Alors que la fraude aux prestations sociales dépasse les 20 milliards d’euros par an, moins de 2 milliards ont pu être récupérés entre 2006 et 2010.
L’idéologie médiatique au pouvoir a le chic parisien pour transformer les sujets en problèmes, les problèmes en scandales, et les drames en psychodrames.
Ainsi, le drame survenu au jeune Clément Méric, que j’ai largement traité la semaine passée, a tourné au psychodrame par la disgrâce d’un antifascisme de pacotille dont tous ceux qui n’ont pas connu l’horreur nazie ont la magie.
Les « antifas » d’extrême gauche n’ont pas hésité à entonner le Chant des Partisans pour rendre hommage à la malheureuse victime. Nul n’a cru devoir s’en étonner. N’était-ce pas notre président de la République qui morigénait les opposants au mariage pour tous pour avoir osé utiliser le mot de « résistance » ?
Il est vrai que les héritiers des deux partis auxquels ont pourtant appartenu Laval, Doriot et Déat considèrent qu’il s’agit d’une marque déposée à leur profit exclusif.
Sur le fond du drame survenu au jeune homme d’extrême gauche, et alors que le bruit et la fureur fantasmatiques commencent à s’estomper, les premiers résultats de l’enquête laissent à penser que les provocations qui ont donné lieu à un homicide involontaire émaneraient du camp de la victime.
Peu importe à ceux qui ont voulu instrumentaliser son décès, la messe antifasciste est déjà dite.
Le fait, révélé dans le détail par le Washington Post et le Guardian que l’agence pour la sécurité nationale américaine (NSA) aurait accès aux communications mondiales des géants d’Internet, Google, Microsoft et Facebook est sans doute un problème mais certainement pas un scandale. Pour ma part, j’avoue humblement que la possibilité de contrer efficacement les agissements terroristes qui utilisent la Toile tels des arachnides venimeux me rassure plus qu’elle ne m’inquiète. J’avoue, toujours avec la même humilité, que je crains davantage Al Qaïda que Barack Obama. La tête désormais sur le billot de l’échafaud médiatique, j’avoue encore que le Patriot Act, conspué par toutes les bonnes consciences, était précisément le moyen d’organiser juridiquement, dans le souci de la sécurité du monde, le pouvoir des agents de renseignements américains. J’ai été heureux d’être rejoint sur ce point par mon confrère Alain Bensoussan, sans doute le meilleur spécialiste du droit de l’informatique et d’Internet, qui le confirmait cette semaine sur France Inter.
Sur le fond, je remarque une fois de plus, que la crainte de Big Brother est à géométrie invariable. Malheur aux États-Unis, malheur à la police française si elle entend croiser des fichiers pour confondre les délinquants terroristes, sexuels ou de droit commun.
En revanche, je n’ai jamais lu la moindre protestation contre la pratique du fisc qui aura été précurseur en la matière.
Dans ce même domaine fiscal, j’observe que sans aucune réaction d’inquiétude des organisations qui habituellement s’autoproclament défenseurs des droits de l’homme, le gouvernement français s’apprête à légiférer en matière d’écoutes et d’accès aux courriers électroniques. Certains députés de gauche envisagent également de dépénaliser le recel de vol de fichiers de banques étrangères (ce qui me paraît juridiquement hautement douteux). Je n’ose imaginer pour mes oreilles, les cris d’orfraie que pousseraient les mêmes défenseurs si cette mesure était envisagée pour lutter contre les terroristes…
J’observe par ailleurs que notre premier ministre (le JDD) considère que par ses projets, « la fraude » est en train de vivre ses derniers moments. Étrangement, M. Ayrault et son gouvernement ont des projets moins déterminés pour lutter contre la fraude sociale. Je leur conseille en conséquence de lire « Les Dossiers du Contribuable » de ce mois consacrés à « la France de la fraude ». Ils pourront y apprendre que la fraude aux prestations sociales dépasse les 20 milliards d’euros par an et que moins de 2 milliards ont pu être récupérés entre 2006 et 2010. Que 55 % des fraudes portent sur les minima sociaux. Que pour Olivier Collas, vice président du conseil d’administration de la Caisse Nationale des Allocations Familiales, on assiste depuis l’arrivée de François Hollande aux manettes à une certaine forme de tolérance envers la fraude sociale. Que, par ailleurs, au moins 7 millions de fausses cartes vitale sont en circulation, et que dans les cités, selon le criminologue Christophe Naudin, une carte se loue 100 € à la journée.
Toujours, selon « les Dossiers du Contribuable », les pouvoirs publics évacuent le problème de la fraude sociale imputable à l’immigration. Selon une étude de l’INSEE de 2010 intitulée « le niveau de vie des immigrés », les prestations représentent 13,8% du revenu disponible des ménages immigrés avec une pointe à 21% pour les ménages d’origine africaine contre 5,4% pour les Européens.
Des fraudes permettent aussi la récupération de pensions, de retraites d’anciens combattants devenus immortels… : « Dans certains pays comme l’Algérie, on en arrive à trois générations pour la même retraite. Une bonne partie des prestations retraite que la France verse à l’étranger est piratée », selon le vice-président de la Caisse Nationale des Allocations Familiales déjà cité. La fraude documentaire est devenue si importante que les états européens ne parviennent plus à établir l’identité administrative de tous leurs résidents. « Cette impasse ouvre la voie à tous les abus, au risque de faire imploser le modèle social français ».
Parmi encore les multiples exemples fournis, les fraudes à l’aide médicale d’État : même en situation irrégulière, les clandestins disposent de droits sociaux. À commencer par celui de recourir à l’aide médicale d’État (A.M.E). Cette mesure généreuse, qui en dit long sur la prétendue xénophobie française, coûte environ 600 millions d’euros par an aux contribuables et permet de soigner 220 000 immigrés illégaux. La précédente majorité avait instauré une franchise de 30 euros et voulait limiter les soins à une offre basique, excluant notamment la procréation assistée et l’esthétique. Dès son arrivée, la nouvelle équipe gouvernementale, en même temps qu’elle proclamait sa volonté parcimonieuse et augmentait la pression fiscale, faisait sauter ces verrous. Et pourtant, les titulaires de cette prestation représentent 12,4% des fraudeurs détectés, soit une moyenne trois fois supérieure à celle des assurés sociaux… Pratiquement aucune enquête n’est diligentée. Selon Jean-Paul Gourévitch, expert international reconnu et apolitique, les fraudes constatées ne représentent qu’une petite partie des fraudes potentielles. Sur le site officiel de la Sécurité Sociale, il est indiqué que la fraude à la sécurité sociale détectée en 2011 atteint 479 millions d’euros, mais d’après Gourévitch, la réalité est beaucoup plus sombre et, à elles seules, les fraudes au RSA et à l’assurance-maladie coûtent près de 3 milliards d’euros à l’État.
Un esprit simple et sain pourrait être conduit à penser qu’un gouvernement impartial, déterminé à lutter contre toutes les fraudes, d’où qu’elles viennent, devrait prendre cette fraude sociale là, également à bras-le-corps. Las, c’est faire bon marché de la xénophilie et de ses défenseurs. Le malheureux Claude Guéant en a fait la triste expérience. En novembre 2011, l’ancien ministre de l’intérieur déclarait son intention de s’attaquer aux « fraudes sociales » imputables aux étrangers en croisant le fichier de ceux résidant en France et celui de la sécurité sociale. Il indiquait au micro d’Europe 1, vouloir éviter que des étrangers régulièrement présents sur le sol français empochent des allocations afférentes à des enfants qui résident hors du pays (j’ai révélé dans une précédente chronique, que c’est désormais possible). Il voulait aussi repérer les allers-retours trop fréquents entre la France et l’étranger. Ceux-ci peuvent en effet dissimuler des fraudeurs qui séjournent juste quelques jours en France avant de repartir vivre dans leur pays d’origine. Cette pieuse intention a été tellement diabolisée par les associations de défense des migrants et les médias que le ministre fut contraint à une piteuse rétractation, allant jusqu’à prétendre que sa déclaration ne ciblait pas spécifiquement les étrangers… Ces mesures de contrôle n’étaient en fait que la simple application du décret sur la gestion des dossiers des ressortissants étrangers voté en juin 2011.
Ainsi, par la disgrâce d’un psychodrame xénophile, ce fichier là, était un flicage scélérat.
Grèce : ici encore, le psychodrame joué sur les antennes et les ondes françaises, sur fond de « coup d’état » déguisé ou d’assassinats de la démocratie à la manière des colonels de triste mémoire, aurait pu être évité.
Nul ne peut sérieusement contester la maladresse et la brutalité d’une mesure qui a interrompu brutalement les images transmises.
Mais c’est oublier la véritable tragédie financière grecque, et le désarroi de son gouvernement modéré, coincé qu’il est entre les surenchères des démagogues hellènes d’extrême gauche ou néonazis et les exigences européennes.
C’est oublier également la gabegie qui régnait au sein d’une télévision – en réalité de faible audience – mais dont le coût de fonctionnement était pourtant de trois à sept fois plus élevé que les autres chaînes de télévision et employait de quatre à six fois plus de personnel.
Encore plus fort que les chaînes de service public françaises, pourtant championnes décorées cette année encore par la Cour des Comptes.
A condamner ainsi, sans circonstances atténuantes ni appel, le gouvernement Samaras, qui fragilise le berceau de la démocratie ?
Mur des cons (suite) : Clément Weill-Raynal, sanctionné par la direction de France télévision. Celui-ci a écopé d’une mise à pied privative de salaire de huit jours, assortie d’une menace de licenciement, en cas de réitération. Celui-ci refuse toute sanction.
Lors du conseil de discipline qui l’a sanctionné et qui lui reprochait d’avoir caché à sa hiérarchie qu’il était l’homme qui avait permis au public de connaître les détestations sélectives du Syndicat de la magistrature, le journaliste a excipé de la loi de 2010 qui protège, de manière absolue, le secret des sources, sauf en cas d’impératifs exceptionnels.
Le chroniqueur judiciaire de France 3 a fait valoir que dans le climat de haine qui prévalait, avec une CGT qui voulait sa tête et un Syndicat National des Journalistes qui allait se déclarer solidaire du Syndicat de la magistrature la nécessaire protection de l’auteur du document incriminé qu’il était n’avait rien de platonique.
Au moment où ces lignes sont écrites, seul celui qui a révélé les turpitudes d’un syndicat donneur de leçons de vertu a été condamné.
Pendant ce temps, les maçons du mur des cons ont été élargis par le Conseil Supérieur de la magistrature avec l’hypocrite bienveillance de Mme Taubira qui avait endormi auparavant la représentation nationale.
Bien entendu, les procédures d’injures et de destruction de preuves diligentées à l’encontre des magistrats vont se poursuivre.
Les « lanceurs d’alerte » de Snowden à Assange (à qui le Monde a ouvert généreusement ses colonnes cette semaine) font l’objet d’une compréhension particulière à gauche, quand bien même ils ont enfreint gravement le droit.
La loi sur le secret des sources fait l’objet d’une vénération quasi religieuse. Le Monde l’a encore invoquée récemment à l’encontre d’un juge instruction.
Nul ne reproche aujourd’hui au journaliste de France 3, sanctionné par une direction terrorisée par la CGT, la moindre infraction légale.
Allez savoir pourquoi, force est de constater que la gauche journalistique, habituellement prompte à monter sur ses ergots pour défendre un confrère dans la peine, n’a fait de cette affaire, ni un psychodrame, ni un drame, ni un scandale, ni même un problème.
À peine un sujet de dérision à l’encontre d’un journaliste libre.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles William Goldnadel. L’article original peut être consulté sur le Blognadel
16/06/2013
Autopsie de l’affaire Méric
http://www.fdesouche.com/381597-proposition-de-tribune-libre-laffaire-meric-ou-comment-manipuler-lopinion#more-381597
Ce qui n’a pas été possible sur de très nombreuses affaires en leur temps, et en particulier sur l’affaire de Carpentras ; l’est maintenant grâce à Internet et à la vérité qu’y peut s’en dégager d’une façon générale.
Dernier exemple que les médias ignorent totalement « l’agression d’un militant de droite à Angers par des antifa le 17/06/2013 à 18h30 ».
Cette façon de faire sera de plus en plus courante et sonnera le glas de la « massmerdia » aux ordres du pouvoir quel qu’il soit, par défaut de lecteurs.
mais comment font ils pour frauder les prestations sociales et la sécu ? les administrations demandent tellement de papiers pour prouver vos ressources et vos impôts sur le revenu etc …
qu’il est impossible de tricher , à moins de faire des faux papiers !
Nous nous sommes fait voler nos 2 portefeuilles au marché avec mon Mari. J’ai retrouvé le mien sans argent, mais avec tous mes papiers, alors que mon Mari a été appelé par la RATP qui avait retrouvé son portefeuille sur le quai, mais sans argent, ni sa carte vitale, ni sa pièce d’identité.
Il est très facile d’utiliser la carte vitale en faisant une fausse photo, car la sécu met 3 mois pour en refaire une. Moralité, pendant 3 mois, l’ancienne est encore active et peut servir, donc être louée 100 €/jour pour être utilisée par n’importe qui.
Kmichèle , maintenant il vous vole aussi vos n° de la plaque de votre voiture !
alors bonjour les prunes que vous recevez chez vous et que vous devez payer et vous devez prouver ensuite que ce n’est pas vous !
les plus pervers vous vole votre identité et ensuite vous avez les pires ennuis pour prouver que vous avez un double
Impossible n’est pas français cher Jacqueline… Et les fraudeurs encore moins! Ces gens ont réussi à obtenir des passe-droits naturels dans toutes les administrations françaises, juste avec leur faciès et leur noms. Sans compter les nombreuses associations qui les prennent en charge gratuitement pour calculer et réclamer leurs « droits » et s’occuper de leur paperasse, conseillers juridiques, assistantes sociales, avocats, etc. Sans compter les journées entières qu’ils ont devant eux pour faire (faire) leurs démarches…
Je confirme Géronimo!Moi par exemple je suis franco suisse,il ma fallut 1an et demis pour obtenir mon numéro définitif de sécurité social,envoyer des dizaines de lettres,me pointer presque chaque semaine à la cpam etc…(par ce que je suis né en Suisse).Par contre,et ce sont certain rare et honnête conseillers cpam qui me l’ont dit,pour tout ceux qui viennent de tel pays(suivez mon regard) il leur est fait des passe droits.D’ailleur si vous vous rendez à la caf près de chez vous vous pourrez constater que ces mêmes personne constitue facilement 50% des benéficiaire d’allocation,d’aide en tout genre ,multipliez par le nombre d’épouse(je suis persuadé que l’autre chamelier nantais qui vivait avec 4 sac à pomme de terre ,bénéficiait d’alloc pour chacune d’elle)…mais sinon tout va pour le mieux en frankistan 😎
Le système français est un système qui appelle naturellement à la fraude, d’ailleurs il a été certainement conçu pour cela, pour se constituer une clientèle d’assistés, de prédateurs de tous poils, y compris les lobbies médicaux puisque la demande est solvable.
L’arrivée massive de populations a-morales, d’un naturel fraudeur, et les possibilité de fraude croissant avec l’outil informatique, le système est condamné à imploser, ce qui devrait freiner l’immigration Reste à savoir comment le projet de substitution de population va pouvoir survivre dans ces conditions;
les solutions existent mais voilà nos politiques restent aveugles .
oui
100 euro une carte vital dans les cité ? mdr vous rigolez ils vous la pretent juste pour » niké la france »
Et oui . bien sur !! c ‘es vrai que dans les « citées » tout va pour le mieux que tout le monde dors dans des draps en or j avais oublier excuse moi je plaint celle qui c ‘est fait voler sa carte vitale je ne supporte pas non plus les gens qui vole l argent d un pays, mais toi tu n es rien de plus qu un raciste emplis de haine qui se défoule sur internet et ton commentaire n a rien a faire sur se sujet il n apporte ni idées ni rien de constructif et puisque ses derniers sont filtrés la vision du tiens me laisse un doute quand a la vision subjective que celui qui les accepte ou non. vive le journalisme !!
Cet article, me donne la nausée de la FRANCE. C’est cette même nausée qui me prenait lorsque mon Père me racontait cette puanteur de la FRANCE à partir de 1938 vis à vis des Juifs, sauf qu’aujourd’hui c’est moi qui la vis, une bonne partie de la population, et surtout quelques Hommes encore Libres contre lesquels on se défoule !
Les points godwin se cumulent sur ce site, car quel rapport avec les juifs? ce sont des « antifas » qui sont au pouvoir pas des méchants d’extrême-drouate !
Modèle ? Contre-modèle plutôt qu’aucun autre pays n’a été assez stupide pour imiter. Un modèle que personne n’imite est un bien curieux modèle
La fraude sociale est le vecteur essentiel de la substitution de population qui est le projet obsessionnel des mondialistes qui font donc diversion avec la fraude fiscale.
Mais les veaux sont contents puisqu’ils votent toujours pour les mêmes.
Le projet mondialiste n’est pas le libéralisme mais un néo-communisme.
La gaucho-caviar Duflot a vanté aujourd’hui les appartements communautaires, sur le modèle de ceux de l’ex URSS. La misère et la promiscuité pour le populo, les palaces pour les apparatchiks, Les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Jacqueline
mais comment font ils pour frauder les prestations sociales et la sécu ? les administrations demandent tellement de papiers pour prouver vos ressources et vos impôts sur le revenu etc …
Jacqueline, je peux vous certifier pour avoir assister par hasard un Sri Lankai venu s’inscrire pour la CMU à la sécu qui ne parlait que l’Anglais, l’employée de la sécu lui a demandé son nom et l’adresse où il etait possible de lui ecrire, ce Sri Lankai n’a presenté aucun papier pour justifier de son identité, etonné de ce laxisme, je me suis permis de demander à l’employée mais vous ne lui demandez pas ses papier, la réponse, je ne suis pas de la police.
et à l’hôpital, 2 personnes differentes qui se présentent dans la même journée avec la même carte de secu, l’employée l’ayant remarquée mais ne fait rien pour ne pas se faire agresser et ainsi de suite
Maujo , Pourtant il faut donner les photocopies de sa carte identité ses ressources son avis d’imposition et 3 quittances de loyer sinon vous n’avez aucun droit , et ça c’est vous êtes français !! ensuite la sécu étudie votre dossier , ça prend 2 mois et ensuite il vous envoie
l’attestation valable pour 1 an !!
Je n’aborde que le domaine que je connais. Cela fait des années que ça dure, de 1990 à 2003 j’ai été amenée a fréquenter au quotidien les T.A.S.S (tribunal des affaires de sécurité sociale) dont on ne parle jamais et qui concerne beaucoup de monde, cette juridiction concerne les organismes régi par le code de la sécurité sociale.(urssaf, caf, cpam, rsi, cramif, caisses de retraites) et aussi les tribunaux de commerce, déjà bien avant 90 la plupart des caisses acceptaient les déclarations sur l’honneur !! (j’espère que ça a changé),certificats de scolarité douteux, déclaration sur l’honneur des revenus(chez les indépendants) pour obtenir un titre de séjour il fallait justifier d’un activité professionnelle, les nouveaux arrivants s’inscrivait au registre du commerce départemental ou la chambre des métiers et se trouvaient inscrits auprès des organismes sociaux et le paiement des prestations n’étant plus subordonné au paiement des cotisations, vous voyez le déficit, rien que ça c’est déjà beaucoup et puis il y avait ceux qui achetaient en « kit » un employeur des fiches de paie et se faisaient verser des indemnités de licenciement.depuis on a croisé quelques fichiers c’est une bonne chose si il y a un suivi..
Pour certaines pensions il était demandé les passeports originaux pour le controle des dates de séjour, sans parler des similitudes des
nom…..etc
Est ce qu’on peut assimiler aussi à la fraude les grandes sociètés qui ne paient pas leur urssaf, les taxes qui devraient revenir à la sécu qui ne les perçoit jamais ??
J’ai pris ma retraite depuis, les collègues me disaient: vous ètes parano!! j’habite l’est parisien et j’observe, elle ont du changé d’avis depuis.