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The réd en chef – Les récentes frappes préventives israéliennes en Syrie contre du matériel de guerre iranien destiné au Hezbollah remettent à l’ordre du jour l’Axe Téhéran-Damas-Beyrouth. Vu sous l’angle de cet Axe-là, les récentes frappes israéliennes en Syrie étaient donc – aussi – un avertissement donné à l’Iran. Les pays sunnites ont protesté pour la forme tout en se réjouissant en coulisses de l’initiative israélienne. Cela dit, le problème majeur était, demeure et restera celui du nucléaire offensif iranien et la menace existentielle que celui-ci fait peser sur les 7,5 millions d’habitants de l’Etat d’Israël.
En fait, le nucléaire offensif des ayatollahs intégristes iraniens est une histoire à la fois vraie, récente (2012-2013) et ancienne (1979). Une histoire vraie en plusieurs étapes. Et aussi une histoire plus ancienne, qui a débuté en 1979 (des ayatollahs intégristes prennent le pouvoir par la force en Iran) ; une histoire qui s’est aggravée en 1999 (un rapport accablant sur le nucléaire offensif iranien est remis par les généraux israéliens à leur Premier ministre de l’époque) ; et une histoire qui est devenue létale, existentielle, dès 2006, lorsque l’Iran a commencé de répéter sans relâche (et encore actuellement) qu’il faut « rayer Israël de la carte », « effacer Israël de la page du temps », afin de hâter le retour sur terre d’un imam chiite.
L’on peut toujours alléguer, comme le font certains, que, soi-disant, cela ne serait pas dans l’intérêt de la dictature iranienne, de pousser Israël à la priver de son arsenal nucléaire. C’est oublier que cette dictature est théocratique, intégriste et génocidaire. C’est aussi, et, parfois, surtout, vouloir sciemment ignorer la menace qui pèse sur Israël. Or, vouloir sciemment ignorer cette menace, n’est-ce pas, déjà, vouloir délégitimer le simple droit à l’existence du peuple israélien ? Que dirait un pays comme la France par exemple, si un régime très versé dans le nucléaire offensif menaçait chaque jour de le rayer de la carte et de l’effacer de la page du temps ?
En clair, le nucléaire offensif iranien et sa vocation génocidaire, ont, depuis très longtemps, une dimension – prophétique et messianique – dans les cervelles atrophiées des ayatollahs iraniens hallucinés. Ces ayatollahs selon lesquels il faudra sacrifier un tiers de la population iranienne pour atteindre la solution finale : atomiser six millions de Juifs Israéliens. C’est un cas sans précédent dans l’histoire contemporaine depuis l’époque du national-socialisme et de la Shoah.
2012 – 2013 :
Revenons à l’histoire vraie et toute récente. Le Premier ministre israélien Binyamin Netanyahu confirme que la seule manière d’empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire est de fixer une ligne rouge claire à ne pas franchir. Une ligne rouge claire pour inciter l’Iran à mettre un terme à son programme nucléaire offensif, notamment son programme d’enrichissement d’uranium. Il n’y a qu’une seule manière d’empêcher pacifiquement l’Iran de se doter de bombes atomiques, c’est de fixer une ligne rouge claire au programme d’armes nucléaires iranien, rappelle donc Netanyahu devant l’Assemblée générale de l’ONU. Les lignes rouges ne mènent pas à la guerre. Les lignes rouges empêchent la guerre, précise-t-il.
Afin clarifier son propos, le chef du gouvernement israélien présente le dessin d’une bombe prête à exploser, dessin sur lequel est tracé au feutre une ligne rouge située juste en-dessous de l’étape finale. Une ligne rouge devrait être tracée juste ici, avant que l’Iran ne finalise la deuxième étape de son enrichissement nucléaire nécessaire à la fabrication d’une bombe, avant que l’Iran n’en soit qu’à quelques mois ou quelques semaines d’avoir amassé suffisamment d’uranium enrichi pour fabriquer une arme nucléaire, commente Netanyahu. Chaque jour, cette date approche, c’est pourquoi j’évoque une telle urgence et c’est pourquoi tout le monde devrait avoir conscience de cette urgence, déclare Netanyahu.
Alors que le dossier nucléaire iranien ferait naître – selon les allégations d’opposants à une politique ferme à l’égard de l’Iran – des désaccords sur la marche à suivre entre Israël et les Etats-Unis, le chef du gouvernement israélien relativise ces divergences présumées. Israël est en discussion avec les Etats-Unis sur cette question et je suis confiant sur le fait que nous arriverons à définir la marche à suivre ensemble, déclare-t-il. Obama et Netanyahu souhaitent tous les deux empêcher l’Iran de se doter de l’armée nucléaire, indique la Maison blanche peu après le discours du Premier ministre israélien à l’ONU.
Comme le Premier ministre israélien l’a dit, les Etats-Unis et Israël partagent le même objectif, celui d’empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire, déclare le porte-parole de la Maison blanche, Tommy Vietor. Le président Obama l’a clairement dit à la communauté internationale lors de son discours à l’Assemblée générale de l’ONU. Nous allons poursuivre notre proche coopération pour atteindre cet objectif, précise Vietor.
Israël n’exclut pas l’option éventuelle d’une frappe préventive contre le nucléaire offensif de la République islamique des ayatollahs. D’ici l’été 2013 au plus tard, voire avant, l’Iran aura suffisamment d’uranium enrichi pour fabriquer une première bombe nucléaire. Plus grave encore, l’Iran aura suffisamment d’uranium enrichi pour fabriquer une première « bombe sale » (durty bomb) dans les mois ou même les semaines à venir.
Des ayatollahs intégristes et génocidaires
L’Iran allègue, en réponse au discours de Netanyahou, qu’il ripostera avec toute la force nécessaire à des frappes préventives. La République islamique d’Iran se réserve le droit de riposter avec toute la force nécessaire à toute attaque, déclare, ainsi, un représentant iranien à l’ONU, Eshagh Al Habib, à la tribune onusienne. Or, en réalité, l’Iran n’attendra pas les frappes préventives israéliennes pour s’en prendre à Israël. Car, comme écrit plus haut, depuis 2006, l’Iran répète sans relâche qu’il faut « rayer Israël de la carte » et « effacer Israël de la page du temps ».
Netanyahu ne demande pas seulement l’établissement d’une ligne rouge claire. Il compare un Iran nucléaire à al-Qaïda armé de bombes atomiques ; et il rappelle que l’avenir du monde est en jeu et que le temps presse. Netanyahu a raison. Oui, il a raison, car une bombe sale iranienne est aussi dangereuse qu’une bombe sale aux mains d’al-Qaïda. Et il a raison, car l’Iran dispose de missiles à longue portée équipés d’ogives, celles-ci pouvant être nucléaires. L’Iran ne fait que confirmer qu’il veut de toute façon rayer Israël de la carte, quoi qu’Israël fasse ou ne fasse pas.
Depuis 2011, les pays occidentaux, l’ONU, ainsi que sa filiale pour les questions nucléaires, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique, et, bien sûr, Israël, ont les preuves irréfutables que l’Iran fabrique sa première bombe atomique. Dans ce contexte, la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu réaffirment, encore et toujours, que leurs deux pays veulent empêcher l’Iran d’avoir la bombe atomique.
Notons qu’à l’issue d’une réunion des États-Unis, de la Chine, de la Russie, du Royaume-Uni, de la France et de l’Allemagne, la responsable de la diplomatie européenne Catherine Ashton, connue pour son hostilité à Israël, affirme que l’Iran doit agir d’urgence et s’expliquer sur son programme nucléaire offensif. C’est une première. Mais les négociations avec l’Iran sont au point mort. La dernière session, en juin, s’est soldée par un nouvel échec. Les Européens et les États-Unis souhaitent renforcer les sanctions contre l’Iran. La Russie et la Chine pourraient finir par accepter cela. Sans quoi des frappes préventives resteraient le seul moyen d’enrayer ce qui n’est rien d’autre qu’une menace existentielle pour le peuple israélien.
La plupart des journalistes et analystes européens, notamment français ‘malifaces et maléfices’, n’arrivent pas à vivre – les pauvres petits, comme cela doit être terrible pour eux !… – avec l’option d’éventuelles frappes préventives contre l’Iran. La majorité des Juifs Israéliens, eux, n’arrivent plus à vivre avec l’option, plus qu’éventuelle, d’une deuxième Shoah. C’est là toute la différence. Et puis, après tout, il est tellement plus commode – n’est-ce pas – de faire mémoire des Juifs morts en 1939-45, que de se mettre à la place des Juifs encore vivants en 2013…
Reproduction autorisée
Avec mention Michel Garroté www.dreuz.info
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l’Iran est une menace pour tout le Moyen-Orient avec toutes ses centrales nucléaires à l’uranium enrichi à 20% et toutes ces ogives à tête nucléaire , Khamenei et son nabot sont des dangers pour toute la région ! Obama le sait et ne lève pas le petit doigt pour se joindre à Israël le jour le Tsahal passera à l’action de frapper ses centrales les plus dangereuses !
désinformation!L’Iran est un pays respectable, il ne l’est plus car aujourdhui il veut enrichir de l’uranium…sous le regard de L’AIEA. Israel a peur car il ne sera plus le seul pays doté d’un arsenal nucléaire dans la region. D’ailleurs fabriqué en cachette sans aucun controle de ladit AIEA .Je pense sincerement que cela fera du bien que l’Iran, accede a cette technologie, ça équilibrera les forces dans cette region du monde…nous verrons moins de d’injustice, et de désolation…il ya dans cette région une injustice a ciel ouvert, une tragedie qui se deroule sous les yeux des grands pays “democratik” et sous les yeux des nations unis…
Aujourdhui nous voyons comment sous couvert de democratie et d’alibi bricolés qui ne trompent plus personnes…
pour les musulmans le monde se décomposent en musulmans vs reste du monde ( juifs chrétiens athée boudhiste etc ) si l’iran lance une bombe nucléaire sur l’israel il va en lancer sur tout les autres pays dans sa ligne de porter car l’iran sait qu’ une fois sa bombe lancé sur israel tous les pays de l OTAN vont rentré en guerre.
c’est bien pour ça qu’Israël doit frapper AVANT avec ou sans les américains avant que la folie meurtrière ne touche Khamenei et Ahmadinejad !
il y a au moins 4 centrales nucléaires à frapper car se sont les plus dangereuses !
Je ne sais de quand date l’article mais votre dernière phrase corrobore
ce que je constate depuis plusieurs années,c’est à dire que la plupart
des médias français aiment bien pleurer sur les morts juifs de la shoah
ou d’autres pogromes pour justifier les attaques incessantes contre Israel,c’est à dire contre les juifs vivants! Le cynisme et la lâcheté.
Arrêter de rêver obamamuzz n’interviendra pas.
Deuzio, ISRAËL attaquera seul.
vous faitent le monde a votre facon.c’est bien de savoir ce qui va se passer avant les autres.mais comme on dit qui seme le vent recolte la tempete
Il est vraiment temps d’agir rapidement. L’iran n’a jamais caché ses sombres intentions. Israel doit frapper vite et fort. Et ceux parmi les Européens qui regardent ces menaces iraniennes avec indifférence, qu’ils sachent que si Israel est touché, ils ne seront pas épargnés. Frapper dur et fort, voilà la méthode contre des barbares assoiffés de sang.
Depuis le temps où les Iraniens s’efforcent à faire tourner leurs centrifugeuses je vais finir par leur apporter ma machine à laver elle centrifuge du tonnerre d’Allah
Une bonne fois pour toute, ce que disent, pensent et font les déchets antijuifs occidentaux, qu'(ils soient dans la propagande, dans les tribunaux, dans les ministères, ou n’importe où ailleurs, c’est exactement comme si toutes ces déjection étaient au fond d’une fosse septique. J’ai beau ne pas être d’accord avec la politique d’apparente retenue israélienne, j’ai une confiance absolue dans le pays. Tout simplement parce que depuis Roch Hachana 5761 (octobre 2000), c’est le Patron qui est aux commandes. Bref, quoique fassent les marionnettes en place, c’est gouverné depuis la Haut. Et le miracle célébré aujourd’hui, celui de la libération de Jérusalem, ce n’est rien par rapport à ce à quoi nous assisterions, si les déchets nazislamistes et leurs complices occidentaux se mettaient à trop remuer…
a charles dalger
bien vu et je partage en tout point cette reflexion
Vous verrez , C est quand ils vont crier victoire ces crapules nazis iranienne et qu ils l auront leurs pauvre bombe expérimentale qu il vont s en ramasser quelques une de dernière technologie sur le coin de la tronche , ce jour la il sera trop tard pour leurs pommes , ils finiront vitrifié ! En crevant , Ils auront loisir de voir leurs messie ( ou plutôt Belzébuth ) en face , ça fait cinq ans que je les entends sur la toile et dans à peu près tous les médias faire les gros bras d une façon arrogante , essayant de bluffer le plus possible pour se faire mousser et refuser tout compromis ou solutions ….nous verrons leurs tronches quand ça vas leurs tomber sur le coin de la gueule , a mon avis ils n auront plus le temps de jouer la fierté , il n auront plus le temps de bluffer , ça sera déjà trop tard pour eux
Nb : ce jour la j ouvre le champagne car il y a pas une place aussi maléfique dans le monde que cet endroit maudit qui commandite la plupart sinon la totalité des attentats terroristes dans le monde .
Citoyen ! vous devriez changé de Pseudo, ou bien je me pose franchement la question…De quelle cité faites vous partie???
Votre écrit est rempli de haine, et de mensonges…ne lisez pas n’importe quoi vous allez vous rendre malade…
Un citoyen qui débouche une bouteille de champagne, parce qu’on a utiliser l’arme atomique sur terre…
Votre texte aurait pu être écrit par UN CITOYEN de l'”autre bord…
-Vitrifié
-Messie
-Terrorisme d’etat
Ne vous laissez pas emporter…
Brr … on dirait barbe bleue !
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il fallait atomiser le barbu dès qu’il condamna Salman Rushdie !
https://now.mmedia.me/lb/en/commentaryanalysis/want-to-stop-irans-takeover-of-syria
“… The last few days have seen a grit-teeth conversation among Syrian dissidents about what to make of Israel objectively aiding their cause. They needn’t disturb their consciences overmuch because the IAF looks right past them and doesn’t even see Syria as an independent country anymore, only an emerging Iranian suzerainty in the Levant. Dr. Shimon Shapira, a retired brigadier general of the Israel Defense Forces (IDF), has written a paper unambiguously titled “Iran’s Plans to Take Over Syria,” which emphasizes comments made by Mehdi Taaib, the head of Ayatollah Ali Khamenei’s think tank, that Syria is “35th district of Iran,” tantamount to Khuzestan, the Arab-populated district of Iran. The architect of this grand strategy is Major General Qasem Suleimani, the commander of the Islamic Revolutionary Guards Corp-Quds Force, who, in an ambitious operation named for himself, has begun the training and financing of 150,000-strong sectarian militia in Syria known as Jaysh al Sha’bi, drawn from fighters from Iran, Lebanese Hezbollah, Iraq, and even the Gulf states. This Basiji-style irregular army, as well as older Syrian formations such as the minorities-staffed Popular Committees and the shabiha (both of which also receive the mullahs’ largesse), stand to inherit the responsibilities of the Syrian Army, and further Iranian interest, in the event of regime collapse.
Lest anyone think that these claims amount to Israel overstating its own security threat, the Institute for the Study of War (ISW) has put out a new study about the Persian bulwark keeping Assad alive which legitimates and expands on Shapira’s analysis. ISW also suggests that a major imperative for grounding Syrian aircraft or destroying the Air Force’s infrastructure is to halt to the uninterrupted supply-line of personnel and materiel from Tehran.
The report neatly lays out the history of proven Iranian involvement in Syria such as the assassination of IRGC-QF Brigadier General Hassan Shateri in the Damascus countryside in February 2013, and the prisoner swap deal brokered between the regime and the Free Syrian Army in January, which saw the release of high-ranking officials of the IRGC-Ground Forces including the current and former commanders of IRGC Shohada unit; the commander of 14th Imam Sadegh Brigade (Bushehr province); and members of the 33rd al-Mahdi Brigade (Fars province). All of these units have extensive experience in counterinsurgency tactics, as they deal with provinces of Iran used to tribal and ethnic unrest. As the ISW authors observe: “The forward deployment of high-ranking current commanders of IRGC Ground Forces units is unusual, as IRGC-QF is Iran’s traditional foreign military arm while IRGC-GF is responsible for internal security and conventional operations inside of Iran.”
Moreover, the presence in Syria of agents from Iran’s Law Enforcement Forces, a sub unit of the Iranian Interior Ministry answerable to the Supreme National Security Council (and thus Khamenei himself), suggests that Tehran views Syria much the same way that Moscow views Georgia: as a domestic rather than foreign concern.
How are Iranian agents and weapons arriving in Syria? Through Iranian commercial and sometimes even Air Force planes, which ISW considers the “most critical component of Iranian material support to Syria.” In June 2011, the U.S. Treasury Department sanctioned Iran Air for sending military hardware including “missile or rocket components” to Syria, which the IRGC of course dressed this up as medical equipment or innocuous spare parts. Another Iranian airline, Yas Air, was also sanctioned in March 2012 for moving IRGC-GF agents and weapons. In total, the Treasury Department has identified 117 cargo and passenger planes associated with Yas Air, Iran Air, Mahan Air facilitating the regime’s war machine. To quote from the ISW report:
“One Syrian Air Ilyushin-76… has been identified as having travelled between airfields around Moscow, Tehran, and Damascus in 2012. Unauthenticated flight manifest records indicate that this Syrian plane has used Iraqi, Iranian, and Azeri airspace to deliver equipment from Russia. The aircraft reportedly transported over 200 tons of Syrian banknotes printed in Russia over multiple trips in 2012. The aircraft also attempted to transport refurbished Mi-25 Russian attack helicopters in this manner, although Iraqi authorities denied the over-flight request.”
When the U.S. controlled Iraqi’s air space, Iran had to travel via Turkey’s to deliver materiel to Syria. Yet Turkey started interdicting and inspecting Iranian aircraft in March 2011, forcing Iran to revert to Iraqi skyways. Nuri al-Maliki’s assurances to the State Department that he would inspect all flights coming from Iran and headed to Syria would be worthless even if they weren’t mendacious because the Iraqi Air Force in its current state can hardly patrol its own airspace. (Don’t worry, though: the Transport Minster Hadi al-Amiri is a member of the Tehran-supported Badr Organization and widely seen as an accomplice of the IRGC.)
Still another problem is Iran’s enabling of Iraqi Shiite militias in Syria such as Kata’ib Hezbollah (KH), Asai’b Ahl al-Haq (AAH) and the newly formed Abu al-Fadl al-Abbas Brigade (AFAB), which is diverse outfit of Syrian, Iraqi, and Lebanese Hezbollah fighters. Some of these militants are first flown to Tehran for training before being flown back to Damascus, chiefly to guard the Seyyada Zeinab district of the capital, where the daughter of Imam Ali is entombed.
Moving Iranian personnel and hardware within Syria is also best done through air transport. Yet the regime relies almost exclusively on the IL-76 transport plane, of which it currently has only five left in its inventory. Of its main strafing aircraft, the L-39 trainer jet, the Syrian Air Force is down to between 40 and 70. All other fixed-wing aircraft in its order of battle, particularly the MiG and SU attack jets, are Soviet-era, require heavy maintenance and even heavier training to make them mission capable. An intervention that confined itself to Syria’s air traffic would therefore severely hinder Iran’s ability to prop up Assad or further Suleimani’s “takeover” project.
Perhaps seeking to drive this point home, ISW released a helpful slideshow yesterday examining the three ways that such an intervention can be accomplished. The first is to wage limited air strikes on Syrian infrastructure (runways, fuel depots, command, and control centers) without really going after the planes themselves. This would degrade the regime’s ability to receive Iranian air cargo (or IRGC facilitators or repatriating militiamen) as well as then redistribute them around Syria. It would further reduce the regime’s capability to launch air attacks against the opposition, thus improving, albeit not guaranteeing, conditions for a safe zone in the north. The second option is go after some Syrian aircraft and degrading the regime’s ability to transport anyone or anything incoming from Iran around the country (though this option wouldn’t necessarily stop personnel or materiel from entering Syria). The third option is a no-fly zone, which would eliminate the regime’s ability to conduct bombing runs or receive aerial resupply from Iran. It would protect any safe zone established along the Syrian-Turkish border from aerial attack, though not from any ground incursions (here is where trained and well-equipped rebels would be necessary stand-in forces for foreign boots on the ground).
In a follow-up interview with Foreign Policy, ISW analyst Christopher Harmer explained: “Establishing a classic no-fly zone is time consuming and costly; grounding the Syrian Air Force is as simple as sending a few cruisers and destroyers from Norfolk over to the Eastern Med and dropping 250 (Tomahawk) TLAM into Syria. That ends the Syrian Air Force in less than an hour.”
The good news is that this wouldn’t cost nearly as much as the executive branch has let on. The bad news is that so long as President Obama gives his consent to further IAF sorties, I don’t see the United States looking to compete with a regional ally for control of Syria’s skies. The likelier outcome is that Israel will continue with pinprick operations to disrupt the Iranian-Syrian-Hezbollah missile nexus, while Suleimani’s sectarian insurgency plans will continue unabated.”
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