Venu à l’école pour frapper l’enseignant qui avait réprimandé son fils la veille, le père de cet élève de CE1 a giflé violemment l’instituteur ne cherchant même pas à confronter la version de son fils à celle de l’adulte en face de lui.
Blessé au visage par le choc reçu sur ses lunettes, Olivier a heureusement échappé aux coups de poing qui ont suivi grâce à l’intervention de son directeur resté à ses côtés.
Porté par la vengeance, ce père athlétique et défavorablement connu des services de police est venu à l’école Ferdinand Buisson hier matin.
Pour lui, la version de son fils âgé de 7 ans ne fait aucun doute : l’instituteur qui surveillait la cour lundi après-midi a martyrisé son fils en tentant de l’étrangler. Impossible donc pour Olivier de lui exposer sa version des faits avant d’être frappé.
En sortant du commissariat où il a déposé plainte, l’instituteur est revenu sur le commencement de l’histoire.
«A la récréation, je cherche à mettre à l’écart un élève turbulent. L’autorisant toutefois à se rendre aux toilettes, il en revient la bouche pleine d’eau pour arroser ses camarades. Il ne m’écoute pas et m’oblige à redresser son visage vers le mien d’un doigt posé sur son menton. Son regard croisant enfin le mien, je prends ma grosse voix pour lui expliquer que son attitude ne va pas. Il m’a semblé comprendre ce que je lui disais et pour moi cet échange était terminé.»
Pour l’enseignant peut-être, mais pas pour le père. Récupérant son fils le soir, il découvre l’histoire racontée par son enfant et demande dans la foulée un rendez-vous pour le lendemain avec l’enseignant. On sait maintenant que ce n’était pas pour échanger des mots.
Un acte prémédité
Arrivé avec un peu d’avance au rendez-vous, il avait été reçu quelques minutes par le directeur.
«Visiblement, il n’était pas venu pour discuter mais bien pour en découdre, assure un témoin de la scène. Il expliquait à qui voulait l’entendre que si quelqu’un touchait à un de ses enfants, il lui enverrait son poing dans la g..»
Une fois l’enseignant arrivé face à lui, la gifle part
La scène violente se poursuit dans le couloir à la vue d’enfants qui arrivent à l’école. Dès que l’individu fut sorti de l’établissement, le directeur a réagi très vite : «C’est innaceptable! J’ai immédiatement appelé la police et fait un signalement d’incident majeur à l’inspection académique. L’équipe pédagogique s’est resserrée autour de l’enseignant.»
Vu par son médecin ainsi que par un second au commissariat de police, la victime s’est vue octroyer un jour d’incapacité de travail temporaire et a été arrêtée jusqu’à la fin de la semaine. Du côté des parents d’élèves, l’inquiétude et l’indignation prévalaient. «Je suis outrée qu’on puisse venir dans une école frapper des enseignants. C’est un lieu qui doit être protégé où la violence n’a pas sa place, estime Maryline Callenaere, président de l’association des parents d’élèves. Mais je me fais aussi du souci pour les enfants de cette famille dans laquelle la violence est peut-être quotidienne. J’espère que les services sociaux suivent de près ces enfants.»
Avec trois déclarations d’incident majeur faites en un mois par cet établissement, le climat semble se tendre sérieusement en cette fin d’année.
L’inspection académique condamne
Hier soir, Michel Azéma, directeur académique des services de l’Éducation nationale et Bernard Luczak, inspecteur de l’éducation national sont venus condamner les faits et apporter leur soutien à l’équipe pédagogique. «Les enseignants ont très bien réagi avec les enfants en n’occultant pas le problème qui s’était passé sous leurs yeux. Ils ont répondu aux questions en les rassurant», reconnaissait-on à l’Inspection académique.
C’est l’existence même d’une école d’état, imposée par la violence de l’impôt et de la réglementation, qui institue un conflit entre les enseignants et les parents, puisque sa seule raison d’être est de priver ces parents-là de leur droit de les choisir.
Les Parasites de cette organisation criminelle n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes si ses victimes s’en prennent à eux : dans une société libre ils auraient personnellement décidé qui enseigne à leurs enfants, et auraient toujours l’option de choisir quelqu’un d’autre.
Je peut pas comprendre : ” la victime……..a ete arretee jusqu`a la fin de la semaine ?????????? ?:-) 😯
Pauvre France,…que va dire la grosse Bertha?;;;
Bonjour,comme dans la pub en vogue en ce moment;”c’est à qui leur enfant là ?”Oui,effectivement,d’où vient il?Cité ou caravane?Mais pendant ce temps là,c’est Nicolas qui se morfond au fond de sa cellule.
Le laxisme de certains enseignants mène à ce genre de comportement! Autrefois les parents auraient une râclèe au gamin et le problème était réglée!
et … un de plus … autrefois lorsqu’on était réprimandé à l’école et qu’on le disait en rentrant à la maison, on était doublement réprimandé par nos parents qui approuvaient l’instit, même sans chercher à savoir qui disait vrai !!
Schmitt et Quinou vous avez raison mais hélas il y a longtemps que c’est plus comme ça, pour moi aussi c’était double punition, mais les temps changent.
Pas de nom, défavorablement connu de la police ??
3 déclarations d’incidents majeurs en 1 mois pour cet établissement c’est une future Z.E.P.
L’age mental du papa ne doit pas dépasser de beaucoup celui de son fils, il tape avant avant de discuter, il n’a mème pas eut l’idée que le gamin a pu arranger la vérité à son avantage ??, en plus comme exemple pour son fils !!! on fait mieux, mais c’est hélas assez fréquent depuis pas mal d’années, encore là l’instit a le soutien du directeur et de l’académie, car parfois la hiérarchie détourne les yeux …pas de vagues !!
les solutions arrivent , la gauche a prévu qu’il y aurait deux profs par classes . En tout l’hollandais a prévus 60000 nouveaux postes
l’instit se prénomme Olivier , c’est sympa de nous le dire , mais il nous manque encore une fois le nom de l’architecte qui a construit l’école !
et c’est toujours la même chose !
Pour que la plainte contre l’agresseur ait une action dissuasive, il faudrait que l’agresseur soit retenu sur les lieux de son acte jusqu’à l’arrivée de la police. L’école qui déborde de moyens devrait pouvoir faire cela.
Notre société est de plus en plus pourrie,le père est une brute imbécile,et certains enfants sont de plus en plus mal élevés,mais certains instits ou prof ne sont pas exempts de brutalité verbale envers les élèves,je l’ai vérifié plusieurs fois !!!!!
Du côté enseignement il y a beaucoup de choses à revoir et parfois on se sent dépossédés de ses enfants !!!!
un ex prof me disait que dans les établissements des quartier huppés de Paris le climat de violence et d’insécurité n’a rien à envier à ce qui se passe en banlieues . et que la règle est la loi du plus fort
mon opinion , depuis des lustres on enseigne aux petits français le respect de la différence, s’entend les noirs et les arabes , on enseignerait le respect des uns et des autres : des gosses venus au monde différents , différences physiques , mentales , sensibilités différentes….., respect des plus faibles, on enseignerait beaucoup plus utile ; Le respect ne peut etre appliqué de manière sélective , quand on est bien élevé et qu’on sait respecter et se comporter de façon tolérante envers son prochain on grandit bien .
cet abruti devrait être castré et six mois ferme
Je constate la chose suivante: aux Etats-Unis les profs portent le Colt 45 à la ceinture. Il y a de moins en moins d’agression, qui comme ici, non aucun sens. Déjà connu des services de polices ?? Qu’il retourne au bled de ses ancêtres pourris. Reconduite à la frontière et “basta !”
Cet enfant a menti, le père est totalement à côté de la plaque et cet enseignant est en danger. Ou tout le monde rentre dans l’ordre (le Père et l’enfant) ou il serait salutaire, pour tous, que l’antagoniste adulte soit totalement exclu de France, avec sa famille.
Des que l’individu fut sorti de l’établissement , le directeur a réagi très vite
Y a qq. Chose qui cloche là dedans
aucune sanction pour le géniteur j’en fait le paris d’ ailleur ya pas de place pour lui à fleuris
et ce “père athlétique et défavorablement connu des services de police”,
on va faire quoi de lui?