est loin d’etre gagné pour Obama. Ce débat me fait un peu penser à l’émission télévisée à laquelle vous aviez participé.
Ls campagnes électorales américaines peuvent être rudes. Celle-ci a atteint, de la part d’Obama, un degré de bassesse sans précédents. Le comportement de Biden jeudi dernier n’a eu d’équivalent dans aucun débat entre candidats à la présidence ou à la vice-présidence.
Je ne sais pas si c’est loin de gagner pour Obama,mais il fait tout pour que les chances soient de son cote,pas besoin d’identification pour voter et le vote des militaires ne va pas compte.Bon nous allons voir combien de lobotimiss vont votes pour le menteur pathologique!
Monsieur Millière, vous savez bien que la gôche mène inévitablement au totalitarisme.
Observez bien la France : ne sommes nous pas dans une dictature qui ne dit pas son nom ??…
Mais il y a peut être plus grave encore. C’est que ceux dont le devoir sacré est de rechercher et de dire la Vérité, de défendre l’intérêt général, soient devenus de dangereux propagandistes.Je veux nommer les MERDIAS naturellement !
Et ces MERDIAS n’ont pas de CONTRE POUVOIR…………..
ré information sur http://www.polemia.com et http://ripostelaique.com
« J’écris beaucoup sur l’élection américaine, je sais … »
Surtout Mr Millière, ne vous en excusez pas ! Nous sommes je ne sais combien de milliers à prendre conscience de l’importance majeure de cet évènement planétaire !
Vos analyses sont si justes que nous sommes vraiment étonnées qu’elle ne fassent pas intégralement partie de la campagne républicaine pas ici en France car quels améric, mais aux US !
… Vos analyses sont si justes que nous sommes vraiment étonnées qu’elles ne fassent pas intégralement partie de la campagne républicaine pas ici en France car quels américains vous lisent en français, mais au cœur des US !
« Le camp Obama peut aussi se trouver confronté aux suite de l’affaire de Benghazi. J’ai parlé ici de Benghazigate, et j’ai dit que c’était plus grave que le Watergate. »
La culture du politiquement correct a enfermé les services de renseignement U.S. dans un carcan. Selon certaines informations révélées ces derniers jours par un ancien analyste de la CIA, (source: Act for America) le Département d’Etat avait refusé de sécuriser davantage le consulat américain et ce, en dépit des menaces et incidents précédents, dont deux explosions à la bombe devant le consulat.
Ce qui est d’autant plus inquiétant et grave, car Obama, aussi bien qu’Hilary Clinton, étaient au courant des menaces contre le consulat américain.
Malgré les rapports des services de renseignement prouvant qu’Obama et Clinton avaient été prévenus endéans les 24 heures de l’attaque terroriste contre le consulat à Benghazi, les deux rejetèrent la responsabilité de cet attentat sur la diffusion de la vidéo offensante « l’innocence des musulmans » et continuent aujourd’hui à défendre ce mensonge.
Plus les langues se délient, plus il apparaît que l’administration Obama s’obstine, malgré les évidences, à nier l’existence de menaces terroristes, proférées par les islamistes, à croire que cette administration souffre du syndrome du « déni du jihad ».
Dans le cas de l’attaque du consulat à Benghazi, ce syndrome s’est malheureusement avéré mortel pour les quatre membres de l’Ambassade, mais cela ne semble pas ouvrir les yeux des responsables. Combien de « massacres de Fort Wood » combien d’attaques d’ambassades U.S. avant que l’Administration Obama ne reconnaisse que le jihad guerrier contre les U.S.A. est effectivement opérationnel ?
Tendre la main aux islamistes n’a pas empêché et n’empêchera pas les attentats terroristes ! Déclarer que jamais l’Amérique ne fera la guerre à l’islam n’évitera pas la haine des islamistes envers le « Grand Satan » et proclamer lors d’un discours devant l’ONU : «L’avenir ne doit pas appartenir à ceux qui diffament le prophète de l’islam » n’apaisera pas la colère des hordes islamistes à l’égard de nos démocraties occidentales.
Si Obama devait être réélu, le radicalisme musulman poursuivra son essor, non seulement aux U.S.A., mais également en Occident et nos démocraties seront gravement menacées, car sous la pression de l’OCI et celle de la bienpensance, adepte de la politique d’apaisement, dont Obama est un fidèle serviteur, la liberté d’expression sera de plus en plus bâillonnée. Nous assistons déjà à une dérive de notre système juridique, étrangement enclin à la clémence envers les prédicateurs de haine, les avocats de l’application de la charia, mais prompt à condamner sévèrement les islamophobes, car apparemment, la critique d’une idéologie constitue un délit plus grave que l’appel à tuer les ennemis de l’islam.
L’angélisme diplomatique ou sincère d’Obama, face aux dérives de l’islam, lui fait occulter le danger que l’islam radical fait peser sur les droits de l’homme, la liberté, la démocratie. Le fait de sous-estimer les conséquences des « printemps arabes » et le danger du jihad radical pour l’Amérique le rend complice, par négligence volontaire ou non, des islamistes terroristes radicaux et de la mise en danger de la vie des citoyens américains à l’intérieur et à l’extérieur des U.S.A. par ces fous d’allah.
Oui,si Obama devait être réélu, ce serait un désastre pour le monde libre, dès lors, ces élections américaines doivent tous nous concerner. Merci à Guy Millière de nous le rappeler.
Ils savaient depuis le debut!Ce qu’il y a de plus sinistre dans cette affaire c’est l’empressement a vouloir reudier le droit de parler librement.Ils savaient sciemment que ce n’etait pas la video mais continuaient de mentir.Ils ne l’on pas pleurer longtemps le diplomate disparu.Un diplomate qui se fait sodomiser,c’est une premiere et tout cela grace a Obama et aux cretins qui l’on elu!Du jamais vu,cela va rester dans les annales!
Monsieut Millière,
Du fait que vous dominez parfaitement les enjeux de cette campagne je vais vous posez deux questions assez embarrassantes .
Ma première question est par delà ces débats et des personnages en question croyez vous vraiment que Mitt Romney soit le candidat par excellence pour redresser l’Amérique.
Qu’est ce qui vous fait dire qu’il y réussira ?
Le simple fait qu’il a été un grand chef-d’entreprise ne justifie en rien qu’il y parviendra.
Ma deuxième question est:
Sommes nous les spectateurs d’une gue-guerre entre protagonistes pour la course à la présidence excluant au final des résultats probants.
L’objectif étant avant tout de faire tomber Obama (car on l’a assez vu) peu importe si le prochain président sera vraiment à la hauteur pour diriger ce pays.
Et dans ce cas précis ce qu’aujourd’hui est la critique de l’actuel président sera demain la critique du futur président.
Vos questions sont pertinentes. Je pense que Mitt Romney a les qualités requises pour redresser les Etats-Unis. Romney connait l’économie, sait gérer et sait décider. Ryan sera près du bureau ovale et est un excellent économiste. En politique étrangère, Romney a une vision lucide des enjeux, et d’excellents conseillers, entre autres Dan Senor, Walid Phares, John Bolton.
Par ailleurs, je pense que Romney, s’il est élu, demandera à être jugé sur ses résultats et prendra ss responsabilités.
Obama n’est qu’un pantin ceux qui tirent les ficelles ce sont Soros,Axelrod,Jarrett et le reste de la clique.
Obama a montre son vrai visage lors du debat avec Romney. Il etait seul en face de lui-meme sans conseillers, sans secretaire, sans Michelle sa tendre epouse pour lui souffler ses reponses, son comportement, ses jacasseries, ses plaisanteries. Il a fait montre d’une totale incompetence, sans energie presque meme en dedaignant son adversaire. Celui qui est venu il y a quatre ans de nulle part au plan politique, repartira dans son neant sans politique en laissant derriere lui un pays a rebatir completement aussi bien au plan interieur qu’a l’etranger. En tout cas j’espere qu’il ira ou il voudra pour s’occuper de l’inceste des colombes au Pole Nord. La est sa place…
« Ma première question est par delà ces débats et des personnages en question croyez vous vraiment que Mitt Romney soit le candidat par excellence pour redresser l’Amérique.
Qu’est ce qui vous fait dire qu’il y réussira ? »
Reponse :
1. N’importe quel candidat republican est un candidat par excellence en comparaison to Obama… sur ce sujet je vous conseil de faire vos devoir.
2. Il reussira puisqu’il n’est pas Obama, et il n’as rien avoir avec sa personalite, son ideal et son plan destructeur…il reussira puisque c’est la raison meme de sa candidature…sur ce sujet encore je vous demande de faire vos devoir pour ne plus place des movaise questions.
The Forgotten Man and Obamanation: Jon McNaughton
A painting is worth a thousand words.
http://www.silverbearcafe.com/private/09.10/forgottenman.html
O.
Ce que je retire de cet article avec joie est le fait que contrairement a vos predictions initiales, vous voyez maintenant hussein comme pouvant etre battu.
Peut etre nos prieres ont elles aide, mais j’ai plus confiance au peuple americain. Ils sauront choisir.
Et si non, alors que Dieu nous vienne en aide parceque nous vivrons des temps terriblenent dangereux.
« J’écris beaucoup sur l’élection américaine, je sais : c’est tout simplement, en ce moment, l’événement le plus important du monde, et c’est infiniment plus que l’avenir des Etats-Unis qui se joue. Je l’ai déjà dit. Je pense utile de le redire. »
Continuez !
ca me rappelle Obama /Alan Keys
la meme salade detruire l`adversaire
sans avoir de programe, la strategie axelrod
L’ecole de Chicago ville d’Al Capone!
Hier soir l’émission, on n’est pas couché, accueillait le secrétaire national de l’UMP, Geoffroy Didier, qui à un moment de son intervention a abordé le problème de la disparité entre les journalistes gauche/droite, notamment ceux de droite réduit à une ou deux personnes face à une armada de journalistes gauchistes présents sur les plateaux de TV lors de débats, face à cette affirmation , Geoffroy Didier a été raillé voir presque traité de menteur, comme vous voyez Mr Milliere vous n’aviez aucune chance de vous affirmez véritablement face à vos contradicteurs lors de votre dernier passage chez TADDEI.
L’heure de vérité approche.
Suspense…
Nous avons besoin de vos analyses pour y voir plus clair.
Les « grands » médias, c’est la cécité absolue !
Merci.
Je crois aussi que les révélations récentes de la journaliste Lara Logan sont révélatrices sur la politique mené par Obama en Afghanistan
http://www.cbsnews.com/8301-18560_162-57522727/insider-attacks-kill-u.s-troops-in-afghanistan/?tag=contentMain;cbsCarousel
sans parler de la Mosquée qui se construit au Ground Zero. Incroyable !
http://www.bakchich.info/international/2012/06/12/ground-zero-une-mosquee-bien-armee-61437
Surtout oui M.MILLIERE, continuez à nous informer.Merci
De toute façon combien de Chrétien savent que le Dieu de la Bible et le dieu du coran sont totalement opposés? Trés peu. Et donc ils se font manipuler.
Question naive: si Romney est élu, est-ce qu’il aura le droit de demander l’ouverture des dossiers Obama (acte de naissance, dossier universitaire, voyages, etc…) ?
Thank’s Patrick, j’aurais aime pose la meme question suivi d’une autre :
En cas de defaite de BHO, et sans mise en examen a son egard pour plusieurs dossier hot en attente ( original certif naissance, sylandra, fast and fourious, fuite des infos sur la securite interne des USA, atac terrorist premedite au consulat american in Libya avec la mise a mort atroce de 4 US…etc) pour l’instant, esqu’il y a un risque ou posibilite qu’il se represente en 2016 ?…
Good hope noooo !!!
Merci d’avance de nous repondre cher Guy.
Si obama est battu, Certains dossiers suivront leur cours, car ils sont entre les mains de la justice ou d une commission d enquete, d autres disparaitront. Un nouveau president, en general, pardonne son predecesseur. Si obama est battu, il ne pourra pas se representer.
Si romney est elu, il ne demandera l ouverture d aucun dossier. La tradition americaine est de tourner la page.
Vous savez les amis, on dirait bien qu’il n’y a que quelques milliers d’individus qui croient que nous sommes déjà en guerre. Il en reste beaucoup a convaincre car nous sommes véritablement en guerre et soyons honnête, c’est une guerre de civilisation mais les politiques ne veulent pas l’admettre car ils savent ce que cela veut dire et pas question d’ameuter les populations occidentales, les lucides comme nous, nous le savons. L’élection US et le prochain Président qui sera élu sera capitale pour le monde entier et je sens que se sera la guerre contre qui vous savez ou la capitulation d’un mode de vie, le nôtre. Finis la LIBERTÉ, finis le libre choix de dire et de penser, l’esclavage est a nos portes, nos démocraties occidentale sont en danger de mort, ou nous nous rendons ou nous serons appelés a combattre le monde des ténèbres, l’islamiste en l’occurrence. Nous en sommes malheureusement là et on a rien fait. Obama est en grande partie responsable devant l’histoire de ses dernières années de pouvoir, il a laissé l’Amérique se décomposer. S,il est reporté au pouvoir c’est la fin.
Rien n’est jouer. Les élections américaines ont ce ceci de très spécial. C’est en fait 51 élections. (50 états + DC)
Au final, c’est le collège électoral qui élit le Président. En date du 13 octobre, selon les derniers sondages disponibles, le Président sortant Obama recueille une nette majorité des voix. Il ne faut pas se fier sur les intentions de vote au national comme en France. À moins d’une faute majeure du ticket 0bama-Biden durant ces 3 prochaines semaines de campagne, il semble bien que « game si over » ! En revanche, Mitt Romney m’aura surpris par sa ténacité, son courage et sa verve, je suis certain qu’ il sera élu Président des États-Unis dans 4 ans. D’ici là, Barack Obama continuera ses politiques, on peut ne pas les apprécier ou les soutenir, mais il ne l’a pas eu facile durant ces 4 dernières années, une situation économique mondiale désastreuse où, pour le meilleur et pour le pire, il a sû tenir le cap . . . malgré tout. John McCain n’aurait pas fait mieux dans les mêmes circonstances. Pour ce qui est de l’international, c’est un enjeu secondaire pour la majorité des américains, ce qui se confirmera bien par des sondages stables suivant le prochain débat du 16 octobre.
je repose la question: est-ce que des analyses telles que les vôtres sont entendues aux E.U. ?dans quelles proportions?
La chaine d information la plus regardee aux etats unis est fox news, qui donne des analyses telles que les miennes, dix millions de telespectateurs en moyenne. Sinon, il existe des magazines en ligne avec version papier, moins lue que les sites, nationalreview, pjmedia, weeklystandard, frontpage magazine, spectator, townhall. On est loin de la situation francaise.
Voir les sondages du collège électoral sur ce lien: http://www.realclearpolitics.com/elections/
Par nature et par définition , la gauche parait démocratique lorsqu’elle est dans l’opposition , mais devient totalitaire au pouvoir pour le garder.Merci G. Millière de nous tenir informé.
Oui, c’est sûr, Obama ne reculera devant rien pour sa réélection. C’est de la graine de dictateur. Ceci dit, il n’est pas certain que les Américains « marcheront » tous dans la combine. Mais c’est vrai aussi que le risque existe et que ce soit suffisant pour faire la différence.
Si d’aventure Obama passe quand même la messe ne sera pas dite pour autant. Le contentieux avec le monde bancaire et le complexe militaro-industriel est tel qu’il est difficile d’imaginer une suite pépère à l’escroquerie Obama. Les enchères sont hautes, très hautes et, à ce jeu, les bonnes cartes ne sont pas dans sa main.
DOOM ANTIDOTE:
Democrats losing badly even in gerrymandered Illinois districts
by Kevin DuJan, Hillbuzz, October 14, 2012
« … Something magical happened at that debate between Romney and Obama, that has prevented the Democrats’ Ministry of Truth (Minitru, for short) in the national media from being able to claim that “Romney’s campaign is imploding!” or “Obama’s inevitable!”.
« None of that was ever true. Romney was never in trouble. Romney’s campaign has been well-run, professional, competent, and I think brilliant at times…
« … yesterday you might have missed an article by Mike Flynn over at Breitbart.com that dealt with Democrats’ disaster in Illinois regarding their redistricting schemes.
http://tinyurl.com/8hfk8b6
« … this is a harbinger of massive destruction for Democrats in the November election… Democrats grossly overestimated their level of support in this country and they believed their own 2008 hype. THAT means that 2008 really was a fluke and a fad…
» the redistricted races were setup so that Democrat candidates would win in cake walks. Instead, Republicans are winning in places that Democrats should have cruised to election or re-election with ease.
« If this is happening in Illinois, which was the Democrats most favored “home field” then it’s happening all across the country too…
« THIS is why all the polls that Minitru has forced on you are so wrong…they, too, assumed that 2008 provides a valid benchmark of support for Democrats…
« … Minitru’s main job is to convince you that your own eyes are lying and that Obama is EVEN MORE popular than ever, but all you need to do is drive around your home town to know that the Obama fad from 2008 long ago ended.
« I think it… was definitely over by the time Democrats were forcing Obamacare through the Senate despite the cries of constituents to not ram through something so nation-changing WITHOUT EVEN READING THE BILL FIRST. By 2010, everything Obama-related was in the remainders bin like discarded Beanie Babies…
« The thrill is gone. The current president was either seriously depressed, physically ill, or on drugs at that debate. I think it’s a mix of all three…
« This man is not winning anything in November. He is going to lose, and lose big.
« … Election Day is going to be beyond brutal for Obama… people feel betrayed and duped… and are angry enough to deliver Democrats more than a few surprises.
« If the Illinois redistricted Congressional races are not going as planned for Democrats and these contests were SPECIFICALLY designed to be cake walks for their candidates… then just imagine how decimated the Left is going to be in places where they couldn’t hand-pick the boundaries of the election.
« I think we’re going to see states Democrats have always counted on flip to Romney. I think all previous firewalls of the Left are going to collapse. I really see something like an eruption of Mount Vesuvius leveling the Democrat Party wherever it stands, coast to coast.
« These are the last days of the Obama regime…the final collapse of the notion of his fad… and I hope it all takes Minitru and the Tokyo Roses in conservative ranks down with it. »
Read more :
http://hillbuzz.org/doom-antidote-democrats-losing-badly-even-in-gerrymandered-illinois-districts-10142012
http://www.washingtontimes.com/news/2012/oct/12/mitt-romney-heading-for-a-landslide-win/?page=all#pagebreak
Mitt Romney heading for a landslide win
By Wayne Allyn Root, The Washington Times, October 12, 2012
Biased polls poor indicators of outcome
The average pollster is either biased or has terrible gut instincts. I have a history of predicting political winners and losers without ever taking a poll. I just take the pulse of the thousands of people I know… What I see and hear is a coming Mitt Romney landslide.
I have made a number of correct political predictions in the past.
–… in November 2004… I predicted on CNBC a… Bush victory by 3 points and 30 electoral votes. Every poll… showed… Kerry in the lead… Bush won by 3 and 35. Newsmax called it the most accurate prediction…
— In October 2006, I predicted on Fox News that the GOP would get slaughtered in the midterm election and lose Congress. It did.
— In June 2012, when experts forecast a defeat for Wisconsin Gov. Scott Walker in his recall election, I predicted a Walker landslide victory of 7 to 10 points. He won by 7 despite… Democrat… irregularities.
I have been predicting a Romney victory from the beginning.
In December 2011, I predicted Mr. Romney would win the GOP presidential nomination and go on to win the presidency.
In spring 2012.. I predicted a Romney landslide…
For the past month, as Mr. Romney… trailed badly in every poll… I… continued to predict a Romney landslide.
Mitt Romney will win the presidency, and it won’t be close.
I’m predicting a 5- to 7-point popular-vote victory, with an outside shot at 10 points.
Electorally, it won’t be that close — I predict wins in Ohio, Florida, Colorado, Virginia, Iowa, Wisconsin, New Hampshire, North Carolina and Indiana… he will win by 100 to 120 electoral votes. … Mr. Romney even will win one or two Democratic “safe states” such as Michigan, Pennsylvania or New Jersey.
… polls are… badly skewed toward Democrats…
Here are the reasons why I predict a Romney victory:
The news media are ignoring signs of mass disgust with Mr. Obama.
In the West Virginia… primary, a felon got 40 percent of the vote against Mr. Obama.
In… Massachusetts and Connecticut, GOP Senate candidates are even or leading in recent polls.
In pro-union Wisconsin, Scott Walker won by a country mile.
Worst of all for Mr. Obama, several recent polls show Mr. Romney competitive in Illinois — Mr. Obama’s home state — with Mr. Romney winning in the suburbs of Mr. Obama’s Chicago.
Even in Cook County, the country’s biggest Democratic stronghold, Mr. Romney leads by double digits among independents (43-31) and white voters (53-40).
In 2008, Democrats controlled a majority of governorships. Today, Republicans control the majority of governorships.
Presidential elections are always steered in each state by the party of the governor, the most powerful force in state politics.
After the 2010 census, electoral votes were added to states that usually lean Republican in elections: Texas, Florida, Arizona, Nevada, Georgia, South Carolina and Utah.
Deep-blue states such as New York, New Jersey, Illinois, Michigan, Minnesota and Massachusetts lost electoral votes.
Follow the money trail.
Yes, Mr. Obama is raising plenty of money, although some suspect it’s coming from illegal foreign contributors.
Still, what happened in 2008, when Mr. Obama outspent Sen. John McCain 10-1, won’t happen… Romney will be even…
Christians will turn out in record numbers this year.
Mr. Obama has offended Christians repeatedly.
Last election, 20 million evangelical Christians did not vote. They will turn out in record numbers in 2012 to defeat the most anti-Christian president in U.S. history.
Just recall the long lines at Chick-fil-A in August…
Voter rolls have been purged in 2012 of felons and illegals in many states — particularly Florida and Ohio. Turnout of Democrats will be nothing like in 2008.
The “enthusiasm factor” for Mr. Romney is huge.
Conservatives are focused, intense, motivated and enthusiastic. Democrats who turned out for Mr. Obama in record numbers in 2008 are demoralized…
Finally, history proves that a majority of undecided voters break for the challenger. Mr. Romney will take most of the undecided voters on Election Day — just as Ronald Reagan did against Jimmy Carter in 1980…
Wayne Allyn Root, former Libertarian vice presidential nominee, is author of “The Conscience of a Libertarian: Empowering the Citizen Revolution With God, Guns, Gold, Gambling & Tax Cuts” (Wiley, 2009). He writes at RootForAmerica.com.
http://www.wnd.com/2012/10/biden-vs-ryan/
Biden vs. Ryan
by Joseph Farah, WND, October 15, 2012
Joseph Farah finds Proverb that’s an apt description of veep’s ‘ambush’
If a wise man contendeth with a foolish man, whether he rage or laugh, there is no rest.
– Proverbs 29:9
Joe Biden wasn’t going to make the same mistake Barack Obama made in his debate with Mitt Romney. In his match with Paul Ryan last week, the vice president came out aggressive, feisty, engaged and loose.
Maybe just a little too aggressive, feisty, engaged and loose. There’s no question Biden was on offense throughout the contest. The question is whether he carried that too far and appeared offensive.
Laughing derisively, making mocking faces, interrupting at every turn, Biden showed himself to be a fool – a man desperately trying to hang on to power.
And he did this with the approval and encouragement of a “moderator,” Martha Raddatz, who was anything but impartial and fair. In fact, frequently, she joined in the interruptions of Ryan.
This wasn’t a debate. It was an ambush – a politically calculated, coordinated, strategic attack carried out by a Democratic Party hack and his willing accomplice pretending to be a journalist.
I don’t think there’s much question that for those who actually listened to the substance offered in the debate, Ryan still came out on top – despite the stacked deck.
For instance, on the Iran nuclear issue, Biden would have Americans believe the following logic: You notice your neighbor is stockpiling bags of dog food. But your neighbor doesn’t have a dog. In fact, your neighbor doesn’t even yet have a dog bowl in which to pour this food. The conclusion Biden wants you to draw is that your neighbor is not planning to get a dog.
Does that make sense?
Not in the real world.
But in the fantasy world of Joe Biden, where personal political empowerment is the only game that counts, that’s the stuff he is selling. And he was selling it hard last Thursday.
How about on the issue of abortion and his pseudo-Catholic conscience?
Here is what Biden was selling during the rigged debate:
“Personally, I am opposed to killing Jews. But if someone else wants to kill the Jews, they should have the right to do it.”
That’s not what he said, of course, but it is the natural progression of the illogic he uses to make his anti-life agenda a tad more palatable to non-thinking, morally relativistic Americans.
And that illogic went unchallenged by an immoderate moderator.
Nevertheless, despite the manipulation of facts and the unfairness of the setting, every poll of viewers of the debate – including those done by networks shamelessly hyping Obama and Biden since 2008 – indicated Paul Ryan won the contest.
That’s encouraging.
It means more Americans are waking up.
They are using their own reasoning faculties rather than allowing themselves to be programmed by cultural institutions, like the establishment media, hell-bent on “transforming America” from its unique heritage as a constitutional republic in which the federal government actually has some limits on its power and individuals actually are endowed by their Creator with certain unalienable rights.
They are actually observing the declining standard of living America is experiencing as a result of this transformation and rejecting it – properly assigning blame to those who have had power for the last four years.
They are actually recognizing that changing horses is a good idea if and when the horse you are riding insists on going in the wrong direction.
They are actually seeing through the foolishness, the pettiness, the rage and the determined self-interest of the Obama regime whose only “success” over the last four years is in its determination to “fundamentally transform” America from its unique experiment in self-government.
Si Romney est élu, ce que je souhaite, Obama sera lâché dans la nature. Serait-il sage, possible ou utile de garder un œil sur l’ami de Bill Ayers? C’est qu’il doit en savoir des choses après 4ans passé à la Maison Blanche.
Ohio Miners Fight Back Against Obama TV Ad: « Absolute Lies »
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SzU3oZLV8Hw#!
«Banghazigate» ne pouvait pas être évité avec M. Obama au pouvoir. Je suis même étonnée que les émeutes anti-américaines et anti-occidentales au Moyen Orient – ou tout autre acte de terrorisme – ne se soient pas produites plus tôt.
En 2008, M. Obama avait énoncé qu’il négocierait «sans conditions préalables» avec le Moyen Orient pour mettre fin au terrorisme, en vertu du fait qu’ayant résidé dans deux pays musulmans, lui seul connaissait le moyen de communiquer avec eux (une des facettes du Messie qu’il s’est plu à incarner). En fait, il s’imaginait que les dirigeants musulmans, informés par ses soins qu’ils auraient à la Maison Blanche un allié musulman anti-capitaliste, anti-colonialiste et anti-américain, accepteraient de marcher sous sa bannière vers le caliphat universel auquel ils aspirent.
Bien entendu, ceux qui avaient compris, à la lumière des attentats de Munich jusqu’à ceux de Fort Wood, en passant par Teheran, 9/11, Madrid, Londres, Mumbai et bien d’autres, que l’islam s’était à nouveau lancé à la conquête de l’Occident savaient que M. Obama était en plein délire, victime d’auto-suggestion ou de trop de LSD, mais en tous cas incapable de réalisme.
Et c’est vrai, il n’a rien épargné pour donner des gages à ceux qu’il espérait séduire. Il n’a oublié que quelques détails : il est métissé, tache indélébile aux yeux des musulmans «Blancs» racistes ; en outre, son éducation musulmane s’apparente aux cours du soir plutôt qu’à un établissement du type «ivy league» et aux yeux des musulmans, son lignage est déficient : le descendant d’un père musulman Noir qui l’a abandonné et d’une mère américaine et athée, liés (ou non) par un mariage civil, est considéré comme un simple bâtard plutôt que comme un Messie capable de diriger le jihad depuis les USA. Ce n’est certes pas un tel individu, n’ayant aucune action d’éclat à son palmarès en matière de terrorisme, vulnérable à la taqyia et aux facultés par ailleurs assez limitées, que le monde musulman allait prendre pour guide.
Les dirigeants musulmans et leurs organisations terroristes ont donc accepté ses courbettes, ses protestations d’amitié et l’argent extorqué aux contribuables américains, mais ils se sont contentés de se servir de lui sans rien lui accorder en échange. Il est clair qu’ils le tiennent en profond mépris.
Il n’y avait plus qu’à attendre une nouvelle attaque anti-américaine prouvant l’inanité des plans de M. Obama, et il ne fallait pas être grand clerc pour deviner qu’après l’exécution d’Osama bin Laden, l’anniversaire du 9/11 serait tout indiqué pour ce faire. Plus les illusions de M. Obama sont absurdes, plus elles sont tenaces. Il s’est imaginé que ses représentants au Moyen Orient, fussent-ils homosexuels, seraient exemptés du traitement que les populations du Moyen Orient rêvent d’infliger aux Occidentaux. Il peut bien s’attribuer le mérite de l‘exécution de Bin Laden qu’il a pourtant cherché à éviter jusqu’au dernier moment, mais il ne peut nier sa responsabilité concernant le meurtre à Benghazi de quatre de nos concitoyens.
Que va-t-il faire maintenant que ce nouvel échec dans ses efforts d’être « reconnu » et « d’appartenir » à un groupe humain s’ajoute à ceux de son enfance ? Refuser une fois encore d’admettre la réalité et persévérer dans ses efforts pour se faire respecter du monde musulman ? C’est possible. Il nous reste à espérer qu’il n’en aura pas le loisir, du moins en tant que résident de la Maison Blanche.