Les Sultans Bahmani, qui gouvernaient en Inde centrale, s’étaient fixé de massacrer 100 000 hindous par an et semblent s’y être tenus, explique François Gautier, ancien correspondant en Inde du Figaro et de Marianne, dans « Un autre regard sur l’Inde », édition du Tricorne – Genève 2000 (1).
100 000 hindous massacrés en une seule journée
Mais en 1399, le célèbre Timur fit mieux, il tua 100 000 hindous en UNE SEULE JOURNÉE !
80 millions d’hindous tués entre 1000 et 1525
Le Professeur Kishori Saran Lal dans son livre « La Croissance de la Population musulmane en Inde » estime qu’entre les seules années 1000 à 1525, 80 millions d’hindous furent tués, (sans parler des famines et autres calamités naturelles engendrées par la guerre), « sans doute le plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité », affirme-t-il.
Et les propos du professeur Lal, dont la position de Directeur des recherches historiques du Conseil de l’Inde (ICHR) et membre du Comité du Conseil national de l’éducation et de la recherche de l’Inde (NCERT) attestent de sa respectabilité, sont confirmés par de nombreux historiens, tels Alain Daniélou, Will Durant, Sitaram Goel, ou Konraad Elst.
Des villes entières furent brûlées et leurs populations passées au fil de l’épée. Chaque campagne successive fit des dizaines de milliers de victimes et des millions de femmes et d’enfants furent emmenés en esclavage. Chaque nouvel envahisseur bâtissait littéralement sa montagne de crânes hindous.
Ainsi la conquête de l’Afghanistan en l’an 1000 fut suivie par l’annihilation de l’ENTIÈRE population hindoue de cette région, qu’on appelle toujours d’ailleurs « Hindu Kush », le massacre des hindous.
Mais aujourd’hui ce terrible épisode de l’histoire de l’Inde a été occulté : c’est à peine si les nombreuses Histoires de l’Inde, que nous utilisons comme référence, telle celle de Jacques Dupuis (agrégé d’histoire et diplômé de hindi de l’Ecole des langues orientales – 1912-1997), y font allusion.
L’historien et sociologue belge Koenraad Elst (Negationism in India), traite de la négation des atrocités musulmanes en Inde. « Cette négation des atrocités musulmanes, argue Elst, a gommé tout un chapitre capital de l’histoire indienne, le faisant disparaître non seulement des manuels d’histoire, mais aussi de la mémoire des Indiens. »
Qui étaient les révisionnistes ?
Des indiens marxistes, des communistes … à commencer par Nehru lui-même, qui, « pour dénigrer l’identité hindoue de la nation indienne, s’est appliqué à gommer l’horreur des invasions musulmanes en Inde », explique Konraad Elst.
« Ce sont les hindous eux-mêmes qui ont constamment nié le génocide musulman, » confirme Gautier.
Il ajoute : « sous l’impulsion de Nehru, trois générations d’historiens et d’intellectuels indiens marxistes s’efforceront de persuader leurs compatriotes (et le reste du monde) qu’il n’y a jamais eu de génocide musulman sur la personne des Hindous ».
Nehru, rappelle Elst, « premier leader de l’Inde indépendante, était un grand admirateur de l’URSS. C’est lui d’ailleurs qui initia l’étatisation de l’Inde sur le modèle soviétique ». Admirateur de la Russie aux 100 millions de morts, presque un aveu…
Ainsi le négationnisme en Inde, qui est d’inspiration marxiste, s’est appliqué à gommer des livres d’histoire écrits après l’indépendance indienne de 1947, toute l’horreur des invasions musulmanes et à dénigrer l’identité hindoue de l’Inde, en s’attaquant aux partis politiques, tel le Jana Sangh, (l’ancêtre du Bharata Janata Party), qui au début des années 20 s’efforcèrent de contrebalancer l’influence grandissante de la Ligue Musulmane qui commençait déjà à réclamer la création d’un état séparé pour les musulmans indiens.
Ainsi l’écrivain révolutionnaire et activiste communiste Manabendra Nath Roy dit M.N. Roy : « L’islam a rempli en Inde une mission d’égalitarisme et qu’en cela il fut bien accueilli par les castes défavorisées. » Et il continue : « C’était une question de lutte des classes tout à fait justifiée entre des forces progressives (les musulmans) et les forces féodales (les hindous de haute caste). »
Du négationnisme au biais islamisant de l’indianisme français
L’historien français Alain Daniélou, qui avait vécu l’Inde du dedans, résidant pendant vingt ans à Bénarès, où il apprit le sanskrit et la musique indienne, se plaignait souvent du « biais islamisant de l’indianisme français ».
L’historien belge Konraad Elst renchérit :
« L’indianisme français du XXème siècle semble s’être fortement inspiré de ce négationnisme-là, témoin « L’’Histoire de l’Inde Moderne », paru en 1994 chez Fayard et qui fait référence aujourd’hui chez nous. Dans le chapitre « La splendeur moghole », Marc Gaborieau, Directeur du Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud, parle en termes élogieux de l’empereur Aurangzeb, lequel avait la réputation – même aux yeux des musulmans indiens – d’avoir été le plus sanguinaire et le plus pervers des Moghols : « Aurangzeb a concentré sur sa personne la haine des Hindous militants qui lui attribuent des destructions systématiques de temples et des conversions forcées massives… cette image manichéenne doit être sérieusement corrigée ».
« Malheureusement, continue Konraad Elst, Aurangzeb était si fier de ses actes, qu’il les avait fait dûment archiver et qu’ils sont parvenus jusqu’à nous ». M. Elst rappelle donc qu’Aurangzeb (1658-1707), ne construisit pas seulement une énorme mosquée sur le plus vénérable temple de Bénares, la ville sainte hindoue, temple qu’il avait auparavant fait raser, il ordonna les destruction de TOUS les temples en Inde, dont le Kashi Vishvanath, un des plus sacrés du pays, celui de Krishna à Mathura, le temple de Somanath au Gujurat, ou le temple Treka-ka-Thakur à Ayodhya, et fit construire des mosquées à leur place. Le nombre de temples détruits par Aurangzeb se compte non pas en centaines mais en milliers. Aurangzeb ne se contenta pas de détruire des temples, il fit aussi éliminer les païens : « Ahmed Khan fit savoir à sa Majesté que 2 000 Hindous furent exécutés parce qu’ils continuaient leurs abominations religieuses », rapporte une chronique de l’époque. Le gourou sikh Tegh Bahadur fut décapité parce qu’il protestait contre les conversions forcées d’Aurangzeb. Et même le propre frère de l’empereur, Dara Shikoh, fut exécuté pour s’être intéressé à la religion hindoue. »
l’Hindouisme a fait montre d’une remarquable tolérance
La réalité, c’est que « tout au long de son histoire, l’Hindouisme a fait montre d’une remarquable tolérance, permettant aux Chrétiens de Syrie, aux marchands arabes, aux Parsis de Zoroastre, aux Juifs de Jérusalem, persécutés chez eux, de s’établir en Inde et d’y pratiquer leur religion en toute liberté » écrit Daniélou.
Peut-on en dire autant des musulmans ?
« On ne dira jamais assez l’horreur que furent les invasions arabes en Inde. Les ignorer parce qu’elles appartiennent au “passé” est ridicule, car elles se répercutent encore dans les événements politiques d’aujourd’hui », appuie Konraad Elst dans son livre « Le négationnisme en Inde » (Voice of India, New Delhi) (3).
Ici encore la réécriture de l’histoire accomplit un travail soigneux au bénéfice d’une idéologie criminelle et totalitaire. Des similitudes ne seront pas difficiles à trouver, les complices non plus – ce sont toujours les mêmes.
L’indianisme français continue à défendre un faux théorème
Et de nombreux observateurs estiment aujourd’hui « que l’Indianisme français doit se remettre en question, car ses bases reposent sur des données archéologiques et linguistiques qui datent du XIXème siècle » soutient Gautier. Le magazine indien « India Today », que l’on ne peut accuser de « nationalisme », vient par exemple de publier un grand dossier racontant comment des récentes découvertes archéologiques et linguistiques prouvent – entre autre – qu’il n’y a jamais eu d’invasion aryenne en Inde. Or, l’indianisme français continue à défendre ce théorème, comme c’est le cas à Pondichéry, par exemple.
Le journaliste français ajoute : « malheureusement, se plaint un chercheur indien qui a été associé à l’EFEO, les Français semblent mépriser l’hindouisme en tant que religion ».
Ce sera ma conclusion, François Gautier cite un autre chercheur : « Voilà une arrogance bien française que de tenter d’appliquer à l’Inde des paramètres qui ne sont valables qu’en France, en l’occurrence la séparation de l’Église et l’État », s’offusque un chercheur indien. Il faudrait donc que l’indianisme français de Pondichéry remette aussi de l’ordre dans sa maison : l’École Française d’Extrême Orient et l’Institut français collaborent rarement ensemble ; et l’EFEO s’est scindée en deux pour cause d’incompatibilité de ses chercheurs.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
(1) http://books.google.com/books
(2) Jacques Dupuis, Histoire de l’Inde (Éditions Kailash, Civilisations et sociétés, 1996), page 202
(3) http://www.observatoiredesreligions.fr
Qu’en est-il des thèses de ce Buresi, que ce félon de Caron a lancé au visage de Véronique Genest ?
A envoyer aux trois connard de on n’est pas couché
C’est bien une raison pupplementaire pour que le monde ouvre les yoeux sur la veritable intention de l’islam. Deja les Chretiens sont bousculés assassinés leurs maisons et leurs eglises brulées dans les pays arabes. Tout cela sous l’oeil consentant d’une population dite non islamiste.
Alors que dire le jour ou l’slam sera assez forte en europe pour dicter ses loies. La culture de l’islam c’est cela ils ne sont pas islamistes mais le jour ou ils serront plus fort, et ce jour arrive à grand pas, ils aiguiserons les couteaux sortiront les kalachnikov et arpenterons les rues de l’occident à la recherche de tout ce qui n’est pas musulman.
Ne soyez pas naif apprenez à connaitre vos ennemis et traitez les comme tels.
C’est bien une raison supplementaire pour que le monde ouvre les yeux sur la veritable intention de l’islam. Deja les Chretiens sont bousculés assassinés leurs maisons et leurs eglises brulées dans les pays arabes. Tout cela sous l’oeil consentant d’une population dite non islamiste.
Alors que dire le jour ou l’islam sera assez forte en europe pour dicter ses loies. La culture de l’islam c’est cela ils ne sont pas islamistes mais le jour ou ils serront plus forts, et ce jour arrive à grand pas, ils aiguiserons les couteaux sortiront les kalachnikov et arpenteront les rues de l’occident à la recherche de tout ce qui n’est pas musulman.
Ne soyez pas naifs apprenez à connaitre vos ennemis et traitez les comme tels.
Excellent article JPG! Merci beaucoup pour vos recherches.
L’histoire du massacre des hindous par les musulmans est effectivement effrayante. En Inde, certains hindous en parlent malgré tout aux touristes. Lors d’un voyage au milieu des années 90, un de nos guides nous en informa, à sa manière. L’histoire contemporaine de l’Inde illustre encore bien la nature expansionniste, belliqueuse et violente des musulmans. Il suffit de penser à la situation du Cachemire, joyau du Raj, que je ne désespère pas de visiter un jour. Région exclusivement hindoue jusqu’au 14ème siècle (et à nouveau sous domination hindoue entre 1846 et 1947) et à majorité musulmane de nos jours. De ce joyau (les BD de COSEY-JONATHAN, notamment, en donnent une belle illustration, mais aussi d’autres récits du temps du Raj) les musulmans en ont fait une déchetterie à ciel ouvert, comme de coutume. Plus d’histoire, plus de touristes. Ci dessous, un extrait de l’histoire du Cachemire (Larousse) http://www.larousse.fr/encyclopedie/autre-region/Cachemire/110745
Le Cachemire fut jusqu’au XIVe s. un royaume hindou dont l’histoire est exceptionnellement bien connue grâce à des chroniques. Le bouddhisme y fut florissant et le quatrième grand concile bouddhique s’y tint sous Kaniçka. Il fut conquis en 1346 par un aventurier musulman, Chah Mir, qui fonda un sultanat, puis fut annexé à l’Empire moghol par Akbar en 1586 (→ Grands Moghols). En 1757, le Cachemire passa sous la domination afghane puis il fut conquis par Ranjit Singh, fondateur de l’empire des sikhs (1819).
Les Britanniques le concédèrent en 1846 au roi hindou Gulab Singh, dont les descendants régnèrent sur le pays jusqu’en 1947. À cette date, le Cachemire, dont les musulmans constituaient les trois quarts de la population, fut revendiqué à la fois par le Pakistan et par l’Inde et, à l’exception de sa partie orientale, passa sous le contrôle de l’Union indienne. Une guerre entre les deux pays s’y déroula de 1947 à 1949. L’ONU imposa le cessez-le-feu mais le plébiscite que l’Inde s’engagea à organiser n’eut jamais lieu. Le Cachemire fut l’enjeu d’une seconde guerre indo-pakistanaise (1965) qui se termina par un retour au statu quo ante. Le principal leader musulman du Cachemire fut le cheikh Muhammad Abdullah qui fonda en 1932 la Conférence nationale, parti modéré cachemiri, et qui fut chef du gouvernement de 1975 jusqu’à sa mort, en 1982. Son fils, Farooq Abdullah, lui succéda et inaugura une stratégie d’alliance avec le parti du Congrès. La fin des années 1980 est marquée par le réveil de l’agitation indépendantiste et le regain de violences entre hindous et musulmans, qui font plusieurs milliers de morts.
Depuis 1990, année de la démission de Farooq Abdullah, le Cachemire est de nouveau sous contrôle direct du gouvernement central. En 1995, les affrontements entre les séparatistes musulmans et l’armée indienne culminent avec l’incendie et la destruction du sanctuaire soufi de Charar-e Sharif, près de Srinagar. En 1996, le gouvernement indien réussit cependant à organiser des élections, à l’issue desquelles la Conférence nationale remporte la majorité des sièges aussi bien au sein de la représentation cachemirie au Lok Sabha, la Chambre du peuple de l’Union indienne, qu’à l’Assemblée législative du Jammu-et-Cachemire (septembre) : Farooq Abdullah dirige à nouveau le gouvernement régional. En mai 1999, des unités de séparatistes musulmans fortement armés et soutenus par le Pakistan entrent dans la zone indienne, franchissant la ligne de contrôle ; l’Inde engage des opérations aéro-terrestres de grande envergure pour les déloger, conférant au conflit l’allure d’une guerre conventionnelle présentant des risques importants d’escalade entre les deux puissances nucléaires déclarées de l’Asie du Sud (guerre de Kargil).
Malgré une tentative de rapprochement en juillet 2001, un sommet indo-pakistanais s’achève à Agra sans qu’aucun accord n’ait pu être conclu. Après un premier un attentat-suicide contre le Parlement indien à Srinagar (1er octobre) – revendiqué par un mouvement de guérilla islamique –, suivi, le 13 décembre, d’une attaque contre le Parlement indien à New Delhi attribuée à des séparatistes du Cachemire, l’Inde accuse le Pakistan de complicité terroriste.
À l’issue des élections législatives de l’automne 2002, largement boycottées par l’alliance séparatiste musulmane Hurriyat – qui regroupe une vingtaine de mouvements séparatistes et qui réclame un référendum d’autodétermination sous l’égide de l’ONU –, la Conférence nationale cède la majorité qu’elle détenait depuis 1996 à deux partis pro-indiens, le parti du Congrès et le parti démocratique du Peuple (PDP). Issu de ce dernier, Mufti Muhammad Sayeed succède à Farooq Abdullah. Un accord de cessez-le-feu, signé le 25 novembre 2003 par les deux puissances nucléaires sur leur frontière commune au Cachemire, est prorogé en septembre 2004, et, le 7 avril 2005, une ligne d’autobus, reliant Muzaffarabad (capitale du Cachemire pakistanais) à Srinagar (capitale d’été du Cachemire indien), permet aux Cachemiris et aux ressortissants indiens et pakistanais de franchir la ligne de contrôle.
Le 8 octobre 2005, un séisme de magnitude 7,6 frappe la région montagneuse du Cachemire dans le Nord-Est du Pakistan, faisant plus de 87 000 victimes et 3,5 millions de sans-abri : face à l’ampleur de la catastrophe et à la difficulté de l’organisation des secours, le Pakistan accepte l’aide proposée par l’Inde.
Aux élections de novembre-décembre 2008, marquées par une participation de plus de 60 % des électeurs malgré les consignes de boycott des séparatistes, la Conférence nationale (28 sièges sur 87) retrouve le pouvoir sous la direction d’Omar Abdullah à la tête d’un gouvernement de coalition avec le parti du Congrès (17 sièges).
Article pertinent certes mais toutes les religions ont fait des massacres cher monsieur. De même parler des massacres de l’islam et en être profondément choqué me fait sourire venant de vous cher monsieur alors que vous vous dites clairement pro-israélien, peut être faudrait il parler d’Israel, et sa politique de colonisation, d’apartheid et de génocide sur la population israélienne.
En ces temps de troubles, soyons unis plutôt que de jeter le discrédit sur les musulmans d’aujourd’hui qui n’ont rien à voir avec ceux du passé. Cordialement Laure
Vérifiez vos informations, elles sont archi fausses. Il n’existe ni colonisation, ni apartheid, ni encore moins – là vous me faites rire, génocide, ni politique de colonisation, d’apartheid ou de génocide en Israël.
En revanche, vous avez raison, le Hamas a une politique de génocide contre le peuple juif. L’Autorité palestinienne a une politique d’apartheid contre les juifs puisqu’ils ont interdit qu’un seul juif habitera dans leur futur etat de Palestine, et les arabes palestiniens ont une politique de colonisation puisqu’ils occupent illégalement la terre des juifs qu’ils ont volée.
Les massacres des uns n’ont jamais autorisé ou excusé ceux des autres !
On parle ici de ceux de l’Islam, et il y a non seulement matière, mais il y a aussi un puissant soutien des textes saints qui appellent explicitement à dominer et à massacrer le non-musulman.
Se voiler la face en invoquant lsraël, l’inquisition, l’Allemagne nazie ou les incas ne nous aidera pas à affronter ce fascisme religieux, nouveau pour nous, mais déjà expérimenté par de nombreux peuples par le passé.
Serait-ce croyable ? Tant de sang jadis, puis l’hypocrisie contemporaine (+1) ?
Par acquis de conscience, je m’en suis aller sur Google, vérifier l’auteur belge, historien et sociologue belge Koenraad Elst:
https://www.google.be/search?q=Claude%20Prat-Da%20Prato&ie=utf-8&oe=utf-8&aq=t&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a#hl=fr&gs_rn=5&gs_ri=psy-ab&pq=nouvel%20obs%20hollande&cp=13&gs_id=16x&xhr=t&q=Koenraad%20Elst&es_nrs=true&pf=p&client=firefox-a&rls=org.mozilla:fr%3Aofficial&sclient=psy-ab&oq=Koenraad+Elst&gs_l=&pbx=1&bav=on.2,or.r_qf.&bvm=bv.43287494,d.ZGU&fp=f786dc8e22014be0&biw=1920&bih=1009
Nous nous pouvons guère douter de ces massacres, loin de relever d’un cas épisodique ! A actualiser sur ce qui se constate au Cachemire avec les Fous d’Allah pakistanais !
Texte à envoyer aux deux inquisiteurs stipendiés de l’émission OEPC et les condamner à les recopier IOO fois dont la dernière mouture dans sa traduction en sanscrit .
Merci à Dreuz info de nous démontrer par l’absurde que la haine rend fou! Ne vous arretez pas en si bon chemin: Génocide Amer-Indien…Islam! Génocide des Aborigènes…Islam! Hitler? A n’en pas douter un musulman! L’inquisition Catholique en Espagne…certainement des musulmans déguisé en catholiques!
En tant que musulman, je me disais que nos fanatiques étaient décidement les plus rétogrades tout fanatisme confondu! Grâce à Dreuz info, je sais désormais qu’il n’en n’est rien!
C’est ce que vous avez trouvé de mieux pour rejeter en bloc ce témoignage ? C’est pas brillant…
où il est justement question d’une caravane et d’un chien… animal impur
Des génocides il y en a eu commis évidemment par d’autres confessions mais les musulmans détiennent le pompon !! ne serait-ce que celui dont on parle présentement !
L’inquisition n’a pas génocidé la population d’Espagne et Cortez n’a pas tué les peuples Incas, c’est la rougeole qui a ravagé l’Amérique du sud.
@ Hannibal ,
je crois plutôt que les méfaits islamiques en Inde , rapportés par l’article de J-P. Grumberg sont dérangeants pour vous et tous les musulmans .
Je vais vous déranger un peu plus encore , en transcrivant l’historien ARNOLD TOYNBEE :
– » Les musulmans furent les premiers des envahisseurs de l’Inde que la civilisation indienne ne parvint pas à assimiler . Il y eut des conversions de bouddhistes et d’hindous à l’islam , mais point de musulmans au bouddhisme ou à l’hindouisme . L’islam se posa lui-même dans le sous-continent comme un élément politique dominant mais étranger parce que culturellement inassimilable . Cette nouvelle religion étrangère brisa l’unité culturelle et religieuse de la vie indienne , et provoqua une rupture dans l’histoire de l’Inde . »
( La grande aventure de l’humanité . – Grande Bibliothèque Payot , page 387 .)
@ Hannibal ,
le TAJ MAHAL à Agra est un joyau qu’a légué le Grand Moghol SHÂH JÂHAN à l’Inde au 17 ième siècle .
Cet empereur musulman a été un assassin comme les autres : durant son règne , il engagea plus d’une quarantaine de campagnes militaires contre tous les non-musulmans . Rien qu’à Bénarès , il détruisit 74 temples hindous .
A la bataille de Hugh , il massacra 10 mille habitants et emmena 4 mille captifs à Agra . Ces derniers , refusant de se convertir à l’islam , il les fit décapiter . Quant aux femmes , direction harems .
Pour résumer l’islam en Inde , l’historien et philosophe américain WILL DURANT parla que ce pays fut traversé par des ruisseaux de sang de son propre peuple , génocidé par les conquérants musulmans .
@ ALPHA OMEGA
Très juste !
En parlant du Taj Mahal, très peu savent qu’en réalité à l’orgine il s’agissait d’un temple hindou qui fut complètement démoli et remplacé, comme des milliers d’autres monuments et lieux de culte l’ont été.
Le Taj Mahal (anciennement “Tejo Mahalaya”, dont on peut constater que la consonnance est davantage hindoue que musulmane) n’est qu’un énorme mensonge imposé par les envahisseurs moghols.
Transformé au fil des siècles en écoeurant conte de fées.
http://www.stephen-knapp.com/true_story_of_the_taj_mahal.htm
Une injure de plus à la mémoire des victimes de l’époque, tout comme l’est l’affaire dite du temple d’Ayodhya pour ne citer qu’elle.
@Hannibal … il n’y a que la vérité qui blesse !
Messieurs, je ne peux être blessé par des gens que je ne connais pas! J’aurais volontiers poursuivis avec vous cette discussion mais puisque mes réponses argumentées sont censurées, c’est peine perdue!
@ Hannibal ,
si vos réponses argumentées avaient été réellement censurées , il aurait été ridicule de publier ce commentaire ci-haut .
N’essayez pas de semer le doute ; je sais la vérité factuelle est douloureuse parce que imparable .
Bizarre… Vous avez dit bizarre ? Comme c’est bizarre !
nerhru comme tant d’autre communiste collabo de l’ilsam .socialiste comme hitler eh oui!!
Il arrivera au fur et à mesure des années qui passent, que la shoah qui fait l’objet d’un négationisme par les arabes ne soit plus écrite dans les livres d’histoire et comme le génocide hindi kouch, sera ou ignorée ou effacée de la mémoire.
Sauf à réagir par la force, Il faut persister et parler et se souvenir de tous les génocides qui ont été commis au nom de l’islam car nous vivons une période très sensible ….
Merci Monsieur Grumberg de reparler de ces faits extrêmement graves qui semblaient oubliés. La religion de paix et d’amour a sévi de partout dans le monde et continue a faire des ravages.
Ne nous y trompons pas, et sans vouloir noircir le tableau même des petits villages et surtout les petites villes ont été investies.
L’Histoire donne envie d’etre tres pessimiste, les mauvais gagnent souvent…
Enfin un article sur le plus grand génocide de l’Histoire! Il n’y a pas assez d’informations sur le terrible, l’abominable bilan des différents djihad au cours des 1400 ans de conquêtes coloniales arabo-musulmanes que d’aucuns estiment à un total de 270 millions de victimes avérées, voire 300…
Ces recherches n’étant pas, pour l’instant, favorables à un bon plan de carrière universitaire, il est clair que les candidats ne se bousculent pas pour aborder le sujet. Dommage car c’est exactement le genre de travaux nécessaires à une véritable connaissance de la RATP, non idéalisée, biaisée ou orientée.
L’Islam, c’est pire qu’Attila. Partout ou il passe, il tue, pille, viole, en détruisant tous les éléments constitutifs des civilisations authentiques qu’il envahit. Attila est mort depuis longtemps, l’Islam est toujours présent et ses malfaisantes conquêtes s’étendent de jour en jour.
Les civilisations occidentales sont en grand péril. Il faut réagir, comme vient de le faire cet article (Merci !) qui remet les points de vues
‹‹ historiquo-gauchistes ›› à la place qu’ils méritent : les cabinets d’aisance. Le négationnisme de l’histoire des conquêtes musulmanes est exclusivement de gauche, comme celui des goulags…
Il me semble avoir vu cet article sur le site du CRIF ce matin.
J’ai rêvé ?
Comment le savoir, ils ont peut-être repris mon article.
Là ou l’islam passe tout trépasse, il en est ainsi à travers les ages et dans beaucoup d’endroits, c’ est une religion totalitaire et sans tolérance aucune contrairement à l’hindouisme respectueux de la vie sous toutes ses formes, des arts, et à d’autres religions ou la notion de pitié, de charité, de l’aide au plus pauvre, ou les forts aide les faibles est essentielle bref ! tout l’opposé du coran une religion inassimilable pour toute personne normale, rien que de le lire est déjà une épreuve en soi.
Il faut ouvrir les yeux..
Envoyez d’urgence cet article en masse à l’émission de RUQIER à France2 pour lui faire comprendre qu’il rigole plus dans son émission qu’il ne cherche la vérité, son journaleux CARON devrait changer de métier et toutes les informations donnéés par Véronique Genest dans cette émission sont véridiques et vérifiées par Alain WAGNER un spécialiste en la matière.
DEFENDONS TOUS VERONIQUE ET BRAVO.
Patrice Coulon liked this on Facebook.
Cela a déjà été dit dans Dreuz mais il est bon de se le rappeler . Bien sûr il s’agit-là d’un « copier-collé » :
Là, il s’agit d’un peu d’histoire …oubliée , mais c’est notre Histoire , celle de la France.
Plus particulièrement celle du Sud de la France …
Très intéressant . Cela remet les « pendules à l’heure »
Pour tous ceux qui auraient oublié …ou qui ne l’ont jamais su : une utile leçon d’Histoire !!!
Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France à l’époque.
Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu’à Sens.
En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne.
On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien.
Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne.
Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’ouest des Pyrénées. 15.000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire , et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732.
Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l’Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages. (Ces bandes n’ont finalement été éliminées qu’en 808, par Charlemagne)
Les ravages à l’est ont continué jusqu’à ce qu’en 737 Charles Martel descende au sud avec une armée puissante, et reprenne successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et mettent le siège devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France oblige Charles Martel à quitter la région.
En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans. Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l’ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans lesharems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans.
La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l’actuelle Garde-Freinet (le massif des maures).
Une zone d’environ 10.000 kilomètres carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée.
En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre. Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes.
En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles……
La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par desrazzias effectuées à partir de la mer. Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castrationen Corse, puis déportés dans les bagnes du Dâr al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems. Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord.
Toulon a été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte.
Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord de l’Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer.
Ce n’est qu’en 1830 que la France , exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, et à aller en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates musulmans. Vous savez ce qu’est devenue ensuite l’Algérie, et l’histoire ne s’est pas figée……
Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des pirates barbaresques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais………………………..
Merci à l’auteur de cet article !
Bravo et merci aux simples citoyens ordinaires (occidentaux) d’oser enfin vous intéresser à cette partie douloureuse mais tellement taboue de l’histoire de l’Inde !
Merci d’oser mettre en lumière tous ces massacres de populations innocentes, ces persécutions, ces destructions et pillages de temples. Le tout datant de 711 à nos jours (voir ce qui continue de se passer tous les jours au Pakistan, au Cachemire, au Bangladesh, au Penjab avec le sort réservé aux minorités hindoues, chrétiennes, bouddhistes, tribales essentiellement + attentats réguliers sur le sol indien).
Merci pour votre courage à tous !
Courage admirable, clairvoyance et honnêteté intellectuelle que ne possèdent visiblement pas (ni en Inde, ni ici) les politiques, les intellectuels et grands organes de presse traditionnels dans leur grand ensemble, je le regrette.
Merci pour cet article; il est mis en lien sur cette page http://unmondesansislam.wordpress.com/2013/02/05/lislam-est-lennemi-de-la-liberte/
À lire aussi :
Inde : « Le Sabre du Prophète : Un guide de l’Islam politiquement incorrect »
L’INDE, UNE AUTRE VICTIME DE L’ISLAM par Serge Trifkovic.
Traduction de l’article « Islam’s Other Victims : India »
paru dans « Front Page Magazine.com » du 18 novembre 2002
http://www.jaia-bharati.org/histoire/ind-victim-islam.htm
« il n’y a jamais eu d’invasion aryenne en Inde ». Comment dans ce cas expliquer que le sanskrit, soit une langue « indo-européenne » ? C’est-à-dire originaire d’une région qu’on situe aujourd’hui quelque part en Russie, d’où les populations qui parlent des langues indo-européennes sont parties pour essaimer en Europe, au Proche Orient… et aussi selon toutes vraisemblances dans le sous-continent indien ?
Je partage
Cet article dit dont je publie le lien ci dessous dit que ce sont 400 millions d’indou qui ont été tué par les musulman. Cet article dit que à l’époque médiévale, la population indou est passée de 400 millions à 200 millions d’indou.
http://a-contre-air-du-temps.over-blog.com/2017/10/l-invasion-islamique-de-l-inde-le-plus-grand-genocide-de-l-histoire.html