Publié par Jean-Patrick Grumberg le 26 décembre 2012

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Il s’est passé des choses horribles, en France et ailleurs, ces deux derniers jours. A tort ou à raison, j’ai choisi, parce que je ne voulais pas gâcher la fête de Noël, de ne pas en parler.

Je rattrape donc le retard, et reprend la diffusion de ces faits de sociétés, relégués par les médias au rang de “faits divers” pour faire oublier que beaucoup d’entre eux sont le résultat direct de la politique de remplacement du peuple européen.

Le jour où le gouvernement cessera de mentir sur la malchance pour la France d’avoir encouragé cette immigration sous-éduquée, sous-cultivée, incapable, dans ses pays d’origine, de créer une économie, une démocratie, un cadre de vie respectueux des droits de l’homme, et une société sans terreur, je cesserai de tenir cette rubrique de faits de société. C’est pas demain…

Nice 5 heures du matin, un policier en civil de 24 ans rentre chez lui après le service et s’arrête dans une station-service à Nice pour mettre de l’essence dans son scooter.

Cinq hommes d’origine cap-verdienne s’approchent, lui sautent dessus, l’agressent et le rouent de coups de pieds et de coups de poings.

Le policier décline alors sa fonction, et ses agresseurs redoublent de violence. Le policier, frappé à terre, réussi à s’extirper, mais ses agresseurs le rattrapent, le saisissent, et le fracassent au travers de la vitrine d’un salon de coiffure.

Il souffre de multiples contusions et d’une fracture du nez.

Pendant ce temps, cinq autres racailles qui passaient profitent de la scène pour lui dérober son scooter.

Les cinq agresseurs présumés, âgés d’une vingtaine d’années, ont été interpellés et placés en cellule de dégrisement avant de pouvoir être interrogés, a précisé Fabienne Lewandowski, directrice départementale adjointe de la Sécurité publique des Alpes-Maritimes.

« Cette agression gratuite sur fond d’alcool contre un fonctionnaire de police est choquante. Malheureusement, c’est assez fréquent. Le département des Alpes-Maritimes a été durement touché ces derniers mois », a commenté Fabienne Lewandowski.

Le policier a déclaré à Nice matin « j’étais au mauvais endroit au mauvais moment ». Mais si les policier ne doivent pas être aux mauvais endroits aux mauvais moments, qui va protéger les honnêtes gens ?

A quel niveau de violence peut-on considérer que l’Etat n’assure plus sa mission régalienne ? Ce n’est certes pas lui qui vous le dira, ni les bobos qui tiennent les rennes.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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