Michel Garroté, réd en chef –- En France, la « question juive », comme on dit, est loin d’être résolue. Sous Pétain, les Français étaient à 95% pétainistes, par peur ou par conviction. A la libération accomplie par les alliés, De Gaulle, résistant à Londres et non pas maquisard en France, déclara à ces mêmes Français, qu’ils étaient gaullistes. En une phrase, le général leur donna l’absolution collective.
Plus tard, De Gaulle, en parlant des Juifs, les qualifia de « peuple dominateur et sûr de lui ». Avec cette phrase, le général laïc républicain fit du pétainisme brut de décoffrage et proclama sa soumission au monde arabo-musulman, son pétrole, sa main d’œuvre et sa religion. Ce fut le début de l’allahïcité que nous connaissons aujourd’hui avec son islamophilie, sa judéophobie et sa christianophobie.
Lorsque quelques Juifs français décidèrent de fonder une institution juive, cela donna le CRIF, le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France. J’ai toujours trouvé curieux que l’abréviation de « Conseil Représentatif des Institutions Juives de France » soit CRIF et non pas CRIJF. On peut toujours rétorquer que CRIF est plus facile à prononcer que CRIJF.
Il n’empêche que le mot « Juif » et donc la lettre « J » ne figurent pas dans l’abréviation CRIF, comme si les Juifs de France, de manière subconsciente, avaient cannibalisé le Judaïsme afin de pouvoir rester des Français sans risquer des ennuis. Même chose pour les noms de familles et les prénoms. Si l’on s’appelait Shlomo Levy, il valait mieux se faire renommer Jean Dupont, dès fois que l’esprit génocidaire ne reprenne le dessus.
A ce propos, Natalie Felzenszwalbe, avocate, et, Céline Masson, psychanalyste, écrivent (extraits adaptés ; cf. lien vers source en bas de page) : C’est un fait relativement méconnu qui vaut d’être rappelé. Après-guerre, de nombreux Juifs ont francisé leur nom ou en ont carrément adopté un autre dans l’ombre portée de la Shoah et un climat d’antisémitisme persistant. Des décrets de circonstance qui facilitaient les changements de nom « à consonance israélite » les y ont encouragés.
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson : Ainsi, dans la France des années 50 – 60, des Rozenkopf devinrent des Rosent, des Wolkowicz des Volcot, des Rubinstein des Raimbaud, des Fuks des Forest, etc. Des décennies durant, le Conseil d’Etat s’est opposé au retour au patronyme d’origine, réclamé par certains intéressés qui se sentaient finalement étrangers à leur nouveau nom, au double motif de l’immutabilité du nom et de l’absence de fondement à reprendre un nom « à consonance étrangère ». Certains ont alors eu recours à l’artifice du pseudonyme, ou au nom d’usage pour faire vivre leur « vrai nom », celui de leur père ou de leur grand-père, sans toutefois pouvoir le transmettre.
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson : Mais c’est sans doute ailleurs qu’il faut chercher la raison de ce refus de principe. A la Libération, le Conseil d’Etat n’était pas tant animé par un souci de francisation que par celui de lutter contre les discriminations vécues et subsistantes. Il manifestait ainsi, comme un symptôme, la culpabilité de la France et de ses institutions à l’égard des Juifs français et étrangers pendant la guerre. Après des décennies de silence, de refoulement peut-être, des familles désirent retrouver leur nom d’origine.
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson : Un collectif, la Force du nom, a été constitué en 2009 pour interroger et contester d’une part les motifs tirés de la consonance étrangère et, d’autre part, l’application du principe d’immutabilité du nom. Ce principe de l’immutabilité a été jusque très récemment appliqué sans discernement, sans prise en compte des circonstances historiques qui expliquaient les traumatismes à l’origine des demandes de changement de nom et de francisation.
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson : Par ailleurs, cette position apparaît désormais en profond décalage avec les réformes législatives importantes qui, depuis une vingtaine d’années, ont révisé l’état civil, la filiation et notamment modifié les règles d’attribution du patronyme, qui accordent une large place à la volonté individuelle. Si ces changements alignent la France sur la conception libérale qui prévaut le plus souvent à l’étranger, cette libéralisation n’est que partielle car soumise au politique et aux nouveaux centres d’intérêt de l’Etat (sécurisation de l’identité et des titres d’identité, informatisation de l’état civil, etc.). Surtout, l’usage par le Conseil d’Etat de la notion de consonance étrangère est un alibi douteux qui pose la question de savoir ce qu’est un « nom français » et un citoyen français avec un nom « venu d’ailleurs ». Certains patronymes portés par des Juifs sont-ils moins « français » que bien des noms bretons, basques, corses ou alsaciens ?
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson : Depuis quelques mois, l’administration a modifié sa position et donne une suite favorable à ceux qui veulent porter et transmettre le « nom juif » jadis abandonné. Elle semble avoir été sensible à l’argumentaire du collectif la Force du nom selon lequel une réparation pleine et entière doit être faite. Réparation judiciaire marquée dans les années 80 et 90 par les procès Barbier, Touvier et Papon. Réparation politique ensuite en 1995 avec le discours de Jacques Chirac au Vél d’Hiv qui affirmait que la rafle du 16 juillet 1942 avait conduit « la France », et non plus seulement le régime de Vichy, à commettre l’irréparable. Réparation matérielle encore, celle des spoliations dont les Juifs avaient été victimes durant l’Occupation.
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson : Et réparation symbolique enfin, avec la possibilité de reprendre son nom juif. « L’entreprise nazie était conçue comme meurtre du Nom : rassembler tous les corps qui répondent au nom juif », nous dit Daniel Sibony, « pour qu’en refermant sur eux la porte des camps de la mort ou des fosses communes on obtienne que ce Nom soit sans vie ». Reprendre le nom perdu est, en effet, un symbole réparateur tout autant qu’un acte de fidélité au peuple juif et un refus obstiné de l’effacement. Ce geste manifeste, par-dessus tout, un désir de vie, concluent Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson (fin des extraits adaptés ; cf. lien vers source en bas de page).
Sans doute Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson n’ont-elles pas compris que le péril actuel, c’est l’allahïcité française, cette laïcité à géométrie variable, qui se soumet à l’islam, tout en devenant de plus en plus christianophobe, israélophobe et judéophobe. J’espère que les jeunes générations françaises non-musulmanes dépasseront la vision gauchisante de la question juive pour entrer dans une alliance judéo-chrétienne libre et laïque.
La vision gauchisante de la question juive consiste à pleurer les Juifs en pyjama rayé d’hier et à détester les Juifs en uniforme vert-Tsahal d’aujourd’hui. L’alliance judéo-chrétienne, au contraire, se concrétise dans la défense d’une société libre et laïque de culture judéo-chrétienne. Dans cette société, Shlomo Levy temporairement nommé Jean Dupont redevient Shlomo Levy.
Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info
Natalie Felzenszwalbe et Céline Masson, auteures de « Rendez-nous nos noms ! Quand des Juifs revendiquent leur identité perdue », éditions Desclée de Brouwer, 2012.
je suis contre le changement du patronyme qui nous vient de nos grand-parents et quelques fois ce même patronyme remonte à plusieurs générations ! se sont les Ashekenazes qui ont le plus françisés leur nom qui souvent étaient imprononçables et très compliqués à écrire ! certain le regrette , c’est regretable …
Je vais vous dire ce que je pense (influencee par mon
experience)
La grosse haine des juifs est due a la jalouisie
des francais (je parles d’eux, car je connais le
probleme) a l’encontre de tout ceux qui se debrouillent,
qui arrivent a voir une vie plus riche (du a leur travail travail et leur intelligen ce))
Les bobos l’ont compris, ils sont a gauche et du a
leur statut, dirige toute cette clique de jaloux, a
l’encontre specialement du juif qui par son passe,
a toujours ete oblige de faire mieux que les autres.Je suis chretienne, mais a une plus petite echelle, j’ai
connu au temps du Front populaire, la jalousie contre
le petit business qui faisait mieux que les autres et
dont les concurrents ont oeuvre pour la destruction
deceux qui bossaient plus intelligemment et par tous
les moyens les ont detruits.
Tout cela est du (je pense) a l’education que la France
dispense a ses enfants: on envie ceux qui vivent
une vie aisee, les bobos sont proteges car ils
font partie de ceux qui gouvernent.
On inculque l’idee que l’argent est sale et donc
essayer d,en gagner (au dessus de la pitance
journaliere) est deconseille.
Voila le pourquoi de la haine contre le juif,
l’americain et tout ce qui reussit dans la vie.
D’un autre cote, on a besoin d’argent et on est
ami ami, avec ceux que l’on devrait avoir le
courage de freiner.
Et c’est pour cela qu’à partir de 1941, la FRANCE étant en crise et en guerre en plus, le Gouvernement PETAIN a instauré l’Etoile Jaune et les Administrateurs de bien dans un premier temps, et la déportation dans un deuxième temps.
Les administrateurs de biens étaient des Français, nommés par le Gouvernement de VICHY pour administrer les commerces des Juifs (c’est à dire grosso modo qu’ils laissaient travailler les Juifs sous l’occupation, mais empochaient 50 % du montant du travail des Juifs) et quand cela n’a plus suffi, l’on a envoyé ces mêmes Juifs à AUSCHWITZ afin de leur piquer leur biens propres (maisons, comptes en banques, tableaux…) ce qui a permis à l’Etat de VICHY de revendre ces biens aux Français de Bonne Foi comme on les appelait.
Certains Juifs ne sont pas revenus des camps, donc l’Etat a touché le jackpot, mais ceux qui sont revenus, souvent malades ont mis parfois près de 10 ans pour récupérer leurs biens habités par des Français (quand cela le permettait car généralement l’Etat s’était débrouillé pour supprimer tout document légal).
Je suis entiérement d’accord avec vous.Moi non plus je ne suis pas juive,mais j’ai beaucoup de respect pour ce gens qui sont courageux et audacieux.Les francais coule la France par leurs attitude.
Tout à fait d’accord avec vous pou avoir vu autour de moi dans le travail des gens qui réussissaient par leur volonté et qui ne comptaient pas leur pein ni leur temps. J’ai vu des Arméniens , des espagnols des Italiens immigrés souvent pour des raisons politiques ou économiques. Tous ces gens s’entraîdaient et ne mettaient pas des peaux de bananes sous les pieds de leurs compatriotes. Certes tous les français n’étaient pas comme cela mais on peut dire que la mesquinerie et la jalousie étaient présentes pendant la guerre de 40…
Le CRIF signifiait jusqu’en 1967: Conseil représentatif des Israélites de France. Mais cette appellation fût violemment contestée par des gauchistes juifs, comme par exemple l’universitaire orientaliste Maxime Rodinson,lors de la guerre dite des six jours, car ils étaient hostiles à l’Etat d’Israël et donc estimaient que ce CRIF, qui défendait le droit d’Israël à l’existence, et donc à se défendre, ne les représentait en aucune manière. C’est donc pour faire cesser toute polémique vaine que les instances du CRIF décidèrent d’ajouter le terme « institutions » au nom de ce conseil. Cette information est connue de tous ceux qui étaient adultes, ou tout au moins adolescents, en 1967, et qui bien évidemment s’intéressaient à cette question.
Intéressant !
La vision gauchisante de la question juive consiste à pleurer les Juifs en pyjama rayé d’hier et à détester les Juifs en uniforme vert-Tsahal d’aujourd’hui.
Voilà une info super intéressante ! Elle me donne des idées car je suis concernée. Mon nom fait toujours juif, mais après-guerre on lui en a enlevé un bout qui était encore plus évident.
Bursteijn = Burtin = PDG de la société dans laquelle je travaillais.
Après-guerre effectivement, si l’on voulait s’intégrer dans la Société Française, il fallait, malheureusement, faire changer son nom. Comme à l’époque de NAPOLEON qui a légitimisé le fait d’être Israélite (les bons) du Juif (le mauvais).
Aujourd’hui le Juif (c’est le bon, du moment qu’il n’est pas Sioniste) et le Sioniste (c’est le mauvais).
Ça n’est que l’antisémitisme qui a pris une autre forme.
J’ai donc une histoire Juive à vous raconter au sujet du changement de nom.
Moïché Abrahamovitz décide, après la guerre, de changer de nom pour ne plus être embêté. Il va donc à la Mairie et fait changer son nom en Jean Dupont.
15 jours après, il revient à la Mairie et demande à l’employé qui lui avait changé son nom de le changer à nouveau et de lui donner un second nom à consonnance Française.
L’employé ne comprend pas et lui dit : mais j’ai déjà changé votre nom il y a 15 jours. Pourquoi voulez-vous à nouveau en changer ?
Et là Moïche Abrahamovitz lui répond : C’est simple, à chaque fois que je dis que je m’appelle Jean Dupont, on me demande : « Et avant comment vous appeliez-vous ? ». Donc je voudrais changer une deuxième fois de nom !
Blague :
Juste après-guerre, Saul Wolkowicz décide de changer de nom. Il se présente au bureau de l’état-civil, accomplit toutes les formalités, et au bout de plusieurs mois, il est autorisé à s’appeler Paul Dupont. Dès qu’il a ses papiers en main, il se présente de nouveau au bureau de l’état-civil pour changer une nouvelle fois de nom :
– Mon nom il est Paul Dipont, jé voudrais changer en Charles Dirand.
– Mais, monsieur, vous venez à peine de changer de nom. Pourquoi recommencer ?
– Jé vais vous expliquer, c’est très simple. Quand on va mé démander mon nom, jé vais dire Charles Dirand. Alors on va mé régarder en rigolant et on va mé dire : « Ah, ah ! Charles Dirand ! Vous avez changé dé nom vous, avant c’était quoi ? »
Alors là, jé pourrai répondre : « Paul Dipont ! »
Un peu dans le même genre, autre blague :
Samuel Levy dit à Moïse Cohen : « Bon, allez, c’est décidé, je m’intègre !… Tu viens avec moi ? »
Si le second paragraphe est globalement et sommairement proche de la réalité, le premier paragraphe, lui, est hautement insultant pour notre pays, caricatural et excessif. En un mot, il est indigne et ne sert pas ‘esprit de résistance !
Un de mes copains Juif né en France de parents Polonais portant un nom de famille plus qu’imprononçable et devenant très célèbre dans le » Schmatès » décida de franciser son nom, il trouva et adopta le nom d’une des plus tragiques défaites militaires françaises ( il séchait ses cours d’histoire-géo ). Je lui avait indiqué à l »époque » Tant qu’à faire pourquoi n’avez-vous pas choisi le nom d’une de nos victoires ? ».
je penche la balance à 95 % de Français qui ont eut peur de l’armée de la mort, le Général de Gaule pour moi chapeau, un bon et fin stratège qui a su motiver les troupes françaises et il a été témoin de la résistance juive ensemble à se battre pour la libération, contre la mort voulu par ces criminels ces voleurs de la vie. Cette phrase souligne la vaillance et l’intelligence d’un bon » peuple dominateur et sûr de lui » qui en a le droit. Un bon peuple qui a su écraser le nazisme pour toujours avec la bonne équipe française, américaine, anglaise, chinoise, russe, enfin tous les bons, et les teubés d’aujourd’hui qui vous en veulent à votre vie, vous avez le droit de les dominer et avec assurance de vous., c’est un droit de se défendre. Le Général de Gaulle devait être fatiguée en fin de sa gouvernence et la France a plat, tout à reconstruire . On ne peux que l’excuser car cet homme a été un bon Chef pour sauver notre pays de la république au moment qu’il fallait.
Et si dans la bouche de celui qui traitait les Français de veaux se vautrant dans la fange et « la chienlit », un « peuple dominateur et sûr de lui » etait tout bonnement un compliment ? Comment n’aurait-il pas admiré un peuple nationaliste et identitaire entré en résistance bien avant tous les autres ?
N’était-ce pas le constat désabusé de celui qui avait compris ce qui allait nous arriver, j’y vois plutôt un compliment prophétique.…
En tous les cas de Gaulle sût se montrer reconnaissant envers l’action spontanée de tous ces Juifs qui le rejoignirent à Londres au point qu’il eût dit : » à Londres, je n’ai trouvé que des Juifs et des Maurassiens ! « ., et de celle des Juifs d’Algérie qui organisèrent des réseaux de soutien aux Français Libres.
Cette reconnaissance de sa part se manifestât par le rétablissement du décret Crémieux que les Vichystes, pour complaire aux Nazis, avaient abrogé !
Donc, ne retenir que sa phrase sur les » Juifs , peuple d’élite et dominateur « , et lui accorder une connotation négative, est effectivement un peu court .
Déjà bien avant la dernière guerre, les Juifs d’Algérie ,en remerciement envers la république française qui leur accordait la nationalité française de par le décret Crémieux, utilisèrent des paronymes qui touchaient le prénom et non pas le nom, celui-ci étant souvent francisé par les fonctionnaires français eux-mêmes lors de la transcription sur l’état-civil mais sans réelle volonté de faire disparaître l’ethnicité du nom.
C’est ainsi que beaucoup de Moïse devinrent Maurice ou bien des Chalom devinrent Charles , quand d’autres Aaron devinrent désormais Henri.
Je vois que vous connaissez bien la question. Ce fut exactement le cas dans ma famille.
cela est un faut probleme !!!! car les juifs qui ont aterris en pologne avait acquis des nom polonais , en russie de meme en allemagne aussi etc etc donc s il fallait revenir en arriere ,faudra reprendre les noms d avant les diasporas autant du premier temple et du deuxieme !!!! DONC IMPOSSIBLE !!! les HADDAD font patis de quelques noms originaires depuis abraham HADDAD BRESIL
je compte aussi changer de nom 🙂
Dans mon travail j’ai eu à rencontrer un Monsieur Cosnard et je lui dis bonjour Monsieur Cosssenard et il me répond non pas Cosssenard Conard!
C’était dans la Sarthe en France et ce gars n’avait vraiment pas envie de changer de nom. Ce n’est pas le cas d’un juif français que j’ai découvert sur le Web qui a changé son nom pour SÉNAMAUD, nom limousin très rare. J’ai bien ri en pensant à mon père qui a monté son arbre généalogique jusqu’au XIV siècle et retrouva le lieux dit LA CROIX SÉNAMAUD, le nom que nous portons. 😉
Shlomo devient Salomon puis Lemon puis Citron ou Zitrone.
DE GAULLE N’ETAIT PAS LAIC, IL ETAIT CATHOLIQUE A L’EXTREME ET SON ANTISEMITISME ETAIT CATHOLIQUE,
Très juste, il n’était laïc et a fait dire un te deum à la cathédrale pour la libération de Paris. Il n’a pas combattu le nazisme, c’était une affaire américaine. Comme la majorité de l’armée française libre ou pas libre, le mot d’ordre était de foutre hors de France les Boches à la première occasion.
L’habit rayé n’était pas réservé qu’aux juifs mais à tout les détenus et des milliers d’ humains ont été massacrés dans les camps. Certains camps ont continué à fonctionner pendant des années sous staline.