Un blog québécois (1) fait l’éloge du capitalisme. Parce que le mot capitalisme n’a pas été, là bas, diabolisé comme en France.
L’auteur explique, en évoquant la comparaison entre le socialisme et le capitalisme, « que tout régime politique comparé à une utopie, à un idéal, en sortirait toujours perdant ».
Car personne ne peut désigner un pays où le socialisme a réussi à apporter à sa population liberté, bien-être et enrichissement personnel pour améliorer son confort et les conditions de vie de sa famille.
Caractérisant un système s’appuyant sur la propriété privée des moyens de production, sa définition donne lieu à des variations dans l’espace et dans le temps, et en fonction des sensibilités politiques des personnes qui emploient le terme.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
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s’est dans ce but la que les syndicats existent ils doivent détruirent le plus d’entreprises et d’usines possible pour crée des chomeurs qui sont des fidèles électeurs du PS
un grand merci au syndicat d’avoir détruit le site PSA à aulnay paralyser une entreprise en difficulté s’est la meilleur solution pour la tuée 🙂 merci ils y avaient pas assez de chomeurs dans le 93 le socialisme ne fait que 80% la bas s’est pas assez
C’est exactement ça, pour tuer la créativité et faire taire le génie un idiot démoniaque a inventé le communisme.
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La Chine n’a démarré que lorsqu’elle a commencé à pratiquer le capitalisme, même en catimini.
La Russie idem !
Ce qui n’est pas acceptable c’est le dévoiement dont le meilleur exemple est la bourse-casino qui aboutit à une spéculation effrénée qui, elle, pourrait être alors facilement canalisée si on le veut réellement !…
Ce sont les syndicats « saboteurs » qui veulent maintenir à leur botte la « mass’ populaire » comme le disait si bien Georges Marchais.
Et le socialisme ne dure que jusqu’à ce que se termine l’argent des autres »
Capitalisme/Socialisme, l’un et l’autre sont nocifs
@rene
Non vous n’y connaissez rien.
J’ai vecu (et souffert pour le restant de ma vie
du Socialisme du Front Populaire.
J’ai eu la chance d’arriver aux USA avant (1968),
ce qui m’a permis d’apprecier le capitalisme
et de me rendre compte de la difference et de tout le
bien etre que ce capitalisme a amene dans le monde.
Le capitalisme est malade par la faute des gauchistes
et de leur propagande mensongere, esperons seulement
qu’il n’en mourra pas et que l’univers ne suivra pas
ceux qui n’ont jamais evolue et ceux qui preferent le
pouvoir au bien etre de l’humanite et qui nous veulent
revenir au Moyen-Age,
le capitalisme s’est juste l’argent du fruit de votre travail ou est le mal la dedans ?
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Cela ne doit pas être lointain de votre approche : le rejet tout à la fois du Capitalisme purement spéculateur ET des illusions marxisantes. Nous appelons cela le Capitalisme Constructeur. Un bonjour d’Anvers – Flandre – Belgique. Andre.
CQFD…
et dire !
Il est possible qu’ un modele socialiste puisse fonctionner proprement ds des petits pays, exemple Suede ou la population semble bien vivre……?
Pourquoi le mot Capitalisme est-il diabolisé en France?
Parce que dans ce pays, la Politique consiste à chercher à obtenir des valeurs d’un être humain par l’emploi de la force. Quand c’est pratiqué par un individu, cela s’appelle du vol. Quand c’est pratiqué par le Gouvernement, cela s’appelle Etatisme, Totalitarisme, Collectivisme, Communisme, Socialisme, Nazisme, Fascisme,etc…Depuis des millénaires, les Juifs ont précisé dans la Thora le concept politico-moral qui interdit à un Gouvernement d’initier l’emploi de la force sur un individu: le concept de Droits Naturels (mais non précisé ni dans les Evangiles, ni dans le Coran). Dans toute société où l’individu n’est pas libre d’utiliser ses 4 Droits Naturels pour vivre, il est dans la position d’un esclave. Je ne peux m’empêcher de rappeller ici combien Trotsky, en principe Juif Askénaze, s’éloigne de la Thora et du Talmud: il ne dit pas que « celui qui ne travaille pas, ne mangera pas », mais que « celui qui n’obéit pas, ne mangera pas ». C’est bien lourd de signification!
Le seul rôle justifiable d’un Gouvernement est la protection des Droits Naturels. Dans une Société où ses Droits Naturels sont protégés par des Lois Objectives (comme dans la Thora), l’individu est libre de choisir le travail qu’il désire réaliser, libre d’échanger son effort contre l’effort des autres, d’offrir des idées, produits et services sur le Marché, et de monter aussi haut que ses capacités le lui permettent.
Maintenant, en France, la plupart des gens ne savent pas ce qu’est le Capitalisme, ni comment il fonctionne, ni ce qu’il a réalisé. Les Français prennent comme axiome de base que le Capitalisme est l’exploitation vicieuse des pauvres, qu’il mène à des monopoles, nécessite des dépresions économiques périodiques, entraîne des guerres, s’est opposé à l’augmentation du niveau de vie des travailleurs, et que le niveau de vie obtenu n’est pas son fait mais celui des syndicats et de la législation humanitaire du travail. Bien sûr, rien de tout cela n’est vrai, mais ce sont les platitudes euphorisantes les plus communes de la Culture Française. Les Français ne se sentent pas obligés de questionner de telles platitudes puisqu’ils savent que, par principe moral, le Capitalisme est source de maux: il est basé sur le motif de profit et fait appel à l’intérêt personnel de l’individu, c’est suffisant pour le condamner.
Ensuite, je ne peux pas m’empêcher de rappeller combien Marx, ce Juif renégat, qui en 1870 à Alger ne cachait pas sa haine des Juifs d’Algérie, dont je fait partie, se prenait pour Dieu. Après avoir soutenu dans sa « Question Juive » que les Droits de l’Homme ne sont pas un don de Dieu, ni de la Nature, mais sont conférés par la Société Civile, et que donc les Juifs ne peuvent pas les revendiquer, il considère que le Gouvernement doit contrôler l’économie. Et depuis Marx, les perroquets répètent en choeur que le Gouvernement est un agent d’intérêts économiques, et que tout système politique doit être défini selon les intérêts économiques servis par le Gouvernement. On peut donc penser que la Droite sert les intérêts des hommes d’affaires et que la Gauche sert les intérêts de la « classe ouvrière ». Juif d’Algérie, je ne peux pas me prendre pour Dieu et donc rejette justement ce concept de Gouvernement. Le point fondamental n’est pas quel type de contrôle économique impose un Gouvernement. Le point fondamental est d’avoir ou non une économie contrôlée. Le Capitalisme « Laissez-faire » n’est pas une économie contrôlée par le Gouvernement pour le bénéfice des hommes d’affaires (n’est-ce pas Mr Sarkozy?). Le Capitalisme « Laissez-faire » c’est la complète séparation de l’Etat et de l’économie (n’est-ce pas Mr Keynes?). Il y a certes dans le Talmud énormément de Droit des Affaires, mais où est-il écrit que le Gouvernement devrait contrôler l’économie? Marx et ses descendants sont probablement supérieurs à la Loi Objective et aux Prophètes!
La France n’a pas un système de Gouvernement limité par une vraie Constitution pour pouvoir appliquer les principes du Capitalisme: des échanges libres sur un Marché libre. La France n’est pas un pays où les valeurs doivent être gagnées par le travail productif. C’est un pays où la richesse et la position sont héritées ou acquises par la conquête physique (la Colonisation par exemple), ou la faveur politique. Le vrai prix du travail est la connaissance et la vertu, dont la richesse et le crédit en sont les signes. Et nous voyons tous combien les Politiciens Français ont volé la richesse et le crédit, mais n’ont jamais pu voler la connaissance, ni la vertu. La France est un pays d’imposteurs, et où peut donc aller ce type de pays? Pourrions-nous rêver que les autres Nations ne voient pas combien la France n’est qu’un pays d’imposteurs?
Les Socialistes, de Droite comme de Gauche, ne veulent pas abolir le Capitalisme. Ils veulent en reprendre à leur profit les effets, la prospérité matérielle, tout en cherchant à en éliminer la cause, la Liberté Politique et Economique. N’est-ce pas de l’imposture évidente? Ils dénoncent constamment l’économie de Marché libre. Leurs critiques contre le Capitalisme sont: l’effet « déshumanisant » du système manufacturier sur l’ouvrier, l’aliènation de l’Homme vis à vis de la Nature, le « côté froidement impersonnel » du Marché, la « cruauté » de la Loi de l’offre et la demande, et le côté malfaisant de la poursuite du profit. Les Socialistes ont créé une société où personne n’est responsable de quoi que ce soit. Ce qui fait une France libre de tout changement rapide, tout défi, et toute demande exigeante de la compétition internationale. Une société où personne ne fait face à la nécessité de faire des choix et prendre des décisions qui affectent de manière capitale sa vie et son futur.
Les veaux Français regardent le « Droit » du Gouvernement à initier l’emploi de la force contre ses citoyens comme un absolu à ne pas discuter, ni défier. Ils prétendent que le Gouvernement emploie toujours la force pour une « bonne cause ». Or, justement, le Capitalisme interdit l’emploi de la force à des fins sociales. Nous avons vu comment les Socialistes ont employé la force pour imposer l’Europe, l’Islamisation, le mariage pour tous, etc..! Les Gouvernements Français ont décrété que la Liberté est un luxe et que rien de moins que le travail d’esclave ne fera fonctionner des entreprises géantes. Qu’ils proposent de reprendre carrément l’économie à leur compte, ou de maintenir un semblant de propriété privée tout en dictant salaires, production, distribution, etc.. c’est le fusil, la règle de force physique, que considèrent gentil ceux qui jugent « cruel » le Marché libre. En niant aux êtres humains la Liberté de pensée et d’action, les Socialistes sont contre l’estime de soi. Aussi, les hommes qui se respectent et ont confiance en eux n’accepteront pas d’exister pour les autres et émigrent.
Dreuz n’est pas le lieu pour un traîté d’économie politique, mais je simplifie au maximum pour montrer l’importance des Libertés politiques pour le Libéralisme économique. Sans l’absolutisme des Droits Naturels, il n’y a pas de Liberté économique en France, qui n’est ainsi qu’un pays d’esclavage au profit de quelques requins.
Je crois utile de citer un exemple personnel. En couvrant, durant au moins 24 ans, les comptes en Suisse accumulés par les Médicaillons sur le dos de la Sécurité Sociale, puis en me privant, par la force, de 10m3 de dossiers de travail pour essayer de m’empêcher de dénoncer les abus techniques et financiers de la Médicaillerie, les Magistrats corrompus portent manifestement atteinte à la Société Civile. Le Peuple ne rémunère pas des Magistrats corrompus qui, en son nom, servent des intérêts privés, probablement contre backshich. Seul un régime garantissant l’absolutisme des Droits Naturels, avec des Magistrats dont la Moralité est indiscutable, pourra assurer le vrai Capitalisme et ainsi le développement de la société. Mais il faut d’abord épurer l’appareil d’Etat de tous les Magistrats, Politiciens et fonctionnaires corrompus. Je poste ceci sous forme de commentaire mais cela pourraît aussi être proposé au débat sous forme d’article.
A méditer, super intéressant, merci monsieur Cohen
Le socialisme est la fille du communisme, l’Etat dans toute son horreur
L’esprit d’entreprise est la pierre angulaire qui crée la nation.
Je suis d’accord avec le postulat de départ, mais absolument pas avec les arguments développés, qui consistent à démonter que la France est un pays anti-capitaliste et qui relèvent pratiquement tous de la caricature la plus grossière.
« Les Socialistes, de Droite comme de Gauche, ne veulent pas abolir le Capitalisme » Remarque pour le moins étonnante: par exemple, il est bien connu que les gouvernements dits de gauche privatisent beaucoup plus que les gouvernement de droite. Le débat capitalisme/anticapitalisme ne relève pas absolument pas d’une doxa politique, sinon, la Chine ne serait pas la 2ème économie mondiale.
« Les veaux Français regardent le « Droit » du Gouvernement à initier l’emploi de la force contre ses citoyens comme un absolu à ne pas discuter, ni défier »: là, vous confondez la France avec la Chine.
« La France n’a pas un système de Gouvernement limité par une vraie Constitution pour pouvoir appliquer les principes du Capitalisme: des échanges libres sur un Marché libre ». Milton Friedman est des Chicago Boys ont vu leur thèses s’appliquer dans le sang de la dictature chilienne. La Chine, dictature communiste, est la 2ème économie mondiale. Etes-vous en train de nous expliquer qu’une bonne vieille dictature remettrait la France d’aplomb???
« Les Gouvernements Français ont décrété que la Liberté est un luxe et que rien de moins que le travail d’esclave ne fera fonctionner des entreprises géantes » Il est bien connu que c’est le côte philanthropique d’Apple qui conduit cette entreprise à s’implanter en Chine.
« Dreuz n’est pas le lieu pour un traîté d’économie politique, mais je simplifie au maximum pour montrer l’importance des Libertés politiques pour le Libéralisme économique » Merci pour cet effort, nous autres plébéiens vous en remercions.
« La France est un pays d’imposteurs, et où peut donc aller ce type de pays? » Je constate que vous n’aimez pas la France: bah, la 5ème puissance puissance industrielle mondiale se passera de vous. Sans le moindre problème.
Salutations d’un imposteur.
« Etes-vous en train de nous expliquer qu’une bonne vieille dictature remettrait la France d’aplomb??? »
La France est déjà une dictature, quoique jeunette et toute récente. Mais elle apprend vite, voyez les crachouillis menaçants de son minustre de l’intérieur. Ça fera une belle dictature si les petits cochons ne la mangent pas.
Le Capitalisme est un instrument qui s’appuie sur la Démocratie. La Démocratie est un instrument politique qui s’appuie sur la LIBERTÉ individuelle et collective. La LIBERTÉ est un instrument qui s’appuie sur le LIBRE ARBITRE. Le Libre Arbitre est un don Divin donné par D. à tout être Humain.
Depuis la nuit des temps, l’Histoire de l’Humanité reflète le combat entre la LIBERTÉ et l’ESCLAVAGE, soit, Domination de l’homme par l’homme, toujours pour motifs, racial, politique ou religieux,
Quelques que soient les déficiences, erreurs et anomalies de sociétés capitaliste/démocratiques, elles n’en restent pas moins des sociétés ou l’homme détient le plus inhérent et VITAL des ses Droits: La LIBERTÉ.
Sans LIBERTÉ, l’homme n’est guère plus qu’un animal enchaîné.
J’aime bien votre interprétation Mr. Dreuz.
La Gauche tordue ne veut pas reconnaître et ne reconnaîtra jamais malgré l’évidence , que le capitalisme est plus à même que le communisme, de produire le bien commun d’une société . Parce que la Gauche ne veut pas le bien commun qui libere les gens, justement parce qu’il les libere.
Son Bien à elle est celui qui lui assure le pouvoir sur les populations.
@Loco
Parfaitement d’accord avec vous. Les collectivistes cherchent le pouvoir sur les populations. Cela me fait penser aux écrits du pape Américain du Management, Peter Druker, qui dans les années 1970 affirmait que les Russes n’avaient pas voulu que la Tchécoslovaquie se libéralise et y ont envoyé les Chars en Août 1968 sinon ils perdaient leur pouvoir sur ce pays.
Il faut sans cesse le marteler :
1 – le socialisme ne peut fonctionner QUE dans un pays riche.
2 – le socialisme ne peut fonctionner QUE le temps qu’il met à l’appauvrir.
Et pour finir :
Qui fut le 1er socialiste ? Réponse : Christophe Colomb.
1 – quand il est parti, il ne savait pas où il allait.
2 – quand il est arrivé, il ne savait pas où il était.
3 – quand il est revenu, il ne savait pas où il était allé.
Et le tout avec l’argent des autres !
@PPDC
D’accord avec vous: le Socialisme ne peut fonctionner que dans un pays riche et que le temps qu’il met à l’appauvrir. Il profite de la prospérité matérielle créée par le Capitalisme qui l’a précédé, mais comme il en supprime la cause, la Liberté politique et économique, cela ne dure qu’un temps.
Le socialisme qui réussit, c’est comme un homme qui vole : c’est vrai sur un temps très court.
Les caisses étant vides ça va ètre difficile d’aller beaucoup plus loin surtout qu’ils rajoutent des gens à notre charges régulièrement, pourtant on avait l’exemple de la ruine des pays socialistes après la chute du mur et leurs difficultés à remonter leurs pays et nous on saute à pieds joints dans ce piège avec en plus l’invasion verte !!! si on inverse pas la tendance économique on aura bien du mal à se dégager, pas de meneur courageux, pas de bon économiste et ce malgré les bons exemples de pays qui progressent en sortant du collectivisme et du syndicalisme peu représentatif du salariat, casseur et destructeur de l’outil de travail plutot que de céder à la raison par « jusqu’au boutisme » prenant ainsi part sans en avoir l’air à la délocalisation et en plus quand les droits acquis deviennent des privilèges indécents dans des périodes de crises,alors que le capitalisme bien qu’imparfait permet plus de profiter du fruit de son travail et donc de consommer contrairement au socialisme qui permet à une frange conséquente de la population de vivre au frais de l’autre partie de la population contrainte de se limiter et de ne plus dépenser.
@marmotte enragée
Que trouvez-vous d’imparfait au véritable Capitalisme, l’ « idéal méconnu »?
donc si je vous suis bien le capitalisme c est un medicament pas tres bon au gout mais bon pour la sante humaine.
Le constat est ambigü.
D’un côté nous avons un système qui crée de la richesse sur la pauvreté.
– L’industrie délocalise dans des pays du Sud et fait travailler des pauvres dans des conditions déplorables.
– Ce faisant, le chômage, donc la pauvreté s’accroit dans les pays du Nord.
– Le pouvoir d’achat du Nord baissant, il faut produire moins cher pour vendre encore et plus.
– A nouveau délocalisations etc…. Le cercle est bouclé.
De l’autre côté, ce système a permis d’immenses innovations technologiques, apporté plus de bien être (médical, eau courante, électricité pour tous, internet…) à toutes les populations.
Paradoxal. Pour donner juste mon avis qui n’engage que moi, la seule solution serait une utopie et un paradoxe. Un système libéral incluant un système de répartition ou de partage des richesses…
Suis-je bête. C’est le système qu’avait choisi la France : capitalisme plus protection sociale. Système si bien géré qu’il est aujourd’hui en faillite.
Il n’y a donc aucune solution.
@piotr
« le Capitalisme dans les pays du Sud fait travailler des pauvres dans des conditions déplorables ».
Discours marxiste bien usé! Comme la France n’est pas un pays capitaliste mais un pays collectiviste, avec toute l’oppression politique et la corruption qui en résulte, les Français ont une ignorance crasse de ce qu’est le Capitalisme. Aussi, ils répètent comme des perroquets les distorsions, falsifications et slogans non digérés de la propagande des collectivistes avides de pouvoir sur autrui. Pauvres veaux tombés dans le piège à cons des collectivistes!
J’ai écrit plus haut que la Liberté politique avec absolutisme des Droits Naturels est une condition nécessaire au Capitalisme. Le problème est que dans la majorité des pays du Sud, en Chine, et dans un grand nombre de pays Occidentaux, les gens sont dans une position d’esclaves, à la merci totale de leurs gouvernants. Fondamentalement, personne n’oblige les Chinois à travailler dans des conditions déplorables et ce n’est pas le Capitalisme qui est responsable de cette situation. Qu’il y ait dans le Monde des pratiques coloniales et de l’impérialisme tel la France-Afrique, oui! Mais ce n’est pas du vrai Capitalisme. Le Capitalisme libère une énergie productive qui auparavant n’avait aucun exutoire. Il rend possible la vie pour des millions de personnes qui auparavant n’avaient aucune chance de survie dans une économie pré-capitaliste. Les pays émergents qui veulent se développer par le Capitalisme doivent, d’abord et avant tout, se libéraliser politiquement, ce qui, compte tenu de leurs taux élevés de corruption, est loin d’être gagné.
La France n’a pas « choisi »: Capitalisme plus protection sociale. Quand en 1962, venant d’Algérie, je suis entré en France, 1/4 de l’électorat était communiste. A l’Assemblée Nationale de 1967, la Droite n’avait qu’une voix de majorité sur la Gauche. Les Gaullistes aussi étaient des Etatistes. A l’époque, 80% des Français étaient probablement collectivistes. Mais les 20% restants n’étaient pas de réels entrepreneurs potentiels, au sens de la Loi de Paréto. On parle d’économie mixte mais la France est indiscutablement un pays collectiviste. C’était, déjà en 1962, un super piège à cons pour, par exemple, les Juifs qui arrivaient d’une Algérie hyperexploitée par 130 ans de Colonisation et maintenue dans la non-industrialisation et le sous-développement. C’est toujours en 2013 un piège à con ultracollectiviste au point que les gens émigrent.
Asher Cohen : comment pouvez-vous dire ça : « une Algérie hyperexploitée par 130 ans de Colonisation et maintenue dans la non-industrialisation et le sous-développement » ?
Y êtes vous retourné, pour voir le résultat de 50 ans de décolonisation, d’industrialisation et de développement ?
@YL
Je ne sais pas à quel moment vos ancêtres se sont installés en Algérie? En tant que Juif, j’y ai des ancêtres présents bien avant 1830.
D’abord la structure politique de l’Algérie n’est pas vraiment démocratique. De 1830 à 1870 c’est un régime militaire dépendant du Ministère de la Guerre. De 1870 à 1956, c’est un gouvernement civil mais qui relève du Ministère de l’Intérieur, ce qui est lourd de significations. Et ce n’est qu’à partir de 1956, pour justifier le mythe de départements Français, que le Gouverneur de l’Algérie relève directement du Président du Conseil à Paris. On parle même de délégué général du Gouvernement en Algérie. Ainsi, dès 1830, l’Algérie a un Gouvernement de conquérants, fondé sur le pouvoir, et qui ne peut durer que tant que dure le pouvoir de le soutenir. Donc un Gouvernement d’usurpateurs n’ayant pas la moindre légitimité. Jusqu’en 1962, ce Gouvernement n’a pas du tout les mêmes intérêts en jeu que la population Algérienne (Française, Juive, Arabe, etc…), et donc il n’agit pas de la même manière dont agirait le corps entier de cette population. Ce Gouvernement aux intérêts complètements séparés est parfaitement indépendant de la population et ne contribue en rien du tout à la Liberté des Algériens. Comment les Algériens peuvent-ils faire confiance en un Gouvernement qu’ils n’ont aucun pouvoir de contrôler? Ainsi, de 1830 à 1962, l’Algérie est totalement gouvernée par la force et la fraude.
La France va donc interdire toute industrialisation de l’Algérie, pour maintenir la Colonie dépendante de la Métropole. Ainsi, en 1960, l’Algérie permet de faire vivre 450.000 emplois industriels en France. Rien ne dit que si l’Algérie n’est pas envahie par les Français, elle ne s’industrialise pas entre 1830 et 1962.
J’ai quitté l’Algérie en Juillet 1962, et n’y suis jamais retourné. Je n’ai pas de jugement à porter sur la situation d’industrialisation et de développement réalisé depuis. Mais ce qui est certain c’est que de 1830 à 1962, la France a imposé la non-industrialisation et le sous développement à l’Algérie.
@ Asher Cohen J’aime bien votre analyse. Je suis arrivé en France en 1966 du Maroc pour mon service militaire et par la suite pour une dizaine d’années dans une région dominée par le socialisme ( Limoges 100 ans de socialisme ). J’ai connu plus précisément des juifs qui n’étaient pas séfarades. J’ai connu à l’époque des familles paysannes qui vivaient dans des conditions identiques aux pires mechtas d’Afrique du Nord et comble d’incompréhension des communistes donnaient du Monsieur le marquis avec déférence. La démocratie était tellement ignorée que je n’ai jamais entendu ce mot pendant dix ans et il n’y avait que les communistes pour parler de capitalisme. À l’époque je disais que les Français de France vivaient en dictature douce, aujourd’hui je ne peux respecter le socialisme et je découvre « horrifié » que la chute de l’URSS a favorisé la véritable émergence de la gauche la plus dangereuse et la plus riche, aux USA et au Canada dont le Québec où je vis depuis plus de 30 ans. J’ai donc quitté mes origines limousines pour retrouver ce même cancer dans cette belle province d’Amérique, mais heureusement il y a ici de vrais capitalistes démocrates qui veillent 😉
Que la France (la métropole) n’ait pas bien (ou même rien) compris à ce qu’il y avait à faire en Algérie, tant pour la coloniser et la développer, qu’ensuite d’ailleurs, pour la décoloniser, nous pouvons nous mettre d’accord là-dessus. Il n’en reste pas moins que le pays, déjà le premier d’Afrique (ou le deuxième, après l’Afrique du Sud), était en plein essor quand la guerre lui est tombée dessus. Il ne demandait qu’on lui donne un peu de temps.
Vous savez ce qui se dit aujourd’hui, en Algérie ? Nous aurions dû faire comme l’Afrique du Sud, qui n’a pas expulsé les blancs…
@YL
En 1954, l’Algérie était certainement en plein essor mais n’avait toujours pas été industrialisée depuis plus d’un siècle. La population Arabe vivait souvent dans une quasi clochardisation. Depuis 1962, la France refuse de lui fournir du savoir faire et de la matière grise pour l’aider à s’industrialiser. Ainsi, il y aurait des millions de chômeurs, de la misère, et donc une poussée à l’émigration, souvent vers la France alors que les Français ne tôlèrent pas ces populations. Avant 1962, les blancs détenaient le savoir faire et la matière grise en Algérie. En 1962, la France, refusant de faciliter le développement de ce pays, en a enlevé, par la force, tout ce qui était Français (Chrétiens et Juifs). Ben Bella avait dit: « nous avions demandé une goutte d’eau, on nous a donné l’Océan ». Il y a toujours eu une volonté politique Française d’exploiter ce pays et jamais de chercher à le développer.
L’Algérie sahélienne était, et reste, un pays fondamentalement agricole. Cette agriculture a été développée par les « blancs » (quelle expression sympathique), elle est bien tombée aujourd’hui : d’exportatrice, elle est devenue largement déficitaire. Vous n’avez pas connu les fameux « souks el fellah », et leurs étals vides.
Quand à la volonté selon vous de la France métropolitaine de ne pas développer l’Algérie, elle avait déjà tant à faire chez elle, où il y avait aussi beaucoup de pauvres, limite « clochards », en ville et à la campagne (nous sommes il y a 60 ans et plus). Les ouvriers agricoles algériens gagnaient plus que leurs homologues métropolitains.
Cependant, les barrages, les ports, les aéroports, les routes, les chemins de fer, les hôpitaux, les dispensaires, les écoles etc. etc. que nous avons créées en Algérie sont là pour démentir le néant que vous annoncez.
Tout cela était source d’emplois, mais la démographie galopante entravait un développement harmonieux, et cela continue aujourd’hui : le trop plein continue à se déverser sur l’ex-métropole ; nos amis lecteurs de Dreuz ne sont certainement pas les derniers à avoir à s’en plaindre.
Pour ce qui est de l’industrialisation (qui n’est pas une fin en soi), ce sont les hydrocarbures, de découverte très récente et française, qui allaient l’amener. Je ne crois pas que la France (métropolitaine) ait fait un bon calcul en abandonnant le Sahara au FLN en 1962, et qu’elle ait bien montré là son acharnement à exploiter ce pays comme vous dites. De plus, le « plan de Constantine » a été honoré, malgré et bien au-delà de l’indépendance de l’Algérie… Cadeaux royaux, d’un pays « exploiteur » à un pays « exploité ».
Enfin Ben Bella, qui avait eu « l’océan », a voulu encore plus, en nationalisant les terres agricoles. Il s’y est noyé.
@YL
La France n’avait aucune légitimité en Algérie et de même, les Arabes n’ont aucne légitimité en France.
Tocqueville recomandait la reprise de la Colonisation pour éviter la révolution et la guerre civile en France. L’Algérie servait de dépotoir de la France. On y envoyait tous les bagnards, délinquants, psychosociopathes, et tous les opposants politiques, après la révolution de 1848, la répression de la Commune de Paris, etc.Il faut lire les débats à la Chambre des Députés dans les années 1840 et comprendre ce qui mène à la Colonisation. Toutes les infrastructures crées en Algérie, routes, hôpitaux, écoles, etc.. étaient destinées, avant tout, aux Français. Rien n’était réalisé pour les populations Arabes, qui de toutes manières, refusaient catégoriquement les Français ( révolte de 200.000 Kabyles en 1871, refus de la Nationalité Française sauf les béni-oui-oui, donc non mobilisation en 1914-18, mouvements nationalistes et antiFrançais dans les années 1920, collaboration avec les Allemands en 1939-45, puis avec le Viet Minh en 1945-54, etc..). .
La France a, de 1830 à 1962, bloqué toute industrialisation de ce pays. Le Plan de Constanine n’arrive quaprès 1958 et c’est du pipeau. Je vous défie de produire le moindre plan de développement de l’Algérie, pensé à Paris entre 1830 et 1962. Tout était pensé pour exploiter la Colonie mais jamais pour la développer. D’ailleurs quand Raoul Salan décrète, par sa circulaire de février 1962, la politique de la terre brûlée, il demande de détruire tous les édifices publics et ne rien laisser aux Arabes. C’est bien l’état d’esprit des Français de 1830 à 1962. De plus De Gaulle a fait retirer tous ce qui était Français en Algérie et qui en représentait l’encadrement. Quand les militaires Français évacuaient une base, ils coulaient du béton dans les lavabos et toilettes, pour ne rien laisser aux Arabes. Maintenant De Gaulle leur a fait le cadeau royal du Sahara, cadeau que ni Salan, ni Jouhaud, n’auraient fait. Sans la manne pétrolière, ils ne seraient rien du tout actuellement.
La guerre des années 1954-62 n’était pas menées pour garder l’Algérie Française, mais pour essayer de régler des problèmes de politique intérieure de la Métropole.
Maintenant, depuis 1962, la France n’est pas responsable de leurs problèmes et ils n’ont pas à venir en France faire ch… les Français. Chacun chez soi et les vaches seront bien gardées!
Asher, « La France n’avait aucune légitimité en Algérie » : quelle est la légitimité des Arabes, en Numidie ? La légitimité de la France était celle des captifs européens razziés et rançonnés par les pirates barbaresques. Et celle de 130 ans de travail, de souffrances et de cimetières (ceux que l’algérie veut détruire et que la france laisse détruire pour effacer toute trace de cette légitimité, honte à elle).
En matière de « bagnards, délinquants, psychosociopathes », des gens très divers venaient, non seulement de France, mais aussi d’Europe (Espagne, Italie, Malte…), chassés par les évènements (Alsaciens-Lorrains, Badois après 1870…) ou appelés par l’espoir d’une vie meilleure : l’Europe se débarrassait, non de sa « lie » (l’Algérie n’était pas l’Australie), mais de ses chômeurs et laissés pour compte. Et cette « lie » a tout de même construit un pays neuf, comme d’autres « lies » l’ont fait en Amérique.
« Toutes les infrastructures crées en Algérie, routes, hôpitaux, écoles, etc.. étaient destinées, avant tout, aux Français » : est-ce qu’on reproche aux Américains d’avoir fait le chemin de fer (et le reste) à leur usage personnel, et pas pour les Indiens ? Les hôpitaux et dispensaires d’Algérie étaient pris d’assaut par les « Arabes », comme ils le sont ici-même par les « maghrébins » et autres « beurs ». Voyez ce qu’ils sont devenus aujourd’hui, les hôpitaux d’algérie : http://www.youtube.com/watch?v=AgBkqTO9v08, ou http://www.youtube.com/watch?v=G7CF-U7Psq4
« La France a, de 1830 à 1962, bloqué toute industrialisation de ce pays » : le pays n’était pas industrialisable en l’état, c’est-à-dire avant la découverte des hydrocarbures. Les ressources minières y étaient trop réduites. L’« industrialisation lourde » par les nouveaux maîtres soviétisants d’après 1962 n’a absolument rien donné. Évidemment.
« La politique de la terre brûlée » n’a pas été décrétée pour empêcher l’Algérie de se développer, mais pour la remettre dans l’état où les européens l’avaient trouvée en 1830 (après tout, si on rejetait la colonisation, il fallait aussi en rejeter les effets, pour rester cohérent). L’histoire du « béton dans les lavabos et les toilettes » est aussi grossie et surfaite que celle de l’eau que les « colons » faisaient payer aux soldats du contingent ! J’ai vu les chiottes de la nouvelle université d’Alger (œuvre du rouge Oscar Niemeyer, qui fit une jaunisse quand il constata comment elle était exécutée) : bouchées, et bien bouchées et pas par du béton français, en 1989.
L’« état d’esprit des français de 1830 à 1962 » n’était pas de vivre dans un foutoir en Algérie, mais dans un pays civilisé et développé aux standards internationaux de l’époque (et souvent très en avance sur la métropole : sanitaires et tout à l’égout, par exemple) et en paix. Pax gallica peut-être, mais pax tout de même, et qui, pour le « vivre ensemble » et le « métissage », valait bien le dar el shul ou le dar el islam. Il est vrai que je parle là des français d’Algérie. L’esprit des français « de France » pouvait être différent. Il l’était, de fait.
Ces précisions apportées, pour le reste, nous sommes bien d’accord.
Bien à Vous, YL
la solution c’es tchacun chez soi et produire ici ce qui se vend ici.au prix réel. fermez les bourses à la con qui jouent avec de l’argent virtuel (et encore plus depuis la carte bleue, gratuite de venue payante, on l’a encore eu dans le baba aussi…) spéculer sur du jus d’orange alors que pas un kilo n’a encore été récolté relève de la plus pure connerie humaine un jeu de débilos engendré par la crème de nos zélites de la finance sortis des grandes écoles, surtout grandes en enseignement de la connerie et de théories foireuses. quand je serai roi de france je remettrai tout le système à plat comme il faut faites moi confiance.
« Un système libéral incluant un système de répartition ou de partage des richesses »
Eh bien, commençons sans plus tarder. Partageons les richesses pétrolières des GPL (gros pleins de loukoums). Ah? j’entends une mouche voler…
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Il faut arrêter d’intervenir dans l’économie : pour faire du clientélisme, on a commencé à aider cette entreprise, puis celle-ci à survivre, puis on niveau national à aider les emplois, alléger les charges des entreprises…
Trop d’interventions
La seule valable est celle recommandée par le front national, au lieu d’aider l’entreprise dans ses charges, aider le salarié et lui restituer 200Euros chaque mois de ses charges salariales, pour dynamiser l’économie.
Les entreprises qui sous-exploitent les ouvriers des pays émergents, réussisent à sortir 400 000Chinois de la pauvreté chaque année (2 grandes ville Françaises) – passant d’un salaire de 70Euros à un salaire de 300euros. En peu de temps, de la bicyclette à la moto, puis de la moto au scooter électrique (pour moins de pollution sonore et ambiente) ; faisant la fortune de VW(95% des taxis en Chine) et BMW la majorité des voitures et 4X4. le reste étant partagé entre Buick, Toyota, Mercedes, Honda, Nissan…
Puis ils vont se disputer pour entrer chez Mac do ou pour acheter un sac Louis Vuiton (ils ne supportent pas les imitations).
Avec un nombre de jours fériés à faire palir n’importe quel syndicaliste Français – Nouvel an, fête national, 1 mai, Fête du poète acumulent 2 mois de jours fériés… On est loin des mensonges proférés sur le Chinois qui ne part jamais en vacances.
Bonjour à tous.
Je n’ai aucune pédagogie afin d’enseigner les bienfaits du capitalisme aux anticapitalistes convaincus.
Qui aurait une idée?