« Ne serait-il pas plus simple pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d’en élire un autre ? » — Bertolt Brecht
La plaisanterie fameuse de Brecht est devenue pour nous une réalité. « Le changement c’est maintenant », promettait François Hollande : le changement de peuple, oui, c’est maintenant, et aussi le changement de civilisation qu’il implique nécessairement. Les socialistes ont suivi les conseils de Terra Nova et escompté du nouveau peuple et de ses voix, naïvement, la garantie d’être au pouvoir à jamais. Mais de cette substitution démographique les gouvernements de droite sont tous aussi responsables que la gauche, de même que le patronat et les intérêts mondialistes, qui ont besoin pour leurs affaires de l’“homme remplaçable”, désoriginé, déculturé, désaffilié, échangeable et délocalisable à merci.
« Le Grand Remplacement » était un recueil de conférences. L’auteur reprend ici les mêmes thèmes, les unifie, les réorchestre et les enrichit, en un essai d’une seule venue.
En avant première pour les lecteurs de Dreuz, Renaud Camus nous fait partager un extrait de son nouveau livre, Le Changement de peuple* :
Le recours à l’explication socio-économique de tout, et en l’occurrence de la nocence consubstantielle au changement de peuple — pour ne pas dire au nouveau peuple, au peuple remplaçant, à des éléments surreprésentés en son sein —, a l’immense avantage de dispenser d’un jugement moral qui ne pourrait être que défavorable et qui bien entendu, en régime d’antiracisme dogmatique, ne doit pas l’être, ne peut pas l’être, puisqu’il encourrait, s’il l’était, le reproche sans recours de racisme. Le parti de l’In-nocence et moi avions accoutumé de considérer que l’antiracisme, qui est au fond la seule doctrine officielle absolue de notre République et des sociétés occidentales en général, et le seul résidu, l’insécable ultime, de notre système de transmission (ce qui doit être transmis et enseigné coûte que coûte, quand bien même plus rien d’autre ne le serait), était incritiquable en tant que morale mais éminemment critiquable en tant que dogme, en tant que structure de pouvoir et, accessoirement, de formidable instrument de carrière, pour les individus, à commencer par les travailleurs de l’esprit, qui ne peuvent guère espérer faire leur chemin sans lui payer tribut selon les rites, ce qu’on leur voit faire piteusement en toute occasion, comme aux acteurs. Mais nous étions pris dans une contradiction insurmontable puisque, tout en reconnaissant pleinement sa validité en tant que morale, en tant que règle pour le comportement des personnes, des groupes et des États, nous étions obligés de constater qu’il n’était pas une bonne morale, et a fortiori qu’il ne saurait être la morale même, et cela pour deux ordres principaux de raisons.
Le premier est qu’en permanence, constitutionnellem
Le faussel, voile du mensonge, est percé, troué, déchiré, tous les jours un peu davantage par le crime, par la violence, par la guerre ethnique en Suède, par la guerre ethnique en France, par l’assassinat d’un soldat à Woolwich, par l’agression meurtrière contre un soldat à La Défense, par l’engagement de plus en plus fréquent de supposés “Français” dans le terrorisme anti-Français et anti-occidental, par le suicide d’un historien au pied de l’autel majeur de Notre-Dame3.
Tout à coup la réalité pousse son cri, et elle déchire un peu le voile. Et même la télévision, la radio et les journaux, sont parfois obligés de ne plus faire semblant de ne pas l’entendre.
Mais le faussel résiste, il continue d’imposer sa fiction malgré les déchirures et les trous vite colmatés que lui inflige, dans sa brutalité croissante, le réel sous-jacent.
Cette fiction, ce mensonge central qui commande tous les autres, c’est qu’en changeant de peuple on peut avoir encore la même histoire, la même culture, la même civilisation, le même pays, la même nation éternelle, la même France, la même Europe, la même identité — qu’en changeant la lame, puis le manche, on peut avoir encore le même couteau.
Le second ordre de raisons qui font que l’antiracisme n’est pas une morale, et moins encore une bonne morale, c’est qu’il produit en permanence du malheur (ce qu’il est obligé de dissimuler en étouffant incessamment de la vérité, retour aux paragraphes précédents). Les sociétés bâties sous son égide, multiculturelles et pluriethniques, sont infiniment plus violentes, brutales, dysharmoniques, que celles qui n’ont pas connu sa férule sévère (d’autant plus sévère qu’elle s’efforce de faire tenir ensemble ce qui ne peut tenir ni debout, ni ensemble). Bien entendu le dogme, largement inspiré en cela par la sociologie et son instrument de prédilection la statistique, à laquelle il semble bien que l’on puisse faire dire à peu près ce que l’on veut selon l’objectif poursuivi, passe son temps à nier cette évidence — la nocence spécifique au remplacisme —, par exemple en mettant en cause les visions trop favorables du passé, qui seraient le fruit d’une illusion. Mais l’un des avantages qu’il y a à vieillir, c’est que les comparaisons auxquelles on peut se livrer personnellement permettent de remettre en cause, grâce à la seule mémoire, les allégations dénégationnistes des discours antiracistes sociologico-socialisants : je veux dire qui, au nom de la sociologie, ramènent tout au registre économique et social. Non, la société française et les sociétés européennes antérieures à la contre-colonisation n’étaient pas aussi violentes, non la méfiance entre les citoyens n’y était pas aussi répandue, l’ignorance n’y faisait pas à ce point autorité, le paysage n’y était pas aussi détérioré. Il ne s’agit pas de rendre l’immigration de masse responsable de tous les maux mais de se soumettre à cette évidence qu’elle les a considérablement aggravés : beaucoup des plus sérieux n’ont de réalité, même, que de son fait.
Ainsi on nous parle tous les jours du problème du logement.
Mais à la vérité il n’y a aucun problème du logement — même s’il est bien vrai, hélas, que des centaines de milliers et même des millions de nos compatriotes et non-compatriotes sont à la rue ou affreusement mal logés, et que tout le monde doit se serrer et se serrer toujours davantage, et pas seulement la ceinture.
Ce qu’il y a c’est un problème d’immigration de masse, et quand on dit qu’il faut bâtir et bâtir et bâtir encore on se garde bien de préciser que c’est pour loger les rangs serrés de continuels nouveaux arrivants et leur abondante progéniture, et accessoirement, c’est vrai, les malheureux représentants de l’ancien peuple que cette pression incessante prive d’un toit, et d’autant plus que le moins qu’on puisse dire est qu’ils ne bénéficient, ceux-là, d’aucune priorité.
On nous parle tous les jours du problème des prisons, et de la surpopulation carcérale, et de l’état déplorable de nos centrales et maisons d’arrêt.
Mais à la vérité il n’y a aucun problème des prisons — même si surpopulation et état déplorable des lieux sont, hélas, pleinement avérés.
Ce qu’il y a c’est un problème d’immigration de masse, et quand on dit que les prisons débordent il faudrait préciser que le changement de peuple est encore plus avancé, entre leurs murs, que le long de nos rues : c’est de sensibles des quartiers sensibles qu’elles sont pleines et qu’elles regorgent ; ils y sont déjà le fond de la population, et sur ce fond les indigènes, en voie d’extinction, font figure de pâle minorité visible.
On nous parle tous les jours du problème de l’insécurité, du racket, des ridiculement nommées incivilités, de la nouvelle hyper-violence, de la délinquance petite et grande, de ce que nous, les in-nocents nous appelons la nocence, afin de regrouper sous un seul vocable cet empêchement de vivre en paix (et parfois de vivre tout court) et les nuisances justement dénoncées par les écologistes.
Mais à la vérité il n’y a aucun problème d’insécurité et de violence — même si la violence, la brutalité et l’agressivité sont partout et si la vie devient un cauchemar pour un nombre sans cesse croissant de nos compatriotes.
Ce qu’il y a c’est un problème d’immigration de masse, de changement de peuple et de changement de civilisation, de coexistence tendue entre l’ancienne et la nouvelle, de lutte pour le territoire, et de conquête.
Bien loin de moi au demeurant de vouloir insinuer qu’en cette sourde guerre l’ancien peuple est toute innocence et le nouveau toute nocence.
Il est d’ailleurs bien facile de savoir comment se répartissent les responsabilités : il suffit de comprendre les messages cryptés du complexe médiatico-politique ; et les Français, sous le règne du faussel, sont tous devenus, par force, d’excellents traducteurs, décrypteurs, herméneutes de cette langue menteuse qu’on leur impose, cette langue qui est faite pour ne pas dire et ne pas laisser dire, pour ne pas voir et surtout pour ne pas montrer.
Ils savent ce que signifie des jeunes, des quartiers populaires, des zones sensibles, des règlements de compte entre bandes rivales, des recours aux autorités religieuses pour tâcher de ramener le calme, des incidents à l’issue d’un match…
Ils savent que lorsqu’on donne les noms des protagonistes, leurs prénoms et leurs noms, c’est l’ancien peuple qui est à incriminer, et cela on le peut toujours, rien ne l’interdit, bien au contraire ; et que c’est le nouveau quand on ne les donne pas parce que le nouveau, qui a l’avenir entre les mains et l’innocence infuse, lui, ne doit jamais être fustigé et, comment dit-on ?, stigmatisé.
C’est assez facile à comprendre et à pratiquer, au fond, le faussel.
c’est au gouvernement de mettre un frein au problème d’immigration de masse avant qu’il ne trop tard .. puisque le changement c’est maintenant !
Le changement – de peuple – c’est maintenant !
Le “changement de civilisation” Martine l’a écrit François le fait.
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le nouveau gouvernement de Etat Nouveau a été élu avec des voix mosquétaires et des voix homosexuelles , on va bientôt se marrer !
Avec hollande, moi president : le changement c’est maintenant : des repris de juStice au gouvernement, le mensonge au sommet de l’etat avec l’affaire cahuzac, le mariage pour tous pour adopter des bb qui grandiront entre 2 hommes ou 2 femmes, c’est la chasse aux riches et le racket des classes moyennes pour donner aux assistes, c’est deja le hallal pour tous a notre insu, ca sera bientot la charia pour tous! Le remplacement de population est peut-etre amorce, mais on peut inverser le balancier en stoppant cette immigration massive insupportable qui n’aime la France que pour les allocations de toute sorte.
Et on nous parle tous les jours du problème de l’éducation….
Mais à la vérité, il n’y aucun problème d’éducation…..
Etc, etc…
moi je dirai plutot, le changement de gouvernement c’est maintenant, dehors tous ces collabos UMPS
tout ça va leur sauter a la tronche a ces apprentis sorciers !!et plus tôt qu’ils ne le croient !!!!!!!!!!
C’est à espérer!
On n’en peut plus!
“Toutes les cultures se valent, tous les gens sont égaux, rien n’est différent.”
Le dogme dans notre culture occidentale est de prétendre qu’avoir des méfiances ou d’émettre des critiques sur d’autres cultures que la nôtre (ou communautés) est du racisme. Nous devons croire – absolument – que les autres cultures, communautés, sont plein d’amour et porteur de paix. Que chez-eux le racisme n’existe pas car cette tare n’est portée que les seuls occidentaux, héritiers de l’impérialisme le plus cynique et du colonialisme le plus brutal.
Que va-t-il dès lors nous arriver ?
La même chose que si :
Les honnêtes gens ont le dogme que la malhonnêteté n’existe pas. Croire que l’autre est un voleur est une faute horrible. Ils laissent donc leur portes sans clef et leurs maisons ouvertes. Ils suppriment la police devenue inutile.
Que croyez-vous qu’il leur arriva ?
La même chose que si :
Les pacifistes étaient persuadés que tout le monde était à leur image. Ils abandonnèrent tout arme et renoncèrent à toute violence. Jean-Jacques leur a dit que tout le monde est bon à la naissance et que leur propre exemple suffirait à ce que personne ne se corrompt.
Que croyez-vous que fut leur avenir ?
La même chose que si :
Les adultes normaux s’aimaient entre adultes responsables et sans le partage. Ils avaient des rapports sexuels consentis et compris. Mais la doctrine officielle voulait que tous les adultes soient normaux et qu’il ne pouvait exister d’exception parmi eux. Leurs enfants allaient librement et fréquentaient quiconque protégés qu’ils étaient par la belle doctrine proclamée dogme par la loi. Aucune méfiance ne serait tolérée. Aucune entrave à la promiscuité enfants-adultes ne seraient acceptées sans punition. Que croyez-vous qu’il arriva à nombre d’adolescents, si naïfs encore, si juvéniles et aux corps si frais ?
L’égout du corps devait être considéré de la même manière que la source de la vie. Le mariage pour tous fut inventé. Penser que c’était prendre des vessies pour des lanternes était prohibé. De l’homophobie nous disait-on. Crime aussi épouvantable que le racisme.
Que croyez-vous qu’il advint à la démographie, que croyez-vous qu’il advint du bonheur et de l’équilibre des enfants à parents 1 et 2, équivalents ?
Ben voilà.
Notre civilisation disparaîtra car inadaptée à la réalité du monde. Ce qui s’appelle de la décadence. On y va donc – que dis-je ? – on y est donc, et on ne peut même pas le dire – que dis-je ? – même pas le penser !
il faut lire “dans” le partage et non “sans” le partage (une coquille malencontreuse)
Notre civilisation disparaîtra car inadaptée à la réalité du monde. Ce qui s’appelle de la décadence. On y va donc – que dis-je ? – on y est donc, et on ne peut même pas le dire – que dis-je ? – même pas le penser !
Je pense que notre Ami,BARAKAT,a quasiment tout dit !!!
Il convient de rajouter,que,sans réactions au coup d’état Socialo-
Islamo-communiste………..il en sera bientôt fait de toutes nos
libertés si chérement gagnées !…………..Cette absence future des
derniéres libertés,convient parfaitement au peuple de remplacement,
qui lui se satisfait de la soumission au coran et à sa charriah !!!!!!
Il n’est plus temps de méditer…c’est le temps de l’ACTION maintenant,
et nous ne seront pas seuls à rejeter la dictature de cette gauche
internationale , stupide et criminelle !!!
Oui j’allais le dire lorsque j’ai été interrompu par le logiciel : il faut voter Marine désormais l’ump tout comme l’udr et son nouveau parti l’udi n’étant décidémment pas de taille à lutter contre l’extrême gauche.Il faut changer de gouvernement avant que ce ne soit lui qui change le…peuple!
Ils voudraient bien le changer vite vite.
La propagande, l’intimidation, l’appauvrissement sont autant de moyens pour en faire un peuple atteint dans ses forces vitales. Ensuite on s’attaque aux enfants via l’ école, on casse la famille, on formate les jeunes cerveaux pour qu’ils ne reconnaissent plus , leurs parents . Car en effet il faut changer le peuple quand les élus en veulent un autre pour rester des élus à vie et des malfaiteurs impunis .
Le seul problème est l’immigration de masse,qui bouffe notre argent,nous taxe à outrance,pour faire vivre mieux que ceux qui travaillent( pour une poignée de prunes) un nombre grandissant de branle-bedoches qui exigent toujours plus
J’ai fais un petit calcul simple du coût de ces immigrés qu’il faut loger,nourir soigner à grands frais,qui coûtent des allocations à ne plus finir pour fabriquer les enfants qui demain seront à 90% des combattants du nouveau peuple contre l’ancien. Au minimum 100 milliards par an.Avec cela on aurait une croissance extraordinaire au lieu de raboter sur les investissements par des impôts supplémentaires qui augmentent le chômage,les déficits et la dette!!!
“la garantie d’être au pouvoir a jamais”,j’en doute,a moins que les politiques de gauche se convertissent a l’islam.Quoi que…pour certains d’entre eux (ou elles),c’est fait .
Même pas : avec 10-15% de lza population on arrive à un niveau où tout commence à être possible puisque leur accroissement démographique beaucoupplus fort que le nôtre et que nous financons en plus c’est l’affaire de quyelques années!Au train où nous mettons pour nous réveiller si je devais parier je crois que je parierais pour eux si rien ne change.Regardez autour de vous:tout le monde se fiche des éléments importants et ne pense qu’au petit porte-monnaie et bien sçur FH de ne parler que de 1 Md piqué par-ci 2 Mds piqués par là mais jamais des 100 Mds piqués par les immigrés.Cela peut aller trés vite si on ne se remue pas.N’importe quoi est préférable à FH même les généraux putchistes!
Trés bon article,l’antiracisme dogmatique engendre le mensonge,la mystification,le faux,lune violence infinimment plus grande encore que le racisme modéré occidental! D’ailleurs l’antiracisme dogmatique de l’extrême gauche de FH a engendré le racisme arabo-noir bien pire que le nôtre,le changement de peuple ne va rien changer de fondamental il INVERSE lkes rôle comme il inverse la vérité.Il faut cha
Les prisons:elles sont pleines mais le 99%des criminels issus de l’immigration court toujours!L’économie :^à aussi le pays est ruiné et nous n’avons pas la moindre statistique que le gouvernement d’extrême gauche nous cache,mais on peut l’imaginer approximative’ment : si cxhaque immigré coûte au contribuable E 10.000(je suis sûr que c’est bien PLUS)multiplié par 10 millions cela donne 100 milliards par an.Pour compenser il augmente les impôts diminuant encore les investissements ce qui augmente le chômage et j’en passe! Le remède : pour OBLIGER les Etats africains d’accepter leurs ressortissants anciens et nouveaux on peut BLOQUER les sorties de capitaux à leur profit. Voil quelques idées positives.