La voiture du principal a été la cible d’un tir de cocktail Molotov jeudi. Le lendemain, le véhicule d’un intervenant était également visé. Ce lundi midi, c’est un parent d’élève qui s’en est pris verbalement à des membres de l’établissement. Les professeurs réclament davantage de sécurité.
La soixantaine de professeurs du collège d’Etouvie a exercé ce lundi après-midi son droit de retrait à la suite de divers évènements “graves”.
Le but de l’équipe éducative était de sensibiliser sur la dégradation du climat dans l’établissement, régulièrement perturbé par des incivilités.
Preuve en est : jeudi dernier, la voiture du principal du collège a été la cible d’un cocktail Molotov lancé par deux personnes encagoulées. “Heureusement, il n’a pas pris feu”.
Le lendemain, un nouveau cocktail était lancé contre la voiture d’un intervenant du GRETA. Des effets ont été volés dans son véhicule.
Mais, c’est un nouvel incident survenu ce lundi midi qui a déclenché le mouvement des professeurs. “Lors d’une réunion de présentation des dotations horaires pour l’an prochain, un parent d’élève a réussi à pénétrer dans la salle et a agressé verbalement le principal, ainsi qu’un conseiller principal d’éducation et le principal adjoint. Ce sont ces trois faits qui nous motivent aujourd’hui à alerter sur ce qui se passe dans le collège”, disent Stéphane Goret et Damien Seynave, enseignants depuis six ans à Etouvie. Incivilités quotidiennes
Les incivilités sont devenues le quotidien de l’équipe éducative : crachats, bousculades, agressions physiques et verbales de la part d’élèves, “mais aussi de jeunes extérieurs à l’établissement”.
Ces faits incitent les professeurs à demander aujourd’hui des effectifs supplémentaires pour encadrer les jeunes et surtout les abords du collège. “Le rectorat dispose de brigades mobiles qu’il peut faire intervenir dans les établissements, mais nous n’en voulons pas. Nous voulons des effectifs en plus, clairement identifiés comme faisant partie de l’équipe éducative et facilement identifiables comme tels par les jeunes”.
Le Directeur administratif des services de l’Education nationale (DASEN) devait se rendre cet après-midi au collège d’Etouvie pour rencontrer ces professeurs excédés.
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Bonjour, je rêve: il faut des personnels qui puissent être clairement identifiés par les jeunes, comme si ces chances pour la France n’étaient p
Soyez plus précis ETOUVIE ??? Où est ce ?
Réponse bobo gaucho.
Étouvie est un quartier multiculturel d’Amiens dans lequel un fort taux de chômage parmi les jeunes entraîne parfois des tensions.
Réponse réaliste fournie par votre serviteur.
Étouvie est un quartier ou fut tentée une expérimentation de société multiethnique et cultuelle qui à abouti à la fuite de tous les blancs non musulman qui y vivaient, avec pour résulta un taux de musulmans qui doit avoisiner aujourd’hui les 95%.
Officiellement le chômage des “djeunes” est causé par un racisme latent de là société française, mais étant donné que lesdits “djeunes” roulent tous en bmw, mercedes, audi (etc) dans lesquelles ils installent les équipements électroniques derniers cri, il semble évident que ces “pauvres victimes” fuient le travail honnête comme la peste puisque les trafics divers et variés auxquels ils s’adonnent sont bien plus rémunérateurs.
Bonjour, je rêve: il faut des personnels qui puissent être clairement identifiés par les jeunes, comme si ces chances pour la France n’étaient pas capable de reconnaître un flic d’un prof !!! pour ramener l’ordre il suffit de suspendre toutes les allocs du quartier jusqu’à ce que le calme revienne, et pas d’effet rétroactif les allocs suspendues sont perdues … et voilà c’est aussi simple que ça, mais moi je n’ai pas fait l’ENA, normal que j’aie de bonnes idées.
La loi concernant les allocations supprimées en cas d’absence répétées des enfants à été abrogée……
Au secours Platon, la licence de la jeunesse gagne nos libertés. C’est la République qui va en pâtir…
Que les pouvoirs publics continuent à laisser s’installer la peur dans les collèges et les lycées et nous allons voir ce que le mammouth a sous la patte!!!!
La majorité du personnel “Education nationale” a porté Hollande sur le trône.Cette majorité se veut anti- raciste, pro émigration, alors que ça fait des années que les problèmes d’intégration existent dans les établissments scolairs
entièrement d’accord avec toi Hélène il doivent s’en mordre les doigts ces
gauchos
La majorité du personnel “Education nationale” a porté Hollande sur le trône.Cette majorité se veut anti- raciste, pro émigration, alors que ça fait des années que les problèmes d’intégration existent dans les établissements scolaires. Alors je ne vais pas plaindre ces gens: ils finiront peut-être par comprendre un jour?
incivilité, c’est quand on jette un papier par terre au lieu de le mettre à la poubelle, c’est quand on ne cède pas sa place à une personne âgée dans le bus. Des cocktails Molotov, des agressions verbales, le vol … c’est plus grave que cet affreux euphémisme. Tant qu’on se refusera à appeler un chat un chat, peu de chance que ça change.
Avec un taux de 95% de musulmans dans une région le racisme ne provient pas des habitants d’origine qui ont pris la fuite et on les comprend (je plains les 5% restants, je pense qu’ils n’ont pas le choix)car les emplois administratifs aussi sont dans cette région multiéthniques ça veut dire que mème qu’entre eux ils ne sont pas capables de grand chose.et surtout pas de travailler c’est trop fatigant nous leur avons donné de mauvaises habitudes depuis trop longtemps et avec flamby 1er et sa kyrielle de ministres, conseiller, grassement payés avec nos impots, c’est pas fini tant qu’il n’y aura pas de drame ça ne bougera pas et encore ça sera certainement étouffé.
Incivilités? moi je dis terririsme et actes de guerre auquels il faut une reponse adaptée donc armée, marre de ces petites racailles!!!
Et vous appelez ça des “incivilités” ?????? C’est du “novlangue” ou je ne m’y connais pas !!
Pour moi ce serait plutôt de la “voyoucratie” …!!!
Avec de tels incivilités, (c’est un mot soft) l’education nationale va avoir du mal à recruter des enseignants, ça devient moins dangereux d’aller faire la guerre au Mali que d’aller enseigner à des sauvageons qui ne respectent plus rien ni personnes et nos dirigeants qui continuent de dormir
En fait les enseignants ne veulent pas d’intervention extérieure pour les aider, ce qu’ils veulent c’est un adulte pour un jeune. Ou va t’on. S’ils ne veulent pas être aidés par la justice, la police, qu’ils laissent l’armée s’en charger ou alors qu’ils démissionnent et aillent enseigner en arabie saoudite.