Expulsés vers la France cette semaine, les trois apprentis jihadistes français présumés qui avaient été arrêtés au Pakistan ont été placés en garde à vue ce jeudi. Les autorités pakistanaises les détenaient depuis dix mois dans le plus grand secret. Un quatrième homme est toujours en prison dans le pays, en attente d’être expulsé.
Les trois hommes, âgés de 27, 29 et 30 ans, originaires de la région d’Orléans (Loiret) – certains en couple et pères de jeunes enfants – avaient été arrêtés par la police pakistanaise le 28 mai 2012 en compagnie d’un quatrième Français, Naamen Meziche. Ce dernier, âgé de 42 ans, se trouve toujours au Pakistan. Son expulsion est prévue mais «le calendrier et les modalités de cette libération ne sont pas encore définis», indique une source diplomatique française.
Naamen Meziche est considéré par les services secrets occidentaux et pakistanais comme un important cadre d’Al-Qaïda, potentiellement dangereux pour l’Occident. Selon les services français, il serait lié à la cellule de Hambourg (Allemagne) qui avait participé aux attentats du 11-Septembre et il naviguait «depuis plusieurs années dans la zone Pakistan-Afghanistan-Iran».
Leur parcours, entre la France et leur arrestation, reste très flou
Les trois jihadistes ont été placés en garde à vue ce jeudi après-midi après avoir été ramenés en France cette semaine. Le dernier d’entre eux est arrivé ce jeudi par avion. Quand ils ont quitté l’Hexagone en janvier 2012, certains avaient dit à leurs familles vouloir se rendre à la Mecque, la ville sainte, en Arabie Saoudite. Pourtant, les enquêteurs pakistanais soupçonnent Naamen Meziche d’être un «recruteur» : il serait venu chercher les trois hommes dans le nord-ouest du Pakistan, une région frontalière de l’Iran et de l’Afghanistan, voisine des zones tribales, principal bastion d’Al-Qaïda et de ses alliés talibans.
C’est là que les quatre hommes ont été arrêtés à bord d’un car au mois de mai « juste après leur arrivée au Pakistan via l’Iran, où ils étaient entrés légalement à partir de la Turquie», observe l’un des enquêteurs. Pour l’heure, le parcours de quatre mois entre la France et leur arrestation reste encore très flou.
«Aller combattre en Afghanistan»
A la suite de l’affaire Mohammed Merah, qui avait passé plusieurs mois dans la région où ont été arrêtés les quatre français, la France a adopté le 13 décembre dernier une nouvelle loi permettant de poursuivre des Français commettant des actes de terrorisme à l’étranger ou partant s’entraîner au jihad. Elle ne pourra cependant pas s’appliquer aux trois expulsés car ces derniers ont été arrêtés avant son vote. La justice pourra toutefois ouvrir une information judiciaire pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste» et incarcérer un ou plusieurs d’entre eux.
Lors de leur détention au Pakistan, les trois jeunes Français ont dit être venus dans le pays pour «aller combattre en Afghanistan» les forces occidentales. «Il ne l’ont pas fait de façon précise, c’était plus dit implicitement qu’explicitement», tempère un enquêteur.
Quant à Naamen Meziche, il serait resté jusqu’ici totalement silencieux sur les raisons de sa présence dans la région.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gaïa pour www.Dreuz.info
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encore trois jihadistes qui vont être à la charge des contribuables lorsqu’ils seront jugés et emprisonnés !
Maintenant on va garder cette vermine en prison (peut-être) Ils vont pourrir l’environnement des gardiens, ils vont contaminer ces jeunes “français” qui purgent des peines pour Dieu sait quelles saloperies, et le contribuable français passera à la caisse. Je suis nostalgique de la peine de mort.
Je sais que c’est un gros mot, mais je profite que l’on a encore la liberté de penser.
Marie Dutheil liked this on Facebook.
Tous ces terroristes devraient être carrément fusilles
“les trois apprentis jihadistes français présumés”
Ils sont présumés français ou présumés djihadistes ?
Quelle volonté anime les media français, lorsqu’il s’agit de terrorisme djihadiste, à ne pas publier les noms (généralement arabes) de ceux qui terrorisent et à ne mentionner que leur nationalité… Française ?
Ils sont avant tout musulmans.
Français musulman. Ou encore franco-arabo-musulman.
Ils nous ont gonflé avec leur gros titre du djihadiste “français” au Mali. Alors que celui-là est franco-algérien – il a les deux nationalités puisque né en Algérie – pourquoi ne pas l’avoir appelé le djihadiste algérien devenu français ?
Ces gens-là ne sont pas français.
Au fait sont-ils Français ou Français de papier? Il serait normal de le savoir malgré les lois anti- racistes !!Bien sûr ils étaient tous d’honorables pères de famille.Qui leur a fourni les subsides pour ce lond voyage? Ils étaient certainement AUSSI d’honnêtes travailleurs ? Voila le résultat d’avoir accueilli toute cette crasse dans notre pays !!
Et on appelle ça des “Français”!
Trois français patriotes bien sûr ! C’est écrit sur leur passeport, pas dans leur coran.
Cà! des français !! c’en est injurieux, l’emploi du mot français est franchement galvaudé, et là aussi pas de détail sur l’identité ?? on emploie des termes “tempérés” pour nous dire qu’ils pourront en incarcérer un ou plusieurs !! à nos frais ??, alors qu’un accident est si vite arrivé…à défaut de peine de mort
” «Il ne l’ont pas fait de façon précise, c’était plus dit implicitement qu’explicitement», tempère un enquêteur.”
Ben voyons! Tempérez, tempérez!
Va-t-il tempérer au retour des plus de 600 “français” partis combattre de façon bien précise?!
?????????
On va rapidement les mettre en liberté comme les centaines d’autres qui pourrissent notre pays.
Ils viennent d’où “ces francais” ?