Hugo, âgé de 11 ans, avait perdu connaissance le 25 janvier dernier dans les escaliers du collège-lycée Stendhal, situé dans le centre-ville de Grenoble, après qu’un camarade de classe a tenté de l’étrangler, a raconté la mère du collégien, Véronique Riggi, confirmant une information de France Bleu Isère.
«Portant des traces de doigts sur le cou», selon sa mère, Hugo, qui s’était vu prescrire trois semaines d’arrêt par les médecins, avait également été «roué de coups par son agresseur».
Secouru par une lycéenne, l’adolescent avait été conduit à l’infirmerie de l’établissement «qui n’a pas prévenu les pompiers», a déploré Mme Riggi, fustigeant le «manque de considération» du proviseur qui n’aurait pas demandé de nouvelles de l’état de santé de son fils.
Le lendemain de cette tentative de strangulation, les parents d’Hugo avaient porté plainte contre le responsable du collège et contre le jeune agresseur. Depuis, Hugo a dû quitter le collège, dans lequel est toujours scolarisé son agresseur.
Ce dernier n’en était pas à sa première agression. En septembre dernier, à la sortie des cours, il avait déjà frappé Hugo, le prévenant qu’il lui «ferait la peau», a assuré Mme Riggi. La famille avait alors déposé une main courante auprès du commissariat de police et avait rencontré les responsables du collège qui, selon elle, s’étaient engagés à renforcer leur surveillance.
«Son agresseur a été convoqué dans le bureau du proviseur suite à cette strangulation, mais pas nous», s’est étonnée la mère, alors que le conseil de discipline a prononcé une peine d’exclusion avec sursis à l’encontre de l’adolescent qui a dû changer de classe.
«Si une exclusion avec sursis a été prononcée par le conseil de discipline qui est composé de parents d’élèves, de professeurs et du personnel administratif, c’est parce qu’il s’agissait d’une première agression au sein du collège», a expliqué le rectorat. «Cela n’excuse pas son geste, mais cet élève n’avait auparavant jamais fait parlé de lui», a-t-il justifié.
L’établissement, fermé pour cause de vacances, n’était pas joignable lundi.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gaïa pour www.Dreuz.info
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a t on le nom de l’étrangleur???
pas besoin, on sait tous qui est ce ((djeune))
Jeff Marx liked this on Facebook.
le jeune Hugo devra changer de collège alors que son agresseur n’a même pas été exclu du même collège ! c’est dégueu !!
encore une histoire qui sera classée sans suite ….
” ….. «Cela n’excuse pas son geste, mais cet élève n’avait auparavant jamais fait parlé de lui», a-t-il justifié.”
Cela n’est pas une excuse! C’est là un geste d’une violence extrême qui annonce le profil d’un tueur! Ils attendent sans doute qu’il récidive? Et récidive il y aura!
Ce violent n’a ni âge nom?
Ce voyou
devra être exclu du collège et le proviseur remplacé!
vous appelez ça un proviseur? ou un marchand de pois-chiches?
Aux dernières nouvelles:
26 février 2013
Les parents d’un collégien avaient déposé plainte après l’agression de leur fils par un autre élève.
Par AFP
Le parquet de Grenoble a annoncé mardi qu’il classait sans suite la plainte déposée à l’encontre d’un proviseur par les parents d’un collégien, victime d’une tentative d’étranglement de la part d’un camarade de classe. «Le proviseur n’a pas commis d’infraction», a indiqué mardi le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat.
Quelle horreur ! mais peut-être bien qu’un jour, quand ils en auront assez qu’on massacre leurs enfants , les Français se révolteront non ? ………………
non
C’est une honte, c’est l’agressé qui obligé de quitter l’établissement et l’agresseur est conforté dans son comportement il récidivera, j’allais dire il recommencera !! mais non on peut déjà employer le terme de récidive et au risque de me répéter: on ménage plus les agresseurs que les victimes .
Merci taubi-rat !! quant au proviseur il devrait changer de métier et le procureur sans doute un fan de taubi-rat