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Les journalistes les mieux payés de France sont dans la merde
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Michel Garroté, réd en chef – D’habitude, ce sont les invités du vulgaire et gauchiste Grand Journal sur Canal+ (Anal putes pour les intimes) qui s’en prennent plein la gueule. D’ailleurs, la plupart du temps, c’est bien fait pour leur gueule de politicard fax-cul. A les voir tirer la gueule, la bouche en dents de scie, les yeux creux, à chaque question qu’on leur pose, les invités font marrer tout le monde et c’est une satisfaction de les voir en pareil état de détresse.
Mais cette fois les rôles sont inversés. C’est l’équipe du Grand Journal qui se fait défoncer la tronche par un ancien qui déballe tout dans un bouquin. J’avoue y trouver quelque jouissance. Il est rare, en effet, que les fouteurs de merde se retrouvent à leur tour dans un gros caca. J’imagine la tronche du petit Michel Denisot dit le pas très futé en apprenant que son ancien collaborateur lui chie dans la gueule.
J’imagine la tête à Jean-Michel Aphatie, dit le bistrotier susceptible découvrant que son ancien collègue lui pisse à la raie. J’essaye de m’imaginer Ariane Massenet dite la vache qui rit découvrir qu’elle aussi peut parfois se la faire mettre profond sans y avoir consenti. Ah oui, vraiment, cette inversion des rôles et des postures est orgasmique.
Désormais, les invités au Grand Journal pourront toujours se consoler en se disant : là ils me font chier ; mais eux aussi se sont couverts de ridicule lorsqu’Ollivier Pourriol leur a pourri la vie dans son bouquin.
Ollivier Pourriol, chroniqueur éphémère dans « Le Grand Journal » la saison dernière, n’avait pas brillé par ses interventions en plateau (extraits adaptés ; voir le lien vers la source en bas de page : puremedias.com). Mais ce philosophe, recruté pour « donner de la hauteur à l’émission » par le rédacteur en chef, incarner l’intellectuel de la bande aux côtés d’Ariane Massenet (« la blonde ») et Jean-Michel Aphatie (« le chauve »), a profité de cette année cathodique pour prendre des notes. Il les livre dans « On/Off », un ouvrage qui est paru lundi 15 avril 2013 aux éditions NiL.
En avant-première, puremedias.com livre ses meilleurs passages. Un récit désopilant, parfois cynique, souvent très drôle sur les coulisses de l’émission la plus en vue du PAF, dirigée depuis neuf saisons par Michel Denisot. Le livre n’est que scripts d’émissions et recueil précis de dialogues avec la production, la rédaction, les techniciens, la direction. Certains protagonistes sont cités par leurs initiales, d’autres apparaissent de manière anonyme. Mais les indices semés au fil des conversations révèlent souvent leur identité.
« On/Off » ne surprendra probablement aucun des professionnels de la télévision. Ces codes, anecdotes, décrits par Pourriol, sont communs à la plupart des talk à la télévision. Mais l’ouvrage a le mérite de décrypter les méthodes de fabrication de l’infotainment, ces formats où l’information et le divertissement se mêlent et se confondent à la télévision. Confronté à une crise d’image depuis plusieurs mois, « Le Grand Journal » ne sortira probablement pas grandi de cette incursion dans ses coulisses. « On/Off », c’est l’histoire d’un recrutement raté. Celle d’un romancier, parfois confondant de naïveté, tombé dans le grand chaudron de la télé.
Le recrutement
« Tu ne peux pas demander une chronique comme ça »
Dès la première page, Olivier Pourriol raconte son recrutement, son entretien avec le rédacteur en chef, sa première rencontre avec Michel Denisot. Les fuites dans la presse autour de son nom. Ses hésitations à accepter l’offre qui lui était faite. Mais un beau jour, quand un « chauffeur » vient le chercher pour une ultime réunion, « c’est bon signe » lui indique un membre de l’équipe. Il est recruté, démarre le 20 août, ne sait pas encore très bien ce qu’il va y faire, dans cette émission, ni même combien il gagnera.
Puis, à quelques jours de la rentrée télé, on lui apprend qu’il n’aura finalement pas de chronique. « On n’a pas de place pour une chronique, c’est à toi de prendre la parole », lui explique-t-on. Un des membres de l’émission lui décrypte le message : « Tu ne peux pas demander une chronique comme ça (…) Tu vois la plage ? Quand tu arrives trop tard et que tout le monde a déjà étalé sa serviette. Là, c’est pareil. Passer de l’huile dans le dos de ta voisine. Aller chercher une glace au maître-nageur. Devenir pote avec le mec des parasols. Te rendre agréable. Indispensable mais pas trop ».
La première
« Je touche le loto chaque mois »
Dès la première, en septembre, Ollivier Pourriol découvre l’univers impitoyable d’une émission réglée au millimètre. On lui explique, gentiment dans un premier temps, que son micro sera coupé quand il n’aura pas à prendre la parole, qu’il doit, pour exister, « avoir le réflexe de commencer à parler avant d’avoir quelque chose à dire ». Il découvre les ordres dans l’oreillette sur le timing. « Trop long », « Trop court », « Tu n’as pas posé de question ». Parler en étant sans cesse dirigé, ne jamais dire plus que le conducteur de l’émission ne lui permet.
Après la première, très rock’n roll, il file à la soirée de rentrée de Canal+, y rencontre l’un des chroniqueurs, cité anonymement. Il le met en garde sur l’ivresse du pouvoir de la télévision. « Pour une heure de boulot par jour, je touche le loto chaque mois, et je peux rincer tout le monde, la famille, les amis, moi. Au moment de l’addition, c’est toujours ma tournée. Grand prince », lui explique-t-il, lui suggérant de « se souvenir de sa vie d’avant » pour ne pas perdre pied.
Bizutage
« Si tu l’écoutes, tout est formidable »
Pourriol se pose trop de questions sur son rôle au sein de l’émission. Mais n’en pose pas assez aux invités. Voilà ce qu’on lui reproche. « Fais ce qu’on te dit, ce sera plus simple. Fais-nous confiance. Il faut finir par une question. C’est comme ça, c’est le format ». Premières critiques dans la presse après ses prestations hésitantes, sur les réseaux sociaux. Pourriol est « miné », déjà, après seulement quelques numéros. Se demande ce qu’il fout ici.
Mais on lui demande de taper plus fort, pour contrebalancer avec Michel Denisot, « qui astique et pompe les invités ». « Ca fait des années qu’on subit ça. Si tu l’écoutes, tout est formidable. Aucun esprit critique, jamais », lui explique un adjoint de la rédaction lors d’un briefing. Il s’améliore, obtient les félicitations du producteur, qui vante les mérites du format de son émission. « On est statutaires. Comme Vogue. Quand les gens lisent Vogue, c’est pour savoir ce qu’ils doivent penser », lui explique-t-on. Pourriol doit, comme les autres, fournir aux téléspectateurs du prêt-à-penser. Il découvre rapidement les joies du montage, quand une émission est enregistrée, ses propos coupés. Les techniciens lui conseillent de parler plus fort que son voisin, ou sur les applaudissements, « pour empêcher les points de montage ». Toutes les astuces sont bonnes pour exister.
Les livres
« Quelqu’un qui arrive à la page 100, c’est qu’il a lu le livre »
Homme de lettres, Olivier Pourriol aime lire, présenter ses coups de cœur, y accorder une large place dans l’émission. Mais ce n’est visiblement pas ce qu’on lui demande. Ses choix littéraires doivent être « dans l’actu ». Et pas ailleurs. Il rappelle à son équipe qu’avaler trois livres du jour pour le lendemain, c’est mission impossible. « Mais tu ne comprends pas, personne ne te demande de les lire (…) Tu peux le respirer, le livre », le rassure un rédacteur en chef adjoint. Un autre chroniqueur a son astuce pour lire tous les livres des personnalités reçues chaque soir sur le plateau : « Je lis la première page, la dernière page et la page 100. Comme ça, je connais le début, la fin. Et si on parle du livre, je parle de la page 100. Quelqu’un qui arrive à la page 100, c’est qu’il a lu le livre ». Lire des citations à l’antenne d’un poète, d’un philosophe, d’un grand écrivain ? Interdiction, là aussi. « C’est excluant » pour le téléspectateur, lui assure son boss.
Le clash
« Sois moins cérébral »
Depuis des semaines, on le tanne pour présenter des livres avant Noël. Pourriol s’exécute, travaille dur pour une sélection originale. Mais au dernier moment, sa chronique saute, au profit d’un doc maison sur le FN. A la répet, Pourriol ne donne pas la date de diffusion, se fait sermonner par le « boss », Denisot. Le réd’ chef en remet une couche. « Tu me casses les couilles », lui lâche Pourriol, à 7 minutes de l’antenne. Troublé, fatigué, il demande un remontant, une vodka, il a la « rage ». Dès janvier, ses amis lui conseillent de se « casser ». Jean-Michel Aphatie, face à sa détresse et au détour d’un café, lui suggère d’être « moins cérébral », « plus dans l’humeur ». « J’ai l’impression d’arriver dans un dîner de famille comme une pièce rapportée, un étranger ou un huissier. Après l’émission, tout le monde disparaît sans un mot, c’est assez mystérieux, on dirait un tour de magie. Vous vous voyez souvent en dehors ? », lui demande Pourriol. « Jamais », tranche Aphatie.
Fin de saison
« Il faut être différent, mais pas trop »
Rapidement, Ollivier Pourriol sait qu’il ne sera pas reconduit la saison prochaine. Mais personne ne lui dit rien, il sollicite un rendez-vous avec l’un des patrons de la chaîne, l’obtient. « On a besoin de gens différents, qui ne viennent pas de la télé. En même temps, on n’a pas le temps de les former. Donc ça prend ou ça ne prend pas. On a besoin de fraîcheur, mais d’une fraîcheur qui cadre avec l’émission, qui rentre dans des cases. Il faut être différent, mais pas trop, c’est quand même de la télé », lui explique-t-on. Pour compenser cette mise à l’écart prochaine, on lui propose en fin de saison d’avoir une chronique quotidienne, pendant un mois. Puis les rédacteurs en chef se ravisent, en un week-end, « c’est vraiment compliqué de changer l’émission si tard dans l’année ».
« Tu vas écrire un livre pour te venger »
La suite, on la connaît. Pourriol ne rempile pas, est remplacé depuis septembre par un autre intello, Augustin Trapenard. Lui a trouvé son style, sa place. Sans doute mieux armé. Un ex-chroniqueur, à Cannes, lors d’une soirée, lui résume l’année qu’il vient de vivre. : « Si tu te fais virer, ce ne sera pas parce que tu as été mauvais, mais que l’intelligence, on n’en a rien à foutre ». « Deux semaines de chronique en un an d’antenne, je n’ai jamais autant gagné d’argent à rien foutre », confiait-il quelques jours plus tôt au rédacteur en chef. Les aléas de l’antenne, les petits arrangements entre amis, les moments d’extrême tension notamment quand Nicolas Sarkozy débarque à quelques jours du premier tour, Olivier Pourriol les a vécus et les livre avec une force amusante du détail. « Alors, toi, un jour, tu vas écrire un livre pour te venger. Tu parleras du nain qui t’empêchait de faire des citations et de l’abruti qui corrigeait toutes tes phrases. Tu vas pas nous rater », s’amusait, un soir, l’un des patrons de l’émission. Il ne croyait pas si bien dire (fin des extraits adaptés ; voir ci-dessous le lien vers la source : puremedias.com).
Reproduction autorisée avec mention source ci-dessous et Michel Garroté www.dreuz.info
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Bien fait pour ces enfoires de journaleus gauche caviar eux aussi sont pourris
tele d’idiots drogués, pour… heu… hhmm hhmmm! j’ai rien dit , mais apres on s’etonne que (des) gens votent hollande .
Mollo sur les insultes…
j’ai été dans une autre vie, un des premiers abonnes a Canal+, c’etait encore le décodeur a codes qu’on recevait par la poste chaque mois.
chaîne magique et extrêmement convoitée, il faut le dire….
depuis l’eau a passée sous les ponts…….
et ben …instructif !
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On comprend mieux, si c’est à peu près la même chose sur les autres chaînes, mais moins payé, pourquoi dans les 2 dernières émissions, la franchise de Véronique GENEST n’a pas plus !
On voulait absolument lui faire faire des excuses vis à vis des Muzz et lui faire dire qu’elle avait lu le coran et qu’elle avait aimé.
Véronique GENEST a piqué une gueulante en disant qu’on l’emmerdait avec cette histoire et qu’elle était venue pour parler de Julie LESCAUD uniquement, et la blondasse fadasse qui ne lui lâchait plus la grappe au sujet du coran a fini par conclure : « Eh bien je vois que vous avez lu le coran et que vous avez aimé ! LOL »
Oui, la TV est là pour vous dire quoi dire et comment faire, même si vous dites le contraire ! Trop fort les mecs !
Mais là pour CANAL+ c’est l’arroseur arrosé !
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Qu’ils soient journalistes imbéciles et se comportent tels des salauds est une chose.
Que le rédac’chef de Dreuz banalise ses articles d’un vocabulaire ordurier n’élèvera pas le niveau de la critique !
L’image du site ne doit pas s’abaisser au niveau de ceux-là. Réfléchissez-y donc, quelle que soit votre amertume, M.G. !
Bof !!!The Wolff , de temps en temps , ce n’est pas plus mal d’oser un vocabulaire qui décrit parfaitement les choses …………Ces pourris de journalistes qui font du lavage de cerveaux , et ne font pas leur travail , qui est de faire de l’information et de la vraie information ne méritent aucun respect !
tout à fait d accord . La vulgarité , la grossièreté sont à exclure . le ton de cet article jure dans dreuz .
Quelle idée de regarder les abrutis de Anal +, ou les pitreries du collégien attardé qu’est Ruquier, même débilité profonde qui est celle de tous les programmes de la télé.
leur journal n’interresse queux et leur electorat bobo parisiens….!
D’ailleurs Canal + est en chute libre!
Je connais bien l’ambiance « putassière » d’Anal + pour y avoir travaillé du temps de JM Messier, P. Lescure, au service juridique. Un lupanar et rien d’autre ! Promotion canapé, enfin toutes ces bonnes choses qui font payer les pov’gens pour le ballon rond sans savoir ce qui se passe aux vestiaires 😉 Je vais me faire un petit plaisir en lisant ce livre sûrement trés croustillant mais qui ne m’étonnera que peu … trés peu !
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Heurs et malheurs d’une poignée de chancres dans une fosse à purin.
J’attends tranquillement l’avis de décès de la bande.
Emission inintéressante faite pour bobos en mal de pub !
Ils se regardent le nombril, s’auto congratulent, comme on dit, ce sont des « Monta a sega ».
La télévision Française qu’elle soit public ou privée, est une fosse à purin !
Un instrument de propagande islamiste et mondialiste avec sa cohorte de journalopes…
abonné a c+ depuis 84,je conserve l’abonnement uniquement pour les films,voire certaines séries,et le sport, mais là encore il faut voir car les commentateurs sportifs ne sont plus a la hauteur comme du temps de Ch.Pie…Thie.Gil…ou Pi. Sl… ils vous bassinent avec les joueurs et autres commentaires nauséabonds pour certains alors que nous demandons simplement de voir le sport en lui-même paraît-il que c’est l’évolution ??? bref comme la société actuellement ?? alors on est plus que mal .en tous cas les guignols comme le grand journal des années 84 a 98 étaient énormes !!!
je ne suis pas abonnée à canal+ , alors si pour voir des journaleux
gauchistes ça ne m’intéresse pas !
Ils sont dans l’image, ils se la racontent, pourquoi pas. C’est du divertissement, avant tout. Ils peuvent se moquer de tout si c’est le but de l’émission. Ce que je n’aime pas c’est les guignols de l’info, c’était trop anti-Israëlien, j’espère qu’ils ont évolué
Hélas non ! c’est encore pire !
Avec Canule- on n’attend qu’une seule chose : à quand l’expulsion des matière fécales ?
Ce n’est pas parce qu’on est journaliste que l’on compétent et objectif.
Canal + et tant d’autres qui désinforment. Mais, à présent, s’ils s’étripent entre eux c’est qu’il y a une justice quelque part….Non !
Vous imaginez tout ce parasitage alors qu’il y a vraiment des gens qui sont dans le besoin et qui n’ont pas cette chance de pouvoir se masturber intellectuellement pour surtout ne rien faire et de bien profiter.
Je crois que je finis par conclure à 68 ans que l’humanité a perdu tout son sens. Donc, vive « Mon chien ».
Denisot se bourrait la gueule à Tours avec Augry …et le reste …il a renié sa grand mère vendeuse de charbon à Chateauroux, ni foi ni loi ce type
Canal Nul a toujours été la chaîne préférée des bobos-sociaux sortie en 1984 sous Mitterrand. Qui voulez-vous qui y travaille dans ce panier à crabes roses ? Et dire qu’il y a encore des naïfs qui paient pour engraisser ces gens là… désolant…
J’ai quitté canal quand il nous imposé debouzze à toutes les sauces, ça date déjà un peu, visiblement ça ne s’est pas amélioré depuis.
Ca leur fait pas de mal de leur mettre le nez dans leur caca
Pan sur le bec….. Ca leur apprendra a respecter les gens, pour ma part j’ai enfin pu annuler mon abonnement a date anniversaire! J’avais vraiment l’impression qu’ils se foutaient de ma gueule .
Les propos orduriers de cet article dépassent les normes du bon sens et de la correction…J’ai du mal à croire que Michel Garotté l’ai bien lu…
« J’ai du mal à croire que Michel Garotté l’ai(t) bien lu… »
Il en est le signataire et j’adore son style 🙂
Parce que la façon qu’a CANAL+ de mener l’émission est correcte pour vous? Dans le style dictature et despote on ne fait pas mieux!
Non ! Pas du tout ! J’espère même que ce » style » va se développer. Pour les mous du genou Il montre à quel point nous en avons tous marre du » cinoche » politicard et de cette télé de M…. ! Ces » gros mots » font tellement de bien quand on les sort ! Exactement comme la bonne action de l’aspirine pour les maux de tête !
Ce n’est pas plus ordurier que les propos de émissions d’anal plus.
C’est juste une homogénéité de style. Ca vous dépasse ?
C’est bien beau de jouer les vierges effarouchées, mais quand il va falloir aller au combat, il ne faudra pas tomber en pâmoison à la première goutte de sang…
Je ne regarde jamais cette pourrie
Moi j’aime beaucoup Jean Michel Aplatie quand il interview nos chers ministres ….
une sacrée équipe de grands guignols !
le super truc du grand journal c’est la météo le reste c’est rabat-joie
On parle de Dreuz dans Voici !!!!!!
En portant plainte contre X hier, Julie Gayet et son avocat ont décidé d’agir contre une rumeur qui courait dans les rédactions depuis près de deux mois. Au risque de lui donner une nouvelle publicité.
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François Hollande
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Julie Gayet Nous sommes début février. L’auteur de ce papier est contacté par message direct sur Twitter. Un de ses confrères veut lui donner une info concernant une personnalité politique de premier plan : François Hollande. Le président entretiendrait une relation secrète avec l’actrice Julie Gayet. Julie qui ? Julie Gayet, vedette du cinéma des années 90, dont on se souvient pour son rôle dans Delphine 1 – Yvan 0. « Hollande a été vu dans l’immeuble de Julie Gayet. Il était devant son appartement, selon la copine d’une amie, nous est-il raconté. Et Julie a confié récemment à une autre connaissance avoir un nouvel homme dans sa vie ». Cette histoire, nous serons un bon paquet à l’entendre à la rédaction de Voici. Nos confrères nous savent friands de secrets d’alcôves, ils n’hésitent jamais à nous confier ceux qu’ils découvrent. S’il y a bien une constante dans le métier, c’est que plus une histoire revient à quelques jours d’intervalles dans des formes strictement identiques, moins elle a de chances de se vérifier. Nous prenons tout de même la peine de mener quelques recherches. A chaque interlocuteur qui nous livre le témoignage de la « copine » d’une « amie », nous demandons d’entrer en contact avec cette « copine », ou cette amie. Proposons, si ces personnes veulent garder l’anonymat, de leur transmettre nos coordonnées pour qu’elle nous racontent ce qu’elles ont vu de leurs propres yeux. A aucun moment nous n’arriverons à parler en direct à un témoin oculaire de la fameuse « visite » de François Hollande à Julie Gayet. Pourtant, quand les histoires sont avérées, nous y parvenons. Parallèlement, nous menons notre propre enquête, avec les moyens qui sont les nôtres. Et confirmons notre première intuition : la relation ne semble être qu’une rumeur, identique à celle qui a uni Carla Bruni et Benjamin Biolay sous le mandat de Nicolas Sarkozy.
Le 4 mars, alors que nous étions passés à autre chose, le site Dreuz.info, connu pour son positionnement anti-PS et qui s’était déjà distingué en balançant un autre bruit sur le président, publie un court article sur Gayet et Hollande. A part le tweet – discret – d’une journaliste de la presse féminine posté fin février, c’est la seule mention visible de la rumeur. Le papier est rapidement supprimé, l’affaire Gayet-Hollande vivote tranquillement sur Twitter pendant quelques heures puis retombe dans l’oubli. Le 26 mars, nouvelle publication à propos de la rumeur sur le « site d’actualité d’opinion » 24heuresactu.com, lui aussi rapidement supprimé. Article une nouvelle fois passé inaperçu. Point de ramdam jusqu’à ce que l’avocat de la comédienne prenne la peine d’annoncer à l’AFP le dépôt d’une plainte contre X auprès du parquet de Paris pour « atteinte à la vie privée ». Une manière d’apporter un démenti public, mais, revers de la médaille, une hypermédiatisation d’un cancan jusque là circonscrit à une petite partie de la population…
Le but de la procédure serait, officiellement, de condamner un blog en particulier et d’identifier les origines de la rumeur. Qui a eu l’idée de diffuser un tel bruit ? Et pourquoi ? Pour ce qui est de « qui », la justice se chargera d’apporter la réponse. Pour ce qui est du pourquoi, deux éléments rendaient crédible un rapprochement entre l’actrice et le président. D’abord, l’engagement de celle-ci pendant la campagne présidentielle, avec le tournage d’une vidéo où elle en parle avec des étoiles dans les yeux, utilisée par Dreuz.info pour appuyer ses dires. Puis, élément qui nous a été répété par ceux qui nous apportaient « l’info », Julie Gayet a ses bureaux au 56 rue du Faubourg Saint-Honoré. A quelques numéros de… l’Elysée.
NB : Si malgré notre professionnalisme nous étions passés à côté du scoop du siècle, que vous êtes « la copine de l’amie » qui a vu de ses propres yeux vus François Hollande etc etc…, contactez-nous. Pareil si vous avez une photo du Yéti, du Loch Ness ou un plan de métro de l’Atlantide.
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Vincent TolédanoJulie GayetFrançois HollandeRumeur
L’esprit ANAL ?
Aplatie : 500 000Euros par mois, boufon qui obéit à ses maîtres de la gauche cayman, pour ne pas perdre sa place et ce salaire.
Il devrait se marier avec la ministre des personnes âgées, celle de 5 millions d’euros…
2 bouffons pour baisser les pensions des vieux ; c’est sûr, pour eux 350Euros par mois, c’est trop !
Je préfère l’attitude de Giscard, qui imposait le SMIG à 3 000Francs, « car c’était l’argent de poche qu’il donnait à ses enfants.. »
Une telle logique sauverait nos vieux de la misère… c’était il y a plus de 30ans… Quel homme 23% en plus.
Cela fait 500Euros, et 30 ans plus tard cettte vieille milliardaire du gouvernement au 5 Millions, veut rabaisser les retraites !! Tous dans la rue ! N’importe quelle manifestations c’est OK, mais tous dans la rue !
il faut boycotter ces « faux culs » en ne regardant pas leur emission
ils savent donner des leçons, sont méprisants,arrogants et empochent
un max de fric tous les soirs en se faisant mousser …
moi je zappe canal +