A Toronto, la communauté gay a toujours été très active (au propre comme au figuré).
En 1978, John Sewell fut le premier maire à prendre ouvertement leur défense. Alors qu’existe à Montreal un « Village gai », véritable enclave homosexuelle dans la ville, Toronto possède ses centres communautaires, groupes religieux, agences de voyages, restaurants gays (ou gais, comme l’écrivent les canadiens), mais ils – les homosexuels – n’étaient jamais allé aussi loin :
Fan Wu, un étudiant de 20 ans, est à l’origine d’une proposition d’école exclusivement gay pour « rendre la vie des homosexuels plus facile » (JPG : dans quel sens du terme ?)
Il a organisé une conférence débat, conférence à laquelle les caméras de Radio Canada étaient interdites (JPG : je demande juste, c’était seulement une conférence ?), pour expliquer son projet, auquel travaille le rectorat de Toronto :
Des élèves homosexuels, des professeurs homosexuels, du personnel administratif homosexuel, des programmes encourageant l’esprit critique et la diversité.
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« J’ai vécu dans un environnement culturel où je ne pouvais pas parler de ma sexualité aux autres élèves » a déclaré Wu à la radio, à l’extérieur de la conférence. « Bien que les moqueries n’étaient pas visibles, elles étaient toujours sous jacentes ».
Ce à quoi Irene Miller, présidente de l’association des parents, familles et amis des lesbiennes et homosexuels de Toronto (PFLAEG) lui répond cinglante : « Ce que vous faites, c’est dire que si on retire du système tous les enfants dont on se moque, alors les moqueries s’arrêteront ? Vous prenez le problème par le mauvais bout » (JPG : et si c’était intentionnel ?)
« Vous prenez un groupe d’élèves et vous les séparez des autres », ajoute Miller. « Nous sommes dans une société sexiste, qui suppose que les gens sont hétérosexuels (JPG : quelle audace en effet). On doit changer cette façon de penser, parce que nous savons que tous ces enfants ne le sont pas. C’est toute la société qui doit changer afin d’admettre que de nos jours, 10 à 15 pour cent des enfants à l’école sont homosexuels ».
JPG : je me demande d’où vient ce chiffre rocambolesque ? Est-ce que l’un de nos 650 000 lecteur confirme qu’à son école, 10 à 15% des élèves étaient homosexuels, ou bien le Canada est en train de virer sa cuti ?
Entre les écoles coraniquement gay, le délire halal et le délire anal, l’adoption homo-parentale dans les familles polygames uniparentales et homosexuellement mariées, et l’islamphogay, n’avez-vous pas l’impression qu’on ne sait plus où donner de la tête, et que tout cela semble destiné à faire exploser nos repères judéo-chrétiens ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
http://www.cbc.ca/news/canada/toronto/story/2012/09/26/toronto-gay-centric-high-school-proposal.html
Le communautarisme homosexuel, deuxième gangrène du pays ?
Après le communautarisme musulman, le communautarisme homo !
La France est un dépotoir !
N’exagérons pas ! Le communautarisme homo n’est pas terroriste.
Bien au contraire, il est consen…suce L ! C’est loin d’être agressif non ? 😉
Mr.Grumberg, je ne sais pas ce que vous avez fumé aujourd’hui mais elle doit être bonne…ce ne sont plus des “éléphants roses” mais des petits “lapins roses”..merci pour la photo et le fou rire !!!
Ceci étant dit, m’étonne pas que ce type de communautarisme s’installe….à force d’être humiliés et rejetés, on ne peut que les “comprendre”…mais c’est aberrant tout de même !!! Faut croire qu’il existe un lobby homosexuel plus puissant qu’on ne le pense !!!
“Mr.Grumberg, je ne sais pas ce que vous avez fumé aujourd’hui mais elle doit être bonne” : je vous étonnerais si je vous disais que je n’ai jamais fumé ni herbe ni drogue ni cigarettes ?
Ben moi qui suis une accroc à la cigarette, pourtant j’ai essayé maintes et maintes fois d’arrêter, sans succès….je dis que c’est tout à votre honneur !!!
Pourtant il n’y a rien de plus facile que d’arrêter, un ami a arrêté 45 fois.
un quartier gay , une école gay , c’est donc une sorte de ghetto qui leurs est réservés ! je trouve qu’ils sont mis à part des autres
au lieu de vivre et de se mélanger à la population de la ville
Remarquez que le quartier du Marais à Paris leur est aussi réservés !
“de se mélanger à la population” Se mélanger …? c’est ce qu’ils font ! 😉
En effet et les gens restent perplexes parce qu’ils ne sont pas organisés en lobby comme les gais, il n’y a pas autant d’invertis quoique qu’en disent les lobby. C’est une attaque constante à l’équilibre et à l’ordre de la création et les chrétiens comme moi y voit une oeuvre malfaisante et destructrice de satan. Attaquer l’âme des personnes est la jouissance du pervers, attaquer la petite enfance, détruire et salopper la vie, voilà le projet de satan.
Selon ma vision des choses les écritures s’accomplissent malgré nous,
dans le temps il ne restera qu’une poignée de fidèles à la parole de
D.eu comme c’est écrit dans l’Apocalypse de Jean.
Sans queue ni tête peut-être..
Rejeter les repères judéo-chrétiens ? Depuis la révolution française, la part de l’Occident portée par l’idéologie socialiste ne fait que ça.
Le problème au fond, c’est qu’au-delà de la destruction de la culture judéo-chrétienne, ces guignols ne créent rien. Aucune valeur à l’horizon si ce n’est ce magma islamphogay…
L’autre problème, c’est que seule l’humanité structurée autour des valeurs judéo-chrétiennes permet à la planète d’être autre chose qu’une gigantesque poubelle peuplée de fornicateurs décérébrés… Et nous autres, Judéo-chrétiens, sommes de moins en moins nombreux…
le gouvernement ne sait qu’inventer pour hâter la destructon de la
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/10/97001-20121110FILWWW00426-lille-mariage-homosexuel-symbolique.php
Entre victimisation au Canada, et exbibitionnisme médiatque à Lille.
Je voulais écrire exhibitionnisme médiatique. Désolée pour la faute de frappe, quelque peu maladroite.
Étant de Montréal et faisant la navette Montréal – Toronto régulièrement et bien que je ne suis pas un expert des milieux homosexuels, je trouve que cet article ne reflète pas la réalité sur le terrain. J’ai des amis gays, des collègues de travail aussi, mon beau-frère homosexuel qui est en couple depuis près de 10 ans qui tous me confirment que de plus en plus et ce, surtout depuis une dizaine d’années, que la “communauté gay” de Montréal et Toronto se fond littéralement dans notre société.
Le Village gay de Montréal n’est plus ce qu’il était auparavant et il est très fréquent de voir des gays main dans la main partout en ville hors du “Village” sans déranger ou interpeller qui que se soit. Et c’est ainsi mieux comme cela.
Ils sont heureux et ne font de mal à personne.
Je suis étonné d’apprendre l’existance de cette école gay de Toronto, mais c”est un phénomène très marginal.
La meilleure façon pour que les gays s’épanouissent, c’est de sortir de ces ghettos si populaires dans les années 60 à 90. Je crois que cette situation se vérifie non seulement au Canada mais aussi dans les grandes villes américaines.
Quant aux mariages de conjoints de même sexe, cela fait assez longtemps que ce dossier est réglé ici au Canada, en fait depuis près de 20 ans et ce, sans aucun regret pour qui que se soit.
Merci de votre témoignage.
“sans aucun regret pour qui que se soit.”
Êtes-vous sûrs que les enfants de ces “couples” n’ont aucun regret ? Y-a-t-il des études sur ce sujet ?
La demande de ce “Fan Wu, un étudiant de 20 ans” de créer des écoles pour gays n’est-elle pas une preuve des problèmes de ces enfants ?
Le problème soulevé ici est le communautarisme. La séparation de la communauté “nationale” en communautés religieuses, sexuelles, idéologiques. Le problème n’est pas nouveau, ne serait-ce qu’en France où le soucis n’est pas le “musulman” mais le “communautarisme musulman et autre”
Après le débat des écoles “votre fils ne pourra pas s’inscrire” est un peu hors-débat. Par exemple les écoles privées (catholiques) de nos campagnes acceptent volontiers tous les enfants, sans distinction, lorsque les parents acceptent qu’ils bouffent du catéchisme. Alors pourquoi les écoles gay refuseraient les non-gays?
Je ne suis pas surprise. J’ai enseigné à Toronto dans les années 80; on avait 6 homosexuels parmi le personnel enseignant sur un total de 30 enseignants dans mon école. Je parle en connaissance de cause en vous disant que Toronto est bel et bien le paradis des homosexuels. J’ai décampé de là-bas avant de devenir folle; je vous assure que le climat d’une école est très spécial lorsqu’on doit conjuguer avec à peu près 60 nationalités parmi les enfants – tous à des niveaux différents d’apprentissage de la langue enseignée (en l’occurrence le français), tout un chacun des parents demandant ses propres accommodements (alimentaires surtout), et des «profs gays» qu’on peut étiqueter des milles à la ronde!!
Moi je ne suis pas contre ! Les Gays ne font pas de mal et doivent souvent cacher leur homosexualité et faire semblant d’être hétéro, car la Société a ses codes.
De plus, les homos sont parfois attaqués parce qu’homos, par des gens qui ne les comprennent pas et viennent “casser du PD”.
Donc oui, si cela peut les protéger et les aider à s’assumer (car ça n’est pas toujours évident vis à vis de la famille), pourquoi pas une Ecole Gay ?
Je trouve que c’est une bonne idée !
Je suis daccord avec le fait que les homosexuels vivent séparés dans leurs ghettos proclamés homosexuels, leurs villages, leurs écoles réservées….
Ainsi, il sera plus facile d’expliquer aux enfants que ces gens vivent séparés parce-qu’ils ils sont différents et pratiquent une sexualité contre nature. Cela évitera de devoir observer des exemples inadéquats pour les enfants, supporter leurs obscènes manifestations d’orgueil gay !
Et les homos ne pourront plus se plaindre qu’ils sont discriminés, ce sont eux-même qui auront décidés leur apartheid volontaire.
Tant mieux.
Reste à savoir comment ils se défendront quand les hordes d’immigrants musulmanes -dont le coran condamne à mort les homosexuels- et qui grandissent au Canada seront majoritaires…
Ils seront bien faciles à identifier, avec leurs petits caleçons roses… les pauvres.