Le spectacle donné par Barack Obama lors du traditionnel discours sur l’état de l’union mardi dernier aurait pu sembler tiré d’un roman de Lewis Carroll. Barack Obama parlait comme s’il était au pays des merveilles. Il était souriant, fringant, extatique, visiblement satisfait de lui-même. Il disposait d’un public composé largement de gens prêts à l’applaudir à tout rompre quoi qu’il dise et de gens que les règles du protocole enfermaient dans une silencieuse politesse. Il pouvait dire n’importe quoi, délirer, user d’une absolue mauvaise foi, décrire une réalité qui n’avait strictement aucun rapport avec la réalité sans que quiconque n’envisage de l’arrêter sur sa lancée.
Il a commencé par décrire un pays qui va très bien, où le chômage baisse, où les emplois se créent par millions, où la classe moyenne se renforce, où la croissance repart, où les entreprises poussent comme des champignons dans les sous-bois un jour de pluie. Il a même donné des chiffres ! Que ces chiffres ne correspondent à rien n’avait, et n’a aucune importance, que le pays qu’il a décrit n’existe que dans son cerveau, visiblement dopé aux euphorisants, n’avait, et n’a aucune importance non plus.
Que pouvait envisager Obama pour ce pays qui va très bien ? Tout faire pour qu’il aille encore mieux, bien sûr ! Comment ? En procédant à des « investissements » : autrement dit, à des dépenses publiques supplémentaires, dans le secteur de l’éducation, de l’environnement, des bâtiments et grands travaux, dans la création de postes de fonctionnaires. Plus il y aura de dépenses publiques dans le pays décrit par Barack Obama, plus ce pays se portera extraordinairement. On peut penser que dans l’esprit de Barack Obama, comme dans celui de tout socialiste qui se respecte, si tout était public et si plus rien n’était privé, la perfection serait proche.
Cela doit être financé, direz-vous ? Ne vous inquiétez pas, Obama y a pensé : il suffira de faire payer les riches et de leur demander de verser leur part équitable (fair share) et le tour sera joué. Même la confiscation de toutes les grandes fortunes des Etats-Unis ne suffirait pas, ajouterez-vous ? Vous avez oublié que, comme chez tous les socialistes, les chiffres n’ont pas leur place dans l’univers d’Obama. Et si vous évoquez les déficits et l’endettement, il vous sera fait la même réponse. L’agence de notation Standard and Poors fait l’objet de poursuites par le ministre de la justice de l’administration Obama pour avoir parlé de chiffres : n’avez-vous toujours pas compris ?
Pour montrer qu’il est généreux, Obama a ajouté une promesse d’augmenter le salaire minimum en le faisant passer de sept à neuf dollars de l’heure. Tous les salariés seront mieux payés, ce n’est pas beau çà ? Ceux dont le travail vaut aux yeux des entrepreneurs moins de neuf dollars de l’heure toucheront des allocations versées par le généreux Barack Obama, dont la générosité repose sur l’usage de l’argent volé aux autres, qui sont censés se taire et être heureux de vivre dans le pays qui va très bien décrit par Barack Obama.
Pour montrer qu’il est visionnaire, Barack Obama a décrit les effets du réchauffement global et du dérèglement climatique en brossant un scénario de film d’épouvante dont les droits ont sans doute déjà été achetés par un producteur d’Hollywood qui a voté Obama : c’était dantesque, comme du Al Gore de la grande époque. Tous les orages, y compris la tempête Sandy, tous les tremblements de terre, toutes le intempéries passées ont été évoquées. Strictement aucune affirmation n’était fondée, cela va de soi, mais qui demande à une auteur de scénario de donner nécessairement dans le réalisme ? Et comme tout visionnaire a des solutions, Barack Obama a proposé des solutions : non pas la multiplications des pains, mais celle des panneaux solaires et des éoliennes. Que panneaux solaires et éoliennes ne soient pas à même de fournir l’énergie dont le pays réel a besoin n’a pas d’importance: dans le pays imaginaire d’Obama, comme chez tous les socialistes touchés par l’écologie fondamentaliste, le soleil brille toujours, et le vent souffle dans la direction qu’il faut.
Sachant qu’il pourrait rencontrer des réticences (est-ce concevable?), Barack Obama a prévu de les surmonter, et d’un geste monarchique digne d’un fils spirituel de Louis XIV qui aurait lu Staline et Fidel Castro, il a prévu de procéder par décrets s’il le faut : la séparation des pouvoirs prévue par la Constitution américaine n’a pas sa place dans le pays du très socialiste Barack Obama.
Un aussi grand dirigeant ne pouvait se limiter à son propre pays, même si c’est le pays des merveilles, Barack Obama a parlé du monde, et le monde qu’il a décrit était un monde idyllique. Il n’y avait aucun attentat de Benghazi, plus guère de traces d’al Qaida, aucun islamiste, aucun dictateur, aucun totalitaire. Les guerres enclenchées on ne sait pourquoi sous le prédécesseur du divin Obama avaient pris fin, et les soldats pouvaient quitter un Afghanistan paisible après avoir quitté un Irak tranquille.
Les gens qui étaient là pour applaudir à tout rompre ont rempli leur mission : ils ont applaudi en moyenne une fois toutes les trente secondes, pendant une heure dix. Les gens enfermés dans une silencieuse politesse sont resté silencieux et polis.
Pour respecter des usages que Barack Obama doit trouver surannés et obsolètes, des réponses ont été prononcées par Marco Rubio au nom du Parti Républicain et par Rand Paul au nom des tea parties. Ces réponses étaient cohérentes, rationnelles,basées sur des principes économiques et géopolitiques solides, mais ce genre de réponses ne fait pas rêver, alors qu’un discours d’Obama…
Les journalistes des grands média américains se sont montrés aussi satisfaits d’Obama qu’Obama s’est montré satisfait de lui-même. Comme d’habitude.
Marco Rubio ayant ressenti le besoin de boire une gorgée d’eau au milieu de ses propos, tout ce que les journalistes des grands médias américains ont retenu des propos de Marco Rubio a été la gorgée d’eau. Bien sûr.
Si un redressement des Etats-Unis doit se faire, il se fera malgré les grands médias américains, malgré Obama et ceux qui l’applaudissent quoi qu’il dise, malgré les tendances autocratiques que manifeste Obama d’une façon de plus en plus nette.
Il se fera parce que la banqueroute qui est ce vers quoi Obama conduit le pays sera là, avec ses douleurs.
Il se fera parce qu’au delà du pays des merveilles que décrit Obama, il y a la rude réalité.
Obama va régulariser onze millions d’immigrants illégaux qui seront autant d’électeurs supplémentaires pour le parti démocrate. Il va continuer à multiplier les assistés. Cela peut inciter au pessimisme.
Obama va continuer à tout faire pour démolir le parti républicain, persister à installer le capitalisme d’accointances (crony capitalism) que je décris dans Le désastre Obama (ceux qui ne l’ont pas lu devraient le lire d’urgence s’ils veulent comprendre ce qui se passe). Cela peut inciter au pessimisme encore.
Obama a nommé un antimilitariste de la gauche bobo Secrétaire d’Etat (John Kerry), un antisémite très ouvert à la république islamique d’Iran Secrétaire à la défense (Chuck Hagel), un islamophile convaincu à la tête de la CIA (John Brennan). il peut compter sur les membres démocrates juifs du Congrès qui ont appuyé l’antisémite. Cela peut inciter au pessimisme, toujours.
Mais des millions d’Américains restent attachés à l’Amérique et n’ont pas du tout dit leur dernier mot.
Quand les caisses sont plus que vides il devient difficile de continuer à jeter l’argent par les fenêtres, même si le Federal Reserve Board fait tourner la planche à billets.
Et puis, comme l’ont écrit de nombreux auteurs et politiques, de Thomas Jefferson à Ayn Rand, de Ronald Reagan à William Bennett, l’Amérique existe par l’idéal qui a fondé l’Amérique.
Sans l’idéal, l’Amérique ne peut plus exister.
Ceux qui détestent la liberté souhaitent la disparition de l’Amérique, je sais. Et Obama en fait partie.
Mais tous les hommes épris de liberté souhaitent le contraire.
Et la liberté a un immense avantage: elle est féconde. Alors que ce qui s’oppose à elle est stérile.
Cela n’a cessé de se vérifier tout au long de l’histoire. Cela se vérifiera encore. Je veux en être sûr.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour www.Dreuz.info
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« Mais des millions d’Américains restent attachés à l’Amérique et n’ont pas du tout dit leur dernier mot. »
hélas , hélas, le temps travaille contre l’Amérique des origines. Il faut une majorité pour gagner les élections (si on croit encore à cette farce tragique qu’est le « suffrage universel ») et, ce que j’appelle l’Amérique profonde, est entrain de devenir minoritaire chez elle.
Fallait pas faire entrer des dizaines de millions d’immigrants !
le même phénomène se déroule en Europe. Donc, c’est bien la droite américaine qui est responsable et coupable de cette situation.
Quant à Obama, il est très très bon: c’est un formidable bonimenteur…..comme toutes nos raclures politiques……et ça marche, parceque le Peuple, en tout cas la majorité, n’a rien entre les oreilles.
@petitjean
Vous semblez fortement confondre l’Europe et les Etats-Unis! L’Amérique a une structure politique fondamentale très saine, clairement basée sur le Judaïsme, ainsi, depuis plus de 2 siècles, elle ne régresse pas et reste l’Amérique des origines.Elle a des écritures politiques qui la définissent. Et, comme le souligne si bien dans son article Mr Millières, sans son idéal, l’Amérique ne peut plus exister. Aux US, les Droits Naturels, précisés dans la déclaration d’indépendance, sont un absolu, ce qui est loin d’être le cas en pays Francaoui. L’Etat a beaucoup moins d’importance pour un Américain que pour un Français.
« L’Amérique a une structure politique fondamentale très saine, clairement basée sur le Judaïsme »
Vous pourriez développer ?
@WwB
Il me faudrait certes un livre entier pour développer les bases Juives de la structure politique fondamentale des EU, mais je vais fournir des éléments importants ici.
D’abord dans la Thora, Dieu, et personne sur Terre, donne à l’Homme les 4 Droits naturels de Vie, Liberté, Propriété et Droit à la poursuite du Bonheur. Pendant des millénaires,les Juifs ont toujours considéré ces Droits comme un absolu et toujours pratiqué le principe d’égalité en cette matière. Dans la Déclaration d’Indépendance du 4 Juillet 1776, Jefferson écrit: » Nous considérons comme une vérité autoévidente que le Créateur a doté les Hommes de Droits égaux et inaliénables parmi lesquels sont la vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur… ». En Amérique, le Droit prime la Loi, à la différence de la France où la Loi prime le Droit. (Ainsi, en Mars 1963, De Gaulle pouvait faire sa propre Loi pour retirer le Droit de Vivre à Bastien Thiry, pour des attentats n’ayant causé que des dégats matériels.)
En Janvier 1776, Paine publie le Common Sense qui va convaincre les Américains à se séparer définitivement de l’Angleterre. Pour attaquer le principe de monarchie héréditaire, il se base sur les écrits Bibliques concernant Gidéon et Samuel: les Juifs n’ont pas d’idoles et ne doivent être gouvernés que par Dieu.
Il y a 11 Traîtés de Droit Talmudique. Les concepts d’Indépendance absolue de la Justice et de séparation absolue des pouvoirs entre le Sanhédrin et le Politique (Nassi, Exilarque,…) y sont clairement développés. Ils se retrouveront dans la Constitution de James Madison de 1787, et sont toujours appliqués dans l’Amérique de 2013 (à la différence de la France).
Le Traîté de Droit Talmudique Horayot (décision, enseignement impose et sanctionne le concept de responsabilité de tout homme public, juge, politique, etc…, et il est toujours appliqué (à comparer avec l’article 65 de la farce constitutionnelle de 1958 qui rend le Président Français totalement irresponsable).
L’Amérique pratique en Justice la Rationalité Juive comme le montrent le maintien de la peine de mort, le Droit à la défense de soi armé, le cumul rationnel des peines, selon le concept de mérite absolu, etc…
Un article du Traîté d’ alliance, signé à Lisbonne, en Septembre 1795, entre les Juifs Séfarades, dits Barbaresques, de la Régence d’Alger, et les Etats-Unis, précise que « le Gouvernement des Etats-Unis ne se fonde pas sur la religion Chrétienne ». Il est évident que le Droit à la poursuite du Bonheur, comme le concept de responsabilité, par exemple, ne peuventt pas venir du Christianisme.
En 1784, le Président de la Cour suprême de Philadelphie est un Juif Séfarade, nommé, je crois, Mendes-Texeira.
En Août 1789, Paine sera le rédacteur principal de la Déclaration Française des Droits de l’Homme qui sera présentée sous forme de tables de la Loi.
Bien entendu, il faudrait un livre entier pour traîter tout cela.
« sans son idéal, l’Amérique ne peut plus exister »
disons que, sans son idéal l’Amérique ne sera plus l’Amérique, mais ……….une autre Amérique.
Le temps vient à bout des meilleures digues si elles ne sont pas constamment entretenues, consolidées.
Le poison socialiste a commencé à imprégner une partie importante de la population américaine et c’est ce qui m’inquiète.
Et les minorités voteront toujours pour le confort, plutôt que pour un idéal. C’est ça la réalité de la politique.
@petitjean
La définition d’un concept a toujours des caractéristiques essentielles. La Thora est une caractéristique essentielle du Peuple Juif, sans laquelle il n’auraît pas persisté 18 siècles en Diaspora. De même, si on enlève les écritures politiques et l’idéal qui définissent l’Amérique, ce n’est plus l’Amérique, avec toutes les conséquences que cela entraîne. Amérique et collectivisme sont contradictoires. Or, toutes les projections des économistes ne montrent pas la disparition de l’Amérique au 21ième siècle. Si l’Amérique disparaissait, la Vérité disparaîtrait de ce Monde.
En effet Petitjean,
Le renouvellement de la population pose ou posera un problème majeur. L’Amérique des origines, celle des pères fondateurs s’inspire des Lumières, elle est aussi basée sur les libertés individuelles (avec tout ce que cela implique) et non plus sur des libertés collectives.
On pourra me lire ici http://lautrevoie.org/docshtml/peuples.html ici http://lautrevoie.org/docshtml/deleau%20au%20moulin.html ou ici http://lautrevoie.org/docshtml/ripamerica.html
La liberté n’est pas divisible (sauf pour les rouges dogmatiques) et l’absence de liberté économique (quand on est écrasé d’impôts et de charges) crée nécessairement un univers imbécile et liberticide, nous le savons, vous le savez fort bien puisque vous l’écrivez souvent ici et je vous lis.
Comme je l’écrivais à un ami : « Il n’y aura jamais autre chose que la connaissance, la réflexion et le travail pour construire et surtout défendre une civilisation libre, intelligente et ouverte ». Or, tout ceci suppose une adhésion à un principe de société bien compris et parfaitement intégré au-delà des générations par l’accumulation d’un savoir partagé dans l’effort (la gauche rejette l’effort). Or la gauche plaide partout l’inverse de ce qu’il faut faire, elle encourage la paresse, l’idiotie, le rejet des valeurs qui ont justement fondé notre civilisation et les gogos boivent cette bonne parole parce qu’il est évidemment plus facile de se laisser vivre aux frais des autres que de bosser avec courage et détermination. Alors, quid des nouveaux venus ou des nouvelles générations, j’ai peur de la réponse et je laisserai cette question ouverte. Une chose est pourtant certaine ; A museler l’information, on tue la connaissance et on enterre la curiosité qui est la source d’un savoir nouveau. Alors je donne raison à Guy Millière, mais je crains très fort pour l’avenir. Ce n’est pas une raison pour baisser les bras et je resterai optimiste.
Cordialement
ATB
je voudrais me tromper, mais nous vivons la fin d’un monde.
Des Hommes puissants ont décidé il y a environ 40 ans de changer la marche du monde. Appellons ça comme on veut, et baptisons le de projet de « gouvernement mondial ». Nous sommes les témoins de sa mise en place.
Nos « amis » américains ont fortement initié ce mouvement.
L’Homme libre, responsable et maitre de son destin , n’a pas sa place dans ce projet.
Un gouvernement mondial, qui mettra peut être un siècle ou deux pour être effectif, suppose une bonne dose de dirigisme, c’est à dire de socialisme, et une forme de totalitarisme, une sorte de dictature soft. Mais c’est bien ça le socialisme !
A terme, ce sera peut être un bienfait pour notre civilisation , qui est en marche encore pour quelques centaines de millions d’années.
Mais, en attendant, nous vivons aujourd’hui…………………..
@Petitjean,
Merci pour votre réaction.
J’aime votre réponse, enfin, la fin de votre réponse surtout : « Mais, en attendant, nous vivons aujourd’hui… ».
Le problème est bien là, nous, modestes mortels n’avons que notre vie sur terre (je suis non-croyant) pour être heureux, alors, en effet, remettre le bonheur à plus tard, par exemple, dans quelques siècles, cela me fait la jambe belle, mais me réjouit peu, vraiment fort peu. Le communisme a sacrifié des générations entières, ceux qui sont nés et morts sous la dictature rouge pourraient nous en parler longuement si nous avions seulement l’occasion de les rencontrer au paradis qu’ils auront bien mérités….Comme vous aussi, vous l’avez lu chez moi, je déteste le socialo-communisme, on est d’accord.
Quant aux « hommes puissants » qui ont décidé de changer la marche du monde, peut-être, je ne sais pas, mais cela me rappelle tout de même un peu les théories du complot ou conspirasionnistes selon lesquelles une oligarchie cachée, secrète voudrait dominer le monde et œuvrait dans ce sens. Ces théories sont multiples, je ne les aborderai pas, j’y crois peu et donc, n’y connais pas grand-chose. Je crois plutôt simplement, comme je l’écris souvent, que la cupidité, l’analphabétisme-économique et la démagogie des hommes politiques nous ont conduits où nous en sommes, dans le fond du trou. Mon père me disait toujours : « Quand tu cherches une réponse à un problème, prends toujours la plus simple, la plus vraisemblable ». En bon fils, c’est ce que je fais, mais j’ai peut-être tort, qui sait !
Il va falloir se réveiller !
Cordialement
ATB
« …mais cela me rappelle tout de même un peu les théories du complot ou conspirasionnistes … »
le simple recensement des faits, dans la durée, et leurs analyses, suffit à considérer que effectivement un nouvel ordre du monde s’est mis en marche.
Je vous invite à lire l’article suivant et à me répondre ensuite :
http://chretienslibres.over-blog.com/pages/l-horrible-verite-sur-les-nouveaux-hitler-www-legaulois-info-5969548.html
Effectivement, le plus simple est généralement ce qu’il faut chercher en premier…
Pour résumer ma pensée, des gens, économiquement très puissants, et de TOUTES confessions religieuses, ou pas d’ailleurs, ceux que j’appelle les MONDIALISTES, se servent de l’ISLAM, qui est très proche en termes de vues hégémoniques, en plus du fait qu’une partie au moins de ses adeptes seront de « bons » petits soldats, pour faire faire le boulot de réduction de population, que tout citoyen européen, ou américain, bref toute personne ayant un tant soit peu d’instruction et de bon sens, se refusera à faire…
Précision : Israël fait parti du plan…en terme de DISPARITION, et, en attendant, sert d’os à ronger !!!
Eh oui, les pays évolués sont des pays ou les lois « démocratiques » contrecarrent les plans de ces ORDURES-là !!
Cela semble parfaitement dingue, mais il te sera IMPOSSIBLE de CONTREDIRE cet article, que j’ai écrit, et qui est paru le 07 janvier 2011, et dont certaines affirmations sont visibles maintenant seulement…
Si j’ai tort, comment expliquer que l’ISLAM, ce poison mortel, se répandent aussi bien en Europe, qu’au Canada, ou en Amérique, alors que sa novicité devient tellement visible, que seul celui ou celle qui ne veut pas voir, ne voit pas cette » évidence » ?
Le Mali est-il un contre-exemple ? Je soupçonne notre « cher » ps de voir d’abord un intérêt économique avant tout autre « intérêt » altruiste…
Et comment expliquer que Bruxelles est pour l’invasion/immigration de l’Europe, malgré un chômage en train d’exploser partout ?
Voir cette article-là, jamais relayé :
http://www.express.co.uk/posts/view/65628/Secret-plot-to-let-50million-African-workers-into-EUa
Note : cet article du 11 octobre…2008 !!!
Dans tous les cas, les MONDIALISTES pensent être gagnants :
1 – L’ISLAM « règne » sur le monde (les MONDIALISTES dirigent ce DOGME basé sur l’ESCLAVAGE, la trahison, la cupidité, la luxure – voir la vie du modèle)
2 – L’ISLAM est vaincu, mais, sous prétexte d’aider à son éradication, il est dit que la seule solution du « plus jamais ça », c’est de contrôler chaque cm2 des pays, et chaque individu…
Il existe une troisième option, à laquelle ces ORDURES-là ne pensent pas, en termes de possibilité, c’est que les peuples se lèvent et EXTERMINENT, d’abord l’ISLAM – et ça, je pense que ça va arriver, ces CONNARDS d’adeptes n’arrivant même pas à l’imposer dans les pays du Maghreb –
Ensuite, ce sera le tour des POLITIQUES et leur potes les BANKSTERS !!
Lire le livre de Pierre JOVANOVIC » Blythe MASTERS » , et croiser les informations des sites de ce dernier – http://www.quotidien.com – avec celles du présent site, mais aussi http://www.ripostelaique.com …
Je le réécris, la théorie de l’esclavage mondial est tellement dingue que si les faits actuels ne me donnaient pas raison, moi-même, j’aurais du mal à croire ce que j’écris, mais les faits ne mentent jamais eux !!!
Nos amis americains ont fortement initie ce mouvement???
Raz-le bol de lire les quelques uns mal imformes qui
mettent la faute des USA a toutes les sauces.
En france, comme partout ailleurs, votre presse
ne vous raconte que ce qu’elle juge bon pour son
parti, quitte a oublier le principal ou a modifier les
faits.
Si vous vous informiez vous sauriez qui ont ete
les initiateurs du mouvement pour le gouvernement
unique, vous y trouverez les europeens bien places.
Les USA ont commis des erreurs et leur principale
a ete de penser qu’ils etaient favorises, avaient un niveau de vie
superieur aux autres pays et devaient donc partager.
Partager, ils l’ont fait au detriment du peule US.
Nous, les europeens, pouvions depenser pour tous
les programmes d’un etat nanny, portes ouvertes
a tout le monde. pendant que nous savions que les
USA, CES IGNARES, ETAIENT-LA POUR NOUS
DEFENDRE GRATOS.
Depuis de longues annees, europeenne de naissance
j’habite ce pays et j’ai eu la chance d’y arriver avant
la socialisation a outrance, avant que vous aillez nomme
notre President (meme facticement a au moins 80%)
Tout n’y etait pas parfait (car j’ai appris depuis longtemps
que la perfection n’est pas de ce monde), mais c’etait
ce qu’il y avait de mieux, vous aviez la possibilite de travailler, d’avancer comme vous le desiriez, de savoir
que vos enfants pouvaient acceder au niveau le plus eleve.
Tout ceci me parait deja lointain. Lorsque l’on voit
le nombre de PHD et masters de grandes universites
en chomage (ils auront la possibilite d’entrer dans tous
les mouvements patriotiques et en avant la musique
et le minimum vital qui sera egalement pour eux.
Tout ceci nous le devons aux nonos ignares et aux pays
comme la France, qui par propagande, et blablaba,
ont repandu une verite erronee, des faits deformes
et comme disait Simon de Montfort lorsqu’il a
annexe le Sud, pas besoin d’armes, les paroles
et les ecrits feront notre travail (approximativement)
@ATB
Les Pères Fondateurs de l’Amérique ne s’inspirent pas des « Lumières » mais de la Thora et de la République Hébraïque de l’Antiquité. Pour la France il ne peut pas y avoir d’ « adhésion à un principe de société bien compris et parfaitement intégré » Ce pays n’a pas de définition, ni d’écritures politiques fondamentales. Comme il n’y a pas de Constitution, aucun principe fondamental ne s’impose au Gouvernement. L’Islam peut ainsi facilement prendre le pouvoir et être imposé aux Français qui acceptent, depuis plusieurs générations, cette absence de Constitution.
@Asher Cohen,
J’ignore si le spères fondateurs de l’Amérique s’inspire de la Thora, c’est possible, mais Jefferson est effectivement un homme des Lumières inspiré par Locke ( l’un des principaux précurseurs des Lumières que je cite aussi dans l’un de mes textes-voir plus haut), Hume et Montesquieu, hommes des Lumières eux aussi…
http://www.karimbitar.org/kaspi_jefferson
Cordialement
ATB
@ATB
Merci pour votre référence. Je ne suis pas expert sur tous les Philosophes, ni sur 63 Traîtés Talmudiques, ni même en Histoire aussi complexe.
Il n’y a ni Moyen-Âge, ni siècle des Lumières chez les Juifs Séfarades. Il y auraît eu un Aufklarung chez les Askenazes de Berlin type Mendelson, mais je maintien que les « Lumières » sont un mythe. Je n’ai jamais trouvé la moindre référence aux Lumières dans les écrits de Paine (Common Sense, Rights of Man, Age of Reason) par exemple. Il est démontré que Jefferson, avocat, a utilisé la Thora et des Traîtés de Droit Talmudique pour sa Déclaration. J’ai même des doutes sur ses origines, tellement il est imprégné de Judaïsme. De 1722 à 1764, le Professeur d’Hébreu à Harvard est un Juif Algérien, Juda Monis, auteur de la première grammaire Hébraïque de l’Amérique. Il y a donc à l’époque, des Américains qui lisent parfaitement l’Hébreu. Les concepts d’absolutisme des Droits Naturels, de responsabilité, Droit à la poursuite du Bonheur, et Rationalité, existent chez les Juifs, des millénaires avant Locke. En 1655, suite à la rencontre entre Cromwell et Menassé Ben Israël, accompagné de Jacob ben Aaron Sasportas, il y a « retour » des Séfarades à Londres. C’est à ce moment là qu’a lieu la rupture d’Oxford avec la Scholastique et son ouverture au Rationalisme. Locke n’arrive qu’au niveau cartésien, donc « inutile et incertain ». J’ai toujours considéré que la Révolution Américaine ne pouvait pas venir des Lumières. Je conteste formellement ce qu’écrit Kaspi qui semble ignorer totalement la République Hébraïque de l’Antiquité. Hume est un empirique. En France, il n’y a aucune proposition de Déclaration des Droits de l’Homme durant le 18ième siècle, au point que la Déclaration de 1789 est rédigée par un Américain, Paine! Voltaire a peut-être écrit sur la Tôlérance mais il a une haine viscérale des Juifs, notamment les Séfarades de l’Empire Ottoman, au point que Louis XV fait censurer tous ses écrits Antijuifs tels « les Lettres du Rabi Aquib de Smyrne » par exemple. Cette contradiction le tue définitivement. De plus, le Comte Vergennes, Ministre de Louis XVI s’est catégoriquement opposé à la traduction en Français de la Constitution Américaine, c’est déjà le contrôle de l’information. C’est La Fayette qui ramène les idées américaines en France. Cicéron et les auteurs Latins sont des Antijuifs viscéraux, jaloux des privilèges, il est vrai exhorbitants, donnés aux Juifs par les Empereurs Romains. J’ai, en tant que Juif, de grandes difficultés à comprendre comment des gens ont pu accepter, durant des siècles, ces Monarchies Européennes, héréditaires, arbitraires et absolues.
@Asher Cohen,
Je vous lis et je vous remercie pour ce texte qui me demandera de me plonger dans de nombreuses études….
Quant à dire que les Lumières sont un mythe, je dois mal vous comprendre ou mal vous lire. Le siècle des Lumières est un mouvement philosophique, scientifique du 18em siècle que je ne vais pas décrire ici, mais qui a bien existé. Modestement, dans mes écrits, j’oppose les « Lumières » de la Révolution américaine au déclin des Lumières apporté par la Révolution française, laquelle Révolution devait inspirer plus tard Marx et Lénine, pour ne citer qu’eux. Guy Millière qui est également docteur en philosophie pourrait nous éclairer, en ce damaine…de ses lumières.
Que les juifs, la Thora ou le judaïsme aient eu un rôle important à jouer dans l’édification de cette grande Amérique (pas celle d’Obama), je l’ignore et ne demande qu’à le croire et ml’en réjouirait étant devenu un ami du peuple juif et d’Israël.
Vous êtes manifestement quelqu’un de cultivé, j’apprécie et vous en félicite.
Cordialement
ATB
@ATB
Merci pour vos compliments, mais je suis loin d’être expert sur des questions difficiles.
La thèse officielle est que le Siècle des Lumières est l’époque d’une grande avancée Philosophique et scientifique, un breakthrough complet qui mèneraît aux Révolutions Américaine puis Française.
La Réalité est que la Révolution Américaine a établi un système politique Républicain et Libéral, inspiré de la Bible, donc déjà réalisé dans l’Antiquité, puis ces idées républicaines sont arrivées en France, surtout après 1783, où elles ont inspiré les Révolutionnaires, mais ici de manière très imparfaite, pour différentes raisons.
Je n’ai jamais trouvé de référence aux philosophes des Lumières, ni chez les Américains comme Franklin, Paine, Jefferson, Washington, etc…, ni chez les Français tels Condorcet, Sieyes, Chamfort, Mirabeau, et encore moins La Fayette.
Je ne cherche pas à avoir raison, je cherche la Vérité tout simplement. Et pour moi, comme pour d’autres gens comme Yérushalmi par exemple, les Lumières sont un mythe.
Vous êtes loin d’être un expert dites-vous, mais vous avez le souci du détail et de la recherche objective, ce qui est l’essentiel. Pour ma part, je n’ai pas de formation dite classique, je suis plutôt un matheux (formation style HEC) qui s’intéresse à tout. Je suis un libéral, dans le sens européen du terme et mes modèles seront plutôt Friedman ou Hayek que Keynes et tous les économistes interventionnistes. Dégouté par la façon dont l’Europe est conduite je suis monté au créneau pour défendre les valeurs auxquelles je crois et je retrouve chez Dreuz. Pour simplifier, la personne humaine est faite de connaissances et de capacité d’analyse. En bref on doit disposer d’un bon tandem hardware/software dans la tête, le reste n’étant « plus » que l’accumulation de connaissances qui sont, hélas, illimités et inaccessibles dans leur ensemble. Le débat que vous abordez est passionnant, mais il dépasse le champ de ma connaissance, sans toutefois dépasser celui de ma capacité d’analyse. Pour entrer dans le fond du débat qui nous occupe, je devrais me jeter sur des bibliothèques entières…je le ferai, mais en y prenant le temps.
Vous semblez me dire que les Lumières sont un mythe parce que les idées qu’elles défendent sont issues de la Bible ou de la Thora et donc, sans doute, qu’elles n’ont rien inventé (ces idées préexistaient, tout a toujours été dit !). Je suis prêt à vous suivre sur ce point, l’important pour moi étant ailleurs, il se situe dans le résultat et non dans les sources, même si le débat sur les sources est essentiel aussi. Je constate simplement plus de respect des Libertés dans la Révolution américaine que je n’en vois dans la Révolution française, étant athée, je peux parfaitement me retrouver avec des principes énoncés dans la Thora ou dans la Bible, ce n’est pas contradictoire. Mais, je pourrais définir personnellement des principes déjà décrits ailleurs et que je ne connaissais pas (ce que j’ai certainement déjà fait), sans pour autant que l’on puisse affirmer que ma source d’inspiration serait ici ou là, parce qu’elle sera l’unique produit de ma réflexion propre…ce débat est infini !
Je suis, avant tout, un homme libre qui se rapprochera toujours de ceux qui défendent les Libertés humaines. Comme vous, je ne cherche pas à avoir raison, je recherche la vérité, la connaissance et la perfection (ou la Perfection….celle de Dieu alors, pour un athée, ce ne serait pas si mal)
Amitiés
ATB
@ATB
Je vous réponds ici à votre dernier post. J’ai, entre-autres, une formation classique dès le secondaire (Latin, Grec ancien, Hébreu) qui m’a fait valoriser, jeune, la Philosophie. Ensuite, je suis pluridisciplinaire. Je considère l’Objectivité comme une obligation et l’ai même enseignée.
Même s’il y a eu l’Ecole Autrichienne, je ne sais pas si l’Europe comprend vraiment ce qu’est le Libéralisme. La personne humaine est certes faite de connaissances et de capacité à penser, et pour survivre elle doit agir selon sa nature conformément à la Loi d’Identité, mais pour acquérir la connaissance, il faut une méthode épistémologique que les Philosophes Européens n’ont jamais réalisée. C’est donc le Hardware qui est mauvais en Europe. Il n’est pas nécessaire de se jeter sur des bibliothèques entières pour ce débat. C’est très simple: dès l’Antiquité, les Juifs reconnaissent la Raison comme un absolu et approfondissent leur Rationalisme dans l’Espagne Médiévale. Ibn Ezra dit que « Dieu ne donne sa loi qu’à des êtres doués de Raison. Hasdaï Crescas dit que « la Loi ne peut pas nous empêcher de considérer ce que la Raison nous mène à accepter comme vrai ».La Raison est un attribut individuel et non collectif: une personne ne peut pas penser à travers l’esprit d’une autre personne.Nous sommes ici bien des siècles avant Descartes. Le Siècle des Lumières ne concerne que l’Europe Chrétienne. C’est là où l’on commence à dire que « la Raison éclaire les Hommes », et l’on s’oppose à la superstition, l’intôlérance, les abus de l’Eglise et de l’Etat. Mais l’on est encore très en retard sur le Judaïsme. On en est encore à Kant et son subjectivisme. Les Américains voient les Francs Maçons de l’époque comme politiquement inoffensifs, voire ridicules. Rousseau parle de « Morale de Bilboquet ». Les Théories du Complot apparaissent déjà. Et, l’on en arrive seulement à un effort de tôlérance envers le Juif, le Persan, le Chinois,etc…D’ailleurs je ne sais même pas si les écrits de Rousseau, Montesquieu, Voltaire, etc..ont été traduits en Anglais avant 1776, ni ne suis certain si Franklin ou Paine, qui ont vécu en France, les ont lus.
Les Américains sont plus libéraux que les Français notamment parce qu’en 1776 ils partent de la Bible, et sur le plan intellectuel ils vont se définir en se différenciant rapidement de cette Europe qu’ils rejettent. Dès 1830-40, Emerson, qui a étudié le Judaïsme, va écrire The American Scholar, Divinity School Adress, Self Reliance, etc… et Thoreau sera dans le même mouvement (Walden, Civil disobedience).
Maintenant la Révolution Française est, à mon sens, beaucoup plus complexe que l’Américaine. Un grand nombre de députés à l’Assemblée sont archicorrompus, à la solde du Roi Louis XVI ou espions des Anglais, et l’on peut comprendre que Robespierre ait fait régner la Terreur et couper les têtes, à fortiori quand le pays était menacé aux frontières, et de famine! Cette Révolution échoue et la République ne dure pas 7 ans! Et durant tout les 19ième et 20ième siècles, la République aura de grandes difficultés à s’établir. En 2013, la France est toujours aussi corrompue que sous Louis XIII ou Louis XIV. C’est dans la culture Française. Raymond Aron justifiait ainsi la Dictature de De Gaulle. La France ne peut pas avancer sans Libertés Politiques et économiques, mais elle est beaucoup plus corrompue que les Etats-Unis, et sa culture, son hardware, ne se prête pas au Libéralisme. La solution?
@Asher Cohen
Oui, l’objectivité est essentielle mais elle est, hélas, très rare.
Non, l’Europe ne comprend pas ou plus le libéralisme, comme je l’écris souvent, les libéraux sont tout de suite qualifiés d’extrémistes, de radicaux ou de fascistes. L’Europe crève du socialisme et d’un constructivisme imbécile.
Les américains sont, en effet, plus libéraux que les français mais j’ignore si la raison en est qu’ils partent de la Bible et j’en prends bonne note. Les anglais le sont aussi, le sont-ils pour les mêmes raisons ?
En général je constate simplement que l’Europe continentale a plus tendance à vouloir s’en remettre à l’Etat, alors que les anglo-saxons sont plus attirés par les entrepreneurs et le modèle qu’ils incarnent. Pourtant le tout-à-l’Etat ne fonctionne pas, mais les européens s’entêtent…
La France est corrompue, mais toute l’Europe l’est, il y a partout de nombreuses affaires politico-financières qui donnent souvent l’impression d’être étouffées et dont les enquêtes ne mènent nulle part. En Europe, on vénère tellement l’Etat qu’il a tous les droits, qu’en est-il, en France de l’affaire Boivin/Karachi, l’homme qui aurait touché 8 millions d’euros pour son silence. On en parle encore, mais aucun personnage politique n’est poursuivi, pourtant l’affaire est immense, on n’ose même pas imaginer un équivalent aux USA, là, ce serait une bombe atomique !
Les politiciens sont intouchables en Europe, nos démocraties sont de véritables particraties, je l’écris souvent, nos démocraties sont dévoyées, j’ai été mis sur écoute (il suffit de lire mes textes, je l’explique) alors que je ne suis qu’un libéral qui défend le bon-sens, la Liberté, le capitalisme et la démocratie. Le monde inversé !!!
La solution, vous dites ?
Il n’y en n’aura pas tant qu’on ne chassera pas tous ces politiciens cupides et stupides du pouvoir. L’idiotcratie, disais-je dans mes textes !
Cordialement
ATB
@ATB
Je réponds à votre dernier post.
Il ne peut pas y avoir de Libéralisme économique sans Libéralisme Politique: un esprit libre et un marché libre sont des corollaires. Ce que dit P. Manent sur le Chili de Pinochet, ou la Chine est contradictoire. La France, pays de corruption comme la Chine, ne peut pas connaître le Libéralisme Politique. Être libre politiquement c’est d’abord et avant tout, avoir les 4 Droits Naturels garantis et être protégé de l’Etat par une Constitution. Montrez-moi combien de gens dans la Société Française et les entreprises veulent penser par eux-mêmes, être responsables de leur vie, autonomes, autodisciplinés, affirmés, avoir une estime positive d’eux-mêmes, ne compter que sur eux-mêmes, etc…! Les Français veulent que d’autres pensent à leur place et que l’Etat Providence les assume.. L’Europe n’a jamais compris le Libéralisme, et les Politiciens qui en parlent ne savent même pas ce que c’est. L’Europe est passée de Monarchies héréditaires aux étatismes, Fascimes, Nazisme, Communisme, Socialisme,etc. toujours des systèmes collectivistes. Montrez-moi des penseurs libéraux en Europe, hors l’Ecole Autrichienne de Von Mises et Hayek!
Au moment de la montée des fascismes dans l’ Europe des années 1930, Sinclair Lewis écrivait aux EU « it can’t happen here ». Les Américains partent de la Bible, à laquelle ils restent très attachés, puis développent une culture libérale qui les différencie fortement de l’Europe. Ensuite des mouvements philosophiques tels, par exemple, le Transcandentalism des années 1840-50 (Emerson, Fuller, Thoreau,etc..) développent cette culture libérale. Lincoln, probablement le plus grand Président US, soutient que l’Empire Américain disparaîtra s’il lâche les principes posés, 80 ans auparavant, par les Pères Fondateurs de l’Amérique. Cela se retrouve chez les Libertariens type Spooner Lysander, à la fin du 19ième Siècle. Dans les années 1940-50-60, Rand continue à reprendre ces fondamentaux.
Pour les Anglais, je n’ai pas la réponse. Je pense qu’après 1655, l’entrée des Séfarades en Angleterre amène des idées libérales, entrepreneuriales, et le Rationalisme qui va influencer Oxford et probablement Locke. Maintenant, je n’ai pas trouvé d’auteur libéral Anglais, (hormis des Juifs) sur les 19ième et 20ième. Le Libéralisme Anglais est peut-être venu du Libéralisme Américain.
Pour la corruption, elle touche surtout l’Europe Latine et du Sud (Italie, France, Espagne, Grèce,etc..), ainsi que l’Europe de l’Est. L’Allemagne, l’Angleterre et les pays Scandinaves sont moins touchés. Je crois que les Européens vénèrent l’Etat parce qu’ils manquent de culture politique et ne comprennent pas vraiment le rôle du Gouvernement en tant que simple Mal nécessaire. Mais cette vénération abusive a des conséquences dramatiques pour les Peuples Européens. Pendant la guerre, les Français ont choisi le Pétainisme et d’attendre le Grand-Frère Américain, au lieu de se prendre en mains. Tant qu’il n’y aura pas une Constitution qui assure que seuls des hommes de valeur et d’honneur dirigent le pays, ce seront toujours des gens de caractère douteux qui monteront au sommet. .
Je vais être bref….On est d’accord !!!
Cordialement
ATB
« The family of U.S. President Barack Obama last year spent $1.4 billion on their household expenses, which included salaries for 469 senior staffers, « the biggest staff in history at the highest wages ever, » according a report published last September in The Daily Caller, and $102,000 in taxpayer funds just on the family’s dog handler alone.
British taxpayers spent $57.8 million on the royal family during the same period. »
From: http://www.israelnationalnews.com/wap/Item.aspx?type=0&item=165316
en voilà une belle promesse de faire passer le salaire de 7 à 9 dollars de l’heure 😆
il se moque du monde !!!
merci Guy
…et demain on rase gratis !
Comme le dit petitjean, il faut une majorité.
Je crains que tant que les américains ne passerons pas à la caisse de la politique d’endettement (pardon, d’investissements) d’Obama, il n’y aura pas de place pour ceux qui promettent de la sueur et des larmes.
Après, si la masse des assistés, celles des patrons « crony capitalists », la masse des tenants de cultures exogènes, n’a pas dépassé un seuil de non-retour, alors une chance nouvelle devrait pouvoir être donnée aux Républicains et surtout à ceux du Tea-party.
Je finirais par souhaiter un effondrement rapide (sous le mandat d’Obama) de l’économie américaine…
@barakat
Si le Gouvernement Fédéral fait faillite et s’effondre, l’Américain self-reliant, self-responsible, et qui n’attend rien de l’Etat, même pas la sécurité physique, ne sera pas touché. Mais seront touchés les 47% d’assistés, au sens de Romney. Ils apprendront alors que leur code de valeurs était erroné et que la Réalité, ou le Bon Dieu, ne leur pardonne pas pour de bonnes excuses.
Situation parfaitement decrite.
« Un francais d’Amerique »
Il avait prevenu
http://m.youtube.com/#/watch?v=oKxDdxzX0kI&desktop_uri=%2Fwatch%3Fv%3DoKxDdxzX0kI&gl=FR
Hi Guy,
Votre reflexion sur la methode Obama se retrouve en tous points traduite sur le stock exchange. Il faut ecouter Phil Grande qui met en parfaite evidence l’escroquerie et les mensonges de l’administration Obama et les consequences qu’elle a a Wall Street et pour les investisseurs. Educatif et effrayant.
Phil Grande analyse egalement le Discours sur l’Etat de l’Union cette semaine.
http://www.philsgang.com/pgfreeshowarchivesnomenu.aspx
http://www.philsgang.com/player.aspx?MediaID=6463 (7’20”)
O.
Il vaut les Marx Brothers à lui tout seul, le rire en moins
Ainsi se réalisent les craintes exprimées ici-même depuis pas mal de temps
Il semble que les pouvoirs de gauche préparent, au nom de la paix, des guerres, salutaires à long terme (de leur point de vue) puisque cela permettra de créer un pouvoir fort, global.
Mais il est à craindre que deux collectivismes, comme l’islam et le socialisme, à défaut de se fondre l’un dans l’autre, finiront par embraser le monde, en s’anéantissant mutuellement
Pourtant malgré cet horizon sombre, il existe des valeurs qui bien qu’inversées pour l’instant, finiront par se remettre à l’endroit, par un basculement probablement violent
On ne construit pas une civilisation sans y participer activement et à force d’obliger les gens à accepter tout et n’importe quoi, la misère faisant son office, la révolte sera inéluctable
Tôt ou tard
Mais pour l’instant le Joker de la Maison Blanche tient le haut du pavé
L’Amérique est maintenant confrontée au mème problème que la France et mème l’Europe, mais je pense que la population américaine est plus attachée aux valeurs individuelles et qu’elle se défendra mieux malgré les mensonges fumeux d’obama et les américains sont déja armés pour la plupart, et là obama aura du mal à changé cet état de chose, Mais il y a la triste réalité démographique et là eux comme nous vulgairement parlant « on fait ne pas le poids » et concernant l’Europe qui est entrain de devenir l’eurabia subissant une invasion sud/nord en constante progression depuis quelques décennies de gens qui ne voient pas plus loin que leur religion refusant toute réflexion et attirée par les prestation sociales et encouragée par les gouvernements successifs. En France on assiste à un vrai décervelage qui s’est accélèrée avec la coupe du monde 98, le niveau général baisse lentement mais surement depuis quelques décennies ou effectivement le système fait qu’il est plus rentable de rester chez soi plutot que de travailler (ça commencer sous giscard chomage 90% + regroupement familial) et les socialistes s’installent derrière ça et une constante dégradation du niveau largement aidée par la presse écrite et audiovisuelle des journaux télé qui vous donnent les résultat du foot avant les actualités nationales et internationales du foot « en veux tu en voila » des réality show stupides c’est pas fait pour élever le niveau sans parler du rap et des nouveaux humoriste crachant sur la France et les français avec l’approbation des divers ministres de la cultures s’extasiant sur la « richesse culturelle de la diversité » comparant la France comme d’un creuset ou se mélange les cultures !!! et voila ou nous en sommes ; les Lumières sont entrain de s’éteindre pour céder la place à l’bscurantisme à moins que ????.
ATB je suis allée vous lire sur les liens indiqués, vos écrits sont tristement réalistes mais si bien tournés (vous n’aurez pas les encouragements de notre ministre de l’inculture) mais entre vous et petitjean j’ai plus le moral mais avec mon age je ne verrai peut ètre pas le pire.
@Marmotte enragée,
Merci pour le compliment, mais, je vous rassure, derrière mon style, le ton que j’emploie et la description tristement réaliste des situations européennes, je suis optimiste sur les hommes (pas les hommes d’Etat) et leurs capacités à rebondir. Nois sommes, ici sur Dreuz et dans mes réflexions sur mon site, dans une action positive qui nous portera plus loin, beaucoup plus loin, vers la sauvegarde de nos libertés et de notre civilisation. Internet est présent dans nos vies, il sera le rempart et la réction contre la bêtise et la tyrannie ambiantes.
Cordialement
ATB
Merci de votre réponse, c’est encourageant
Il ne s’appellerait pas Hollande Obama ?
J’ai la curieuse impression que nous avons les mêmes de part et d’autre de l’Atlantique…
c’est à se demander si oui effectivement il n’y a pas un complot mondial. qui posterait ses pions aux elections comme un jeu de playmobil. juste pour voir si les autres cons ( les electeurs) vont encore se faire baiser? et oui ça marche. souvenez vous du film avec eddy murphy ou deux frères de la finance détruisent lavie d’un brave type et mettent eddy (le clochard) à sa place en deux coups les gros. et au final on voit qu’ils ont tous flingué pour un pari à UN DOLLAR.
voilà je pense que c’est pas les partis politiques qui proposent des candidats pour jouer. ce sont les lobbys.
voir un obama d’où il sort ce con ? on nous les brise menu depuis 60 ans avec le protocole des sages…. mais sachant que les muzz nous mettent toujours leurs crasses sur le dos , ce fameux protocole doit être arabo muzz gocho bobo socialo facho merdo.
si ils nous en donnaient la vraie version aulieu de nous inventer un truc de « sionniste » on y verrait mieux dans cet épais brouillard ou tous les batards n’endossent leurs roles que pour les cersterces les roubles, les FS. il passeraient leurs meres au hachoir pour en faire du boeuf sur le marché à court terme, ou du dada au choix des saloperies quoi.
croyez moi il devrait y avoir un examen d’entrée pour etre présidentiable. tout est pourri. je travaille assez rpoche du petit pouvoir et le roi soleil n’a pas à rougir, les gochos du jour sont bien pires en tractations. je ne suis pas historien mais je pense que c’est encore pire que du temps des pages et des enfoirés (stricto sensu) dans les couloirs de Versailles.
maintenant ça se trame dans les couloirs de l’hotel de ville qui se veut l’antichambre de l’Elysée.
Article très évocateur. Il n’y a plus à s’exprimer par détours, Obama et sa foule sont en plein délire.
Avez-vous pris connaissance de l’intervention d’un certain Dr Benjamin Carson lors du National Prayer Breakfast le 7 février dernier? Un rare moment où l’hôte administre une petite leçon de morale basée sur les fondamentaux du rêve américain (donc contraires à Barry) au président qui n’a d’autre choix que d’écouter en silence. I love it! http://www.youtube.com/watch?v=PFb6NU1giRA
Sean Hannity a donne une suite a l’excellente intervention du Dr Benjamin Carson. Celui-ci va plus loin dans sa reflexion et reprend les themes abordes lors du National Prayer Breakfast du 7 Fevrier dernier. La dette, le deficit, l’education, Obamacare etc… Dr Benjamin Carson sera sans aucun doute une voix de qualite sur laquelle il faudra compter dans les annees a venir.
http://lonelyconservative.com/2013/02/video-hannity-special-with-dr-benjamin-carson/
O.
Excellent cette homme…vous avais raison.
Je reste positif, malgre le desastre d’obama que Guy decrit si bien.
Merci pour ce lien, effectivement Carson semble faire le buzz ces jours-ci, une sorte de contraire d’Obama. Un Mr Common Sense, pas seulement un de plus, je l’espère pour les Américains.
Je m’étais fait les mêmes réflexions quant au langage corporel de Mr President: il est réellement sur ses gardes dès le début et s’efforce de contrôler les expressions de son visage -et son épouse qui applaudit avec enthousiasme! La lose comme disent les ados… Carson se permet même une plaisanterie sur les avocats qui pourrait passer pour du flirt avec Mme Obama!
Enfin j’aimerais remarquer que Dieu, et je sais que beaucoup sont non-croyants (commentateurs, observateurs, Américains…) et mettent donc plus ou moins ce facteur de côté- donc que Dieu, même si cela fut par conformisme, fait partie de ces fondamentaux américains. Je crois que le Rêve américain ne serait pas né sans cette dimension spirituelle particulière.
Beaucoup parmi les Européens qui firent les Etats-Unis étaient des Protestants qui voulaient obéir quotidiennement à ce qu’ils lisaient dans la Bible. Ils se comparaient sûrement au peuple d’Israël lorsque celui-ci dut entrer en possession de la Terre Promise par la conquête et pour en faire un pays d’hommes droits devant Dieu.
Beaucoup d’autres émigrèrent pour des idéaux divers, des raisons économiques, etc. Mais peut-on mener une réflexion sur les Etats-Unis en réduisant la foi protestante -qui fut un puissant facteur de l’exception américaine et qui fait partie de sa psyché- à une simple donnée sociale parmi d’autres? J’en doute. Cet apparent manichéisme, la croyance dans les miracles et la constante actualisation des thèmes bibliques dans les oeuvres de fiction fait aussi partie de ce qui a fasciné le reste du monde, ou l’a puissamment irrité. Que ces éléments furent habilement utilisés par les hommes politiques dès les débuts de la nation ne change rien au fait qu’ils ont longtemps imprégné le peuple. Pas toujours pour le meilleur, j’en conviens.
Les mentions de Jésus et de la Bible (les quatre citations introduisant son discours) sont peut-être des éléments conventionnels, des signaux envoyés au conservateurs, des gimmicks (Carson a également fait pas mal de pub pour sa fondation) peut-être qu’au contraire ils procèdent d’une foi authentique – mais je trouve qu’elles avaient toute leur place dans un discours qui prône le retour à la sagesse. Et au National Prayer Breakfast! Au moins un qui n’aura pas juste évoqué une vague déité au nom du politiquement correct ou parce qu’il est secrètement musulman! (suivez mon regard)
bonjour, ça serait sympa si quelqu’un pouvait la sous titrée en français. Obama n’a pas l’air dans ses pompes pdt ce discours.
Oui, c’est quelque chose ce speech, et tout ca sous le nez d’obama… j’adore! Ou plutot l’on devrait dire sous le ‘menton’ d’obama, menton qui se levait hautain et se voulait moqueur, le menton a-la-Mussolini d’un tyrant . C’est d’ailleurs une etude interessante du body-language d’un obama pris sur le vif et impromptu. Le menton se levait a la fin de chaque passage qui l’offensait.
De bonnes nouvelles des USA
http://www.breitbart.com/Big-Government/2013/02/17/Americans-for-Prosperity-Set-to-Clash-Against-Rove-s-Super-PAC
http://weaselzippers.us/2013/02/18/marco-rubio-raises-100000-for-pac-off-water-bottle-sip/
Géniale la photo Tweedle Dumb, c’est exactement ça. Mais qu’est-ce que l’on peut faire Guy ? Andrew Jackson n’y était pas allé de main morte avec la Fed Bank http://www.history.com/this-day-in-history/andrew-jackson-shuts-down-second-bank-of-the-us Est-ce qu’une version plus légère de sa méthode ‘cut-throat’ serait possible en notre temps ? Ou est-ce que ça engendrerait trop de répercussions sur l’économie mondiale ?
Toujours est-il que l’esprit bagarreur n’est pas mort and we won’t die without a fight (Auteur de « Common Sense » prend le rôle de Thomas Paine http://www.youtube.com/watch?v=jeYscnFpEyA
Que de valeurs et de cultures nos « maîtres » sont prêts à détruire pour une minorités d’élus…
Les us sont condannes a devenir comme l europe
Cela commence comme dans les annees 80 90
Lorsque les pro palos alimemtaient le debat dans les universites
Hier auxvinfos de la tv Israelienne sur la 2 je crois il y a eu un reportage sur les manifestations anti Israrlienne dans les campus en californie.ils font la meme chose qu en europe d ailleurs l une d entre elle a deja fait savoir le boycot des universites Israelienne d autre sont a suivre et une demande de la part des etudiants muzz voile ou pas ainsi que le boycot des entreprises us travaillant avec des entreprises Israelienne. L avenir n est plus rose aux us .
Jeff Marx liked this on Facebook.
votre analyse d’Obama me donne le vertige; je plains les Américains.
http://www.dw.de/nato-to-implement-afghan-airstrike-restrictions/a-16605128?maca=en-rss-en-world-4025-rdf
Obamuzz à plat ventre devant Karzai, ce champion de la taqqiya, du mensonge, du double voire triple langage. Quelle honte pour les soldats occidentauix de voir leur hiérarchies ramper devant des muzz hypocrites, corrompus jusqu’à la moelle.
« Tout fini par s’arranger, même mal » (Tristan Bernard)
Bien connu pour mon amour immodéré pour Barak Hussein Obama, j’aurai le cœur déchiré s’il advenait le moindre problème pour ce bienfaiteur de l’humanité et des USA en particulier.
J’ai eu un rêve, comme l’aurait dit Martin Luther King, ou plutôt un cauchemar : la plaie des « grands Présidents ». Rappelons-nous: Abraham Lincoln, James Garfield, William McKinley, John F Kennedy. Pourvu que cela n’arrive pas à BHO, ce serait trop bête! Il est si bien !
Ce qui me fait le plus de soucis à son propos c’est la façon dont il a congédié le général Petraeus, patron de la CIA. Petraeus, brillant homme…comme Allen Welch Dulles, patron de la CIA lui aussi. Tous les deux ont été virés moins d’un an après leur nomination ou confirmation par un démocrate : BHO pour l’un, JFK pour l’autre…et le même jour. 9 Novembre 1961 pour Dulles et 9 Novembre 2012 pour Petraeus. JFK s’est « jeté sur une balle » deux ans plus tard : le 22 Novembre 1963, c’est toujours un peu long l’organisation. Je ne veux pas dire par là que les soupçons sur Dulles puissent être les mêmes sur Petraeus, mais le même sens de l’importance stratégique lié aux mêmes relations… Bon, on verra bien en 2014, si d’aventure l’organisation n’a pas fait de progrès.
Ceci dit je prie très fort pour que notre Obama chéri puisse œuvrer et vivre le plus longtemps possible.
Merci et vive Obama !
1 h 10 à discourir ! C’est sûr, Obama aime s’écouter parler. Avec un peu d’effort, il parviendra à réaliser les même performances que le bouffon de Caracas, Hugo Chavez, capable de déblatérer plus de trois heures à la télévision.
President Barack Obama has a dream, and he made it clear to the Nation a week ago during his State of the Union address. In it, he laid out how it will be manifested in his last term. Obama has four more years to be free at last, four years to dictate his economic and energy visions to the United States.
We are at the cusp of a revolutionary period — a time for Obama to right a ship that he, with his Ivy League idealism, never believed was properly upright. The President will use these years to cement what he believes is his rightful place in history.
But these next four years will reap an economic crisis, planted by the President and from which the only harvest can be the destruction of the U.S. dollar.
Obama’s audacious plans for America’s future were laid out plainly during his State of the Union speech last week.
“Deficit reduction alone is not an economic plan,” he said.
I know the President said this because I was watching Obama’s address with my wife. I asked, “Did he just say what I think he said?” She looked as surprised as me and gave me an affirmative nod.
With the power of the Internet, I understood that evening that indeed neither of us had been dreaming. Instead, the President had been on television sharing his dream for America’s future.
Then, this past weekend, the President gave his weekly radio and Internet address to reaffirm his position that deficits do not matter.
According to Obama, no American who works full-time should live in poverty. He was asking Americans to support his proposals to raise the minimum wage, pass comprehensive immigration reform and incentivize companies to create jobs in the United States. The President clearly believes that the long-term solution to America’s economic problems is more short-term debt. What Obama doesn’t realize is that we are already late in the game.
When I started out writing about the Federal government more than 30 years ago, the Federal debt was just more than $900 billion. I remember my father, who was my publisher at the time, fretting about what $1 trillion in Federal debt would mean for the economy. As it turned out, it meant very little. We blew past that total, then many other milestone numbers. The biggest debt accumulator of all time is Obama.
Continued deficit spending is part of Obama’s dream; but it is a dream I very much doubt that King would endorse, given the increase in poverty to American minorities.
Earlier this month, The Washington Informer stated:
There is nothing wrong with Blacks “having Obama’s back” if we were all enjoying high levels of economic success, but continuing to applaud ineptness is dishonest. Suppose you spend more money this month than your income. To keep going you borrow. The amount you now owe is “debt.” You have to pay interest on your debt. If next month you spend more than your income, you must borrow more and still have to pay the interest on your now larger debt. If you keep borrowing eventually you will reach a point where all you can do is pay the interest and not have money left for anything else. This is known as “bankruptcy.”
… It’s time Black Americans ask themselves: “Can these practices go on forever and can we pretend that what has been occurring is “good governance?” Talk about a “racial divide”: Polls show that Blacks and mainstream America view this economic imperative differently. While 96 percent of Black Americans support Obama and his policies, 85 percent of Americans worry that growing deficit spending will hurt their children and grandchildren, and 56 percent think that within the next decade the red ink will spark a major economic crisis.
Since Obama took office, the Federal debt has increased to $16.5 trillion, up from $10.6 trillion when George W. Bush left office.
Yet, according to the President, education, job training and benefits to the elderly should not be sacrificed to reduce the deficit.
So where then is the sacrifice? It seems Obama wants to have his cake and eat it, too: He wants to bankrupt America.
One thing college did not teach Obama is that deficits will matter in the long run. (In fact, we are rapidly approaching the time when they will matter.) Deficits matter because the Federal government is borrowing $5 billion per day to pay its operating expenses, and many of the Treasury auctions are being attended by foreign investors. The last data on a full month was for December; foreigners bought almost $30 billion in Treasury debt. Currently, China and Japan are sitting on $2.3 trillion in U.S. Treasury debt. And for Obama and the United States to continue to meet its spending plans, it needs these two countries and many others to keep bidding at Treasury auctions.
What happens if investors in Beijing and Tokyo lose confidence in the ability of the U.S. government to deliver back dollars that have “not” lost their worth because of inflation?
The first thing that would happen is that the U.S. bond market would begin to snap, since the United States would be forced to pay higher interest rates to sell its lifeline of debt. Higher interest rates would impact not only the bond market, but the stock market, real estate market and every component of the U.S. economy. In a matter of days or even hours, we could have an economic bust that would make the Crash of 2008 a footnote in history books.
Yet I believe that Obama remains unfazed by the size of the exploding Federal deficit and the resulting whirlwind that will drive interest rates higher and implode the U.S. economy. Either Obama is willfully unaware of the risks facing the Nation or he simply does not care about them. His ultimate economic and political endgame may be known only to him and a few insiders, but I believe he is the most dangerous President America has elected in the past 100 years.
While King revealed his dream for America half a century ago, Obama is just beginning to fully disclose his vision. It is the antithesis of King’s dream. It will not strengthen nor unite a Nation; it will weaken and rip us apart, both blacks and whites. The President’s dream will become the Nation’s nightmare.