Par Aldo-Michel Mungo, Porte-parole de LA DROITE
Discours prononcé lors du Conseil Général du 25 novembre 2012
L’avantage du monopole politique de la Gauche, c’est d’avoir engendré par réaction une génération de dissidents armés de leur courage et de leurs convictions.
Nous, entre autres, puisque le mot « Droite » ne nous fait pas peur face à la soi-disant supériorité intellectuelle que la Gauche s’est appropriée parce que d’autres n’ont pas le courage de lui disputer.
En osant le revendiquer, nous nous inscrivons dans le sillage de ceux qui, du temps de la dictature marxiste, ont eu le courage de défendre le monde libre contre les communistes, leurs fondés de pouvoir à l’université et leurs innombrables amis dans les médias et les rangs politiques.
Nous sommes donc bien l’« armée des ombres » de Joseph Kessel.
Une armée en opposition avec ceux gangrénés par le discours « politiquement correct ». Ce nouveau stalinisme qui musèle les citoyens victimes, depuis plus de trente ans, d’un lavage de cerveau de la part des commissaires politiques qui ont d’abord sévi à Gauche, avant de voir leur discours repris par des pans entiers du Centre-réformateur sous la bannière de la famille Michel, de Richard Miller et de leurs amis.
Le politiquement correct est pourtant à la démocratie ce que la gangrène est à un corps sain.
Défendre la démocratie, c’est donc, d’abord et avant tout, enrayer la gangrène et exercer la liberté.
L’adhésion du corps électoral au système politique a cédé la place à la méfiance. Ce gouffre entre les citoyens et ceux qui sont censés les représenter et les diriger, ce gouffre, c’est sous nos pieds qu’il est ouvert. Et c’est la Démocratie qui risque d’y tomber.
Il faut qu’émerge rapidement une force politique de Droite suffisamment radicale pour affronter les dogmes socialistes et qui ait l’ambition de peser sur le cours des choses en quittant la sphère protestataire.
La Gauche et ses amis se disent « proches » du Peuple ; mais de quel peuple ? Le peuple réduit au chômage ? Le peuple réduit à la mendicité ? Le peuple dont on ne garantit plus le droit à la propriété ? Le peuple qui part à la pension avec moins de 600 euros mensuels ?
Cette Gauche, forteresse morale si imprenable que même l’ancienne Droite s’y est ralliée ! Cette Gauche doit pourtant être chassée du pouvoir si le pays veut survivre.
Car la question politique du moment est : le MR, Mouvement Réformateur et non pas Parti Libéral, veut-il encore faire gagner la Droite contre la Gauche ? Ou veut-il simplement devenir la Droite de la Gauche ? Constatons que jamais aucun de ses dirigeants n’affirme que c’est le rôle même de l’Etat qu’un libéral doit remettre en cause.
Pourtant, depuis le temps que la Gauche admoneste, sur un ton outré et comminatoire, tous ses adversaires politiques, c’est bien le moment de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Il en va désormais de la Droite comme du cholestérol : il y a la mauvaise et la bonne.
Car, désormais, personne ne peut ignorer qu’il en va désormais de la Droite comme du cholestérol : il y a la mauvaise et la bonne. La première ânonne, entre autres avec ses amis de Gauche, que l’immigration est une chance pour le pays, tandis que la seconde, à laquelle nous appartenons, pense que son ampleur a appauvri le pays.
Pendant ce temps, la population est marquée par l’exaspération des petits salaires et d’une fiscalité confiscatoire, par l’angoisse d’une immigration jamais maîtrisée, par l’insécurité généralisée jamais réprimée, par un système judiciaire aux abonnés absents et par des revendications religieuses toujours accordées.
Les brebis ont le sentiment que les pasteurs, au lieu de les défendre, les livrent aux loups et c’est cela qui exacerbe les tensions.
Ces partis se sont ligués pour pressurer la classe moyenne. Les socialistes, avec leurs alliés, pour lui faire rendre le dernier centime des richesses engrangées au cours des cinquante dernières années. Les Réformateurs-centristes en appuyant les usuriers qui forcent les gouvernements à revenir en arrière sur tous les progrès, sur tous les acquis, sur toutes les améliorations du niveau de vie obtenues depuis les années ‘60.
Unis pour ponctionner les finances des Belges
Ils se sont unis pour ponctionner les finances des Belges afin d’alimenter la très coûteuse organisation étatique dont ils sont les premiers bénéficiaires.
Ces partis ont fragilisé les plus pauvres et enrichi les plus riches ; ils ont réussi à augmenter la dette publique tout en diminuant notre pouvoir d’achat.
Nous, producteurs de richesses et de valeur ajoutée, en avons assez. Assez d’être pris pour des vaches à lait. Nous n’acceptons plus la mal-gouvernance. Nous n’acceptons plus cette Gauche qui défend les faux pauvres et ces Réformateurs qui ne s’occupent que des vrais riches. Gauche-caviar et Droite-caviar se sont alliées contre nous.
Ensemble, ils défendent le modèle de dualisation de la société qui écrase la classe moyenne pour en faire une classe paupérisée, majoritaire en nombre mais minoritaire en pouvoir, et une classe possédante ultra-minoritaire mais qui truste tous les leviers du pouvoir.
200 ans après la Révolution de 1789, ils veulent refonder une société où les rentiers privilégiés possèdent tout : l’argent et le pouvoir !
Il faut nous y opposer !
Les partis actuels n’ont plus aucune idéologie ; ils n’ont plus que des intérêts clientélistes. Et ce clientélisme est alimenté par l’énorme flux d’argent public redistribué par eux.
La complexe structure étatique belge prend des proportions monstrueuses. Elle ne crée aucune richesse. Elle ne crée que de la dépense financée par ceux qui créent la richesse : nous !
En réalité, il n’y a qu’une seule chose qu’ils ne veulent pas envisager : baisser drastiquement les dépenses des pouvoirs publics. Car le vrai problème est qu’il existe trop de niveaux de pouvoirs, trop d’organes inutiles, trop de subsides distribués. Quand ce n’est pas pour faciliter des accommodements déraisonnables, c’est au bénéfice de patrons apatrides qui sont tous les mêmes : ils prennent l’argent des subsides socialistes et puis s’en vont avec leurs bénéfices.
S’y ajoute une atmosphère négative vis-à-vis des petits entrepreneurs et un nombre toujours plus grand de personnes, dépendantes d’allocations, qui entrent dans le cercle vicieux de l’assistanat.
Si la Belgique est malade, sa justice, elle, est déjà à l’agonie : vols à la tire, vols avec violence, cambriolages,… La Gauche, avec ses amis réformateurs, appelle cela de la « petite délinquance » relevant de « faits divers »…
Alors que la délinquance augmente, les condamnations de délinquants diminuent
Cette attitude laxiste et méprisante pour le citoyen n’est pas pour rien dans un autre chiffre tout aussi révoltant : alors que la délinquance augmente, les condamnations de délinquants diminuent ; sept vols avec violence sur dix restent désormais impunis.
Ils ont fait de la Belgique un pays dans lequel plus aucun village n’est en sécurité.
Dans le même temps, il faut bien constater qu’il est devenu plus grave pour certains d’oublier de boucler sa ceinture de sécurité que pour d’autres de respecter les lois sur le bien-être animal.
Dans vingt ans, si on continue de cette manière, nous aurons l’économie du Bangladesh, la liberté de la presse de la Chine, la violence du Mexique et la même intolérance que l’Iran…
Le gouvernement Di Rupo ? Une officine de relations publiques chargée de nous faire croire que tout va bien, que tout ira encore mieux demain et qu’il abat un travail « titanesque ». Au lieu de mobiliser les meilleurs cerveaux de l’économie pour nous sortir de l’impasse, ce gouvernement préfère convoquer les spécialistes en communication.
J’ai donc la conviction que la politique de ce gouvernement de Centre-gauche n’est pas bonne pour le pays. Car j’ai souvent le sentiment que la plupart des ministres ne vivent pas dans le même pays que nous.
Nos dirigeants ne regardent plus les causes des problèmes, ils ne s’occupent plus que des conséquences. Ils ne font que mettre des emplâtres sur des jambes de bois.
L’actualité nous en donne l’exemple : on s’en prend aux chômeurs sans mettre en place une réelle politique de formation et de reconversion efficace. Pour l’immigration, c’est pareil : on ouvre en grand les portes mais on n’oblige pas les migrants à s’intégrer et à travailler.
Sous l’influence dominante du PS, nous glissons irrémédiablement vers une société socialo-marxiste. La mainmise de l’Etat sur l’économie est réelle et les chiffres sont éloquents : 54 % du produit national brut et 40 % de toute la valeur ajoutée réalisée par le privé sont confisqués par l’Etat.
Ce n’est que parce que la Flandre vote à Droite que nous échappons actuellement à toutes les conséquences des choix faits par les partis au pouvoir.
Qu’en sera-t-il lorsque Bart De Wever et la N-VA auront définitivement largués les amarres avec les francophones ?
Plus d’un million de chômeurs
Malgré toutes les manipulations de chiffres, la courbe du chômage fait de l’ombre à l’Everest. Chacun sait que le chiffre réel est de plus d’un million de chômeurs ; cela concerne aussi la Flandre qui est championne pour camoufler ses vrais chiffres.
Le nombre de faillites a explosé ; mais pour Joëlle Milquet, la priorité est de ne plus utiliser le terme « allochtone ».
En réalité, c’est l’ensemble du tissu économique belge qui est mis à mal. Il faut, face à cette situation dramatique, constater l’inutilité totale de tous les plans concoctés par nos « excellences » ; ils n’ont servi strictement à rien, sauf à ruiner le pays à coup de milliards.
Quand on voit l’état de l’économie wallonne, les résultats honteusement nuls des plans Marshall, Marshall 2.vert, Horizon 2022 et autres fumisteries « dirupesques », on part d’un rire gras quand ces politiciens nous parlent de leurs compétences !
En réalité, nous payons aujourd’hui l’immobilisme du fameux « consensus à la belge ».
Il est urgent d’imaginer un choc systémique en matière d’énergie, de fiscalité, de sécurité sociale, de coût des services publics et de coûts salariaux.
Il est temps de revoir totalement notre système. Il est urgent d’imaginer un choc systémique en matière d’énergie, de fiscalité, de sécurité sociale, de coût des services publics et de coûts salariaux. Car celui qui dit que la Belgique n’est pas confrontée à ces problèmes ne veut pas voir la réalité en face.
Pour qu’il y ait des emplois, il faut évidemment qu’il y ait d’abord des employeurs, une espèce en voie de disparition dans un pays qui compte plus de mille faillites tous les mois à cause de l’irresponsabilité cumulée des pouvoirs publics, voraces de notre argent, et des banquiers avares du leur, sauf quand il s’agit de le faire partir en fumée dans des spéculations indécentes et de demander ensuite à la population de les renflouer.
Osons le dire : c’est la rente qui doit être combattue, pas l’esprit d’entreprise.
Ces partis ont décidé d’appauvrir l’enseignement et font la promotion des écoles « poubelles ». On n’a pas entendu un seul d’entre eux se scandaliser devant les containers rebaptisés « salles de classe », avec un cynisme qui est une gifle à l’un des plus beaux métiers du monde : enseignant.
Ainsi a-t-on appris qu’une économie de 22 millions d’euros sera réalisées dans l’enseignement tandis que la gare de Mons, dépense inutile parmi les dépenses inutiles, coûtera la bagatelle de 155 millions d’euros. Mons, vous savez cette ville connue jusqu’à l’ONU…
Le manque d’employeurs privés provoque une autre plaie de ce pays : la pauvreté.
Le chiffre choc, c’est que 12 % de la population vivent désormais sous le seuil de pauvreté. C’est scandaleux et il faut pouvoir remettre en question le système d’assistanat qui en est le vrai responsable.
Près d’un francophone sur trois ne va plus chez le médecin
Autre chiffre terrible : près d’un francophone sur trois ne va plus chez le médecin, sauf à la dernière extrémité : il ne peut plus payer. Mais pour Joëlle Milquet, la priorité est de ne plus utiliser le terme « allochtone ».
Cet hiver, plus d’un Belge sur trois aura froid
Cet hiver, plus d’un Belge sur trois aura froid parce qu’il ne peut plus se payer une énergie de plus en plus chère. Malgré les rodomontades de Melchior Wathelet, la Belgique pourrait être plongée dans le noir, électricité coupée, parce que, grâce aux Ecolos et aux affairistes, le contrôle du gaz et de l’électricité est passé dans des mains qui ne se soucient que d’encaisser de gros bénéfices.
Jamais et nulle part ailleurs on n’a autant bradé les richesses d’un pays. S’y ajoutent les lubies des bobos soixante-huitards écologistes dont l’influence néfaste va provoquer encore plus de pauvreté.
Pourtant, dans les années ’70, nous avions quasiment vaincu la pauvreté. Mais la Gauche ne l’a pas supporté : comment survivre politiquement sans pauvres ? Alors la Gauche a imaginé le transfert de pauvreté et a ouvert en grand les portes de l’immigration.
La Belgique est donc un pays formidable : elle attire les pauvres et les riches du monde entier mais laisse partir ses diplômés vers d’autres cieux : ils sont plus de 25.000 tous les ans.
C’est la déficience générale de la réflexion politique et intellectuelle qui aboutit au constat de faillite de la société belge.
Nous vivons, en fait, une régression généralisée, comme si la démocratie que nous avons construite ces deux derniers siècles avait atteint un pic et se trouvait sur la pente descendante.
Le changement doit être proposé face à l’inertie de ces partis arrogants qui se croient investis de droit divin et qui n’ont qu’une seule stratégie : le pouvoir à court terme, c’est-à-dire la vision à court terme.
A nous de fournir les idées nouvelles dont le pays a cruellement besoin. La période les réclame.
Et nous allons en proposer qui seront innovantes pour la société, pour l’économie et pour les finances publiques.
La Gauche ne veut pas que la Droite soit la Droite
Mais la tâche ne sera pas facile car, dans ce pays dit démocratique où le vote est obligatoire, tout ce qui est à Droite du clan PS-CDH-ECOLO, et récemment MR, est directement taxé d’extrême. Pourquoi ? Mais parce que la Gauche ne veut pas que la Droite soit la Droite. Parce que la Gauche ne veut pas que la Droite puisse exister, parce qu’elle a peur que son monopole intellectuel soit remis en cause par la Droite.
Il faut pourtant du sang neuf, du sang fort dans ce médiocre paysage politique. On ne peut plus continuer à croire que la Gauche est le camp du Bien, de la Vérité ou de la Tolérance.
Nous devons affirmer notre attachement fort à la construction d’une société libre et égale, débarrassée des confrontations religieuses et philosophiques d’un autre siècle.
Il faut en revenir aux fondamentaux, au retour aux sources, en faisant une politique qui intéresse les classes moyennes, de l’ouvrier à l’indépendant en passant par le fonctionnaire.
Nous devons être les architectes d’une réforme fiscale sans précédant. Les changements structurels que nous proposerons doivent permettre de mettre fin aux montagnes de subventions qui appauvrissent les contribuables !
Il faut oser proposer de déréglementer car nous avons trop de normes et ces normes tuent nos libertés et notre richesse.
Un système obsolète de financement de la sécurité sociale
A l’arsenal réglementaire qui empiète sur notre vie quotidienne et notre liberté individuelle s’ajoute un système obsolète de financement de la sécurité sociale, un maquis fiscal qui n’est plus que l’addition de privilèges divers et un abandon complet de toutes les obligations régaliennes d’un Etat moderne.
Mais il y a le reste, tout le reste, qui ne demande pas d’argent mais du courage : l’imagination et la volonté d’une politique capable d’élever le pays au-dessus de lui-même face aux défis qui l’assaillent.
L’action, la détermination et l’intelligence des Belges ont suffi, dès la fin du 19ème siècle, à faire de la Belgique une puissance économique respectée, la 7ème de la planète. Notre génération se doit de hisser à nouveau notre pavillon parmi ceux des premières puissances économiques.
© Aldo-Michel Mungo
Porte-parole de LA DROITE
Discours prononcé lors du Conseil Général du 25 novembre 2012 www.ladroite.be/VideoView.aspx?VidId=7
Excellente analyse !
Copie conforme de la situation chez nous, il suffit de remplacer Belgique par France et tout y est.
Tout à fait, nous avons vécu(et vivons) la même situation !
On ne pourrait dire mieux….Remplacez Belgique par France et on y est pil-poil….Voici ce que j’ai recu de la part de l’espress apres un commentaire fait au sujet de ….ce meme sujet avec gerard Depardieu en fond.
Bonjour, Votre message posté le 24.12.12 17h14 a été modéré. Merci de ne pas tenir de propos racistes sur notre site. Bien à vous, Pour plus d’informations sur notre politique de modération, vous pouvez lire notre charte des commentaires en cliquant sur : http://www.lexpress.fr/outils/charte.asp Eric Mettout Rédacteur en chef LEXPRESS.fr 01 75 55 14 66 [email protected] PS: Votre message N° 99733991 était: ————————————— Cette Gauche Frileuse qui veux nous donner des lecons de conduite, mais nous amene directement a la faillite, qui laisse les porte grande ouverte a une emigracion impossible a controler et a nourrir. Un G.Depardieu qui a Paye 145 milions d’Euro d0impot, et qui veut sauver son patrimoine gagné durement par son talent et son Travail, est ce que ces Messieur de la gauche peuvent-il en dire autant? Non ils vivent des impots payes par les entreprises “Capitalistes”, celle meme qui donnent du traviail au francais, pas de ceux qui taxe le travail au lieu de le liberer. Ce n’est pas les gents de l’imigration qui produisent, ceux la vivent des aides sociales, et ne prduisent rien de rien mais coute a l’etat francais, paye par les impots des travailleurs francais, tu as raison Gerard Casse toi avant qu’il ne soit trop tard. Vive la France travailleuse et riche de son patrimoine culturel. —————————————
Ce Mettout est un sale type, menteur et hypocrite. Vos propos ne sont pas racistes, mais ils ne sont pas acceptés par la pravda française.
Le lien ne fonctionne pas.
“200 ans après la Révolution de 1789, ils veulent refonder une société où les rentiers privilégiés possèdent tout : l’argent et le pouvoir !”. Que faisons-nous du baronnet Henrikiki de Frahan alors? Dans un discours diffusé en video sur dreuz il y a quelques semaines, cet individu au charisme d’un cercueil venait geindre sur sa déclaration fiscale. Non mais. Il n’y avait aucune analyse: références au droit naturel et références religieuses à tout ce qui relie l’homme à la Liberté. Guy Millière, Michel Garroté, JPG, GWG établissent régulièrement ces liens et contribuent avec les commentateurs au travail de la pensée. Chez le baronnet, rien de tout ça. Y paie trop d’impôts. Et alors? Moi aussi. Nous aussi. Pour un état dont les “services publics” ne sont pas et ne seront jamais à la hauteur sauf pour confisquer. En anglais, on appelle ça “a self-serving organisation”, la meilleure définition de l’état dans la social-démocratie. C’est un argumentaire qu’il nous faut. Pas un baron du café du commerce, un de plus. Mais ici je vois avec grand plaisir que tout le monde dans la bande du “baron révolutionnaire de basse-cour” ne lui ressemble pas puisque vous apportez ici enfin une excellente analyse politique, économique, sociale et historique de la situation en Belgique. Je vous en remercie de tout coeur. Il est temps que tout cela soit formulé sur base des réalités et de la vérité historique, càd. hors des pseudo-bouquins publiés par les éditions Racines (du mal?) ou Luc Pire (“Luc y a pas pire” en effet), éditeurs du PS et de la gôôche bien-pensante (CDH, MR) et extrémiste (PTB, FN, Ecolo-Groen, les spiripitres de la SPA-Spirit), mais toujours indécrottablement étatiste.
http://www.rtl.be/info/belgique/politique/968723/mark-eyskens–l-independance-de-la-frandre-serait-une-catastrophe-
Voilà que l’ancien PM belge, le Social-Chrétien flamand (mais francophone) Mark Eyskens vient déclarer sa méfiance face à la NVA prétendant que “l’indépendance de la Flandre serait une catastrophe”. Mais une catastrophe pour qui? Si n’est pour la démocrassie héréditaire dont lui-même, fils à papa de Gaston Eyskens, est un pur produit. Ce phénomène se passe des deux côtés de la frontière linguistique avec en Flandre les De Croo (VLD-pseudo-Libéraux, les Tobback (SPA-Spiripitre) et en Wallonie avec la mafia Michel (MR-pseudo-Libéraux), Mathot (PS), Daerden (PS), Ducarme(rican Express-MR/MdR), Wathelet (CDH-peudo-Social-Chrétien), etc. Ce tartuffe de Mark Eyskens qui est toujours fier comme un paon sans sa flute me rappelle un peu de Funès dans L’Avarre lorsqu’il drague les jolies dames en faisant la roue. Pourquoi Tartuffe? Parce qu’il se contredit sans cesse. Ainsi il termine son interview par ses mots: “J’espère que la 6ème réforme de l’Etat sera la dernière. On ne peut pas continuer à réformer l’état belge.” Exact, mais peut-on continuer l’Etat belge tout court? Ca, c’est la vraie question. Par ailleurs, la Nouvelle Alliance Flamande, la NVA, de Bart De Wever souhaite vivement la réforme fiscale en profondeur dont il est question dans le texte ci-dessus. Où est le problème? Cela va bien au-delà des querelles linguistiques qui sont dépassées. La stratégie De Wever, bourgmestre d’Anvers, c’est ceci: “First we take Antwerp, then we take Flanders”. Que la Wallonie rouge crève!
TEST , le dépôt d’un commentaire ne fonctionnant pas sur mon PC tout à l’heure .
Les Flamands ne souhaitent pas que la Wallonie “crève” mais qu’elle se débrouille avec ses propres moyens et ses propres problèmes… Pas “ennemi”, mais simplement “pas concernés”…
Monsieur Bébert Cobourg, mieux connu sous le sobriquet d’Albert II Roi des Belges ou encore Papa Officieux de Delphine Boël, princesse de la sculpture en papier-mâché, en rajoute une couche. Il s’en prend à la NVA lors du traditionnel discours de Noël. Il insulte la Flandre, seule productrice de la richesse du pays et dont la population est largement majoritaire. C’est à mourrir de rire. Allez, Bébert, continue comme ça. La fin n’est plus très loin. On attend 2014 avec grande impatience. Je dirais même avec une impatience toute malsaine, impitoyable et très cruelle.
http://www.rtl.be/info/belgique/politique/968687/volee-de-critiques-en-flandre-contre-le-discours-engage-d-albert-ii
Test de commentaire…
2 problèmes que vous n’évoquez pas, le travail et le business au noir, les immigrés et leurs nouveaux élus ?
En tout cas les jeunes filles disparues e France , c’est pas Di-rupo , lui il aimerai beaucoup de pauvres garçons de préférence…
Albert II Roi des Belges faisait allusion dans son traditionnel discours de Noël aux années trente en référence au populisme de la NVA, seul parti de Droite et seul parti réformateur en Belgique et en Flandres. Pendant ce temps, le Roi des Belges reçoit une augmentation de 300.000 euros sur sa Liste Civile http://www.rtl.be/info/belgique/familleroyale/968697/le-roi-recevra-une-augmentation-de-300-000-euros-l-an-prochain et la chancellerie du Premier Ministre Di Pauvre, le Duce de Mons, publie les photos du Prince Philippe et de sa nombreuse marmaille. Solidarité entre pédés sans doute http://www.rtl.be/info/belgique/familleroyale/968809/la-chancellerie-du-premier-ministre-publie-des-photos-du-prince-philippe-et-de-sa-famille. A vot’ bon coeur, M’sieurs Dames. Je paie des impôts pour nourir ces cons. Alors, j’ai le droit de tout dire, absolument tout. Si je dois me taire, alors d’accord. Mais alors, plus d’impôts du tout. C’est simple. Personnellement, je préfère la seconde solution.
J’entends les news en faisant la vaisselle. Tous les démagogues des partis populistes francophones défendent tour à tour le bouffon Albert II et sont indignés devant les critiques des méchants Flamands quant au discours arrogant et mensonger de ce souverain inepte soi-disant “ami des petites gens” mais dont le pognon est bien planqué en Suisse au cas où. On n’a évidemment pas demandé à la NVA, ni aux autres partis traditionnels flamands ce qu’ils ont à dire sur le sujet. Le PS wallon n’est pas ni parti réactionnaire, ni ultra-conservateur, ni populiste, lui qui ne fait que dénoncer et rejeter la faute sur les autres (les banques, le capitalisme, les chômeurs, les riches, etc.). Mais la Belgique est un pays où il fait si bon vivre, avec un souverain si juste et si bon, qui trouve toujours les mots qui font mouche (à caca?) avec la complicité de son Duce Rupolini. Il n’y a pas de culte de la personnalité non plus. Quel pays de gagas moyennageux!!! A quand un remake belge des “Trois Mousquetaires” avec Gérard Depardieu ou de la “Décharge de la Brigade Légère” avec Gaylio Rupolini et Philipédé Cobourg. La pire classe politique d’Europe, on vous dit, à part sans doute en Moldavie et en Biélorrusie.
A lire cet article,j’ai cru qu’il s’agissait de l’etat de la France.
OUF!!! j’ai eu chaud…cela n’est pas prét d’arriver chez nous..c’est pas possible…pas possible…pas possible.
Possible ?????
JPG: je suis assez étonné du faible nombre de commentaires. Où sont les Belges? Quand c’est pour critiquer les USA, la France, le capitalisme, Israël ou le Vatican, on n’entend qu’eux. Mais quand il s’agit de dire ce qu’on pense du minuscule pays à ministres et à parlementaires profiteurs qui veulent donner des leçons aux Congolais et aux Kazakhs corrompus, au méchant climat qui ne se réchauffe qu’en Belgique ou à Berlusconi parce qu’il baise trop (alors que la gauche n’en rate jamais une au point de vue du “progrès” en matière sexuelle), on ne les entend plus. Est-ce si difficile de balayer de temps en temps devant sa porte?
“JPG: je suis assez étonné du faible nombre de commentaires.” : Je vous livre une info, le nombre de commentaires n’est pas proportionné au nombre de lecteurs d’un article. Tellement pas qu’il est impossible d’en tirer une règle.
Eh bien, que ces chers lecteurs lisent encore ceci. Avec tous mes respects à Mme la Sûreté de l’Etat qui me fait très peur. Au lieu de surveiller qui intervient sur dreuz, elle ferait mieux de s’occuper des banlieues de Bruxelles, d’Anvers et de Malines. Moi, je me marre et ne veux de mal à personne, sauf que ce que j’ai à dire, je le dis. Point barre. Ceci fait suite au discours du génie de Laeken, qui officie comme Roi des Francophones, et qui s’en prend à la Flandre et surtout à la “méchante” NVA.
Bart De Wever veut retirer son rôle politique au Roi
Il avait été discret hier, il en dit plus aujourd’hui. Selon lui, Albert II “a choisi le chemin d’une royauté de division” et plaide pour qu’à l’avenir, aucun souverain belge ne joue plus de rôle dans la formation du gouvernement. Côté francophone, c’est l’unanimité: le Roi a fait un discours “normal”, sans outrepasser son rôle.
Bart De Wever, président de la N-VA et nouveau bourgmestre d’Anvers, a réagi jeudi au discours de Noël d’Albert II. Dans le quotidien De Standaard et dans une intervention télévisée évoquée par De Morgen, M. De Wever plaide notamment pour que la formation du gouvernement soit désormais confiée au Parlement et non plus au Roi.
“Pas au-dessus de la mêlée”
“Le souverain doit être au-dessus de la mêlée politique afin de pouvoir représenter l’ensemble de la nation. (…) Mais Albert II ne remplit pas correctement ce rôle. Il a choisi le chemin d’une royauté de division. Son message de Noël en constitue un triste sommet”, déclare en substance M. De Wever.
“Les choix politiques de Léopold III, père d’Albert II et colllaborateur notoire, ont mené le pays au bord de la guerre civile”
Le nationaliste flamand renvoie à son tour aux années de guerre. A l’époque un souverain “a pris des libertés avec sa neutralité. Léopold III a voulu poser des choix politiques, (….) et ceux-ci ont mené le pays au bord de la guerre civile. Léopold III a finalement été contraint à l’abdication et le maintien de la royauté en Belgique est dû à un soutien massif de la région flamande.” “Une royauté politique est incompatible avec la démocratie”, ajoute M. De Wever.
Une pique pour le Duce Rupolini
Ce dernier fustige également le Premier ministre et Duce wallon Benitélio di Rupolini, qui a contresigné le discours du souverain, lui accordant ainsi la couverture du gouvernement.
Retirer le rôle du Roi dans la formation d’un gouvernement
Bart De Wever souhaite que le Roi ne joue plus aucun rôle dans la formation du gouvernement après les prochaines élections législatives. D’après lui, la formation devrait être confiée au Parlement. Le président de la N-VA estime que cela est par ailleurs possible sans modification de la Constitution.
Les Francophones défendent le Roi des Francophones
Le Duce et régent du royaume Rupolini a pris la défense du Roi des Francophones hier. Il a répondu aux critiques du Nord du pays, évoquant un “discours humaniste, généreux et préventif”. Rappelant aussi que le Roi ne citait aucune formation politique.
Le Roi a prononcé un discours qui entre “parfaitement” dans le cadre de ses prérogatives, selon le constitutionnaliste et sénateur cdH Francis Delpérée (qui rime avec diarrhée). “Il y a une fonction traditionnelle qui est reconnue au Roi, celle d’avertir, par exemple contre les dangers du populisme et du séparatisme”, a-t-il expliqué. Son discours “répond parfaitement” à cette fonction, d’après lui. Le Roi “ne peut pas tolérer la stigmatisation systématique d’une communauté par une autre”, a ajouté M. Delpérée.
Ce que le p’tit Francis, prof. d’univ. social-chrétien et démagogue-constitutionnaliste, oublie, c’est que la Wallonie profite des transferts nord-sud depuis plus de 40 ans, sans réforme économique, malgré les promesses faites à la Flandre pourtant solidaire. On se contente de redistribuer le pognon des autres, celui des Flamands et de l’Europe, à cette “pôôf Wallonie” qui tente toujours, même après la chute libre de l’URSS et l’instauration du capitalisme en Chine et au Vietnam, de construire le socialisme. Qui parle de stigmatisation, imbécile va?
Pour Laurette Onkelinx, la vice-Première et louve des PS, cette prise de position du Roi dans son discours de fin d’année est assez habituelle, tandis que Charles Michel, le président du MR/MdR, évoquait hier un discours “normal” du Roi des Francophones.
On laisse à ses andouilles la liberté de leurs choix. La Belgique, nouvel Andouillestan ou Pignouffestan?
Voici comment l’argent du contribuable est dépensé en Belgique, le pays où les minus fonctionnaires, ces losers et ratés de la vie, vivent comme des rois.
Abus: les agents de la SWL (Société Wallonne du Logement) obtiennent des prêts plus avantageux que les pauvres Wallons qu’elle “aide”…
La gestion interne de la Société Wallonne du Logement est une nouvelle fois critiquée par la Cour des comptes, au travers d’un rapport confidentiel sur la gestion des ressources humaines, rapporte jeudi La Libre Belgique (torchon gauchiste).
27 Décembre 2012
http://www.rtl.be/info/belgique/societe/968921/abus-les-agents-de-la-swl-obtiennent-des-prets-plus-avantageux-que-les-pauvres-wallons-qu-elle-aide
La Cour critique avant tout les avantages octroyés au personnel de l’organisme public régional chapeautant le secteur du logement social en Wallonie. “La SWL a octroyé à son personnel, sur la base de décisions de son conseil d’administration, un certain nombre d’avantages non prévus dans le Code wallon de la fonction publique ou le Code wallon du logement. Elle a ainsi accordé à certains de ses agents, directement ou par l’intermédiaire d’autres sociétés qui lui sont liées, des prêts hypothécaires à des conditions plus intéressantes que celles accordées aux particuliers à revenu modeste, public cible de la société. Des prêts personnels et des prêts voitures ont également été accordés.” Les abus déjà révélés en matière d’usage par les agents de la SWL des cartes carburant sont également dénoncés par le nouvel audit, souligne La Libre.
Instaurer un contrôle strict
“Un contrôle strict devrait être instauré pour éviter ces abus. D’une manière générale, de nombreux avantages accordés par la SWL à ses agents le sont sans base réglementaire adéquate”, relève encore la Cour des Comptes. Cette dernière revient aussi sur la situation “entachée d’irrégularités” de nombreux agents de la SWL.
Le patron de la SWL met le rapport en doute
Le directeur général de la Société, Alain Rosenoer, a réagi à ces critiques dans une note explicative transmise aux membres du CA. L’homme a notamment remis en cause la légitimité du rapport, celui-ci n’ayant pas été cosigné par le réviseur en charge du contrôle des comptes de la SWL. M. Rosenoer doute également de la méthode de la Cour qui ne fait pas de commentaires par rapport aux contre-explications données par la SWL.
Pour info: Alain Rosenoer (en français: “pute à roses” rouges comme le socialisme-caviar) a été chef de cabinet de Robert Collignon, Ministricule-Président de la Région Wallonne. Ce petit bonhomme d’1 mètre 60cm sans les talonnettes a été fort proche de Pascale Delcominette (un nom qui ne s’invente pas) chef de cabinet-adjoint de feu Michel Daerden, l’ivrogne liégeois et ancien ministricule du “Budget” de la Région Wallonne. La crasse est souvent orpheline, mais n’est jamais seule. Dénoncer toute cette boue, c’est évidemment du fascisme et du populisme…Nous sommes donc tous z’égaux en Wallorussie. Pour les idiots utiles qui y croient encore. Que la Wallonie rouge crève!!!
http://www.rtl.be/info/belgique/faitsdivers/969146/le-bonheur-de-ludivine–je-ne-pensais-pas-qu-il-y-avait-encore-autant-de-solidarite-
Voilà le vrai visage de la solidarité. Ca, c’est la Belgique que j’aime et respecte. Mais où étaient donc l’état et tous nos boufons socialistes, nos princes royaux et autres pitres de la grande gauche morale? Trop occupés à palper le gros chèque et à s’empifrer de caviar sans doute? Ah les crapules.
J ai bcp aimé le Bénitilio Ruppolini.Quelle tragique dérision!!!!!!Un stalinisme à la rose,bientot ensanglantée.la belgique sous ce regime est le modele meme de la collaboration nazislamisme,voire l anticipation à la manière de la france avec le vel d’Hiv et drancy.A la difference que ce n est plus que les juifs qu elle sacrifie,mais bien toute la population qui rejette ces politiques.Les socialistes ont eu parmi leurs rangs le plus grand nombre de collaborateurs et de boureaux!!!!Et ca continue….Il n y a plus d’idéologie de justice sociale,mais bien une idéologie fascisante.
Ils s étonnent que N-Va grandisse?Qui a commencé?
Sondage: les Flamands d’accord avec De Wever pour supprimer le pouvoir politique du Roi.
http://www.rtl.be/info/belgique/politique/969345/sondage-les-flamands-d-accord-avec-de-wever-pour-supprimer-le-pouvoir-politique-du-roi
Que cette pantalonade finisse. En attendant les élections de 2014…
Que la Flandre se libère enfin de la camisole de force socialo-francophone qui tient encore la Belgique par quelques vieilles toiles d’arraignée et une arrogance d’un autre temps. On va faire les poussières bientôt: d’abord une confédération façon Suisse en 2014 et en 2020, on largue les amarres. Il restera à la Wallonie un grand PS et on pleurera avec elle façon Caliméro: “C’est trop injuste”. Mais la Flandre a tout son temps.
Ceci n’est pas un poisson d’avril. En tout cas, je suis mort de rire. Vive la NVA. Je n’ai aucun regret: que la Walbanie crève!!! Cet article est à relancer pour que les Belges, le peuple le plus brave, le plus couillon et le plus vaniteux de la aulle, voient ce qu’est vraiment leur beau pays de bouffons.
Une fondation en hommage à Michel Daerden, défunt ministricule du P$ wallon? Pour mettre en avant “la saine gestion des finances publiques”.
http://www.rtl.be/info/belgique/politique/969697/une-fondation-en-hommage-a-michel-daerden-pour-mettre-en-avant–la-saine-gestion-des-finances-publiques-
Frédéric Daerden compte créer une fondation en l’honneur de son père, Michel Daerden disparu cet été. Elle récompensera ou soutiendra le travail d’un étudiant dans le domaine des finances publiques.
31 Décembre 2012
Frédéric Daerden envisage de créer une fondation en hommage à son père, l’ex-ministre Michel Daerden, décédé le 5 août à Fréjus, rapportent les quotidiens Sudpresse lundi. Cette fondation Michel Daerden mettrait en avant “la saine gestion des finances publiques”.
Une bourse annuelle pour un étudiant
Frédéric Daerden, bourgmestre de la ville d’Herstal, explique que cette fondation aurait pour but d’organiser un colloque ou une journée d’études sur les finances publique chaque année. Il envisage également de financer une bourse annuelle pour des travaux relatifs à ce sujet ou de récompenser un étudiant ayant réalisé une thèse sur les finances publiques. Frédéric Daerden ajoute qu’il espère que tout sera mis en place pour la fin de l’année 2013.