Publié par Abbé Alain René Arbez le 4 juillet 2013

Oasis_in_Libya

On nous annonce une série télévisée  à la gloire de l’islam intitulée « Kaybar »…

En 2002, à Bali, une puissante bombe déposée dans un lieu de vacances bondé d’Occidentaux faisait plus de 200 victimes et des centaines de blessés.

Or, au début de son procès devant la Cour de Justice indonésienne, Amrozy Bin Nur Hasin, auteur du carnage et membre de la Jemaa islamiyah, s’écria, avec un sourire étrange: « Juifs, vous vous souviendrez de Kaybar ! ».

Pourquoi faudrait-il se souvenir de Kaybar ?

A l’époque de Mahomet, Kaybar était une oasis au milieu du désert, peuplée de cultivateurs juifs qui avaient fait revivre ce coin de désert grâce à d’ingénieux systèmes d’irrigation.

Le prophète chef de guerre s’en empara en 628 ; par calcul, il autorisa les juifs à rester chez eux et à pratiquer leur foi, mais en contrepartie d’une lourde taxe permanente et du prélèvement du 50% de leur production dans les potagers et les palmiers-dattiers.

Le prédateur s’empara également de Safyia, une belle femme juive de Kaybar repérée par lui parmi ses nombreuses prisonnières devenues esclaves et soumises à ses caprices sexuels.

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Peu après, les chrétiens de Najrân subirent exactement le même type de racket que l’épisode de Kaybar.

Mais comme Mahomet avait déclaré avant de mourir: « On ne devra pas laisser deux religions exister côte à côte sur la péninsule d’Arabie », dès 640 le calife Omar s’empressa d’exproprier et d’expulser d’Arabie tous les non musulmans. Cette terre, initialement habitée et mise en valeur par des juifs et chrétiens devint l’espace sacralisé exclusif du Beau Modèle, et ce, jusqu’à nos jours.

Tous ces événements furent aussitôt considérés par la sharia comme fondateurs de la pratique du djihad et firent jurisprudence auprès des cadis pour le statut des « dhimmi », (juifs et chrétiens). C’est bien à partir de Kaybar que la discrimination fut officiellement instituée envers les impies et les mécréants.

On comprend alors mieux la répartie sarcastique du criminel Amrozy, jugé à Bali pour ses crimes anti Occidentaux et anti juifs, puisque Kaybar avait été effectivement la référence redoutable qui déciderait du sort des multitudes d’ «infidèles» lors des conquêtes musulmanes de leurs territoires.

Les conséquences criminogènes de cet épisode conquérant ont démontré leur évidente nocivité au cours des siècles, et cela fonctionne encore à l’identique aujourd’hui dans le mental des attaquants islamistes. Kaybar symbolise la mort annoncée de régions entières d’Orient et d’Asie, autrefois habitées par des populations juives et chrétiennes florissantes.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez pour www.Dreuz.info

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