Pour quelqu’un qui aime les Etats Unis autant que c’est mon cas, il n’est pas facile d’écrire ces mots, mais je le dois. La République américaine est en danger.
Une fuite en avant vers l’inconnu et la destruction
La présidence Obama se révèle, semaine après semaine, plus monstrueuse encore que les plus pessimistes ne pouvaient sans doute l’imaginer, à de rares exceptions près, dont moi-même. J’ai écrit dans Le désastre Obama* (plus que jamais d’actualité, hélas) qu’une réeelection de l’actuel occupant de la Maison Blanche conduirait vers une fuite en avant vers l’inconnu et la destruction : nous sommes dans cette fuite en avant.
Au cours des quatre années passées, Obama a très largement gouverné par décret (executive orders), contournant ainsi les pouvoirs susceptibles d’équilibrer et de surveiller ses décisions : il l’a fait dans des domaines aussi variés que l’environnement, les lois sociales, l’immigration et la justice. Tout indique qu’ils entend continuer, et même accélérer le rythme, avec des objectifs bien précis : avancer à marche forcée vers la « transition énergétique », achever de tuer l’industrie du charbon, asphyxier autant qu’il le peut des activités pétrolières et gazières du pays, accélérer la régularisation des immigrants clandestins, contraindre le plus grand nombre d’entreprises possibles à rentrer dans le cadre de l’Obamacare en les obligeants à souscrire pour leurs employés des assurances coûteuses supervisées par le gouvernement fédéral, faciliter encore la possibilité de toucher des indemnités pour incapacité au travail. Obama s’est appuyé pour cela sur sa quarantaine de conseillers spéciaux (tsars) nommés par lui, sans que leur nomination n’ait été ratifiée par quiconque d’autre, et ne rendant compte qu’à lui. Il montre qu’il entend continuer. Il s’est appuyé sur les agences gouvernementales qui dépendent directement de lui pour faire mettre en œuvre ses décrets : il montre aussi qu’il entend continuer. Obama entend radicalement modifier l’économie et la société américaine et modifier aussi l’électorat de façon à créer une majorité démocrate permanente.
Il n’y a jamais eu une tentative par un Président de s’arroger tous les pouvoirs à ce degré, et jamais une tentative de modifier l’économie, la société et l’électorat à ce degré.
Les médias ne jouent plus, depuis longtemps, le rôle de quatrième pouvoir défini par Edmund Burke au temps où il admirait la Révolution américaine, et ils sont (à l’exception de Fox News) aux ordres, étouffant les dossiers que le Président entend voir étouffer, faisant diversion quand il s’agit de faire diversion pour le Président, jouant le rôle de chambre d’écho quand le Président a besoin d’une chambre d’écho.
La Cour Suprême est censée être la gardienne des institutions (Constitution et Bill of Rights) et des principes du droit : elle est, cela dit, composée de juges qui se conçoivent comme gardiens stricts (conservateurs) et de juges qui se conçoivent comme « progressistes ». Les « progressistes » ont été nommés par les Présidents démocrates, à une exception près. Les conservateurs par des Présidents républicains. Pour l’heure, il y a, normalement quatre conservateurs, quatre « progressistes », et un indécis (Anthony Kennedy) dont les positions font pencher en général la balance d’un côté ou de l’autre. Au cours des quatre années qui viennent de s’écouler, deux « progressistes » ont été remplacés par des gens plus à gauche qu’ils ne l’étaient, par décision d’Obama. La composition de la Cour n’a pas changé, même si elle a pris une couleur politique plus rose foncé. Il est très vraisemblable que plusieurs juges vont quitter la Cour suprême dans les quatre années à venir, et il est possible qu’un conservateur (Antonin Scalia, 76 ans) et l’indécis (Anthony Kennedy a 76 ans aussi) se retirent, ce qui permettrait à Obama de les remplacer par des « progressistes » très à gauche. Une « progressiste », Ruth Bader Ginsburg a 79 ans, et pourrait être remplacée par un ou une « progressiste » plus jeune. Lorsque l’Obamacare est passé devant la Cour Suprême l’été dernier, on a vu que l’un des hommes censés être un conservateur (John Roberts) avait changé de position, ce qui a permis à la loi d’être validée. Si la Cour, qui compte neuf juges, passe à une composition où il y a un ou deux « progressistes » de plus, et se trouve rajeunie, elle deviendra une simple chambre d’enregistrement de toutes les décisions prises par Obama, ou ses successeurs. Les juges à la Cour Suprême, faut-il le préciser, sont nommés à vie. Les deux « progressistes » nommées par Obama ont vingt ans de Cour Suprême devant elles, et seront encore là en 2030 : Sonia Sotomayor a 58 ans, et Elena Kagan 52 ans.
Le Sénat est, d’ores et déjà une chambre d’enregistrement qui, sous la férule de l’abominable Harry Reid, fait exactement et quasiment toujours ce qu’Obama attend de lui, mensonges et manipulations de son cru en prime.
La Chambre des représentants ne joue pas son rôle
Il reste donc une seule institution susceptible d’empêcher que les Etats-Unis ne glissent vers un chemin aux allures d’autocratie et de dictature qui ne dirait pas son nom et pour qu’Obama ne soit pas en position de dictateur pour les quatre années à venir, et pour la préparation d’un successeur démocrate : la Chambre des représentants, qui reste à majorité républicaine.
Malheureusement, la Chambre des représentants ne joue pas son rôle.
En 2010, un élan de révolte était monté du peuple américain, avait donné les « tea parties » et un changement de majorité à la Chambre. Depuis, le Parti républicain a repris la situation en main. Un nombre important de représentants républicains sont des gens d’appareil, des « modérés », et se rapprochent de ce que les conservateurs aux Etats-Unis appellent les RINO (Republicans In Name Only) : ces gens ont engendré, largement, de la déception, et c’est ce qui explique que l’élan des « tea parties » soit retombé en 2011 et 2012. Ils ont vite choisi un favori pour la course présidentielle : Mitt Romney. J’ai douté de celui-ci, le considérant comme un RINO. J’ai voulu, quelques semaines, penser qu’il ferait l’affaire, particulièrement après qu’il ait choisi Paul Ryan comme candidat à la vice-présidence. J’ai tenté de m’expliquer à moi-même sa stratégie et pourquoi il avait mené le troisième débat présidentiel comme il l’avait fait, mais j’ai eu beaucoup de mal à me convaincre. Les propos que lui ou son entourage ont pu tenir depuis l’élection m’ont montré pourquoi j’avais eu du mal à me convaincre : il est resté, fondamentalement, un RINO. Il aurait été moins pire qu’Obama, c’est tout ce qu’on peut en dire, mais il s’avère qu’il y a eu un déficit d’enthousiasme envers lui, et les conséquences sont là. Les RINO, guidés par Mitch McConnell, dirigeant de la minorité républicaine au Sénat et par John Boehner, Speaker of the House, sont sortis du bras de fer qui les a opposés à Obama à l’été 2011 avec un compromis bancal et une date fatidique, le 31 décembre 2012. Ce qui devait se déclencher à ce moment là est le célèbre « fiscal cliff », falaise fiscale. Les RINO pensaient avoir obtenu un texte sur la base duquel ils pourraient négocier le moment venu, avec un éventuel Président républicain, ou Obama. Ils pensaient encore, quand Obama a été réélu, voici deux mois, obtenir un compromis et ont négocié en ce sens. Ces négociations ont été vaines. Obama a un esprit totalitaire, et il veut donc tout, sans rien concéder.
Un texte a été voté in extremis évitant le « fiscal cliff », et, provisoirement, une grave récession, mais constituant une forme de reddition sans condition des Républicains à Obama. Aucune coupe dans les dépenses, qui augmentent à une vitesse vertigineuse et poussent le pays vers la banqueroute, n’a été décidée : Obama voulait couper dans un seul budget, le budget militaire, et il n’y a pas eu de coupe dans le budget militaire pour le moment, mais Obama peut attendre.
Soixante pour cent de la dette du pays a été créée depuis janvier 2009, sous Obama
Les impôts des classes moyennes et des moins aisés sont restés en l’état, en apparence, comme Obama le voulait, mais vont néanmoins augmenter en raison de la création de multiples nouveaux prélèvements, dont ceux issus de l’Obamacare. Les impôts des plus riches, entrepreneurs et investisseurs et les impôts sur les investissements, eux, subissent une très forte augmentations : comme Obama le voulait. La grave récession est évitée, provisoirement, mais l’épargne, l’investissement, la croissance et l’emploi vont rester en berne, et la dette va continuer à croître. Soixante pour cent de la dette du pays a été créée depuis janvier 2009, sous Obama. Le gouvernement américain emprunte 46% de l’argent qu’il dépense en ce moment, 54% seulement étant couvert par impôts et taxes.
Le plafond de la dette, réévalué en 2011, va se trouver atteint très bientôt, ce qui va donner lieu à de nouvelles négociations.
Le texte évitant le « fiscal cliff » est provisoire et vaut pour deux mois : il y aura donc aussi renégociation sur le texte.
Si les Républicains continuent sur la lancée qui est la leur présentement, on peut s’attendre à une débâcle dans les deux mois à venir. Ceux d’entre eux qui sont issus des tea parties sont, pour l’heure, minoritaires. Ils pourront tempêter : ils risquent néanmoins de rester minoritaires. John Boehner dit avoir reçu le message : cela reste à voir.
Pour l’heure, la population américaine a une très piètre opinion des Républicains
Si les Républicains ne redressent pas la situation assez vite, en 2014, la Chambre des représentants pourrait basculer dans le camp démocrate. Pour l’heure, la population américaine a une très piètre opinion des Républicains. On le comprend aisément. De là à voter pour les démocrates, il y aurait un pas vers les abysses qui serait épouvantable. Mais ce pas n’est pas de l’ordre de l’impossible.
Si la Chambre bascule en 2014 et si tout continue à ce rythme, la République américaine ne sera plus en danger, elle sera proche de l’article de la mort.
Que pourraient faire les Républicains, direz-vous ? Ils auraient pu refuser tout compromis. Et puisqu’ils avaient contribué à créer le « fiscal cliff » par de précédents compromis, ne pas aller plus loin, et voter exactement ce qu’Obama voulait, en expliquant les conséquences qui résulteraient. Là les conséquences seront là, de toute façon, et ils apparaitront complices.
Ils auraient dû, dès 2011, retrouver l’esprit des pères fondateurs, qui était celui des « tea parties ». Il est un peu tard maintenant, hélas.
Ils peuvent toujours, cela dit, expliquer ce qui n’est pas expliqué, et entre autres que oui, la République américaine est en danger, et avec elle le peuple américain, l’économie américaine, la défense américaine. L’heure est grave.
Il manque un George Washington, un Abraham Lincoln, un Ronald Reagan.
A l’heure où il agonise à Cuba, Hugo Chavez peut au moins se dire qu’il y a, à la Maison Blanche, un homme qui aime autant les Etats Unis que lui ou les frères Castro, et à la tête du Parti Républicain, des gens qui n’ont sans doute pas la stature requise.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info
Je commence à me demander si Obama ne sera pas à la République américaine ce que Marius fut à la République romaine.
Auquel cas même un sursaut républicain ne la sauvera pas.
Sinon encore merci, cher monsieur Millière, de cette analyse.
Cette liberté de nuire dont jouit Barry/Barack Hussein est presque invraisemblable et pourtant… Quatre petites années, un seul mandat, et Obama/Soetoro a franchi le palier supérieur vers la désintégration du modèle démocratique américain. Fast and furious. Basculement éminemment conditionné par 9/11 bien sûr, la gouvernance par décret ayant fait son chemin dans les moeurs d’une société choquée et détroussée de sa liberté au passage.
Le mélange de tromperie et d’un bilan calamiteux (déjà vu) allié à son incroyable popularité et à l’indifférence générale(inédit) est stupéfiant. Il serait temps que les Américains se demandent “Who’s that guy, anyway?” au lieu de le laisser foutre le bordel dans leur pays pour en faire bientôt une république bananière.
Who is that guy?C’est la question que je pose et personne ne peut repondre avec certitude.
Pardonnez moi cette comparaison, mais les démocrates américains, ne sont-ils pas finalement aux socialistes français,ce que les républicains sont à la “droite” française ? bref, je veux parler de la médiocrité politique américaine de nos jours, comparable à celle de ceux qui nous “gouvernent” aujourd’hui et leurs redevables fidèles clients-électeurs !
les amerloc l’on voulu il l’ont.
tout à fait d’accord avec vous !
Non seulement ils l’on voulu et l’on,mais pendant au moins une generation ils vont le payer.C’est nous qui allons rigoler et leur rappeller sans cesse pourquoi tout cela est arrive.
Vous ne rigolerez pas longtemps, le monde occidental a souvent eu besoin des USA dans son histoire, et ils ont toujours été présents, si les USA plongent qui viendra au secours de l’Europe en cas de coup dur, le Qatar ? 😀
Bon,c’est vous les Europeens,vous parlez pour vous.Nous les Australiens nous n’avons jamais entendu pour que quelqu’un vienne nous aider.
Bien dit pepe .
Les rires gras de certains nationalistes français bornés me consternent. Ce sont des rires mauvais et médiocres qui se réjouissent du malheur des autres sans voir que l’on est soi-même en train de s’enfoncer jusqu’au coup dans les sables mouvants… Et personne ne viendra dc nous tendre la main pour nous tirer de là mais , au contraire , certains viendront nous enfoncer avec leurs pieds !
Bien dit !
Vous pensez avoir un jour la possibilité de rigoler? Il n’y a plus un seul pays “occidental” qui puisse se permettre de rigoler, la génération bobo a réussie a casser le système de façon permanente.
Pas tous les Américains… Le système électoral pour le Président est un scrutin indirect à un tour. Il favorise les circonscriptions à forte concentration de population (les villes pour simplifier) où depuis des années les minorités raciales sont majoritaires ainsi que les soi-disant progressistes. En fait, et Guy l’a déjà parfaitement bien expliqué, Obama n’est pas exactement le président de la majorité des américains. Un peu comme Mollande.
En Australie et dans le sud est Asiatique de nombreuses personnes pensent qu’il n’a pas ete reellement reelu et que son election nest due a la fraude electorale.Il en va de meme pour sa nationalite deplus en plus d’individus dans cette region du monde pensent aussi qu’il est ne au Kenya.
Effectivement pas tous les américains et il faut ajouter qu’Obama avait encore face à lui , un candidat faible encore une fois, un Républicain centriste mormon , sans doute mieux que McCain mais faible sur la politique étrangère , ne donnant pas de vision ou de projet pour les USA et surtout craignant d’attaquer Obama sur sesd nombreux points faibles et mzensonges
en effet ! L e probleme c’est que cela ne restera pas sans effet sur l’Europe, seul les Chinois vont etre les grands beneficiaires des decisions de ce singe.
Le chaos a venir aux US est inevitable, guerre civile. Ob a prevu le coup cela s’appel le Home land security, la securite interieure si ca ce n’est pas la dictature a venir. Ces sympatiques garcons du HLS ont fait provision en 2012 de 430 millions de balles a tete creuse sachant que d’etre touche par ce type de produit la lethalite est assuree soit directement soit par hemorragie.
Désolé mais ce genre de commentaire me fait bondir! C’est vraiment d’une imbécillité ou mauvaise fois ou méchanceté monumentale !
Tous les Américains n’ont pas voté pour lui que nous sachions? Alors ceux-là, vous y pensez?
John Boenhner aurait pu mettre un terme à la folie de l’administration criminelle cette été. Alors qu’il avait toute les cartes en main, il s’est fait fort de proposer lui même un compromis à ses opposants qui n’en attendait pas tant, d’ou la situation actuelle sur la falaise fiscale. Il a été réélu par ses pairs, ce qui laisse entrevoir la faiblesse de l’opposition de la chambre des représentants pour les années à venir. Le mouvement tea party qui avait permis à l’opposition de remporter une victoire éclatante aux élections du mid term ne semble plus en mesure de pouvoir jouer un rôle décisif. Ls keynésiens militaristes (gop) sont largement responsables de cet état de fait. Faisant partie de l’institution, et se vautrant dans ses largesses, ils voyaient d’un très mauvais oeil des représentants du peuple se réclamant d’un retour aux fondamentaux de la constitution, qui définit un gouvernement fédéral limité. Dans cette logique, Mitt Romney, un candidat de centre droit fut désigné pour affronter l’imposteur. Et à chaque fois que le gop est représenté par un candidat dont les propositions se rapprochent de son adversaire, il prend irrémédiablement une déculotée. Par ailleurs, nous avons appris par la bouche de son fils, que la dernière chose que Romney souhaitait faire, c’est de se présenter à la course pour la présidentielle. Enfin, il y a bien 9/10 pour que le prochain président soit une femme en 2016. Comme l’épouse de l’ancien gigolo (bien plus escroc par ailleurs), s’est d’ores et déjà déclarée, elle va faire de l’ombre à Michelle Antoinette Obama. Il ne serait pas étonnant qu’elle vienne à disparaître brutalement.
Ce que je vois, la politique américaine ou la politique française, il n’y a plus de parti réellement opposé. En France UMP s’accoquine avec le PS, et les républicains perdent de leur virulance face aux démocrates. Et pratiquement tous les pays on retrouve cette trame de fond. Donc la trilatérale a enclencher la vitesse supérieure !
Votre commentaire augure mal de l’avenir !
A vous lire, on peut se demander, tout comme en France avec Hollande,si ça n’est pas le ” worst président at the worst moment ” ?
cette article xxxxxx
Argumentez et vous aurez la parole, sinon dégagez.
C’est déja commencé : le Texas Nationalist Movement milite pour la cecession… A eux seuls, ils seraient la 15e economie mondiale…
Indigeste cette prose
85% des francais aussi voulaient que hussein obama soit reelu.. Ca en dit long..
All around, it seems there is an awakening, particularly among those of the masses who call themselves “Republicans.” The fiscal cliff deal may prove to be the first true wake-up call for the masses.
Senate Republicans joined with Democrats and voted overwhelmingly to raise taxes on 77 percent of Americans. House Republicans split on the vote, but enough joined the Democrats to pass the bill which was conceived by Vice President Joe Biden and Republican Senator Mitch McConnell. The bill reportedly “solved” the artificially created fiscal cliff crisis. The political class on both “sides” of the spectrum claim to hate the bill for what is and what is not in it. That is all for show.
President Barack Obama and his minions have for months vowed to raise taxes only on “the rich” who were not paying their “fair share.” He promised that those who aren’t “rich” would not see a dime of tax increases. Yet thanks to the fiscal cliff bill, American workers saw the tax on their paychecks rise from 4.2 percent to 6.2 percent because a payroll tax cut passed in 2011 and 2012 was not renewed.
This means workers earning $20,000 to $30,000 will take home $300 less per year. Workers earning $50,000 to $70,000 will see their paychecks drop by about $1,000 per year. Workers earning about $100,000 per year will lose about $2,000 per year in take-home pay. And those in the $500,000 to $1 million range will pay about $15,000 in additional taxes.
The meme out of the cesspool that is Washington, D.C., is that our benevolent leaders saved us from doom once again by sparing us a tax increase and dreaded “cuts” to government services. But workers will see that their paychecks are smaller and will wonder why.
They may also come to wonder why the legislation contained $76 billion in tax favors for large corporations like General Electric, Citigroup, Goldman Sachs, Morgan Stanley and DIAGEO and why Hollywood and green energy companies received special favors. These are favors the White House insisted the bill contain, and Democrat and Republican lawmakers concurred.
There MUST be an awakening before there is change. Americans must learn that their taxes do not run a government that can print money to infinity. Taxes — and its sister tax, inflation — are simply a transfer of wealth to fund the fascist system that is American democracy.
“que oui, la République américaine est en danger, et avec elle le peuple américain, l’économie américaine, la défense américaine. L’heure est grave.”
Il ne reste plus qu’à ceux qui ont voté contre lui qu’à se révolter et, pourquoi pas, exiger son départ. Le peuple américain est capable de braver les ouragans, alors un président qui les entraîne à la faillite….
Nul doute, c’est Patoucha !!!
TdG devient rance !!
Hé oui, Corto!
J’y suis également pour y assainir l’odeur…. avec les moyens que me donnent les articles de Dreuz et d’autres, même si mes copier/coller dérangent au plus haut point ceux qui font dans la désinformation islamiste par antisémitisme.
J’ai la désagréable sensation d’un scénario déjà vu, déjà vécu…
Si je ne m’abuse il a fait entrer sur le territoire des populations étrangères particulièrement dans le besoin, et qui ne semble pas un besoin nécessaire pour le pays.
De là, ces nécessiteux ont obtenu la nationalité américaine et partant de là le droit de vote. Ainsi fait, ils votent pour celui qui leur promet ce qu’ils attendent. Voilà Hussein réélu pour 4 ans, sans voir que cela sera peut-être les dernières années d’abondance, car après…
En somme, le même scénario que chez nous en France. Mêmes causes et mêmes effets.
Mr Milliere dans un recent sondage Obama est l americain le plus admire par ses concitoyens.
Donc ils meritent leur sort.
Les Etats Unis sont un pays divisé entre une Amérique conservatrice, et un mélange de bobos, de gauchistes et d’immigrants assistés. Ne généralisez pas aussi vite.
J’ai acheté, lu et recommandé le livre de M. Guy MILLIERE ce dont il doit être remercié : il faut trouver le moyen de le faire diffuser aux U.S.A. encore embrumés de l’OBAMANIA dévastatrice.
merci beaucoup
Bravo Monsieur Millière pour cette description de la catastrophique présidence d’Obama…Il est en train de détruire les Etats-Unis…Le problème c’est que c’est pas bon pour nous non plus….
effectivement
Agissez!
June a raison,le système américain n’est plus une véritable démocratie,
mais le système français encore moins, hélas…;
Pourquoi ne pourrions nous pas mettre en place des RIC” (Référendums d’Initiative Citoyenne), comme en Suisse…?
Ou même comme en Italie : l’an dernier ils ont réussi à faire annuler une loi inique de Berlusconi…Il leur suffit de récolter 500 000 signatures pour pouvoir faire un référendum…
Pourquoi les français n’auraient-ils pas ce même droit..?
pas d’accord avec vous, le système français est ce qui se rapproche le plus de la démocratie : une personne, une voix. chacun peut voter pour qui il veut, s’abstenir, voter blanc. en réalité ce sont nos élus qui le pervertissent quand aux moments importants ils préfèrent la discipline de parti au lieu de respecter leurs convictions, celles en raison desquelles ils ont élus.
Vous êtes loin du compte. C’est le système suisse qui se rapproche de la démocratie, tandis que le système français en est loin, ne serait ce qu’en raison de la discipline des partis à l’Assemblée.
Le système américain est d’abord une république et non une démocratie. “A Republic if you can keep it” avait répondu Benjamin Franklin à une brave citoyenne qui lui demandait ce qui se tramait et vers quel genre de gouvernance le futur grand pays se dirigeait. Une république avec une présence et un interventionnisme de l’Etat limités à l’essentiel. La démocrassie équivaut à la dictature de la majorité pour tout et pour rien. Ne me parlez pas de démocrassie comme d’un système génial tel qu’il sévit en Europe. Autant vous dire que je suis profondément hostile à la démocrassie façon européenne. La “republic” dont Obama ne veut pas, la Constitution US n’étant pour lui qu’un vieux torchon, est en train de se perdre aux USA. Puissent les Américains la garder comme les Framers le voulaient. Cela dépasse le débat politicien. Il y va de ce qui a fait la grandeur et la valeur des Etats-Unis d’Amérique. Le problème est ce que Guy Millière a signalé à juste titre: il y a trop de Republicans in Name Only (RINO). S’ils veulent garder le République, les USA doivent revenir à la philosophie du GOP de 1856 (le contenu de ces 2 liens sont brefs): http://newmediajournal.us/indx.php/item/7429 et http://www.ushistory.org/gop/convention_1856republicanplatform.htm
En résumé:
Limited Government (both federal and state)
Limited Taxation (read: equitable and uniform)
Strong national defense (but with an almost non-existent use of the military for “national building”)
The promotion of opportunity through individualism, which includes personal and fiscal responsibility
Free Markets and Free Trade
States Rights
A jealous protection of the Charters of Freedom, including rights as they pertain to the individual
A reading of the US Constitution as a limitation on government, not an empowerment
Tout ce que vous ont expliqué Guy Millière, JPG, Michel Garroté, Annika, ATB et, accessoirement, moi-même est rigoureusement exact.
Si vous lisez le contenu des liens ci-dessus ou la Constitution américaine, vous comprendrez que les 500 pages de Constitution européenne chère au Maréchal Giscard d’Estaing et refondues ensuite en un Traité de Nice, torchon abject rejété dans un premier temps par la France et les Pays-Bas, est parfaitement inutile. Moi, ce qui m’intéresse, c’est le blé et quelques règles de bonnes conduites des affaires, pas les fonctionnaires et leurs taxes (que de l’amour, on vous dit!!!) afin de permettre à des Hollande et autres Rupolini d’aller faire l’andouille à mes frais dans les organisations internationales les plus serviles telles que l’ONU ou le Conseil de l’Union européenne et d’y tenir des propos ou d’y poser des actes qui ne me représentent absolument pas.
Ceux qui ont attendu 2013 pour constater qu’obama est une erreur de la nature me font froid dans le dos !
D’ailleurs, qu’en est-il de sa nationalité, un tribunal californien est censé trancher sur sa prétendue naissance sur le sol américain ainsi que sa déclaration de naissance falsifiée !!!!
Le juge england jr de la cour suprême de californie en session à sacramento n’a pas laissé les témoins que Orly taitz (avocat des plaignants) souhaitait faire comparaître s’exprimer. Ainsi les documents frauduleux du soit disant obama n’ont toujours pas pu être éxaminés au sein d’un tribunal(certificat de naissance, cartes de sécurité sociales). Il n’a donc pas daigné, comme tous les autres auparavant, éxaminer les arguments des plaignants et à déclarer que le dossier n’était pas soutenable. Par ailleurs, il a réitéré toute sa confiance dans la bonne parole des officiels de l’état d’Hawaii qui suffit selon lui, à déclarer l’imposteur comme un citoyen naturel. A ce jour, personne sur terre n’a pu consulter le moindre document original de l’usurpateur, mais tout le monde fait comme si cela n’avait aucune espèce d’importance. Orly Taitz et les plaignants visitent les usa pour trouver un juge non corrompu. A ce jour, ils n’ont n’en toujours pas trouver un seul. Celui ci à au moins daigner les recevoir et fait semblant de les écouter. La presse principale(y compris fox news malheureusement)et les politiciens à l’exception de Donald Trump (électron libre sans fonction)se ravissent du grossier faux mis en ligne sur le site officiel de la maison blanche en guise de certificat de naissance version longue ; et les citoyens de tous les pays du monde peuvent télécharger et consulter le fameux document à l’image de la désagrégation de la société nord américaine. Pour oser mettre un tel torchon en ligne (fin avril 2011) et affirmer devant la presse de manière très hautaine qu’il n’avait pas de temps pour ces enfantillages et qu’il avait des problèmes beaucoup plus importants à régler, le prétendu obama devait se savoir absolument intouchable et il le demeure, le benghazigate l’a malheureusement confirmé.
Rien n’arrireverra bien que d’apres de nombreux individus comme Herbert Titus il ne soit pas ne aux Etats Unis.Donc tout ce qu’il a fait est illegal.Comment defaire tout cela?Comment expliquer que Pelosi et Reid etc etc nous disaient qu’il n’y avait pas de probleme avec sa nationalite?En fait cette histoire de nationalite vient du camp Clinton,donc eux aussi camoufleraient la verite.Il est que le party sait tres tres bien mentir.
Monsieur Millière je vous remercie pour vos articles,
lesquels sont pertinents mais, et c’est dommage, ne
rendent pas l’atmosphère des USA aujourd’hui.
Qu’il y ai des contestations aux décisions de
leur dirigent est indéniable, mais il y en a sous
tous les régimes, quel qu’ils soient et ce n’est
pas un scoop.
Que Hussein Obama soit une catastrophe pour les USA
et pour l’humanité, nous sommes bien d’accord.
Mais “ils” l’ont choisi, non?
Alors qu’ils se débrouillent avec.
Y-en-a marre de pleurer sur ce pays.
La France est plus à plaindre.
Elle a choisi aussi, c’est vrai, mais
quel choix avait-elle???
“Mais « ils » l’ont choisi, non?
Alors qu’ils se débrouillent avec.
Y-en-a marre de pleurer sur ce pays.”
Y en a marre de lire des propos pareils, empreints de méchanceté crasse, tous les américains ne sont pas pro Obamuzz, loin de là !
Ce qui se passe dans la premiè!re puissance du monde concerne le monde entier. Là, je parle de ce qui se passe au sein des Etats Unis, dans d’autres articles et dans mon dernier livre, je parle des conséquences planétaires.
Bonjour Baba,
Le choix de la France… Il est la résultante d’une moyenne de 40% d’abstention , sans compter les blancs ou nuls, depuis le début de la 5eme. Le Français préfère les loisirs et le confort plutôt que l’effort de glisser en conscience un bulletin dans les urnes ! Ce temps perdu aura bien du mal à se rattraper, la relégation nous guette, nous l’avons presque tous entériné ! Mea culpa devrait être le nouveau chant patriotique dans l’hexagone…
Vous avez raison “Castougne”. 40% d’abstention!
J’en suis et sans honte, je peux vous dire que
c’est impossible de choisir entre la peste et
le choléra. En tout cas je n’ai pas su le faire.
Et c’est pour cela qu’un grande partie des gens
ont choisi l’abstention.
D’abord seul un manque de réflexion manifeste, ou de maturité politique, pouvait laisser penser qu’il s’agissait d’un choix entre la peste et le choléra. Les deux candidats profondément dépités qui ont choisi la politique du pire l’ont fait uniquement par orgueil démesuré; ces deux sots avaient cru au miracle lorsque durant un très court laps de temps, des sondages, trop rapides, leur avaient laissé croire, l’espace d’un instant, qu’ils pourraient être au deuxième tour. Le résultat du premier tour les mortifia et ils décidèrent en conscience, ET SANS PENSER A L’INTÉRÊT DE LA FRANCE, D’ŒUVRER A LA DÉFAITE DE SARKO, ET DONC A LA VICTOIRE DE HOLLANDE. En suivant les consignes du sot ou de la sotte, et vous c’est cette dernière, qui semble-t-il vous a inspiré, VOUS AVEZ DÉLIBÉRÉMENT CHOISI D’ÉLIRE, EN ACCORD AVEC 93% DE L’ÉLECTORAT MUSULMAN, HOLLANDE. SI VOUS AVEZ LA MOINDRE NOTION DE PUDEUR ET DE DÉCENCE, VOUS DEVRIEZ NORMALEMENT VOUS INTERDIRE, DURANT LES QUATRE ANNÉES QUI RESTENT A COURIR,LA MOINDRE CRITIQUE DE HOLLANDE. Vous l’avez voulu et vous l’avez eu, Baba,Tonton ou grand-père, ou tout simplement Baba Sucré.Dans un tel contexte l’abstention n’en est pas une; elle consiste à faire un choix.
Belle illustration simiesque, la photo en tête d’article ! en même temps, je ne suis pas sympa envers les singes qui eux sont de merveilleux animaux.
http://www.dreuz.info/2012/10/les-freres-musulmans-dans-le-poulailler-de-la-cia/
Bonsoir Guy. Comme d’habitude tout est exacte! Oui, la republique americaine est en grand danger et je ne reconnais plus ce pays que j’adore. obama avec l’aide du congres viennent d’augmenter les taxes sur 77% de la population qui travaille. C’est un chiffre astronomique qui heurtera la classe moyenne et se retournera contre obama car il en est le createur principal (ils s’en rendront compte n’est-ce pas?). De plus les taxes associees avec obamacare (assurance sante etatiste) prennent aussi naissance en janvier. Je pense que la chambre des representants n’avait aucune autre option sur le fiscal cliff, vu qu’ils ont le senat et la Maison Blanche contre eux (un pouvoir sur trois n’est pas grand chose, no wiggle room).
The debt ceiling (le plafond de la dette) offrira surement d’autre opportunite en fevrier, mais gardons courage, car si meme le senat et la maison blanche sont a gauche, 30 etats federes sur 50 sont a droite. Et comme on dit en Amerique, most politics occur at the local level!
Les americains sont en train de manger leur pillule socialiste et l’utopie s’avere etre amere.
Etonnante comme les Francaise sont contente de n`etre pas les seulles dans la me…., et bonne a doner des conseille d`une revolte. Vous oublier que votre Democratie, elle est pas dans meillieur etat. Mr. Milliere a tout a faite raison, on doit seullement change le nomme, et le Fromage 1er. Peut-etre la France e a plaindre, mai mon grand regret est pour l`Amerique par ce que le Hussein n`a pas ette elu, il a manigance son election, et pas du toute propre. La catastrophe est pour nous aussi, e tres importante. C`est pas drole, mai l`Israel, pour le moment, reste la seulle Democratie, esperant que ca tienne. AMEN !!!!!
C’est assez désespérant tout ça. Le pire est cette sensation insupportable d’assister à l’inéluctable et de ne rien pouvoir faire.
Et si la multiplication phénoménale des films de super héros et autres vengeurs, ces dernières années, était liée à une prise de conscience de la gravité de la déchéance de la société ? Et si elle constituait une forme d’appel au secours ? A moins qu’elle ne soit que l’expression d’un rêve irréalisable, ou une sorte de morphine administrée à dose toujours plus forte au public, qui va finir par s’endormir.
Les républicains répètent mauvais choix après mauvais choix. Céder à Obama était immoral.
Tous les américains en paieront les conséquences.
A leur place, je n’aurais même plus envie de voter.
Le projet de sécession était finalement la solution la plus intéressante…
Il faut briser cette Union qui mène aux guerres raciales et à la lutte des classes.
Des Frères musulmans à la Maison Blanche ?
“Un magazine égyptien affirme que six activistes islamistes américains travaillant avec l’administration Obama sont des agents des Frères musulmans exerçant une forte influence sur la politique américaine.”
http://extremecentre.org/2013/01/05/des-freres-musulmans-a-la-maison-blanche/#more-42260
je pense que les USA subiront, tôt ou tard, le même sort que l’ex U.R.S.S. , c’est à dire une désintégration; c’est ainsi que tous les Etats de cette immense fédération , ou presque, reprendront chacun leur indépendance car il existe de plus en plus d’écarts dans les opinions des citoyens de ce vaste pays; ce président OBAMA ne représente pas les Américains parce que son objectif n’est pas de rassembler mais de diviser pour mieux régner en utilisant des moyens détournés pour parvenir à ses fins; mais cela ne va pas durer parce qu’il est imbu de sa personne et il commettra des fautes graves contre la Constitution qui conduiront les Républicains à réclamer sa destitution par la procdure d'”empêchement”; j’avoue que je compte bien que ce scenario l’emporte dans l’intérêt d’Israël qui se trouve de plus en plus isolé sur la scène internationale depuis l’arrivée au pouvoir de ce président.
comme toujours les arguments de Guy millière sont excellents et ceux de ses adversaires ne sont pas mauvais non plus. comme on dit : ptet bin qu’oui, ptet bin qu’non. je crois qu’il faut généraliser, pardon mondialiser, le problème : aucun pays existant n’a actuellement de dirigeants à la hauteur de ce que ses habitants sont en droit d’attendre…
Monsieur Millière,
Je comprends tout à fait votre point de vue, mais à mon humble avis les républicains devraient se concentrer sur leurs fondamentaux historiques, à savoir:
– les libertés individuelle
– la liberté d’entreprendre
– la responsabilité individuelle
– un gouvernement fédéral n’interférant pas dans les affaires des états
– le rejet de l’assistanat et de l’état providence
A mon sens, ils se sont trop focalisés sur les sujets sociétaux, défendant des positions intenables sur la contraception par exemple, ce qui leur a aliéné le vote des femmes. Vous ne parlez pas du gender gap dans votre article, or c’est une des causes majeures de la réélection d’Obama.
Donc le GOP devrait à mon avis être davantage fiscal conservative et moins social conservative qu’il ne l’est aujourd’hui.
Le succès relatif du candidat libertarien Gary Johnson à la présidentielle confirme que certains électeurs rejettent le socialisme à la Obama sans se reconnaître dans un parti républicain trop réactionnaire sur les questions de société.
je pense toujours que, sur le fond, il n’y a aucune différence entre les Républicains et les Démocrates.(et depuis des décennies cette formidable immigration qui va radicalement transformer les USA, les conduisant vers le socialisme, grâce à la dictature des minorités qui deviendront majoritaires: n’est pas le rêve américain en marche ??!!)
Donc, le Peuple américain n’a pas le choix……comme nous en Europe !
Le bipartisme imposé par l’oligarchie mondialisée est un leurre de “démocratie”………..et les Peuples commencent à s’en rendre compte. En France, les FAITS prouvent, sur plusieurs décennies, qu’il n’y a aucune différence de projet politique entre la “gauche” et la “droite”. C’est ça que vous devriez dénoncer Monsieur Millière !
Les médias, et tout ce qui peut influencer l’opinion (comme on dit), sont aux mains de qui vous savez.
JAMAIS les Peuples ne sont consultés sur l’essentiel !
Relisons Tocqueville. c’est édifiant.
Alors, à part les lamentations à répétition, que proposez vous Monsieur Millière ?
ré information sur http://www.polemia.com
Le “tea-party” est minoritaire chez les républicains, mais on a vu le succès de Ron Paul à la primaire… arrivé 2ème. Il y a de l’espoir.
Obama a atteint la plupart de ses objectifs et le dernier acte, soit la tuerie de Newton au Connecticut va le servir a souhait dans ce qui lui reste comme prétexte pour essayer d’abolir le 2e amendement sur les armes aux USA. S’il advenait qu’il réussisse a venir a bout de cet amendement, les citoyens des USA seront a sa merci. Cela n’arrivera pas car les milices qui sont partout dans les états US vont prendre les armes contre le gouvernement central, pour Obama, la NRA est le dernier rempart a abattre pour assoir sa dictature a la maison Blanche. Les USA ne sont plus les USA tel que je les ai connu autrefois, le chaos approche a grands pas pour ce pays démocratique sur qui nous pouvions compter. Obama a quatre ans pour détruire ce qui reste des USA si on le laisse faire.