Un homme d’une quarantaine d’années a été tué dans la nuit de vendredi à samedi aux abords de la discothèque Les Chandelles à Trébeurden (Côtes-d’Armor). Une bagarre a dégénéré et la victime tuée à coups de couteau.
C’est une bagarre qui a éclaté pour des raisons encore indéterminées qui est à l’origine du drame. Il était environ 2 h du matin aux abords de la boîte de nuit les Chandelles. Deux personnes, âgées d’une vingtaine et d’une quarantaine d’années, en sont venues aux mains. L’un a sorti un couteau. « Plusieurs coups ont été portés et la victime est décédée rapidement », indique ce matin le parquet de Saint-Brieuc.
L’auteur présumé des coups, âgé de 23 ans, a été interpellé et était toujours entendu ce samedi soir par les enquêteurs de la brigade de Perros-Guirec. Si des versions contradictoires semblent encore entourer les circonstances du drame, l’auteur devrait être présenté devant un juge d’instruction demain dimanche. Le parquet pourrait requérir sa mise en examen pour assassinat.
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ah , Trebeurdin , c’était joli ………………………………………………….avant!
On croirait ces évènements se passer dans un pays imaginaire, fantôme…. pas de noms ni des agresseurs ni de l’agressé souvent mortellement touché à coups de couteau?!
Qu’est ce qu’il y en a de ces joueurs de schlass. Ils sont de plus en plus nombreux. Des noms des noms…Je suggère qu’on le déclare comme discipline au jeux olympiques et à pratiquer uniquement dans les arènes romaines toujours debout.
Bizarre cette affaire,et pas dans les habitudes du pays !…
Peut-être encore la diversité?…
Un muzz ??? un “djeune” qui se promène avec son couteau comme d’autres avec une lime à ongle ….ça ne peut-être que ça !
pas de nom ??? suspect !!
Je ne vois pas l’intérêt d’aller en boite de nuit pour passer des heures à se dandiner en faisant du sur place (( ils appellent
ça danser)) et, prendre le risque d’être poignardé à la sortie.
D’autant plus, que le port d’un couteau à cran d’arrêt nous est
interdit par la loi et que, sans cran d’arrêt on prend le risque
de se blesser accidentellement.
violence quand tu nous tiens