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Michel Garroté, réd en chef – Dans mon article intitulé « Le Grand Journal de Canal+ dans la grosse merde » (lien en bas de page), j’avais publié les révélations d’Ollivier Pourriol sur ce grand journal version talkshow mrapo-gauchiste pseudo-branché. Ci-dessous, je publie les révélations de Solweig Rediger-Lizlow, qui, elle aussi, a travaillé un temps au Grand Journal de Canal+ (extraits de l’interview de Solweig avec Purepeople ; voir lien en bas de page). J’aime bien Solweig. Elle est très belle et elle n’est pas conne du tout. Je me souviens d’elle au Grand Journal. Elle tentait d’y mettre de l’humour spontané et de la fraîcheur. Je me souviens du petit Denisot qui de toute évidence ne supportait pas cette gosse impertinente à ses côtés.
Purepeople : Vous venez de comparer votre expérience dans le Grand Journal à un calvaire. Pouvez-vous nous raconter ce calvaire ?
Solweig Rediger-Lizlow : C’est très simple, il a commencé dès le premier jour, avec ces quelques mots de bienvenue de la part de deux des chefs du Grand Journal : “Tu sais Solweig, tu es le choix de Canal+, mais tu n’es absolument pas le nôtre.” Je vous laisse imaginer la magnifique année que j’ai passée, entre censure permanente et humiliation. Tout ça pour mieux pouvoir dire en fin d’année : « Nous avions raison, Solweig n’était pas un bon choix ».
Purepeople : Vous dites que le livre d’Ollivier Pourriol est gentil, pensez-vous qu’il n’a pas tout révélé ?
Solweig Rediger-Lizlow : Le livre d’Ollivier Pourriol n’est pas gentil, c’est sa façon de faire que je trouve encore gentille, voire élégante avec les personnes qu’il décrit dans ON/OFF. Je pense qu’il a très bien retranscrit l’ambiance frigorifique qui règne dans les bureaux, le cynisme de certains, la bêtise de l’un, l’arrogance de l’autre. Et toujours avec humour et intelligence.
Il y avait déjà bien à faire en parlant des bureaux, du plateau, du direct et des backstages. Si l’on rentre dans la vie des uns ou les mœurs des autres, je ne suis même pas sûre que le public y croirait.
Purepeople : Est-ce que les gens du Grand Journal vous prenaient vraiment pour une serpillière, comme vous l’avez écrit dans votre soutien à Olliver Pourriol ? N’aviez-vous pas d’alliés ?
Solweig Rediger-Lizlow : Croyez-le ou non, mais faire briller un chroniqueur ou un animateur, cela passe parfois par l’humiliation d’un autre. Dans ce cas-là, celui qui brille te regarde en se marrant, les bras croisés. Bien sûr que j’avais des alliés, et j’en ai toujours, je les garde précieusement. De toute façon je savais avant de commencer à qui il ne fallait rien dire, comme celui que l’on appelle « l’œil de Moscou », dont le rôle est de rapporter chaque jour au producteur « qui » dit « quoi » sur « qui ».
Purepeople : Qu’entendez-vous par obéir au doigt et à l’œil ? Et à qui deviez-vous obéir ?
Solweig Rediger-Lizlow : C’est très simple, comme je l’ai déjà dit à de nombreuses reprises, à part au Festival de Cannes où j’ai pu à peu près montrer mon univers, je n’ai jamais eu mon mot à dire sur les sketches écrits. Enfin bref, de toute façon je ne me prenais même plus la tête à proposer quoi que ce soit puisque toute vanne était automatiquement refusée ou ré-écrite par mon rédacteur, ou l’auteur qui dépendait de lui.
Et quand j’avais le malheur de leur dire que tout cela était nullissime et absolument pas drôle, j’avais le droit à cette éternelle phrase : « Nous sommes Le Grand Journal, leader d’opinion, et nous savons ce qui est drôle ou pas », suivi de « de toute façon tu fais ce qu’on te dit, point ». Et même si j’arrivais au final à placer une de mes idées, ils me la sucraient en plein direct via l’oreillette. Ils m’ordonnaient de ne pas faire la vanne, qui bien évidemment était le plus souvent la chute, et ce n’avait au final plus aucun sens. Au bout d’un moment tu laisses tomber, tu crées le personnage qu’ils attendent de toi. Une pouffe décérébrée à la voix nasillarde dont la mission est de séduire les « 7-13 ans » et les « cadres sup » selon leurs termes. Ensuite, tu attends bien sagement la fin de l’année que ton contrat arrive à terme.
Purepeople : Avez-vous des anecdotes à nous raconter sur votre aventure au Grand Journal ?
Solweig Rediger-Lizlow : Mouais… il y en a tellement. Ah si, en voici une petite parmi tant d’autres. C’est celle où j’ai eu l’interdiction formelle de dire quoi que ce soit sur Dominique Strauss-Kahn dans une météo, après avoir désespérément cherché dans les archives du Grand Journal la vidéo d’une Boîte à questions : « Est-ce que sucer c’est tromper ? », ce à quoi DSK répond : « ça dépend qui suce qui ». Cette archive avait mystérieusement disparu.
Purepeople : Est-ce que d’autres membres de l’équipe partageaient votre point de vue ?
Solweig Rediger-Lizlow : Ils sont légion, mais je ne vous donnerai bien évidemment pas leurs noms.
Purepeople : Quel rôle joue Michel Denisot dans tout ça ?
Solweig Rediger-Lizlow : ON : Il arrondit les angles sans se mouiller. OFF : Il tire plus vite que son ombre.
© Purepeople.com
Le Grand Journal de Canal+ dans la grosse merde | Dreuz.info
Elle avait conscience que ce qu’elle faisait est nulle !!!
Bin ouai… à 15.000 euros par mois, elle s’arrange avec sa dignitée, elle aurait bien rempilé si j’ai bien analysé, même si on lui avait demandé de lever la patte pour uriner contre le bureau de l’autre lopette de Denisot… ( le tout devant les caméras d’Anal + )
Vous avez raison Monsieur Garroté de rire de tout cela. D’un autre coté, qui est ce qui regarde encore canal plus à part les fouteux et quelques débiles qui de toute façon ne liront pas Dreuz.
qui regarde encore ce genre de merde ?
Il y a bien longtemps que j’ai annulé mon abonnement à Anal +
Moi…mais sans abonnement à canal +.
Et alors ? suis-je devenu débile ?
C’est grave docteur ?
J’ai regardé cette émission une fois ou deux, histoire de ne pas mourir idiote, mais cela fait des mois et des mois que j’ai renoncé. Décidément je suis imperméable à ce genre d’humour. C+, à part quelques émissions sportives et quelques films, c’est non merci pour moi !!!
qui sont les crétins français qui sont à Canal+?????
Faites la liste et vous avez le niveau du pays moyen.
Alors que personne ne se plaigne…ou qu’il émigre s’il est jeune.
C’est je crois la seule solution d’ailleurs. je ne vois pas les français sortir la France de la merde qu’ils sont eux-mêmes????..
Cette interview après d’autres le démontre à souhaits.
Et ne parlons pas du salaire des piliers de cette émission. Nicolas DUPONT-AIGNANT s’est cassé le nez là-dessus !!
GAUCHO BOBO PARISIANISME !!! de la merde
faite les compte des abonner x par environ 50e = très chère 15000e c’est une plaisanterie pour des plouks
il y a belle lurette que je ne regarde plus cette merde
Désabonnée depuis plusieurs années 6 ou 7 je sais plus
Je pense que c’est elle et le fameux chroniqueur mouloud achar qui m’a définitivement écoeuré de cette chaine! Cela dit, si ce qu’elle faisait ne lui plaisait pas, elle avait le choix de démissionner… En attendant elle touchait le grisbi même si les gens la prenais pour une cloche !
Quel pays , où on nous rappelle chaque jour :
-La presse agit en toute liberté
-La police agit en toute liberté
-La Justice agit en toute liberté.
Et ou tout le monde avance masqué : tous les témoins passent dans l’ombre et voix déformée…
Celle-ci dénonce à visage découvert : sans citer de noms.
J’avais ouie dire que de nombreux fichiers avec des blaques ou sous-entendus de Cahuzac et DSK avaient disparus…Ça c’est le scoup que confirme cette animatrice.
Et boufon APATHIE avec ses 500 000Euros/mois ? A déformer l’information pour ses maîtres : la Gauche Cayman Socialiste.
trop lolol
Regarde plus depuis longtemps. Toutes les émissions d’ailleurs où il y a des sacs de noix derrière avec des yeux de merlan fris. Sauf les débats politiques.