–
–
Michel Garroté, réd en chef –- Vivien Hoch sur son blog Itinerarium signale (liens vers la vidéo et vers l’article en bas de page) : « de courageuses jeunes filles envahissent le local parisien des Femen. Une dignité et une noblesse qui tranchent avec l’immoralité des harpies stipendiées. Il y a quelques jours, une quinzaine de militantes du RF Paris ont envahi le local de la milice extrémiste antichrétienne Femen, grassement subventionnée par de discrets oligarques. Cette première action est une déclaration de guerre à la bêtise et à la haine qu’incarnent les Femen, sous le vocable trompeur de féminisme. Les Françaises sont dans leur très grande majorité plus proches des valeurs que défendent nos militantes, que de celles d’une minorité de bobos libertaires », conclut Vivien Hoch.
Ajoutons que la question de la femme dans l’islam n’est pas au programme de la Journée de la femme en France (cf. troisième lien en bas de page).
Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info
La vidéo :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=fcmOAKnlICc
L’article :
http://www.itinerarium.fr/de-courageuses-jeunes-filles-envahissent-le-local-des-femen/
La femme dans l’islam :
–
Notre Galerie Photos Journée de la femme :
Femme à Tel Aviv refusant de mourir.
–
Femmes chrétiennes à Beyrouth (dans le réduit chrétien).
–
Femme à Tel Aviv…
–
Jeannette Bougrab musulmane éclairée à Paris.
–
Femme française bientôt interdite de séjour dans son propre pays.
–
Femme suisse…
–
–
–
–
–
–
–
–
« Quelle femme » ?
Au risque de passer pour un macho, pour un ringard, j’estime que toute femme est mère avant d’être femme.
C’est elle qui donne la vie.
C’est elle qui devrait élever-éduquer les enfants.
C’est elle qui devrait « faire tourner » la maison.
Problème :
Nous ne cessons de nous appauvrir.
2 salaires sont nécessaires afin de vivre décemment.
Conclusion : Nos chères et tendres sont obligées de bosser, loin de leurs occupations familiales.
N’y voyez aucun signe quelconque :
Chez les peuples primitifs, chez nos lointains ancêtres, les femmes élevaient les enfants, entretenaient la chaleur du foyer ( au sens propre et figuré).
Les hommes chassaient, se battaient… et se tuaient. Se tuaient, alors que les femmes sont la source de la vie.
Mesdames, je vous aime et vous respecte, bien davantage que mes confrères masculins !
il n’y a rien de discriminant,ma maman nous disait toujours,que le gouvernement ferais mieux de donner un vrai salaire aux mères de famille pour élever les enfants que de donner a des feignant qui ne veulent rien faire,et que cela compte pour la retraite.
À la vue des photos qui accompagnent votre com, que toutes les femmes consentantes aux règles de l’ilsam, j’ai bien dit consentantes, aillent se faire….
Quand je me balade dans les rues de Roubaix, j’ai plutôt l’impression que c’est tous les jours la journée des appicultrices…
Mais c’est quoi ça?!!! C’est à Bruxelles qu’il faut la Kalach, pas à Tel Aviv!!! Je suis outrée des propos tenus ouvertement (!!!) pas les bonobos musulmans de la « capitale de l’Europe. » Islam=avilissement de la femme, qui peut encore en douter alors que nous le vivons en direct, sans le filtre de la culture lointaine et « exotique » ?
L’islam de France (ou de Belgique) -je me marre…- ce sont les saletés proférées en français? Quel progrès vers l’intégration! Marianne portera un joli costume de chauve-souris bien ample, élastiqué aux chevilles et poignées, elle va s’adapter elle aussi la « chienne » de la République!
Végéter aux terrasses des cafés, défier du regard quiconque ose les regarder et cracher ostensiblement par terre quand on soutient leur regard (vécu), salir les passantes avec des regards de morts de faim et des propos d’obsédés: « Merci Europe, avec tes p’tites fe-fesses sur ton gros taureau, de nous avoir donné cette belle vie! »
très jolies les photos
Les femmes choisies par le gouvernement fronçais, on les trouve facilement sur le Net.
Exemple :
http://insoumission.eklablog.com/les-familles-francaises-meritantes-decorees-a57455191
Le bonheur des femmes musulmanes en Algérie !
De 2007 à 2011, le divorce a connu une hausse de 61%, passant de 34 123 à 55 490 cas enregistrés l La répudiation, ce droit dont use et abuse l’époux, vient en première position des demandes de divorce l En cinq ans, 106 614 femmes ont été répudiées l Les femmes sont de plus en plus souvent obligées de recourir au khol’â pour se libérer d’une vie conjugale infernale l En 2007, 2466 ont rompu leur union moyennant une compensation versée à leur mari alors qu’en 2011, ce nombre est passé à 7559.
Quelle interprétation donner au nombre de plus en plus élevé de divorces en Algérie ? Est-ce le résultat de l’échec de l’institution du mariage au sein de notre société ou cela reflète-t-il l’état de la relation entre l’homme et la femme marquée souvent par la domination masculine ? Les réponses sont difficiles à trouver. Néanmoins, il est important de s’arrêter sur les statistiques du ministère de la Justice dans la mesure où elles mettent en exergue cette tendance à la hausse du divorce, dominée par les demandes des hommes, mais celle de la procédure de khol’â à laquelle recourent de plus en plus les femmes pour se libérer d’une relation conjugale qui ne répond pas à leurs aspirations pour une vie meilleure.
Ainsi, selon le ministère de la Justice, le nombre de divorces en Algérie est passé de 34 123 en 2007 à 55 490 en 2011. En cinq ans, cette hausse a dépassé les 61,4%. Ces chiffres deviennent inquiétants lorsque l’on prend en compte l’évolution des mariages, durant ces cinq dernières années. En effet, celle-ci n’a pas connu de hausse considérable. Selon les données de l’Office national des statistiques (ONS), le nombre de mariages est passé de 325 485 en 2007 à 331 190 en 2008, 341 321 en 2009, à 344 819 en 2010 et à 369 031 en 2011.
Les spécialistes affirment que 40% des cas de rupture de liens conjugaux interviennent durant les trois premières années de la vie du couple. Mais cela ne veut pas dire que les autres catégories sont épargnées, révèle un cadre du ministère de la Justice. Selon lui, les exemples concernent aussi bien les jeunes mariés que ceux qui ont fêté leurs noces d’or. Les statistiques du ministère de la Justice montrent une augmentation annuelle progressive : de 34 123 cas en 2007, à 39 383 en 2008 pour atteindre 41 549 en 2009, 49 885 en 2010 et 55 490 en 2011.
Durant ces années, même si la prédominance des demandes de divorce reste masculine, les femmes sont de plus en plus nombreuses à rompre la relation conjugale en recourrant au khôl’â. A travers cette procédure qui leur permet de racheter leur liberté, les épouses expriment, en fait, leur volonté de se délivrer des souffrances d’une vie conjugale qui ne répond pas à leurs aspirations pour une vie meilleure promise dans le cadre de l’institution du mariage. Leur nombre est passé de 2466 en 2007 à 7559 en 2011, soit une hausse de près d’un tiers. En 2008, elles étaient 3197 à avoir recouru au khôl’â ; ce nombre est passé à 4465 en 2009 pour atteindre 5629 en 2010 et 7559 en 2011.
Le khol’â, une parfaite inégalité entre l’homme et la femme devant la loi
Les spécialistes qualifient ce type de divorce de parfaite illustration d’une flagrante inégalité des sexes devant la loi, arguant du fait que les hommes ont le droit de demander le divorce de façon unilatérale alors que les femmes ne peuvent le faire que dans dix cas définis par l’article 53 du code de la famille. Il leur est impossible d’obtenir le divorce pour, par exemple, violence conjugale ou mésentente. La procédure de khôl’â est le seul moyen qui leur permet de contourner ces conditions et de racheter au final leur liberté, moyennant une compensation financière au profit du mari qui, lui, a le droit de répudier son épouse à tout moment sans aucun motif.
Ce droit de rompre le lien conjugal de manière unilatérale, dont use et abuse l’époux, apparaît clairement dans les statistiques du ministère de la Justice. Il vient en première position, bien avant celui prononcé à l’amiable. De 2007 à 2011, les tribunaux ont enregistré 106 614 cas de divorces par répudiation. Un chiffre qui chaque année connaît une forte progression. Il est passé de 17 733 cas en 2007 (plus 51% des divorces), à 18 794 en 2008. En 2009, il a atteint 20 134, alors qu’en 2010 et 2011, il est passé respectivement de 24 663 à 25 290 cas.
Quant aux épouses qui ouvrent droit à une demande de divorce (les dix cas prévus par l’article 53 du code de la famille), même si elles sont de plus en plus nombreuses, il n’en demeure pas moins qu’elles ne représentent qu’une infime proportion (un peu plus de 8%) des cas de rupture de l’union conjugale. En cinq années, elles ont été 16 991 femmes à avoir obtenu le divorce (motivé tel que défini par l’article 53 du code de la famille), période durant laquelle les hommes ont répudié 106 604 épouses, sans motif ni justification. Ce qui constitue, pour les militants des droits de l’homme, une flagrante violation du principe d’égalité entre l’homme et la femme devant la loi.
Enfin, les statistiques du ministère de la Justice montrent que le divorce à l’amiable connaît lui aussi une progression significative. Durant les cinq dernières années, il est passé de 11 203 cas en 2007 à 16 826 en 2011. Ainsi, si en 2007, le nombre de ruptures de la vie conjugale à l’amiable était de 11 203 cas, en 2008, il a atteint 14 072 cas. En 2009, ce chiffre a baissé pour se situer à 12 994, puis a entamé sa progression à la hausse en 2010 pour atteindre 14 418 cas et en 2011, année durant laquelle 16 826 cas ont été enregistrés.
Toutes ces statistiques démontrent de manière exhaustive la vulnérabilité de l’institution du mariage du fait des bouleversements que connaît la société algérienne.
Le chômage, la crise du logement sont parmi les principaux facteurs qui rendent éphémère la vie conjugale. Une vie qui, souvent, s’apparente à un enfer pour une forte proportion des femmes. Les dernières statistiques révèlent, faut-il le rappeler, que plus des deux tiers des femmes mariées ont été, d’une manière ou d’une autre, victimes de violence. Elles sont les plus sujettes aux privations et la loi inique et inégalitaire, consacrée dans notre pays notamment à travers le code de la famille, ne sont pas pour les protéger mais pour renforcer encore plus le statut d’infériorité consacrée à un large pan de la société.
source Watan
Et si elles viennent en France, ça fait des familles monoparentales
Très intéressant l’article de Novopress par contre la vidéo a été censurée, dommage.
Cette vidéo édifiante est toujours disponible en ligne sur le site Novopress…
Désolée de vous dire que je suis une femme et que je ne me sens pas concernée par tout le ramdam que font ces « femelles » pour se faire reconnaître. Elles qui veulent « l’égalité avec les hommes », elles ne se rendent pas compte qu’elles se rendent ridicules. Pour ma part, je ne veux pas être l’égale de l’homme : l’homme et la femme sont un ensemble de deux unités COMPLEMENTAIRES et non pas deux électrons libres qui se font la guerre. Chacun a son rôle dans la vie et s’ils font chacun leur travail, le monde est en bonne marche. S’il ne l’est as actuellement c’est en partie parce que les femmes (certaines heureusement), ne veulent plus tenir leur rôle complémentaire d’abeille travailleuse. Elles déséquilibrent le monde, elles abandonnent les enfants et les rendent instables, elles deviennent des amazones qui font peur aux hommes et qui bouleversent l’équilibre de la société. Je me sens loin de ces femmes qui pour égaler les hommes inventent la théorie du genre et donc renient leur sexe. Elles en font des tonnes et cela devient absurde, mais à côté de ça elles continuent à minauder , à draguer, à passer d’un homme à un autre, et elles appellent ça « se réaliser » !!!! Elles parlent, elles pérorent, elles imposent leurs idées. Elles perdent toute douceur, tout finesse, tout ce qui fait d’elles des femmes.
Que cette minorité d’amazones ou de houries se fassent mousser et se fassent entendre, je m’en fous, mais qu’elles veuillent imposer à toutes les femmes la même attitude NON NON NON.
Je suis avec une majorité de femmes, fière de me considérer comme une femme (amante, amie, copine), comme une maman, comme une mamie ; je suis fière d’avoir été aimée par un homme, d’avoir été amante (même soumise), d’avoir fait l’objet d’attentions, de cadeaux, de respect etc.. de la part d’un homme. Je suis fière d’avoir servie un homme, d’avoir tenu sa maison, élevé ses enfants. Je suis fière d’avoir gardé et promené mes enfants, les avoir nourris, avoir suivi leurs études, avoir discuté avec eux et les avoir conseillés. Je suis fière d’être devenue une grand mère qui amuse mes petits-enfants et qui continue à parler à mes enfants.
Je plains ces femelles qui se privent du bonheur simple d’aimer et d’être aimée, de voir des petits amours devenir des adultes responsables et intelligents, de voir la vie passer dans les yeux d’un homme qui a tout partagé avec moi….
Tant pis pour elles ! Mais qu’elles ne nous privent pas de nos simples joies.
Merci Madame…Merci Madame pour ce beau roman de vie.
Vous avez raison,les joies simples sont à vivre à chaque moment d’une vie.
Il y a un mot que j’aime beaucoup,c’est ..harmonie.
Vous savez ce qu’est étre heureuse et ce n’est permis à tout le monde.
Bonne vie à vous,chére Madame.
Jeannette Bougrab musulmane éclairée à Paris? Si elle était aussi éclairée que ça, elle ne serait pas musulmane?
Le Hamas et les femmes.
Le protégé de l’humaniste Stéphane Hessel , le Hamas fête à sa manière les femmes en supprimant le Marathon de Gaza qui devait être organisé par l’agence de l’ONU ( UNWRA) pour les réfugiés palestiniens du 10 avril 2013. Le protégé de Stéphane Hessel , ne veut pas de mixité entre les hommes et les femmes.
La seule égalité entre hommes et femmes est de se faire exploser! Les premiers ont en récompense 72 vierges et les secondes c’est à la volonté d’Allah et de son prophète ( QSSSL ) Que le Salut Soit Sur Lui
Ben moi je n’ai pas vu le jour un 8 mars et de plus je suis une femme. Mais je vous soutiens de tout mon coeur !!! Je déteste cette journée qui met les femmes en avant pendant une journée et ne s’en soucie pas les autres jours.
la journée de la femme commence le premier janvier à o heure et se termine le trente et un décembre à o heure.
Bon anniversaire !
À stormopzee
Femme avant d’être mère ? Grave ce que vous écrivez.
Êtes vous père avant d etre homme ?
Non monsieur vous n aimez pas la femme pour parler comme ça.
Ce temps là est heureusement révolu et très peu de femmes vous rejoindront dans vos dires.
La plupart des femmes travaillent pas seulement pour avoir un second salaire mais parce qu elles aspirent réellement à s’épanouir aussi professionnement et à avoir une indépendance financière une vie sociale….bref tout ce que vous même monsieur vous aspirez.
À stormopzee
Mère avant d etre femme ? Grave ce que vous écrivez.
Êtes vous père avant d etre homme ?
Non monsieur vous n aimez pas la femme pour parler comme ça.
Ce temps là est heureusement révolu et très peu de femmes vous rejoindront dans vos dires.
La plupart des femmes travaillent pas seulement pour avoir un second salaire mais parce qu elles aspirent réellement à s’épanouir aussi professionnement et à avoir une indépendance financière une vie sociale….bref tout ce que vous même monsieur vous aspirez.
Trés jolies photos
Journée de la Femme
Un terme étonnant quand on voit ce qu’on essaie de nous imposer, de nous museler.
un gouvernement qui prétend lutter contre la violence faite aux femmes et qui parallèlement laisse l’islam s’installer chez nous et mème qui l’encourage CHERCHER L’ERREUR!!.
Sur le lien de HAGDIK c’est la cérémonie du prix Cognac Jay crée en 1922 qui était attribué à des familles nombreuses méritantes à une époque ou 9/10 enfants c’était fréquent et les allocations n’existaient pas encore et les parents devaient travailler dur (pas 35 h hebdo). je croyais cette cérémonie disparue depuis longtemps car on en parlait plus sur les ondes ni dans la presse, quand on m’a adressé cette photo par le net avec les noms des bénéficiaires en fait les noms étaient inutiles la photo parle d’elle mème!! de plus ou est le mérite avec les allocations dispensées largement et financées par nos cotisations et nos impots de plus quand on voit le manque d’éducation de beaucoup de leur rejetons c’est de l’argent fichu en l’air..
La vidéo tournée à Bruxelles est édifiante en plus, pendant que les uns travaillent d’autres se prélassent sur des terrasses pour injurier les femmes qui vivent selon la culture de leur propre pays. ils ont la liberté de partir si ça ne leur plait pas.
Les méritantes et il y en a,elles sont légion, celle quittent luttent au quotidien 365 jours par an entre travail et 1/2/3 enfants et seules parfois avec des métiers parfois difficiles et qui ne dérangent personne avec leurs problèmes ne montent pas au créneau pour un oui ou un non ou pour un regard de travers.
et bravo à ces femmes qui sont allées au local des harpies dénudées qui ne représentent pas les femmes mais seulement quelques intellectuels en mal d’expression.
quelles femmes ?????? mais toutes, de tous les horizons, de toutes les couleurs, de toutes les religions. et pourquoi seulement une journée ? je dirais plutôt une année, un siècle, une éternité…
Pendant que le docteur posait des points de suture sur la main d’un vieux pêcheur qui s’était blessé lors de sa dernière sortie,
il discutait avec lui de choses et d’autres, un peu pour le distraire.
À la longue, la conversation tourne autour de la politique et la récente élection de Flamby dit « le ramolli de chez mou ».
Le vieux pêcheur dit : “Ouain, vous savez, Flamby, c’est une tortue piquet.”
Pas familier avec le terme, le docteur dit :“ Flamby, une tortue piquet?
Qu’est-ce qu’une tortue piquet? ”
Le vieux pêcheur d’expliquer : “Quand vous êtes sur un chemin de campagne et que vous voyez un piquet de clôture avec une tortue juchée dessus, ça c’est une tortue piquet”
Le vieux pêcheur remarque alors l’étonnement du docteur et poursuit son explication :
“On sait :
– qu’elle n’a pas grimpé là toute seule
– qu’elle n’est pas à sa place,
– qu’elle n’a pas l’idée de faire quoi que ce soit pendant qu’elle y est,
– qu’elle est au-dessus de sa capacité de fonctionner,
– et on se demande quelle bande d’abrutis l’a placée dans cette position.”