Publié par Elie Levy le 15 janvier 2013

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Monsieur le Consul Général,

J’ai préféré attendre que les fêtes de fin d’année soient passées pour donner suite à la lettre ouverte que je vous ai adressée le 10 Décembre dernier, et qui a été publiée sur plusieurs sites dont JSS News et Dreuz.info.

Cette lettre ouverte a également été reprise par le CRIF, et j’ai eu la surprise de constater qu’une organisation a repris l’expression que j’ai employée dans ma lettre ouverte : « 150 000 français d’Israël », pour publier ses prises de position, ce dont je suis flatté.

Vous n’avez pas souhaité, Monsieur le Consul général, apporter une réponse publique à ma lettre. Les français qui vivent en Israël apprécieront le mépris avec lequel vous les traitez.

Par contre vous m’avez répondu en m’indiquant que mes interrogations étaient « dénuées de fondement ».

Bien que votre réponse ne soit pas très convaincante, je crois utile de publier.

De Frédéric DESAGNEAUX
À ‘elie levy’
monsieur,
je vous remercie de votre message
j’ai pris connaissance de la lettre qui y était jointe
ce consulat général n’a pas été fermé la semaine dernière comme il y est affirmé
je ne vois pas à quoi les ”informations” auxquelles vous faites référence se rapportent
elles sont donc dénuées de fondement
je pense que ma réponse se suffit à elle même et je ne publierai naturellement pas de communiqué à ce sujet
je vous prie de croire, monsieur, en l’expression de ma considération distinguée
frédéric desagneaux

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Plusieurs témoins persistent et confirment que le Consulat était fermé le jour de la célébration des « 25 ans de la Palestine », qui était en fait le jour de la célébration des 25 ans de la création du Hamas.

Je ne vois pas les raisons qui vous empêchent d’apporter le démenti officiel à ce que vous qualifiez « d’informations dénuées de fondement ».

Les 150 000 Français qui vivent en Israël (expression que j’emploie ici pour la dernière fois pour les raisons ci dessus exposées) ne pensent pas que votre réponse se suffise à elle-même.

Votre silence emporte donc votre aveu.

Je vous prie de croire, Monsieur le Consul Général à l’assurance de mes sentiments indignés

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Elie Levy pour www.Dreuz.info

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