Cette semaine, Gilles William Goldnadel revient aussi sur le film « Après Mai » d’Olivier Assayas.
Samedi, ce n’était pas le « peuple de gauche » qui battait le pavé de Paris ou de province.
Les opposants au mariage « pour tous » ont défilé en grand nombre dans le calme et la bonne humeur, sans violence ni invectives. Au grand dam sans doute des tenants de l’idéologie dominante, les manifestants, en ce compris des homosexuels, n’avaient pas tous le look Le Quesnoy, et il n’est pas sûr qu’ils faisaient plus ringards que les habituels protestataires en keffieh ou en blouson CGT.
Il aura fallu cependant qu’à Lyon ou à Toulouse leurs contradicteurs, étrange conception de la démocratie, tentent de leur barrer le chemin ou qu’une brigade de « bétitionnaires » cornaquée notamment par Dominique Fernandez considèrent qu’ils incarnaient des homophobes animés par une haine dont l’ancien président de la République serait le principal responsable. (Le Monde.fr de samedi).
À Notre-Dame-des-Landes, c’était une autre sorte de manifestants qui s’exprimaient et d’une autre façon. De la même manière, qu’hier, José Bové et ses amis entreprenaient le « démontage » des cultures qui lui déplaisaient, les protestataires d’aujourd’hui participaient à la « reconstruction » de ce qui avait été supprimé par autorisation de justice. Le 12 novembre dernier, un vigile, au même endroit, avait été roué de coups par une vingtaine d’inconnus cagoulés et armés de gourdins, alors qu’il surveillait une maison évacuée par décision judiciaire, à proximité de l’emplacement de la future plate-forme aéroportuaire. (Le Figaro du 14). Les agresseurs, dont certains parlaient anglais ou allemand, ont aspergé son véhicule de produits inflammables après en avoir brisé les vitres. « Ils ont discuté pour savoir s’ils le laissaient dedans avant de finalement le sortir et le rouer de coups », a précisé le sous-préfet de la région Pays de la Loire.
Ainsi qu’il l’a précisé, José Bové se moque de la légalité, mais il s’estime capable de déterminer ce qui ressort de la légitimité. Heureux homme. D’autant plus, qu’il ne risque guère d’encourir ni la rigueur d’État, ni la sévérité de « bétitionnaires ».
Tout au plus, les Verts devront endurer les admonestations présidentielles qui en appellent, à juste titre, au respect de la loi. On imagine qu’ils doivent trembler.
Quant aux socialistes, ils pourront toujours méditer de leur côté les vertus et les vices d’une alliance assez obscène, érotique dans l’opposition, mais pornographique sitôt assis sur le trône.
Mme Chantal Jouanno, ex-UMP, est une femme résolument moderne. Elle croit à la modernité. Moi aussi. Elle prône donc la légalisation du mariage homosexuel.
Autant je suis sûr que la déculpabilisation de l’homosexualité constitue l’un des peu nombreux mais radieux effets bénéfiques de mai 68, autant, je le suis moins de ce que l’autorisation du « mariage gay » serait l’expression de la modernité, pour autant qu’on considère celle-ci comme porteuse de progrès et de bonheur pour l’humanité.
La libéralisation outrancière des mœurs qui a suivi le joli mai, entre-t-elle dans cette définition ?
Je ne veux pas ici jouer les pères la pudeur et me crois assez mal placé pour endosser le rôle.
Mais entre l’éloge de la pédophilie des premiers soixante-huitards, à la traque aujourd’hui de ceux-ci comme les derniers des criminels pour peu qu’ils consultent un site Internet, qu’ils pratiquent l’exhibitionnisme sous le nez des enfants au projet inepte de prohibition de la prostitution en passant par la pénalisation de la moindre plaisanterie douteuse constitutive désormais d’un harcèlement avéré, qui ne voit que l’époque schizophrène, moitié pornographe, moitié puritaine, a perdu tout repère ?
J’ai lu ici et là les contributions intelligentes des hommes de foi, d’église, de mosquée ou de synagogue, opposés au mariage « pour tous ».
Mais il est bon que les laïques intelligents qui pensent, à tort ou à raison, que l’union officielle en vue principalement de procréer naturellement doive rester la référence légale aient, à présent, voix au chapitre.
Ils pourront faire valoir que ce désir impérieux de conformité exigé soudainement par ceux qui rejettent à bon droit le conformisme sexuel, à l’égard d’une institution maritale que l’idéologie qui les porte aura pourtant tout fait pour rendre obsolète, a des relents de provocation revancharde envers la majorité hétérosexuelle.
Comme si, inconsciemment, dans cet aspect de la dilection pour l’altérité minoritaire forcément souffrante, la marge devait couvrir la norme, comme pour l’effacer.
La marge, n’a absolument rien de honteux. J’en sais quelque chose. Mais elle est la marge.
Enfin, il serait bon que le parti majoritaire s’abstienne de caricaturer la position de ceux qui s’opposent à son projet, souvent taxés d’homophobes. Comme Claude Bartolone, aujourd’hui Président policé de l’Assemblée nationale, mais qui lorsque Christine Boutin crut devoir dire à ses collègues son opposition au PACS, s’exclama dans l’hémicycle : « Boutin, dehors ! », tandis que son camarade Jean Glavany, rivalisant de galanterie, brandissait un écriteau proclamant finement « Boutin hystérique » (Assemblée nationale, 14 janvier 1998).
Pour ne pas être en reste, ce même samedi, le quotidien du soir, reprenait lui aussi l’antienne du progrès pour dire son soutien au projet gouvernemental.
Allez savoir pourquoi, depuis que la gauche progressiste m’explique que l’insécurité est un fantasme, l’immigration une chance pour la France, le printemps arabe une libération, et qu’elle me parle de progrès en me toisant, je suis pris d’un fou rire assez nerveux.
Nous vivons une époque moderne.
Puisque j’évoquais mai 68, et les indéniables avancées sociétales qu’il a permis, un mot sur « Après Mai », film dans lequel Olivier Assayas évoque son adolescence contestataire et qui a obtenu le prix du scénario à la Mostra de Venise. Voilà enfin un film intelligent, en empathie ironique avec les rebelles virtuels de l’époque mais qui, pour une fois, ne cède ni à la nostalgie ni à l’idéalisme.
Après avoir proclamé qu’il était bon parfois que l’utopie questionne le pouvoir, Assayas analyse finement, et d’une manière étonnante et détonante dans son milieu artistique, le phénomène gauchiste : « le gauchisme est totalitaire, ennemi de la libération de l’individu. Il a quelque chose de violent et de triste, un côté obsessionnel qui se fossilise autour du dogme marxiste ».
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Le drame de l’époque est que nous vivons très largement encore sous l’empire de ce phénomène totalitaire, d’autant plus prégnant qu’il est insidieusement nié ou inconsciemment ignoré.
C’est seulement sous ce prisme que l’on peut comprendre comment une partie de la population puisse préférer un groupe islamiste, homophobe, fascisant, terroriste, sexiste, antisémite, révisionniste, clairement en position d’agresseur, à un pays démocratique mais qui a le malheur d’incarner un État-nation occidental et d’avoir recours à des soldats casqués.
C’est ainsi que la chaîne franco-allemande Arte a présenté lundi le chef militaire du Hamas, Jabaari, éliminé par Israël, comme un «résistant», lui qui se proposait d’éliminer tous les « rats » ennemis jusqu’au dernier et à qui on attribue cette formule savoureuse : « j’ai goûté à la chair des juifs, et je l’ai trouvé bonne » .
Si l’on veut se donner une chance de décrypter ici le terme de « résistant », on doit comprendre que pour les enfants dociles des enfants indociles mais un peu bas du front qui ont crié « CRS SS », le militaire occidental demeure dans leur inconscient collectif, l’héritier en extrême droite ligne du Waffen-SS.
C’est la cruelle ironie dont l’État juif fait les frais depuis plusieurs décennies. Voilà pourquoi la chaîne la plus obsédée par la Shoah est sans doute l’une des plus prévenue contre l’État juif. J’ai écrit quelque part que ceux qui adorent le juif en pyjama rayé, l’abhorrent en uniforme kaki.
Voilà également pourquoi les écervelés, ou plutôt les décérébrés d’Anonymous ont décidé- sans rien savoir du conflit- de prendre cybernétiquement fait et cause en faveur de ceux qui apprécient la chair des juifs. (Le Monde du samedi).
Sur le fond de ce nouvel épisode opposant Israël à la radicalité palestinienne en action sur un territoire évacué, on constatera, une fois de plus, la spécificité française.
Alors que l’Amérique d’Obama, le Canada, l’Australie, l’Union Européenne (Allemagne, Pologne, Grande-Bretagne en tête) n’ont pas hésité à incriminer l’agression islamiste, le président de la République, a cru devoir indiquer qu’il n’était pas urgent d’accuser.
Je gage que lorsque les agences de presse internationales -largement représentées à Gaza pour des raisons de sécurité par des militants au service du Hamas- pourront montrer des boucliers humains sacrifiés au moloch de la guerre médiatique (ce qui n’est pas étonnant lorsque l’on place des batteries lance-roquettes à 94 mètres d’une maternelle) ou des femmes en fichu prenant les cieux à témoin de l’injustice qui leur est faite tout en proposant leur fils comme nouveaux martyrs, alors il deviendra urgent de condamner.
De même, alors que l’ensemble des chancelleries des pays démocratiques reconnaissaient le droit à l’agressé de se défendre en employant les moyens adéquats, Laurent Fabius faisait entendre une musique légèrement discordante en reconnaissant ce droit tout en ajoutant « que la violence ne réglerait rien ». Manifestement, M. Fabius n’applique pas ce noble principe lorsqu’il s’agit d’armer l’opposition syrienne ou d’envisager une reconquête du Mali.
Je croyais notre ministre sorti de l’ENA, j’ignorais qu’il avait fait ses classes au collège de La Flèche.
Comment faire comprendre à ce gouvernement et plus largement, à la société française, que le combat contre l’islamisme radical et haineux ne saurait s’accommoder d’accommodements.
Que ce qui est survenu il y a quelques semaines à Toulouse, à Sarcelles, aurait – peut-être – été évité si la classe intellectuelle et politique n’avait pas jeté un voile pudique sur l’antijudaïsme pathologique qui sévit dans de larges pans de la société arabo-musulmane depuis des années.
Que cette haine ne s’arrêtera désormais pas plus aux frontières de la France que le nuage de Tchernobyl, si cette pollution de l’âme et des esprits n’est pas clairement identifiée.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles William Goldnadel. L’article original peut être consulté sur le Blognadel
Quand j’avais 19 ans, j’ai décidé d’aller passer 2 mois et demi dans un Kibboutz, fortement influencée par les écrit de Bruno BETTELHEIM à ce sujet.
Le Kibboutz, pour ceux qui n’en connaissent pas le principe de fonctionnement est un système Socialiste, au sens Socialiste de 1917 qui a été créé en ISRAEL au début du XXème siècle.
C’est un système agricole, où tous les biens sont mis en commun, où l’on est nourri, logé, blanchi, habillé, bref tout est pris en charge par le Kibboutz et avant 1948 et après, ce sont ces pionniers qui ont permis de construire véritablement ISRAEL.
Il existe ou plutôt il existait (j’expliquerai plus loin pourquoi je le mets au passé) des Kibboutz laïques, à tendance communiste, socialites et des Kibboutz Religieux.
J’y suis allée pour voir ce que donnait un système vraiment socialiste, où il n’y a pas d’argent.
Je travaillais 6 H par jour (de 6 H du matin à 12 H) 6 jours sur 7 et j’étais payée 500 francs/mois en 1981.
Le travail était réparti tous les matins et l’on choisissait le travail que l’on voulait faire dans la journée (récolter des fruits, travailler aux cuisines, faire le repassage etc.).
J’ai tenu 2 mois et demi.
Avec ces 500 francs, j’avais largement de quoi vivre au Kibboutz où à la boutique du Kibboutz tout valait 10 fois moins cher qu’à l’extérieur
J’étais effectivement nourrie, logée, blanchie, il y avait une superbe piscine où je pouvais aller quand je voulais, bref tout y était idyllique.
Mais quand je voulais sortir du Kibboutz, un billet aller/retour du Kibboutz à TEL AVIV par exemple, me coûtait 3 jours de salaire du Kibboutz. Impossible dans ce cas d’aller s’éclater en boîte de nuit qui m’aurait coûté 2 semaines de salaire.
Au bout de 2 mois et demi, bien que changeant de travail, j’avais l’impression d’avoir fait le tour du Kibboutz et je commençait à m’ennuyer.
Je me suis donc rendue compte que le socialo-communisme c’est bien pour fournir un logement et du travail à tout le monde, mais que l’on atteint très vite les limites.
Au niveau des gens que l’on fréquente aussi et le problème, c’est qu’une fois dans ce système, l’on ne peut en sortir. L’on n’a pas les moyens matériels de faire autre chose ou d’aller voir ailleurs.
Je suis donc partie et je n’ai plus jamais eu l’intention d’y retourner. J’avais vu ce que je voulais voir et je m’étais fait ma propre opinion.
Depuis, les Kibboutz existent encore (ce sont même le poumon agricole d’Israël), mais ils ne sont plus gérés de manière socialiste. Voici pourquoi je parle au passé.
Les Kibboutz ont dû s’adapter, sinon ils n’existeraient plus et sont devenus plus capitalistes que les capitalistes.
On peut devenir propriétaire de sa maison, les Kibboutz se sont spécialisés dans divers domaines (solaire, nanotechnologie, culture d’avant garde, etc.).
Le système socialiste n’est donc possible qu’un laps de temps, et est amené à péricliter un jour ou l’autre. Si c’est une bonne idée au départ, il ne restera qu’une utopie !
Passionnant! Et merci.
Rien de tel qu’un témoignage concret. Le vôtre peut susciter quelques réflexions.
1. Ces collectivités ont sans doute tenu, et de manière vivable, par ce qu’elles avaient un mental issu plus du boy scout que du marxisme. On aurait pu y trouver Baden-Powell, et non des assassins comme le Che ou Pol Pot.
2. La réalité de la vie économique finit par s’imposer, en système collectiviste, vous le soulignez très justement: soit on s’adapte par ce qu’on est intelligent, comme les Chinois quand ils ont coupé avec le Maoïsme, ou les Kibboutz selon votre récit; soit c’est la Corée du Nord. . .
3. Les enfants gâtés des 30 glorieuses qui se sont éclatés en 68 dont parle Goldnagel n’étaient que des petits jouisseurs et profiteurs sans idéal réel, qui n’auraient jamais voulu travailler en Kibboutz (imaginez une alya de Kohn-Bendit ou Geismar. . . )
perso , j’ai voyagé à Cuba en 98 avec mon petit sac à dos !
si le silence sur Fidel était éloquent , les louanges au Che
étaient tout aussi éloquentes …
c’est tout ce dont je peux témoigner !
l’histoire fera le reste , si les historiens jouissent d’une liberté d’étude et de publication de leurs écrits !
Peut-être parce qu’alors que Fidel ils le voient à l’oeuvre et savent ce qu’il vaut de Ernesto Guevara de la Serna (Che c’est familier, pour copains et je ne suis pas copain de cette petite ordure) ils ne connaissent plus que le mythe. Ils ne savent pas que c’était un détraqué qui ne se contentait pas de faire torturer mais tenait à mette lui-même la main à la pâte, un dément qui poussait à une confrontation nucléaire lors de la crise des missiles, que Fidel a fini par le mettre à la porte (avec bien sûr de grandes embrassades devant les caméras devant ses initiatives débiles notamment économiques et de politique étrangère, que militairement c’était un incapable dont la théorie des « foyers » a uniformément conduit au désastre, qu’il était profondément raciste et que pour finir c’était un lâche qui tuait des hommes et des adolescents désarmés mais qui a vite levé les bras et qui aurait certainement balancé tout le monde (cf ses mots lors de sa capture « pour vous je vaux plus vivant que mort »). Malheureusement les Boliviens l’ont exécuté et ont raté l’occasion de détruire le mythe comme cela se serait produit si on l’avait vu à la télé mendier son pardon et balancer ses copains. Un mythe qui continue à être utile aux communistes et aurait pu être détruit d’une bonne fois pour toutes.
Geismar , c’est celui qu’avait mis les syndicats sur écoutes ?
kholossale marrade à l’époque !
merci, très intéressant
Ne dites pas « au sens de 1917 »
Car vous avez vécu une expérience de socialisme utopique, idée qui court depuis Platon,et qui, effectivement, ne peut etre concrétisée que dans des lieux et des laps de temps trés limités
mais non pas de socialo-communisme au sens vrai, c’est à dire marxiste , expérience qui débouche inévitablement sur la misère et le crime(voir URSS, chine, etc)
pouvez-vous me donner des contacts pour aller dans un Kibboutz pour plusieurs mois. j’ai fait plusieurs sejours en Israel mais de courte durée.
Excellent témoignage que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt.
Qui repose sur l’autorité de la chose vécue.
Bravo Kmichele pour votre initiative, votre intelligence, votre maturité, votre sincérité.
…comme il conviendrait que soit également clairement identifiée cette autre pollution de l’âme et de l’esprit que constitue l’homosexualité quand elle se contente de singer l’hétérosexualité, témoignant par là-même de son caractère de déviation qui tient plus d’une masturbation narcissique avec l’alter ego que de la rencontre épanouissante avec l’alter …ité !
Non, le système socialiste est une mauvaise idée au départ, une idée contre-nature et entre parenthèses n’a jamais donné du vrai travail à quiconque.
les contributions intelligentes des hommes de croyance sur le mariage homoxexuel auraient plutôt tendance à me faire accepter jusqu’au mariage de Toutou avec Tatie !
enfin quand je parle des hommes de croyance , j’exagère un peu !
Tant qu’ils se réfèrent à l’ Etre Supprême ,de l’autre côté de la Grande Porte , pas de problème , je les écoute et prends en compte ,et je suis contre le mariage homosexuel ! Mais quand ils se réfèrent à la loi divine appliquée sur la terre ,
genre charia pour ne pas la nommer , mon côté caractériel m’incite
à autoriser tout et n’importe quoi ! tant qu’à sombrer dans l’irrationnel ,…allons-y gaiement !
perso , Mr Goldnadel , je prendrai en compte les contributions intelligentes des Mosquées , quand un arabe athée pourra déguster son jambon beurre rue de la Goutte d’Or en plein ramadan , sans risquer pour sa vie !
Même si Hitler aurait pu dire qu’il pleut quand il tombe de l’eau ,
mon côté laïcocaractériel m’incite à sortir sans mon parapluie si la Mosquée chante qu’il va pleuvoir !
N’oublions jamais que l’Ontario a failli mettre en place une double juridiction pour contribuer à l’intelligence des Mosquées !!!!
On ne saurait mieux dire, les considérations des imams et autres abrutis hébétés par le système mahométan barbare n’ont aucun intérêt. Qu’ils gardent leurs réflexions forcément totalitaires pour eux. D’ailleurs, les relations de l’islam avec l’homosexualité sont bien loin d’être claires. Le Maghreb mahométan est la première réserve de gitons (avec la Thaïlande chère à un ex-ministre) pour les amateurs européens (diplomates et politico-médiocrates notamment dont certains aiment tellement cette « civilisation » musulmane si accommodante qu’ils en viennent à faire des célébrations officielles des fêtes mahométanes). Par ailleurs, l’interdiction d’approcher le sexe opposé, sale pour eux en fait si on voit bien leur fonctionnement -d’ailleurs les femmes n’ont droit qu’à un coin de pestiférées dans les mosquées-, a forcément des conséquences. Et puis voir tous ces culs en l’air à la mosquée….
c’est vrai que tous ces culs en l’air , ça augmente les gaz à effet de serre !
d’ailleurs EELV devrait se pencher ( si j’ose dire ) sur ce problème !
bravo quelqu un de réaliste
ce doublon est dû à un retard dans la prise en compte du premier ,
…. disculpa !
Percutante acuité politique et sociétale de GW G.
Nous autres amis d’Israël qui lisons régulièrement son blog, y sommes habitués.
Ce qu’il dénonce ici c’est le CO-MMU-NAU-TA-RISME !
Et c’est en effet la bo-bobio’itude soixant’huitarde qui a conquis à son seul profit les quatre pouvoirs de l’État et qui y a installé cette nouvelle dictature. Médias, Justice, Législatif, exécutif, ils peuvent dire, eux aussi « Je suis partout »!
Avec ces anti-républicains, ces anti-laïques, ces anti-démocrates, tous de gôche ça va de soi, l’intérêt collectif, seul important comme l’avait défendu Tocqueville est devenu une gène, un handicap, une garantie de Liberté citoyenne qu’il faut abattre.
Depuis la chienlit initiée en Mai 68, cette clique innombrable de pignoufs a fait voter des lois anti-laïques pour « protéger » ses communautés dites minorités, elle a demandé à ses milliardaires de la gauche-caviar de fonder des journaux Anti- Français, des radios anti-Nationales; elle a manipulé la gauche-pétard pour animer des associations communautaristes et scélérates.
Enfin, le péhesse a ouvert grand les portes de l’exécutif aux vibrions verdâtres qui prônent le retour à l’âge des cavernes et aux communautés ethno-religieuses, à ces intégristes EELV qui veulent imposer la mal-bouffe halal et bio… (ou de la chair de Juif pour ceux d’entre-eux qui suivent les fous d’allah jaabari ).
Leurs minorités sont enfin devenues majoritaires et ce totalitarisme de communautés, cette pensée univoque assassine la liberté d’expression.
Ils sont enfin SEULS…et ils seront de plus en plus seuls.
En attendant, ils exigent des mosquées pour tous, la prière du vendredi pour tous, le ramadan pour tous, du hasch, de la coke (et du coca halal) pour tous, des éoliennes pour tous, de la merguez d’âne pour tous, la burqa pour toutes et évidemment des garçonnets pour toutes les lesbiennes, afin qu’elles les châtrent et les transforment en « trans’ » comme vient de le faire savoir un « couple » de femelles. (V Lien)
Voilà ce qu’ils nous promettent !
Que les héritiers des Lumières, ces amoureux de mariannes bien en chair, ces amateurs cultivés de jambon de Bayonne, de saucisse de Montbéliard, de Gaillac et d Touraine Mesland aillent se faire égorger ailleurs !
http://www.dreuz.info/2012/11/deux-lesbiennes-transforment-leur-fils-adoptif-en-fille/
les vibrions verdâtres sont noyautés par les barbus , lesquels sont entrés déguisés en baba-cools , le réveil sera terrible !
En tenue de campagne ,c’esr plutôt Larayroporc!
Euh, je rappelle à l’auteur que « communiste au sens de 1917 » c’est déjà des populations entières exterminées, les paysans bombardés à l’arme chimique si nécessaire, des viols, des meurtres et les communistes se goinfrant de caviar pendant que le peuple mourait de faim par millions et serait mort en bien plus grand nombre sans l’aide alimentaire alimentaire.
Je voulais dire « pendant que le peuple mourait de faim par millions et serait mort en bien plus grand nombre sans l’aide alimentaire américaine »