Dans le contexte où la France continue à s’enfoncer vers les profondeurs du socialisme ambiant, il est salubre que certains livres remettent les idées en place.
Les socialistes ne cessent de dire qu’ils sont fiers d’être socialistes, ce qui signifie qu’ils sont fiers d’être porteurs d’un dogme qui prétend être vecteur de générosité, mais qui cultive l’envie et le ressentiment et qui multiplie les pauvres. Ils sont fiers aussi, parce qu’ils ont des alliés, en général bien plus sinistres qu’eux, pour dire qu’ils sont de gauche : et être de gauche en France, comme dans nombre de pays, est une forme de brevet de confort moral. Se dire de gauche, c’est, bien sûr, être du côté du beau, du bien, du progrès, de la vérité, et que sais-je encore. Neuf journalistes sur dix en France se disent de gauche et pensent effectivement à gauche. Dans les professions artistiques, la proportion doit être à peu près la même. Rien d’étonnant en ces conditions à ce qu’un livre rappelant les faits soit passé sous silence, ou que son auteur se fasse traiter de « facho » dans le Nouvel Observateur, magazine qui considère que le « facho » est celui qui n’a pas voté pour François Hollande au deuxième tour de l’élection présidentielle, ce qui fait tout de même beaucoup de monde. J’écris « facho » parce que c’est ainsi qu’ils écrivent : utiliser le mot « fasciste » serait ridicule, et ils le savent, donc ils ne le font pas. Et puis ils savent aussi au fond d’eux-mêmes que traiter de fascistes des défenseurs de la liberté n’aurait aucun sens.
Rien d’étonnant, disais-je, à ce qu’un livre rappelant les faits soit passé sous silence, et à ce que son auteur se fasse traiter de « facho » dans un magazine « pafacho » (j’essaie d’atteindre leur niveau de langage).
Tous les totalitarismes (léninisme, fascisme et national-socialismes) sont issus de la gauche
L’auteur est Jean Robin. C’est un homme courageux, qui fait vivre un site d’information et de réflexion souvent remarquable, Enquêtes et débats (www.enquete-debat.fr). C’est un éditeur tout aussi courageux. C’est un auteur prolifique. Le livre qui rappelle les faits et qui porte sa signature s’appelle Le livre noir de la gauche*, et doit être mis entre toutes les mains. Jean Robin y rappelle ce qui doit être rappelé : tous les totalitarismes sont issus de la gauche (c’est un thème sur lequel je reviendrai), pas seulement le léninisme, mais aussi le fascisme et le national-socialisme. La gauche a aussi été imprégnée d’antisémitisme pendant des décennies. La gauche a été vectrice du colonialisme, dont l’un des grands chantres fut Jules Ferry, cité plutôt en général pour évoquer l’école laïque. La collaboration sous Vichy a été très largement à gauche, et c’est d’ailleurs la Chambre élue au moment du Front populaire qui a voté les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, lors d’une débâche qui a dû beaucoup au pacifisme, à l’apaisement et à l’insouciance des années précédentes. La gauche a compté et compte dans ses rangs toute une lignée d' »intellectuels » abominables, de Karl Marx à Jean-Paul Sartre, passé de la collaboration pendant la guerre au gauchisme sans faire de pause, de Louis Althusser, maître à penser de toute une génération de léninistes et assassin sur ses vieux jours, à Alain Badiou, Toni Negri ou Stéphane Hessel : chacun de ceux dont je viens de citer le nom bénéficie d’une rubrique édifiante dans le livre. Aux fins de toucher à l’actualité plus immédiate, Jean Robin traite aussi des hommes et des femmes politiques de la gauche française : en une dizaine de pages, tout ce dont on doit se souvenir concernant François Mitterrand se trouve rappelé, mais Georges Frêche ou Lionel Jospin, Roland Dumas ou Ségolène Royal, Martine Aubry ou Noël Mamère ne sont pas oubliés, pas davantage que l’actuel occupant de l’Elysée. Les pratiques très douteuses de divers comités d’entreprise de grands groupes ne sont pas oubliées non plus : EDF et SNCF, RATP, Air France. Le poids de la gauche dans l’Education nationale et les conséquences de ce poids font l’objet d’un chapitre lapidaire.
Répondant dans l’introduction à la question qu’on pourrait lui poser : pourquoi ce livre, et pourquoi maintenant, Jean Robin répond en disant que ce livre est indispensable, très précisément maintenant. Parce que la gauche est au pouvoir et a quasiment tous les pouvoirs. Parce qu’elle prétend être ouverte, et tente d’asphyxier ou de faire disparaître ce qui n’est pas elle, quitte à recourir à l’insulte et à la diffamation. Le livre, ajoute Jean Robin, ne prétend pas être une analyse complète de la gauche, mais souligner les immenses zones d’ombre qu’elle tient à garder cachées. Mission accomplie.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info
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Jean Robin, Le livre noir de la gauche, Tatamis, 2012, 340p., 18€.
Article paru initialement sur les4verites.com
340 pages il a du faire une selection des faits les plus abjects.:)
Très bon article de G Millières, « as usual ».
Une remarque cependant de la part de l’ancien marxiste que je fus.
Marx et Engels ont théorisé le « socialisme » au travers de concepts que l’on pouvait qualifier de révolutionnaires au XIXème siècle. Les sociétés évoluent et pas les dogmes. C’est à ça qu’on les reconnait!
Ainsi, beaucoup de concepts marxistes: économiques, politiques, sociétaux, sont aujourd’hui totalement obsolètes, mais ils ont été utiles à un moment de l’histoire.
Des deux volets du marxisme, le « matérialisme historique » a lamentablement échoué, mais le second volet dit « matérialisme dialectique » est une pratique universelle des scientifiques. Il consiste à mettre la théorie à l’épreuve de l’expérience pour la valider ou l’infirmer, il n’y a pas plus scientifique que cette démarche.
Enfin, ni Marx ni Engels n’ont assassiné qui que ce soit. Ce sont les dérives quasi religieuses du marxisme qui ont enfanté le léninisme, le stalinisme, le trotskisme, le guévarisme ou encore le polpotisme.
Ces dogmes, ces religions sans dieu conduisent aux mêmes excès que les théocraties.
Jean Robin a trouvé un éditeur ? Tatamis … Merci à lui ! et sans problème il peut se faire vendre ? Guy Millière vous n’avez pas eu cette chance vous ! Historique le boycott de vos livres !
Bosoir, je viens d’essayer, à plusieurs reprises, d’acheter ce livre en cliquant sur votrre lien http://www.dreuz.info.
Le retour est « not found »
cliquez sur le lien du titre du livre.
C’est sûr, on ne risque pas de voir la promotion de ce livre dans nos bons médias totalement gauchisés.
Et pourtant, c’est un livre nécessaire, qui nous aide à mieux comprendre ce que sont les mécanismes intellectuels de la gauche, cette gauche dont les principaux « faits d’armes » sont retracés dans cet ouvrage à travers des articles de presse d’époque, des extraits de discours, l’ensemble toujours sourcé.
Et dire qu’on en a repris pour 5 ans, au moins…
Et tant qu’on en parle, un autre bouquin a recommander :
100 ans d’erreurs de la gauche française. Va-t-elle recommencer ?
De Mr Bruno De la Palme.
Implacable.
« Tous les totalitarismes sont issus de la gauche »
Ce bon vieux Pinochet doit être ravi d’être considéré comme un vieux hippie gaucho…
Plus sérieusement, la gauche a bien entendu une face obscure. La plus récente et surement moins grave serait le mitterrandisme et l’adoption progressive des valeurs de droite, si ce n’est que nous en sommes à un point où il ne reste plus que les pro-totalitarisme (NPA, Arlette et consors) et un centre droit ex-socialiste.
Après les exemples ne sont pas forcément bien choisis. Le Pétain qui a obtenu les pleins pouvoirs était le Pétain « héros » de 14 selon la propagande de l’époque, qui réunissait le plus de français derrière lui. De tous bords. Ce n’est pas le Pétain collaborationniste sombre qui est apparu après.
D’ailleurs Pétain était lui aussi loin du hippie gauchiste.
De même, quel rapport entre les théories économiques marxistes et le Lénino-Stalinisme? Le même qu’entre la foi chrétienne et l’inquisition : utilisation d’une idéologie « belle » pour asseoir un pouvoir tyrannique.
Honnêtement il me semble que dans la dégueulasserie, droite et gauche se valent. Pour la simple et bonne raison que ces systèmes de valeur sont portés par des humains, avec leurs travers.
Vous etes en pleine confusion intellectuelle. Pinochet etait un dictateur, et le regime chilien sous pinochet etait un regime autoritaire, pas un regime totalitaire. La france sous petain etait un regime autoritaire aussi. Avec quelques traits totalitaires. Un regime totalitaire est un regime qui entend reformuler une societe sur tous les plans au nom d un dogme prealable. Un regime autoritaire est un regime qui abolit toutes les libertes dans une societe, mais sans volonte de reformulation, et sans dogme. Par ailleurs, la continuite de marx a lenine est pleine et entiere. Marx et engels enoncent a la fin du manifeste du parti communiste ce qui doit etre accompli pour qu une societe devienne socialiste. Lenine s est donne pour tache de realiser ces accomplissements. La difference est que marx pensait la revolution et le passage a la dictature du proletariat inrluctablr. Lenine pensait que ce passage impliquait le recours a des revolutionnaires professionnels.
Je vous rejoint totalement sur certains points de votre réponse. Comme vous l’écrivez Marx pensait la Révolution inéluctable, elle devait donc se faire « naturellement » alors que Lénine a forcé la chose et l’a imposée à un peuple qui n’était pas prêt. Peut-on être prêt à une application aussi stricte de dogmes économiques est une autre question.
Dans ce sens que penser du dogme capitaliste qui a refondé totalement mais en douceur nos sociétés depuis le XIX°? Du capitalisme de production jusqu’au capitalisme spéculatif actuel. Il s’est imposé doucement mais totalement au point même que le seul Président de gauche qu’à eu la France s’y est rendu moins d’un an après son élection. En 82.
Pour recentrer le débat, la gauche a certes son livre noir, il est utile de l’affirmer. Sauf que la gauche n’existe plus qu’à travers des mesurettes et des grands discours vides de sens. Sauf peut-être en Amérique du Sud où une gauche émerge. Une gauche avec ses côtés clairs (réappropriation des richesses nationales, redistribution, droit des indiens…) et obscurs (régime autoritaire, criminalité plus ou moins tolérée…)
Il me semble que le livre que vous présentez est soit un bilan définitif, orienté, soit une rafale de mitraillette sur un corbillard. Il aurait été intéressant que l’auteur poursuive et dresse le bilan de toutes les idéologies (religieuses, économiques…) qui ont façonnées nos sociétés.
On te rappelle dans quel état il avait mis l’économie française en moins d’un an ? 🙄
Mon père m’a parlé de cette époque, lui qui avait voté Mitterrand (et à gauche pour la première et dernière fois de sa vie) : les flics qui venaient dans son commerce tout les matins contrôler les prix…
Ce qui a été impensable dans notre pays la mite errante l’a réalisé … C’est lui qui a entamé la désinstrualisation de la France. Cette gauche français est vraiment à vomir.
Pas de commentaire nuancé et intelligent, malheureux! On va vous tomber dessus.
P.S. Et à propos de Pétain d’ailleurs, il suffit de se pencher sur les détails du vote des pleins pouvoirs pour se rendre compte que la droite n’en est pas moins responsable que la gauche.
Sans aucun doute, mais dans l’imaginaire populaire, la gauche symbolise le bon, alors que la droite symbolise le salaud, alors qu’ils sont aussi salaud l’un que l’autre, mais la droite, au moins ne se présente pas sous un faux jour de bonté,
Je suis en train de le lire et qu’ai-je appris :
– Benito Mussolini adhère en 1900 au Parti Socialiste Italien,
– Adolf Hitler en 1921 à la tête du Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands (Nationalsozialistiche Deutsche Arbeitepartei), revendique alors clairement sa doctrine socialiste aux électeurs allemands. Il dira aussi dans un discours public : “Fondamentalement le national-socialisme et le marxisme sont la même chose”.
– Joseph Goebbels – lire : “Pourquoi nous sommes socialistes”, un livre entier destiné à expliquer pourquoi lui et Hitler étaient socialistes…
– Etc.
En bref, un livre salutaire pour remettre les idées en place, pour combattre les mensonges et les idées reçues, pour comprendre ce qu’est la morale de la gauche et le “camp du bien”…
Evidemment les journalistes ne vont pas le mettre en valeur. C’est contraire aux idées de leur caste.
Donc, un livre très utile à commander en dizaines d’exemplaires pour offrir.
Que le livre soit intéressant on n’en doute pas. Par contre partial. Hitler au parti nazi, ça fait longtemps qu’on le sait. Qu’il doit une grande partie de son soutien du peuple allemand à ses réformes sociales (faites sur le dos avec les spoliations de …) on le sait aussi.
Aujourd’hui le FN français a un programme très impliqué dans les problèmes sociaux. Certaines sorties de Mme Le Pen sont plus à gauche que Besancenot. Qualifieriez vous le FN comme étant de gauche?
Evidemment que le FN est un parti de gauche : Etatiste, redistributeur, etc… Ce sont des nationaux socalistes.
Il n’y a plus aucun parti de droite en France, et depuis longtemps!!!
Hum … Un parti de gauche ! Pas tout-à-fait quand même…
Oui
Et bien si quelqu’un est capable de me démontrer ou de me montrer qu’il y a un côté « lumière » ou « lumineux » de la gauche, j’aimerai le connaitre.
Les 40H, l’Education Populaire, les congés payés, la CMU, l’interdiction du travail des enfants, le droit de grève, l’opposition au franquisme, participation à la Résistance…..
Et le côté lumineux de l’extrême droite? Y’a quelque chose en dehors des autoroutes allemandes des années 30?
Pardon ? La résistance était de droite, les communistes n’y sont rentré que sur ordre de Moscou (avant, ils sabotaient les armes de l’armée française…) et la majorité des collabos venaient de la gauche…
Le nazisme est un mouvement d’extrême gauche… NSDAP : Parti national SOCIALISTE des TRAVAILLEURS allemands, c’est pas assez clair ? Si non, lire Mein Kampf et se rendre compte que le programme économique est digne du Capital…
Et sinon, approfondir un peu plus, et ce rendre compte que ce qui différencie la droite de la gauche, c’est que cette dernière fait TOUJOURS passer la communauté avant l’individu, (ce qui explique sa fâcheuse tendance au totalitarisme, qu’il soit dur ou soft comme celui dans lequel barbotte la France depuis bien longtemps (NB : la « droite » française est colbertiste, et donc bien loin de la droite existant dans une bonne partie du monde) que ladite communauté soit les aryens, les « travailleurs », ou tout autre communauté supposée parfaite et au nom de laquelle on se permet de pourchasser tous les mal pensants.
Le propre de la Résistance est qu’elle a, au même titre que la collaboration, peu de lien avec une idéologie politique. On y a vu des curés et des cocos agir dans le même sens. Evidemment que les communistes ont rejoint la lutte lorsque Moscou est entré en guerre contre Hitler. Toujours est-il qu’ils ont participé au même titre que certains qui scandaient « Plutôt Hitler que le juif Blum » dans les années 30. On peut haïr leur pensée, mais reconnaître leur rôle.
Le NSDAP a une composante sociale à la base. Toujours est-il que la majorité des valeurs du parti étaient de droite. Plus qu’à droite.
Sur le reste je suis d’accord. Pour exemple en éducation populaire à la sortie de la guerre il y avait deux grandes tendances. Les cocos où le groupe prime sur l’individu et les cathos où l’individu est au centre. Exemple marginal, certes mais touchant à l’éducation.
Donc d’accord, porte ouverte au totalitarisme.
Après encore une fois, il faut différencier les valeurs de l’application.
Egalement voir les résultats. Le sionisme était à la base majoritairement un mouvement de gauche, laïc.
Quelle est votre définition des « valeurs de droite », histoire de rire ?
Le militarisme ? Le totalitarisme ? Le culte du chef ? Dans ce cas, l’URSS communiste était un régime de droite 😉
Le racisme ? Ce travers de l’âme humaine se classerait sur l’échiquier politique ? Intéressant raccourci, mais dans ce cas, les partis gauchistes qui soutiennent toutes les dictatures possibles et imaginables sous le prétexte que « ces peuples ne peuvent pas vivre libres, ils sont trop limités pour cela » (c’est leur discours, à peine caché), les Jaurès, Marx, … qui soutenaient le colonialisme parce qu’il fallait « civiliser les races inférieures » étaient de droite ? (Ceci dit en passant, pour revenir sur l’URSS, il n’y avait pas plus raciste qu’un russe communiste, imprégné de sa supposé supériorité sur les peuples qu’il écrasait sous sa botte rouge « paternaliste »)
Non, ne vous déplaise, le NSDAP était bien une dictature de gauche, comme l’est le communisme, ils présentent tous les 2 les caractéristiques que Guy Millière relève bien et qui différencient l’autoritarisme du totalitarisme, entre autre une prétention révolutionnaire de réécrire la société pour la faire coller à une idéologie.
Quand aux rouges qui ont « résisté », tout en admettant le courage individuel de certains, je leur refuse la mise au même niveau que ceux qui, tels mon grand père, sont entrés en résistance le premier jour non pas parce qu’un parti, sur ordre d’un pays totalitaire, leur en a donné l’ordre mais parce que leurs valeurs le leur imposait. Et je leur refuse d’autant plus que, comme je l’ai dit, ils ont précédemment participé à la défaite française en sabotant les armes destinées aux soldats qui allaient affronter les armées nazies, chapitre du communisme français soigneusement occulté de l’histoire officielle, mais qui se doit d’être rappelé.
NB : le sionisme n’est pas un mouvement de gauche, pas plus que laïc. Le sionisme est une aspiration nationale qui présente en son sein des mouvements de gauche et des mouvements de droite, nuance plus que de taille. On peut parfaitement être sionisme de droite et croyant. Et on peut, ceci dit en passant, rappeler que le sionisme de gauche a abouti à une crise économique majeure dans les années 70, laissant le pays exsangue, et est responsable des travers économiques qui pourrissent toujours une partie de l’économie israélienne (les fameux trusts, laitiers ou autres, appartiennent tous à des familles se revendiquant de ce « sionisme de gauche », la gauche version « charité bien ordonnée commence par la Rolls dans mon garage…), qu’il a abouti aux délires des accords d’Oslo, et qu’aujourd’hui, il a comme représentant une *** qui parle de s’associer avec les partis arabes compulsivement antisémites pour gagner le pouvoir : une certaine vision du sionisme, dirons nous…
Vous faites les questions et les réponses. Histoire de rire? Ou histoire de supprimer tout débat?
Valeurs de droite, je pensais plutôt au nationalisme, patriotisme, individualisme, suprématie d’une catégorie… Même s’il existe des valeurs partagées par droite et gauche comme un certain nationalisme.
Si certaines sont tout à fait honorables, leurs excès amènent aussi à des catastrophes. Par exemple l’eugénisme dans les Etats-Unis (démocratie pourtant) des années 20. Pays difficile à classer communiste dans ces années là.
De même le fait que le parti nazi remplissent les conditions du totalitarisme n’en fait pas un parti totalitariste de gauche, mais un parti totalitariste tout court.
La Résistance. Je suis d’accord qu’il y avait des intérêts « supérieurs » de l’URSS passant avant les valeurs. Mais dans le résultat, sans les rouges en général, l’histoire aurait été différente (europe nazie? Hiroshima à Berlin?…) Même s’ils n’ont pas fait ça pour nous, ils l’ont fait. Au même titre que les Etats-Unis qui n’ont pas agi par bonté pure.
Pour le sionisme je n’ai évidemment pas toutes les connaissances que vous pouvez avoir sur le sujet. Je pensais aux Herzl, Ben Gourion, Golda Meir…. Sans ignorer bien entendu les pendants de droite comme les révisionnistes, Jabotinski et cie, ou les oppositions actuelles entre post et neo sionisme. Aujourd’hui c’est vrai que les héritiers du sionisme sont majoritairement de droite. Pourtant Herzl était de gauche et laïc.
Un peu d’humour : d’où le nationalsocialisme ….
Et pour faire son pondant actuellement nous avons le nazislamisme.
Je diraisplutôt que le socialisme(beurk)est le côté obscur de la pensée humaine
à lire aussi : la France aux ordres d’un cadavre de Maurice Druon académicien : http://www.amazon.fr/France-aux-ordres-dun-cadavre/dp/2877063976
Oui Mike, excellent ouvrage et si je peux me permettre d’en conseiller 2 autres :
« Pour en finir avec l’idéologie antiraciste » de Paul-François PAOLI et
« Historiquement correct » de Jean SEVILLIA
Bonne Soirée
Un livre qui me paraît être très intéressant ! je vais l’acheter non pas pour adhérer aux idées de la gauche que nenni! J’espère en apprendre un peu plus sur toutes les casseroles que trainent certains élus socialistes qui se veulent au delà de tout soupçons et qui nous emfument.
Help me Dreuz, j’ai cliqué sur le lien pour commander l’ouvrage de Jean ROBIN et soutenir Dreuz mais à l’ouverture du lien, voici la réponse : « Apologies, but the page you requested could not be found. »
Y a-t-il un autre moyen ?
Merci
cliquez sur le lien du titre du livre.
Merci pour cette référence.
Je suis en train de lire « 100 ans d’erreurs de la gauche française » de Bruno de la Palme.
Comme dit Dominique: « Implacable ».
Après « j’attaque » Jean Robin!
Encore moi!
La gauche est une religion avec son prophète et ses apôtres.
Comme toutes les religions elle part d’un mythe , entretient l’obscurantisme et voue aux gémonies tous ceux qui essaient d’y voir clair.
« Le poids de la gauche dans l’ Education nationale » est à ce propos édifiant: maquiller, cacher l’Histoire, tuer le sens critique et j’en passe. Je n’ai pas encore lu le livre de Jean Robin mais j’espère que le chapitre concernant cette institution est « lapidaire » dans son sens premier, c’est à dire gravé dans le marbre.
En bref, ce qui caractérise la gauche c’est leur irresponsabilité et leur utopiste …
Ils font preuve d’une grande bonté avec l’argent des autres et avec les impôts et taxes prélevés sur l’ensemble des citoyens.