Publié par Rosaly le 6 janvier 2013

Jihad

Et Imran Firasat en est la preuve…

Le gouvernement espagnol a révoqué le statut de réfugié d’Imran Firasat parce qu’il a fait un film critique de l’islam. En plus de nier le droit d’Imran à la liberté d’expression, le gouvernement tente maintenant de l’expulser au Pakistan où il fera face à une mort certaine pour blasphème. C’est franchement honteux. Le Legal Project entend prendre toutes les mesures possibles pour éviter que cela se produise. »

Le Legal Project, une activité du Middle East Forum, défend le droit, en Occident, de discuter librement de l’islam, de l’islam radical, du terrorisme et du financement du terrorisme. Notre liste internationale de clients comprend des auteurs, des blogueurs, des revues et des politiciens

Extrait de l’Interview d’Imran Firasat :

Comment et quand avez-vous reçu la nouvelle de la révocation de votre statut de réfugié par l’Espagne ?

Il y a deux semaines, j’ai reçu une notification m’informant qu’ils avaient initié une procédure de révocation de mon statut de réfugié. Ils m’ont donné deux semaines pour présenter des arguments pour ma défense. Trois jours avant la date à laquelle je devais présenter ma défense au bureau des réfugiés à Madrid, ils m’ont annoncé que mon droit d’asile avait été révoqué au motif que je représente un danger pour la sécurité nationale. Le processus de retrait du statut de réfugié, qui prend normalement six mois, a été achevé en trois jours dans mon cas sans entendre les arguments pour ma défense.

Selon vous, qui a poussé le gouvernement espagnol à prendre cette décision ?

Il n’y a pas de doute que des organisations musulmanes en Espagne et des gouvernements de pays musulmans ont fait pression sur le gouvernement espagnol. L’Espagne n’a pas révoqué mon statut de réfugié en raison d’un crime que j’aurais commis. C’est pour cela que la résolution finale ne dit pas que j’ai commis un crime en vertu des lois espagnoles. Elle mentionne simplement que ma dénonciation de l’islam a suscité l’indignation dans le monde musulman. C’est la même chose que d’emprisonner un journaliste dont les écrits n’ont enfreint aucune norme mais qui ont déplu à un lobby particulier.

Est-ce que cela confirme que le gouvernement espagnol est aux mains de l’islam ?

Oui, absolument. D’une part, on parle de liberté d’expression, et d’autre part, quand une personne veut exprimer son opinion, on la persécute pour la faire taire. Je dénonce la sale nature de l’islam depuis sept ans et je n’ai jamais eu d’écho de quoi que ce soit.

C’est d’ailleurs parce que je critiquais l’islam qu’on m’a accordé l’asile politique en Espagne. Pourquoi est-ce qu’ils exercent des pressions sur moi, qu’ils me persécutent, révoquent mon statut de réfugié et veulent m’expulser dans un pays où je serai passible de la peine de mort ? Il est clair que c’est à cause de la peur du monde musulman. Nous avons perdu nos droits et nos valeurs occidentales à cause de la peur des relations économiques avec les pays islamiques producteurs de pétrole et de la violence injustifiée des musulmans.

Vous craignez donc pour votre vie ? Est-ce que le retrait de votre statut de réfugié signifie avec certitude la peine de mort ?

Si j’avais eu peur pour ma vie, je n’aurais jamais osé critiquer Mahomet ou l’islam. Jésus-Christ a un plan spécial pour ma vie. Dieu et la vérité sont avec moi et cela m’empêche d’avoir peur de qui que ce soit ou de quoi que ce soit. Je vais me battre pour mes droits jusqu’à mon dernier souffle et je continuerai à lutter pour que les gens sachent que l’islam est un danger pour la société occidentale.

La Cour européenne des Droits de l’Homme lui accordera-t-il la même chance, au nom du respect des Droits de l’Homme, lui qui n’est pas terroriste, mais seulement un apostat, critique de l’islam, qu’à Abou Qatada, un ecclésiastique Jordanien d’origine palestinienne, membre clé d’Al-Qaïda en Europe, condamné en Jordanie pour deux complots terroristes, et devant faire face à un nouveau procès s’il était expulsé de Grande-Bretagne, ou il y aura-t-il deux poids, deux mesures ? La critique de l’islam est-elle considérée comme un crime plus grave que le terrorisme ? L’ extradition d’Imran, apostat de l’islam, vers le Pakistan signerait son arrêt de mort.

En dépit des promesses du gouvernement jordanien, qu’Avou Qatada serait traité correctement, les juges britanniques et européens craignent qu’il ne soit torturé et s’opposent dès lors à son extradition. Les enregistrements audio de certains sermons de Qatada ont été trouvés dans un appartement en Allemagne utilisés par les terroristes du 11 septembre. Cet islamiste pur jus a déjà été jugé en Jordanie et reconnu coupable d’intention d’attaquer des cibles occidentales et israéliennes.

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La présence de ce prêcheur de haine contre l’Occident sur le sol britannique constitue une menace pour la sécurité intérieure, selon la déclaration du Ministère de l’Intérieur mais apparemment la vie des sujets britanniques, respectueux des lois, est moins précieuse que celle d’un terroriste musulman.

Non seulement, il n’est pas expulsé, mais il mène une vie confortable dans une nouvelle maison louée à 450.000 £, payée par les contribuables britanniques, la précédente louée à 400.000 £ n’étant pas suffisamment spacieuse pour ce criminel et sa famille ! Il fait du shopping dans le quartier, sa femme en burqa derrière lui, un sourire moqueur aux lèvres.
Les dhimmis veillent à son confort.

N’est-elle pas belle la vie pour ce terroriste islamiste au pays des dhimmis, protégé par ces lois démocratiques qu’il exècrent, sauf quand elles le protègent contre les lois islamiques, moins tolérantes de son propre pays ?

J’espère pour Imran qu’il bénéficiera de la même sollicitude de la part de la Cour européenne des Droits de l’Homme que ce terroriste immonde, car s’il était renvoyé au Pakistan, il y trouverait une mort certaine.

Ce serait une honte, pour un pays démocratique comme l’Espagne, si son gouvernement devenait complice des exigences criminelles de l’OCI.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

Notes :

  • Barack Obama ayant blâmé le film « L’innocence des musulmans » pour l’attaque de Benghazi, les gouvernements occidentaux ont désormais pour politique de traiter les vidéos comme une source de violence et un risque pour la sécurité.
  • L’Union européenne vient d’accueillir l’OCI ainsi que des représentants d’Arabie saoudite, d’Égypte et du Pakistan pour le Processus d’Istanbul. Ce Processus met en œuvre la résolution 16/18 du Conseil des droits de l’homme qui criminalise les discours considérés comme blasphématoires envers l’islam.
  • « Cette expérience guide ma conviction qu’un partenariat entre l’Amérique et l’Islam doit être fondé sur ce qu’est l’Islam et non sur ce qu’il n’est pas. En tant que président des Etats-Unis, je considère qu’il est de ma responsabilité de lutter contre les stéréotypes sur l’Islam, où qu’ils apparaissent » – Président Obama, Le Caire, Égypte, 6 avril 2009
  • « L’avenir n’appartiendra pas à ceux qui diffament le prophète de l’islam » – Président Obama, ONU, 25 septembre 2012
  • Pétition en ligne demandant au ministre de l’Immigration du Canada Jason Kenney d’accorder l’asile politique à Imran Firasat : cliquer ICI pour la signer.

Source : In The Matter Of Imran Firasat. Traduction par Poste de veille

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