Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 juin 2013

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La terreur commence au sein de la famille musulmane.

C’est dans cette cellule où l’enfant se forme qu’il est dès sa naissance bloqué dans son évolution mentale par la peur et la violence, les coups et la frustration, le ressentiment et la haine, et le modèle d’un père qui humilie et frappe sa mère. La famille musulmane est le premier maillon du délabrement intellectuel, éducatif, créatif, politique, économique et social de la totalité des pays arabo-musulmans (sauf un, Oman).

La cellule familiale musulmane est la première graine de violence qui mène au terrorisme pour les uns, et à sa tolérance passive du terrorisme pour les autres. Elle est aussi responsable de la misère morale et du ressentiment, de la jalousie, de la haine que nourrissent très tôt ces jeunes incapables d’accomplir ce que d’autres peuples achèvent si naturellement.

Le tableau de la violence familiale a été élaboré par le Dr Sharifa Alkhateeb, et montre comment la religion peut justifier la violence faite aux femmes et aux enfants.

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Recours à l’isolement

  • En tant que «qawwamun» (directeur) de sa femme, le mari affirme que Dieu lui donne le droit de surveiller chaque geste de sa femme, qui elle rencontre, à qui elle parle, ce qu’elle pense, et ce qu’elle lit,
  • la femme doit demander la permission à son mari pour téléphoner, aller faire les courses ou rendre visite à ses parents,
  • même si, d’après le contrat de mariage, la femme peut circuler librement, son mari n’en tient pas compte,

Nier, blâmer, minimiser

  • encourager les enfants à mentir sur la violence dont ils sont victimes ou à banaliser la chose,
  • nier la violence en appelant cela de la «discipline»,
  • leur faire comprendre que la violence est de leur faute,
  • dire à sa femme que si elle dénonce la violence, elle enfreint sa responsabilité islamique quant au respect de la vie privée de son mari, et que Dieu va la condamner,

Utiliser les enfants

  • les enfants sont battus pour les empêcher de devenir trop «américains»,
  • le père menace ses enfants d’obtenir leur garde auprès de la cour islamique, de les envoyer à l’étranger, de les marier jeunes ou de les enlever,
  • utilisation des symptômes traumatiques des enfants comme excuse pour battre sa femme,
  • le père encourage les enfants à insulter leur mère et à manquer de respect envers elle,
  • le mari déclare qu’il doit maltraiter la mère pour mettre fin à la violence envers les enfants,

Invocation du privilège masculin

  • la dominance et l’inflexibilité du mari sont prônées par le Coran et exigent l’obéissance en tout,
  • les opinions, les aspirations et les plans de la femme sont considérés comme étant «occidentaux», c’est-à-dire non-islamiques, et donc totalement rejetés,
  • d’après le père, la violence verbale et physique envers les enfants est son «droit» en tant que père musulman,
  • la femme est encouragée à avoir peur de son mari,
  • répétition de Hadith (contestés) dans lesquels on dit que les femmes doivent incliner la tête devant leur mari,

Recours à l’abus économique

  • empêcher sa femme de faire ses études ou d’obtenir une formation,
  • l’empêcher d’avoir un emploi,
  • exiger qu’elle quitte son emploi,
  • prendre la totalité de son salaire alors que l’Islam lui permet de tout garder,
  • ne pas lui dire quel est le revenu de la famille,

Recours à la coercition et des menaces

  • la menacer d’épouser une autre femme,
  • la menacer de la battre en suivant les «directives de Dieu» (Coran 4:34),
  • la menacer de ne pas lui donner d’argent,
  • la menacer de répandre la rumeur qu’elle est une femme adultère, avec la conséquence d’être lapidée,
  • la forcer à retirer des accusations afin de préserver la réputation de la famille élargie,

Recours à l’intimidation

  • salir la cuisine de façon flagrante plusieurs fois par jour,
  • demander à l’imam local de dire à sa femme que la violence est sa faute,
  • déguiser les traditions en actes religieux,
  • cacher ou détruire des documents importants,
  • prendre tous ses bijoux et les vendre,
  • présenter des excuses à d’autres pour sa désobéissance,
  • collectionner et montrer des armes,
  • harcèlement criminel,

Recours à la violence psychologique

  • rabaisser sa femme ou lui dire qu’elle n’est pas à la hauteur en tant que mère musulmane,
  • ridiculiser son manque de connaissances islamiques,
  • la dénigrer ou la traiter de folle,
  • lui faire croire qu’elle est incapable de contrôler sa vie,
  • dire à la femme victime de violence qu’elle doit être silencieuse, docile et obéissante pour respecter l’honneur familial,
  • mentir à sa famille élargie sur le comportement de sa femme,
  • dire à sa femme qu’elle fait moins bien l’amour que les Américaines,

Source : http://www.lfcc.on.ca/roue_musulmane_de_la_violence_familiale.html

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