Le mot « race » ne figurera plus dans la législation française. L’Assemblée nationale a adopté, jeudi 16 mai, une proposition de loi du Front de gauche supprimant ce terme des lois.
Dans son éditorial du 18 mai consacré à la validation par les Sages de la rue Montpensier du mariage homosexuel, Yves Thréard citait l’archevêque de Lyon : « C’est une violence faite à la nation que de changer le sens des mots « papa » et « maman », selon la conception que notre civilisation a des parents ». Et l’éditorialiste du Figaro d’observer : « Existe en effet aujourd’hui, sous l’influence du politiquement correct de gauche, une tentation de renouer avec un vieux rêve socialiste : installer un ordre nouveau. Niant l’Histoire et les identités. » Mais la négation de l’identité sexuelle, par la théorie du genre, ne représente que le dernier avatar de l’histoire du négationnisme post marxiste.
La majorité gouvernementale vient d’en faire une remarquable démonstration en décidant le 16 mai, sur proposition de loi du Front de Gauche, de supprimer le mot « race » de la législation.
Même Daniele Lochak, ancienne présidente du très à gauche Gisti, a cru devoir confier sa perplexité au Monde dans un article du rigoureux François Béguin daté du lendemain : « Ce n’est pas le mot race dans les textes qui alimente le racisme ».
La professeur émérite de droit public fait justement remarquer, d’une part que le mot devenu proscrit ne supprimera pas la réalité des groupes ethniques, d’autre part, qu’il est utilisé dans l’arsenal judiciaire, français et international, précisément pour combattre le racisme…
Une nouvelle fois, seul le recours au traumatisme shoatique permet de comprendre une telle irrationalité fantasmatique. Comme je l’indiquais dans ma « Question blanche », il faut se référer au texte du « Courrier de l’Unesco » rédigé en 1950, qui au lendemain de la seconde guerre mondiale, proposait d’abandonner le vocable désormais honni au profit du, paraît-il, plus correct « groupe ethnique », celui-ci prenant en compte l’élément culturel cher à Lévi-Strauss.
Le politiquement correct était né. Du traumatisme suprême. Avec de bonnes intentions. Dont, selon Sartre, l’enfer serait pavé. Il faudra nous expliquer, en effet, pourquoi la pourtant très correcte politiquement Organisation des Nations Unies, dans le cadre de la Convention Internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale, a entendu « favoriser la bonne entente entre les races et édifier une communauté internationale affranchie de toutes les formes de ségrégation et de discrimination raciale ».
Il faudra également nous expliquer comment, logiquement, on pourrait à la fois interdire « race » et dire « racisme », réprouver la discrimination raciale, sans éprouver la race discriminée.
C’est pourquoi, aux États-Unis, moins soumis sur ce point aux diktats terminologiques ou conceptuels, la notion de race conserve sans complexe un usage social, dans un but, précisément, antiraciste, dans la meilleure acception du terme.
On retrouve la même absurde dénégation conceptuelle lorsqu’il s’agit d’observer, en matière d’insécurité, les comportements de certains membres de groupes ethniques.
Ainsi, la semaine dernière, lors des violences et délits commis au Trocadéro, la censure ou l’euphémisme étaient de rigueur. Alors que les images montraient l’évidence de ce qu’une très grande partie des émeutiers étaient issus de l’immigration, les commentateurs les plus prudents (Le Monde) préféraient incriminer « des ultras du PSG » en colère contre le Qatar, et les plus téméraires « les banlieues ».
Ainsi donc, Marine Le Pen avait à nouveau un boulevard pour s’adresser à ceux, nombreux, qui ont des yeux. L’opposition républicaine préférant s’en prendre à un Manuel Valls, plus brutal envers les manifestants contre le mariage pour tous qu’envers les casseurs.
Ce qui était vrai, mais court.
Le Monde, dans ses bons jours, peut donner l’explication de cette pusillanimité verbale, lorsqu’il s’agit d’évoquer la délinquance des immigrés. Sous la plume d’un de ses journalistes les plus clairvoyants, Luc Bronner, le journal vespéral publiait le 14 septembre 2010 un article intitulé : « délinquance et immigration : le facteur culturel ». Avec une franchise peu coutumière, il était révélé que, selon le sociologue Hugues Lagrange, il existerait une surreprésentation des jeunes issus d’Afrique Noire dans les affaires de délinquance.
Le journaliste écrivait : « Dans un livre à paraître, « Le déni des cultures », le chercheur du CNRS met en avant le facteur « culturel » -pour ne pas dire ethnique- pour analyser ce phénomène. »
Mais pourquoi ne pas le « dire », puisque, précisément, le facteur ethnique inclut la différence culturelle ? La réponse est apportée avec franchise : « Ces dernières années, les publications sur la question ethnique se sont multipliées dans les plus prestigieuses revues scientifiques ou intellectuelles françaises. Si la France reste très loin des « racial studies » à l’américaine – en raison notamment de l’interdiction presque totale des statistiques ethniques – une partie de la communauté scientifique aborde pourtant frontalement ces questions, notamment depuis le milieu des années 2000, comme le relève le sociologue Éric Fassin dans le dernier numéro de la Revue Française de Science Politique. Le sujet reste néanmoins extrêmement sensible. Il est vivement contesté par une large partie des chercheurs, très critiques sur « l’ethnicisation » de la société française. Derrière cette résistance, une raison simple : « il y a toujours la crainte d’apporter de l’eau au moulin du Front National », relève Sébastien Rocher. ».
Simple ou simpliste ? Raison ou raison ? Science ou idéologie ?
Sur un sujet très voisin, le nouveau livre (« Islam, l’épreuve française »,Plon) d’Elisabeth Schemla, ancienne rédactrice en chef du Nouvel Observateur, montre qu’on ne doit pas désespérer de toute la gauche. Échappant aux clichés sur un islam français qui serait très inégalement partagé entre une poignée de terroristes et les « bons musulmans », la journaliste reconstitue dans son livre le puzzle d’une communauté qui, globalement, se radicalise, tandis que le pouvoir laïque et républicain se voile, ici encore, la face. Extrait de l’interview courageuse accordée cette semaine à Patrice de Meritens (leFig Mag) : « Tant que l’on refusera d’entrer dans le débat, on restera dans un monde virtuel peuplé d’idées fausses, à commencer par celle-ci : feindre de croire qu’il y aurait des « poches » d’islam radical face à une immense majorité de « bons musulmans » tranquilles. Tout le monde concourt à ce mensonge : les politiques nationaux de tout bord, les responsables régionaux, associatifs et bien sûr nombre de responsables musulmans, le tout relayé par les médias. Depuis 30 ans, et particulièrement ces dernières années, avec l’officialisation de l’islam dit de France, par le biais du CFCM, ce sont notamment les jeunes de la communauté musulmane qui se sont radicalisés, phénomène que les politiques, les sociologues et les spécialistes de l’islam refusent obstinément d’admettre. Quand, au regard de tel ou tel événement, ils sont contraints de le reconnaître, ils arguent systématiquement du désarroi identitaire, des ghettos de banlieue et du social. Or, une réelle misère n’explique pas tout. Alors que la France avait oublié Dieu, voilà qu’il nous est retombé sur la tête par le biais d’une religion, désormais la deuxième en France, qui concerne près de 10 % de notre population. Cette réalité religieuse, non seulement nous ne voulons pas la voir en face, mais nous ne sommes plus outillés pour y répondre.… ».
Sur la question Rom, aussi, les fantasmes du passé pèsent sur la rationalité du discours présent. Des habitants exaspérés, des élus désemparés ne savent plus à qui se vouer.Jusqu’aux gardiens du musée du Louvre qui se sont mis en grève pour protester contre les agressions dont ils sont désormais les victimes journalières. La politique inepte des commissaires européens comme la jurisprudence désincarnée de la Cour Européenne qui interdit les placements en garde à vue ou en centre de rétention rendront définitivement les expulsions impossibles si, par malheur, la Bulgarie et la Roumanie entrent dans l’espace Schengen, comme il est prévu en 2014.
En 2010, Sarkozy avait été couvert d’injures et traité de nazi, après son discours de Grenoble dans lequel il évoquait les problèmes posés.
Un prêtre, particulièrement miséricordieux, avait même souhaité qu’il trépasse. Dans l’indifférence générale.
Mardi dernier, Mme Hidalgo, était contrainte de reconnaître qu’il y avait à Paris « un gros problème de délinquance, notamment avec les vols à la tire » en grande partie commis par des Roms. (Le Figaro du 16 mai).
Deux jours plus tard, Guy Bedos, sur France Inter se disait « dégoûté », par la politique (« de droite ») de Manuel Valls à l’égard des Roms.
Il y a quelques années, je croisais souvent Bedos, l’été à l’île de Ré. J’y croisais moins de Roms.
Enfin, et toujours s’agissant de ces questions qui fâchent jusqu’à rendre fou, on sait que dans les jours qui viennent Jean-Marc Ayrault présentera la réforme des allocations familiales. Les allocations commenceront à fondre à partir de 5000 € de revenus par famille.
Le 14 mai, seul Éric Branca de « Valeurs Actuelles » révélait que par la grâce d’un arrêt de la chambre plénière de la Cour de Cassation daté du 7 avril, transposant la jurisprudence européenne, les enfants de nationalité algérienne seront désormais pris en compte dans le calcul des allocations, dès lors où ils auront rejoint l’un de leurs parents en France. Il pourra, bien entendu, s’agir d’enfants de pères polygames. J.P.Brard, ancien maire communiste de Montreuil, rappelait l’impossibilité de loger ces deux jumeaux habitant sa ville qui étaient les heureux parents de 40 enfants.
Question très hypothétique: Si, depuis trois décennies, le discours sur l’immigration n’avait pas été pollué par le traumatisme du génocide et la nazification systématique de tous ceux qui ont tenter d’appliquer les lois républicaines en matière de régulation des flux migratoires.
Si ce discours (« l’immigration, une chance pour la France ») ou sur le métissage préconisé (« la France c’est comme une mobylette, ça marche au mélange ! ») avait été moins extatique.
Si un gigantesque mur des cons, érigé par certains syndicats de magistrats et de journalistes, n’avait pas présenté le français comme un franchouillard raciste, au risque de le faire croire aux immigrés, avec les chocs en retour que l’on imagine. Si un discours de raison et d’humanité, non de passions fantasmées, d’équilibre entre les droits et les devoirs, avait pu être tenu. Si, enfin et surtout, un terrorisme intellectuel vigilant ordonnant le déni du réel n’avait pas interdit tout débat critique mais apaisé : la situation pour les Français -immigrés compris- dans les domaines de l’économie, de la sécurité, et tout simplement de l’harmonie sociale, aurait- elle été pire, ou meilleure ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles William Goldnadel. L’article original peut être consulté sur le Blognadel
qu’est ce que cela changera si le mot ” race ” ne figurera plus dans la législation Française ? c’est d’un ridicule !!
ça n’empêchera pas en France d’y avoir des actes antisémites et des attentats racistes même contre des catholiques ! cela n’empêchera qu’il y aura toujours des noirs des blancs des jaunes et des gris et des petits hommes verts .. nan je rigole !!
J’ai une question pour vous Jacqueline : “sur le coran de la Mecque, j’vais t’niquer ta race !” Peut-on considérer cette “sentence mystique” comme raciste ?
Non Samuel, je ne pense pas que votre sentance mystique soit raciste, elle est juste le reflet de la religion de paix et de tolérance des membres de la secte à Momo le pedo ou alors d’un bonobos a tête plate.
Je pense que vous n’y êtes pas : comme les différents gouvernements et associations ont démontré leur inefficacité dans la lutte contre le racisme, ils ont décidé de supprimer le mot “races” en pensant que cela annulerait les inégalités liées à celles-ci !
Ils auraient tout aussi bien pu se mettre la tête dans le sable, ca aurait le même effet! 🙂
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Pourquoi ne pas interdire aussi le mot “femme” ou le mot “homme” qui sont discriminatoire l’un par rapport à l’autre ?
Au concours du plus taré, diffilie de faire le tri chez les socialopathes
C’est en cours! bientôt un parent1 et hop un parent2!
ils doivent se préparer aux tremblements de terre ….un conseil !
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Dorénavant, sans référence légale au mot “race” historique, ces cons d’activistes de l’antiRACISME seront piégés !
La justice va être placée devant un sérieux dilemme : comment faire lorsqu’il y aura dépôt de plainte “raciste” sans une existence officielle du mot historique, non ?
Les créatifs rouges n’y ont-ils pas pensé avant de commettre leur Nième crime juridique ?
J’y pensais depuis le premier instant que j’ai entendu parler de cette loi sttupide. A mon avis un bon avocat saura neutraliser avec grande facilité une accusation de racisme. L’effet boomerang contre les débiles mentaux qui ont concocté cette loi… 🙄
DC
Donc Il ne faudrait plus dire une race bovine ou charolaise vous serez taxé d’animophobe mais vous pouvez dire un animal issu du génie génétique ça fait classe.
Ses abrutis de la gauche vont réécrire un nouveau dictionnaire, porte sera ouverte à faire disparaître ou à redéfinir des milliers de mots .
Déjà les journaleux bobos l’ont très bien compris par la désinformation et le choix subtil de certains mots qui ne fachent pas les muzz
après avoir lamentablement échoué sans mélange , l’Algérie , par le biais de ses émigrants , voudrait pitoyablement nous faire le coup du mélange ! quelle force doit développer un coup de pied au cul pour renvoyer ces larmoyeurs dans leur pays sans mélange ?
On pourrait aussi supprimer le mot con du dictionnaire ce qui fait qu’il n y en n’aura plus du tout au parti socilaiste mais bon il n’ont pas encore eu l’idée, ça me rassure.
Cette mesure était prévue depuis plusieurs mois mais je ne pensais que qu’on oserait l’appliquer.
M. Goldnadel, vous posez une question très intéressante : irait-on mieux sans le politiquement correct ? Effectivement, on peut se le demander… Tant qu’on n’admet pas les problèmes, on peut eviter d’avoir à s’en occuper, tout en sauvant la face. Si on les admet, tout devient très radical : soit on doit agir, soit on doit assumer son inaction, admettre son impuissance, etc. Pas évident.
“Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté”
Confucius
Voilà pourquoi D. Venner s’est tiré une balle dans la tête : lui qui a été un combattant a estimé que c’était foutu et qu’il fallait faire quelque chose de fort pour “réveiller les consciences” .
Il aurait pu économiser cette balle … et sa vie . Il faudra toucher le fond et nous n’y sommes pas encore .
Et si je veux arroser mes fleurs et mes arbres, comment je fais si il n y a plus de racine. Et dans les cours de maths, on ne pourra plus prononcer
racine2, j ai l impression que ces gauchos sont aussi ignards que ces jeunes musulmans de banlieues qu ils affectionnent tout particulierement et c est pas fini, apres c est le vote des etrangers, puisque nous serons le pays ou il n y aura plus de race.
Il faudrait aussi supprimer le mot chômage, et hop même plus besoin “d’inverser la courbe” puisqu’il n’y en a plus…
Supprimer aussi les mots catholiques, juifs, et musulmans, et hop il n’y a plus de problèmes de religions, on sera dans une république parfaitement laïque… ah mais non, “laïque” n’a donc plus de raisons d’être !
Supprimer aussi “homme” et “femme”, ainsi on supprime les “inégalités”… hein quoi c’est déjà en cours avec le gender…
Aaaaah ! Mais supprimons aussi le mot “problème”, ça réglera tous les nôtres… Les quoi déjà ?
Supprimer aussi le mot “autruche”, pour oublier l’expression qui rappelle à quel point la gauche nous impose des lois et principes qui sont un réel déni de la réalité.
Je peine à croire qu’on puisse être aussi “…” , ah désolé je ne peux plus utiliser ce mot (con) qu’un précédent intervenant a proposer de supprimer.
🙂
Si vous allez là:
http://www.dreuz.info/2013/05/video-en-francais-abdallah-ben-mansour-co-fondateur-de-luoif-les-musulmans-ont-construit-la-france-et-sont-lavenir-de-lhumanite/
Vous pouvez lire:
“vous êtes hauts, vous êtes forts, vous êtes grands, (…….), C’est un gène que vous avez dans votre ADN, personne ne peut l’extraire, personne ne peut l’enlever (…)”
Cette référence au gène et à l’ADN renvoie directement à la notion de race…..
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Au moins à la fin du mandat socialiste, on pourra pas dire qu’ils n’ont rien fait ! Ils ont puni les “demoiselles”, supprimé les “pères”, “mères” (et leurs variantes infantiles), et interdit les “races”. Quelque chose me dit que ce n’est pas finit.
En effet, car ces c..s sont à nouveau en train de remettre sur le devant de la scène le vote des étrangers hors UE.
DC
http://www.youtube.com/embed/yd3V3JC35-U?feature=player_embedded
On pourrait supprimer le mot “gauche” comme ça tout le monde serait de “droite”…
C’est-y pas beau ça ?!…
Si il faut oter les mots politiquement incorrects ça va limiter le dialogue et à force d’enlever des mots on va en arriver au langage des signes ce qui risque de nous amener à des extrémités car la langue française est riche de mots et souvent il y en a plusieurs pour une mème chose mais dans le camp d’en face déjà très réducteur on va vite en venir aux mains pour les plus courageux et aux armes pour tout les autres.
Retirer le mot race et tout ceux qui en découlent est d’une rare stupidité, comme si supprimer les mots supprimait les problème !!! alors il faudrait effacer le mot socialisme en premier, .
Chiche ! La lutte des races n’a pas d’avenir. Rappellons qu’il y’a plusieurs races Européennes. Si on applique une grille de lecture raciale à l’histoire de la nation Française, on peut voir la fin de la domination germanique des Francs, Burgondes, Allamans, Wisigoths, et autre vandales dans la révolution Française. Les celtes : Bourgeois, artisans et paysans opprimés par une race des seigneurs d’origine allemande ( Clovis ), combattent et obtiennent leur liberté en exterminant les représentants de la race Allemande. Donc les représentant de la noblesse en France.
Toutefois, on peut dater l’émergence du racisme en tant que science ( pseudo science ) avec la théorie de Darwin et surtout de l’Eugénisme du britannique Francis Galton, cousin de Charles Darwin.
Ces théories vont être approfondies durant des décennies. Le fondement de la théorie est que nous descendons plus d’Adam et Eve, donc nous ne sommes pas des frères. Ou plutôt des frères ennemis. Une course aux mesures scientifiques démarre en France et en Allemagne et va s’arrêter vers 1882, lorsque les scientifiques Allemands vont prouver, face aux scientifiques Français que la volumétrie crannienne des Allemands est supérieure à celle des Français. L’indice de suprématie étant en plus la forme dolicocéphale du crane. Donc la forme germanique. Il est avéré que la proportion de crânes brachycéphales est trés importante en France ( +50% ?).
On peut aussi constater que la race Allemande est particulièrement normative et narcissique. les adjectifs narcisiques et normatifs conviennent encore de nos jours. Les scientifiques Allemand ont donc produit une échelle de mesure des races qui valorise les spécificités de la race Aryenne.
Corollaire de cette théorie sur les races, celles-ci luttent entre elles jusqu’a l’extinction des races plus faibles ou considérées dégénérés.
Cependant, on constate qu’a Verdun en 1916 et à Stalingrad en 1942 les races dominantes sont Celtiques et Slaves et non germaniques, donc en théorie des sous hommes brachycéphales qui ont brisé la volonté des surhommes dolicocéphales.
Qu’elles conclusions ?
1/ Les sciences racistes mènent toujours à la haine, et au chaos. Et cela même entre les races blanches. C’est un facteur de division.
2/ La science raciste élira la race aryenne comme race prédominante, au détriment des races Celtes et slaves, et autres en Europe.
3/ La race aryenne n’a pas de volonté et n’est pas suffisament combative pour dominer et bénéficier du fabuleux destin que lui prédisait le petit caporal bohémien à moustache. D’où l’immense déception de celui-ci en 1945 lorsque les troupes soviétiques franchissent l’Oder.
4/ La lutte des races n’a aucun intérêt et elle est vouée à l’échec. L’unique lutte nécessaire et actuelle est la lutte contre le relativisme des religions et donc la lutte contre le Coran en particulier.
Encore une réforme super urgente et pas du tout clivante… Quelle bande de fous ces socialistes !
Plutôt quelle bande de trouillards ces socialistes et une drôle de race!
….Donc on ne dira plus des noirs ou des arabes ce qui sous entendrait des races mais “des jeunes qui se regroupent sur des considérations éthniques”, c’est plus long certes! mais politiquement correct mais les individus concernés vont-ils comprendre pareil langage ?? on va encore se faire traiter de bouffons!!
Donc le mot “race” est banni.On ne pourra plus dire “la putain de ta r..e”,on dira “la putain de ton pédigrée”.
“Putain de la gauche ” :))))))
on ne sera plus raciste puisque la race n’existera plus; Ils sont très forts les bolchéviks.
En une seule année, les gauchos ont fait fort .
A mon avis, le seul mot à supprimer définitivement est celui de :
” SOCIALISME ” .
On peut encore rêver un peu ?
Et pourtant, tout en découle.
Comment ” Race et Histoire ” le livre du très à gauche Lévy-Strauss pourra-t- il être traduit ? ” Zéro et Histoire ” ?
“La gauche revisite l’Histoire de la Race” 🙂
“Race sans Histoire…” LOLLLLLL