Initialement publié le 8 février 2013 @ 15:40
Chez les populations plus tourmentées par la vie dans l’au-delà que par l’avenir de leur patrie, on voue un véritable culte au passé, on ne change pas de système. Le changement, lorsqu’il existe, est généralement subi, opéré contre leur volonté. Tout changement est assimilé à une malédiction divine que les musulmans ne sont pas prêts à affronter.
Rares sont les peuples qui se soulèvent et s’insurgent contre les injustices et la dégradation infamante de leurs conditions de vie, car ils ne font qu’assumer ce que dieu leur a octroyé. Seules l’obéissance et la soumission à sa volonté sont leur moteur de vie. L’homme musulman n’est pas né d’une volonté propre, il est sur terre pour suivre la voie de dieu.
Que des musulmans soient tournés vers le monothéisme ou le paganisme, et parfois, voire souvent, qu’ils s’adonnent à des rituels syncrétiques, combinant, comme en Tunisie, les rituels maraboutiques et l’occultisme, basés sur le culte de la personnalité, l’idolâtrie, la sanctification de la personne, la magie noire, l’envoûtement, la possession, l’invocation des esprits et la sorcellerie, ne change pas le fait qu’ils ne rêvent pas de changer leur vie pour un monde meilleur, pour eux et les générations futures. Ce dont ils rêvent, c’est de ce que sera la vie après la résurrection. Leur désespoir sur terre, il n’est qu’un espoir pour une vie meilleure dans l’au-delà.
Dans un monde gouverné par la main invisible, toute tentative de tourner la page du passé devient sacrilège et s’évanouit dans les méandres de la pensée.
Le poids des traditions, qui font office de loi, annihile toute volonté de rupture, et freine les populations dans leurs désirs d’abandonner leurs pratiques culturelles ancestrales, leur matrice maternelle, au profit de nouvelles valeurs étrangères libératrices des énergies, et qui portent en elles les germes des libertés et de la dignité humaine.
A l’accès aux droits fondamentaux, l’islam préfère la soumission aux obligations cultuelles. L’islam s’enferme mentalement dans un monde hallucinatoire et anxiogène où la réflexion repose sur des mécanismes irrationnels, superfétatoires, nourrie essentiellement par la rémission à dieu et aux esprits malins, inspirés par Satan et la magnificence divine, et aux Saints protecteurs (auxquels les nazi-islamistes vouent une haine féroce), de peur qu’ils ne fassent de l’ombre au Démiurge. Ils sont jusqu’à ignorants de la place des saints dans l’identité tunisienne, preuve vivante d’un islam contextualisé et adapté aux us et coutumes des pays où il s’était implanté.
Les musulmans vivent dans un environnement culturel et cultuel où le mode de vie, le mode de pensée, les comportements sociaux, sont dépourvus de toute rationalité et d’objectivisme, sont fondés sur le négativisme social. Les processus sociaux sont pré déterminés, préconçus, et inspirés par un système de croyances qui les rend immuables et trans-temporel.
Cette psychopathologie sociale propre aux sociétés conservatrices s’accompagne généralement du repli sur soi, de la peur du changement, de délires mystico-paranoïdes, de passivité, de violence pour extérioriser ses frustrations, de troubles de la personnalité, de sclérose identitaire, d’incurie intellectuelle, d’immobilisme, de nostalgie du passé, de troubles de conscience et d’affirmation de soi, de troubles des conduites sociales, de mise en scène hystérique et collective, où les sujets miment, simulent, et se défoulent sur cet autre, bouc-émissaire, souffre-douleur, objet fantasmé de leur courroux, diabolisé et honni.
Le mal qui est en eux est projeté sur l’autre
L’autre que les musulmans jalousent et envient intérieurement, les obsède et les tourmente, inconsciemment, du fait de leur intolérance pathologique à la différence. Cet autre comble le vide sidéral qui est en eux, et qu’ils doivent, pour leur survie, faire exister pour assouvir leur aversion d’eux-mêmes. Toute manifestation de haine vis-à-vis d’autrui est en réalité symptomatique de la haine de soi, et une forme avouée d’auto suicide.
Et sur la Tunisie
La société étant un agrégat d’individus, la Tunisie est leur produit, contaminé et irradié par leurs symptômes, fidèle reflet, miroir réfléchissant des signes en usage dans la société tunisienne. Le remède que veut lui appliquer les charlatans et gourous qui prospèrent sur le terreau de son mal être est la cause principale des graves troubles psychiques et névrotiques qui gangrènent le corps social tunisien. On ne peut pas soigner l’origine du mal par les symptômes d’un mal inhérent à une culture liberticide, oppressante, castratrice, culpabilisante, négatrice de l’individu, et fondée sur un système de croyances totalitaires et fascisantes, régissant tous les aspects de la vie des gens dans leurs moindres petits détails, dans toutes les étapes de la vie, et jusqu’à la mort.
Les espaces de libertés sont prohibés au nom du sacré, l’interdit est la seule norme de vie sociale
Socialement et individuellement, tout doit s’articuler autour des schémas de pratiques cultuelles, rythmants l’organisation sociétale et personnelle. Comme cela se produit souvent, plus les peuples sont enfiévrés par la religion, plus ils sont enclins aux croyances surnaturelles et para-naturelles, que les confréries sectaires et maraboutiques leur distillent pour remédier à leurs carences psycho-affectives, et à ce besoin de réponses palpables et immédiates à leurs questionnements existentiels.
Paradoxalement, ces peuples, à défaut de rêver, s’illusionnent sur le déroulement des évènements futurs, par besoin d’une thérapeutique absolue, par besoin de s’en remettre à l’autre, à Dieu, mais rarement à soi.
Leur solution n’est pas en eux, mais souvent entre les mains du tiers, ce tiers qui prend la forme d’un gourou ou d’un marabout, une figure tutélaire et idolâtrée tel l’illuminé R. Ghannouchi, l’artisan majeur des assassinats politiques en Tunisie, dont celui de Chokri Belaïd.
Depuis son retour ubuesque en Tunisie, il se comporte comme le sauveur, le messie attendu, en usant d’artifices ésotériques, charismatiques, de manoeuvres de manipulations mentales qui sous-tendent le terrorisme mental pour rallier et haranguer les foules, exalter leur ego frustré, un peu comme le faisait Hitler en Allemagne nazie.
On ne peut pas élaborer un diagnostic fiable des signes observés dans le champ social tunisien depuis le 14 janvier 2011, et surtout révélés au grand jour par sa Révolution, sans recours à la sémiologie psychiatrique.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour www.Dreuz.info
J’ai été en tunisie il y a 7 ans et j’avais prédit exactement ce qui allait se passait après avoir été dans une famille tunisienne et m’être baladé dans Tunis, personne ne me croyais….. à part le père de famille qui trop occidental en fait s’en fichait …et pensait au moment présent.
Le pire sont les prêts de la banque mondiale qui ne seraient pas arrivés si le peuple n’avait pas choisit lui même de voter pour les fascistes ! comme partout l’occident subventionne ce que veut le tuer comme la féministe couche toujours avec les machos de base.
“comme partout l’occident subventionne ce que veut le tuer comme la féministe couche toujours avec les machos de base.”
Je ne sais pas si c’est “toujours”, mais j’ai effectivement rencontré quelques spécimens de ce type.
Leur silence sur l’islamisation est d’ailleurs frappant, quand elles ne cherchent pas à faire taire les rares voix qui s’élèvent parmi leurs rangs, comme celle d’Anne Zélensky.
Comme beaucoup de gens, ce sont des guerriers de cour de maternelle, fascinés par le vertige du néant et qui le financent ou le soutiennent.
Bravo !
Voilà qui nous donne une idée claire de leur profil psy
Au vues de la démarche de Joseph FADEL en sortir est possible, avec un minimum d’honnête curiosité pour tourner le dos à ces messages de haine vers un message d’amour
Merci Monsieur 🙂
Manfred Wilhelm Franken liked this on Facebook.
magnifique l’un des plus beau textes que j’ai lu 🙂
ce texte est irrationnelle !
Une jeune femme de confession musulmane est décédée des suites d’un accident de karting survenu jeudi après-midi sur un circuit en Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, lorsque sa burqa s’est prise dans la roue de l’engin qu’elle pilotait.
En pleine course, la mère de famille, âgée de 26 ans et originaire de Sydney, a malencontreusement coincé son vêtement dans la roue du kart et a été étranglée par le tissu, d’après des témoins.
La victime a été emmenée d’urgence au John Hunter Hospital, mais les médecins n’ont rien pu faire. Une enquête a été ouverte sur les circonstances de l’accident. Le kart a été saisi par la police pour être inspecté plus en détails. (7sur7)
porter la burqa nuit gravement à la santé
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1090736/2010/04/09/Etranglee-par-sa-burqa-prise-dans-la-roue-de-son-kart.dhtml
Votre commentaire m’a d’autant plus amusé que, une fois fini de lire l’article il y a 10 minutes, m’est venue l’idée que l’islam devrait être soumis à l’Agence européenne du médicament pour avis quant au maintient ou au retrait du marché.
Curieuse idée a priori, et j’attends d’avoir d’autres pensées.
Tous fini toujours par se savoir un jour.
Les musulmans seraient-ils des objets sacrificiels ?
Tout à fait. Toutes ces personnes qui égorgent et attaquent les gens dans la rue en criant “Allah Akbar” sont systématiquement diagnostiquées commes folles ou ayant des problèmes mentaux. L’Islam est donc une religion qui rend fou. On devrait donc l’interdire au même titre que les drogues dures ou les sectes qui endoctrinent les gens et leur font perdre leur équilibre mental.
Etonnamment, ni le judaïsme, ni le catholicisme ne produisent de tels problèmes.
Mais comme souvent, ne voit que celui qui veut voir et nos media sont particulièrement aveugles.
http://www.breitbart.com/Big-Government/2013/02/08/Chicago-Muslim-Center-Of-Outreach
Les muzz pourrissent tout, partout où ils sont, et là, à Chicago ! vous avez dit bizarre ?!
Cet article est intéressant en ce qu’il ouvre enfin la voie sur DREUZ à une analyse de ce qui nous arrive aussi sur le versant de l’inconscient.
Les musulmans ne sont pas venus chez nous par hasard.
Quant au jihad et au terrorisme, il faut travailler sur l’intégrisme : qu’est-ce que c’est, que veut le terroriste qui se fait sauter avec sa bombe et ses victimes ?
Le voile, dont on sait qu’il fait double emploi puisque la loi, en pénétrant le corps, produit un effet de voile.
Quelle grande peur le voile a-t-il pour objet d’occulter, sachant que les Juifs déjà voilaient les femmes, bien avant les chrétiens et les musulmans ?
La question du voile est d’autant plus importante que le voile permet de reconduire sans cesse la violence des hommes : peitits, ils sont les petits phalus de leurs mères, lesquelles sont empêchées de tout et amputées de leur féminité (excision, voile etc.).
@ Demokracia,
Effectivement, c’est une psychiatre d’origine syrienne, Wafa Sultan, qui a écrit un livre intitulé:
“L’islam, fabrique de déséquilibrés.”