Publié par Dreuz Info le 10 juillet 2013
MIDEAST ISRAEL INDEPENDENCE DAY
Par Roland Dajoux,
« Les vérités que l’on tait deviennent vénéneuses. »
Nietzsche

Soixante cinq ans après sa renaissance, l’Etat d’Israël n’a toujours pas de frontières reconnues officiellement, Jérusalem, sa capitale historique lui est contestée, et la Judée et la Samarie, deux provinces à consonances hébraïques évidentes sont considérés comme des « territoires occupés » par …Israël ! Aurait-on oublié que le Royaume d’Israël existait bien avant l’apparition de la première église ou de la première mosquée sur cette terre, et que de multiples conquérants, tels que les Assyriens, les Perses, les Romains, les Croisés, les Arabes et les Turcs martyrisèrent et chassèrent les Juifs de leur royaume ?

Depuis quelques dizaines d’années, de très nombreux pays ont déclaré leur indépendance et choisi leur capitale. L’Algérie, la Tunisie, le Maroc et tous les jeunes pays africains ont-ils eu besoin d’une autorisation pour décider du lieu et du nom de leur capitale dans la langue de leur choix ? Ils ont fixé leurs frontières sans soulever de contestations ou de menaces incessantes des Nations.

Alor, pourquoi, Israël reste-t-il l’exception depuis son retour sur sa terre ?

Pourquoi continue-t-il à être exposé à la vindicte du monde ?

Pourquoi la Terre d’Israël devrait-elle être « la terre de deux Peuples » alors que de nombreux pays demeurent souverains malgré l’existence, en leur sein, de minorités ethniques ou religieuses ?

Pourquoi Israël est-il perçu uniquement comme un agresseur, un briseur de paix, alors que les Palestiniens sont présentés uniquement comme des victimes ?

Rome est universellement reconnue comme la ville sacrée des Chrétiens et la Mecque comme celle des Musulmans, pourquoi refuserait-on à Jérusalem, trois fois millénaires, d’être la ville sacrée des Juifs ?

Pourquoi le monde peine-t-il à reconnaitre la vérité, l’Etat d’Israël a ouvert les lieux de cultes de toutes les religions, contrairement aux ségrégations pratiquées par les nombreux conquérants qui se sont succédés sur notre terre ?

Au nom de quoi ou de qui, Israël serait-il interdit d’exprimer sa spécificité et sa souveraineté ?

S’agirait-il d’une forme nouvelle et perfide de spoliation des biens Juifs ?

L’histoire explique l’actualité, aussi, est-il venu le temps pour Israël, de dénoncer avec la plus grande vigueur l’imposture et la duplicité de certaines nations. Il faut leur rappeler la longue liste des civilisations et des peuples qui ont voulu s’approprier notre terre.

Au 19ème siècle, la France, l’Espagne, le Portugal, la Belgique, la Hollande, l’Allemagne et la Grande Bretagne ont colonisé des pays qui leur étaient étrangers, géographiquement, historiquement et culturellement. Israël n’est pas un pays colonisateur, il ne revendique que le territoire qu’il lui appartient.

 Survol historique des multiples conquérants de la Terre d’Israël

  • On invoque très souvent la notion d’antériorité pour justifier la thèse palestinienne. C’est pourtant la plus mauvaise des argumentations car, faut-il le rappeler aux amnésiques de l’Histoire, Jérusalem fut fondé il y 3 000 ans par le roi David et donc bien avant l’apparition des Palestiniens, cette entité toute récente.
  • La Bible hébraïque relate l’achat de Jérusalem par le roi David, une enclave cananéenne qu’il avait pourtant gagné par la guerre. Après avoir avait régné sept ans à Hébron, David voulait que Jérusalem soit la capitale de tout le Peuple d’Israël, aussi demanda-t-il a toutes les Tribus d’Israël de participer financièrement, à hauteur de cinq sicles. Cet achat est un acte fondateur, hautement significatif, car à cet endroit se trouve la Pierre du Fondement du monde et le mont Moriah, le lieu de la ligature d’Isaac et de la lutte victorieuse de Jacob contre l’Ange d’Esaü. Le roi David entendait ainsi renouer avec la Création du monde et l’histoire des Patriarches hébreux. Il est remarquable de constater que la Bible hébraïque habituellement concise, relate avec détails les transactions commerciales pour l’achat de deux autres territoires : Hébron et Schrem, comme pour répondre à l’avance, aux contestations ultérieures sur l’appartenance à Israël de ces trois villes. Même si « la Bible n’est pas un cadastre » comme le disent certains de nos détracteurs, l’antériorité historique d’Israël est flagrante.
  • Le roi Salomon construira le premier Temple sur le mont Moriah et fera de Jérusalem sa capitale. Hélas, après sa mort, un schisme se produit, entrainant la division du royaume en deux, le royaume d’Israël au nord et le royaume de Juda au sud.
  • En 586 avant notre ère, Nabuchodonosor va conquérir Jérusalem, et détruire le Temple de Salomon. Il s’empare de ses richesses et exile les Juifs en Babylonie. L’exil, la spoliation des biens juifs et la colonisation de leur terre seront malheureusement, depuis cette époque, une constante dans l’Histoire.
  • Mais au grand dam des Nations, l’histoire d’Israël ne s’arrêtera pas pour autant. Cyrus le Grand autorisera la reconstruction du Temple, mais une partie seulement des exilés de Babylone retournera de captivité, car certains Juifs qui se considéraient comme l’élite ont préféré rester en exil (Galout en hébreu), s’excluant ainsi de la saga de leur peuple. S’agirait-il d’un signe prémonitoire pour les Juifs qui encore aujourd’hui demeurent en exil et n’ont pas compris l’importance du retour, de la Géoula, de la délivrance ?
  • Plus tard, ce sont les Romains qui déposséderont Israël de son territoire. Ils abolissent le Royaume de Judée en 135 et créent le nom de « Palestine ». Ce nom évoque les Philistins, ces envahisseurs étrangers venus par la mer et ennemis héréditaires des Hébreux. Jérusalem sera détruite par Titus, et l’Empereur Adrien débaptisera Jérusalem pour l’affubler du nom d’Aelia Capitolina, qui deviendra une ville interdite aux Juifs pendant deux siècles.
  • Lorsque l’Empereur romain Constantin se converti au Christianisme, il choisi Constantinople pour capitale, et c’est grâce à la bienveillante influence de sa mère Hélène qu’il redonnera son nom à Jérusalem. Quant à l’impératrice Eudoxie, elle permettra aux Juifs de vivre à nouveau à Jérusalem en 438.
  • En 611, c’est au tour de l’Empire Perse d’envahir la Palestine et de conquérir Jérusalem, qui sera reprise à nouveau par les Byzantins sous Héraclius.
  • Avec la naissance de l’Islam, les Califes successeurs de Muhammad vont conquérir les territoires de deux Empires Perses et Byzantins. De 632 à 666, le Califat de Médine colonisera de façon fulgurante et par la force du jihad, d’immenses territoires allant à l’est, jusqu’à l’Atlantique et à l’ouest jusqu’à l’Asie.
  • Le premier calife, Abu Bakr (632-634), a complété la conquête de la péninsule arabique, mais c’est avec le calife U’mar (634-644) que débutèrent les conquêtes de l’islam en dehors de l’Arabie. En 638, Jérusalem passera une fois de plus sous un contrôle étranger, celui des musulmans cette fois-ci.
  • La première croisade aboutit à la prise de Jérusalem le 15 juillet 1099 et la ville fut déclarée capitale du Royaume latin de Jérusalem. Rappelons que sous la domination des Croisés, les Musulmans et les Juifs seront interdits de vivre à Jérusalem !
  • Un siècle plus tard, Saladin s’emparera de Jérusalem le 2 octobre 1187.

L’Empire Ottoman, apogée et déclin

Le monde a oublié que les Ottomans étaient originaires d’Asie centrale. Après avoir conquis l’ancien Empire Seldjoukide au XIVème siècle, les Ottomans annexent des territoires byzantins. Osman Ier et ses successeurs vont ainsi bâtir l’Empire Ottoman. Avec la conquête de Constantinople, ils scelleront la fin de l’Empire Byzantin et domineront les populations chrétiennes qu’ils appellent, dédaigneusement, les Roumis, afin de rappeler leur victoire sur l’Empire romain d’orient. La Basilique Sainte Sophie deviendra la Mosquée Bleue pour affirmer la domination de l’Islam et « sacraliser » leurs conquêtes ! Jérusalem passera sous domination ottomane en 1516.

Une remarquable étude de l’historienne Renée Néher dément l’idée très répandue que la présence juive en terre d’Israël avait disparu avec la chute du second Temple. La présence juive en Eretz Israël n’a cessé ni avec la destruction du Temple en 70, ni avec la révolte de Bar Kochba en 135. L’intolérance des chrétiens byzantins au Ve siècle, puis celle des Abassides et des Fātimides musulmans aux IXe et Xe siècles, enfin et surtout les carnages des croisés en 1099 et l’interdiction de toute présence juive dans le royaume chrétien latin de Jérusalem, sont les moments de crise où culminent tragiquement les persécutions contre les Juifs qui font que progressivement juive deviendra clairsemée, mais restera toujours présente.

L’Empire Ottoman a assis sa grandeur au moment où l’Europe était en léthargie. Il a connu ses heures de gloire pendant le règne de Mehmed II jusqu’à la fin de celui de Soliman la Magnifique en 1566 mais leur héritage fut entamé après la défaite navale de Lépante en 1571. Il a fini par sombrer dans l’oubli après l’échec lamentable du second siège de Vienne en 1683. L’Empire Ottoman sera détrôné après la bataille de Navarin en 1827, annonçant son déclin. Après la Première Guerre mondiale, l’Empire Ottoman, allié des Allemands, se trouvera dans le camp des vaincus. Le Traité de Sèvres et la Société des Nations placeront ses territoires de Syrie, Palestine, Liban, Irak et Arabie sous mandat britannique et français.

La chute de l’Empire Ottoman et le partage des Nations

  • En 1917, les troupes britanniques, emmenées par le général Edmund Allenby, s’engagent dans une campagne contre les Turcs, alliés des Allemands.
  • Le 31 octobre 1917, les Britanniques remportent une victoire décisive, dans la ville de Beer-Shev’a qui conduira à la capitulation de l’empire ottoman.
  • Le 2 novembre 1917, par la Déclaration de Balfour, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l’établissement en Palestine « d’un foyer national pour le peuple juif ».
  • En décembre 1917, le général Allenby fait une entrée triomphale à Jérusalem et met fin définitivement à la domination ottomane sur la ville.
  • En 1922, le mandat de la Société des Nations, lors d’un vote à l’unanimité, officialise la reconnaissance internationale des liens historiques entre le peuple juif et le pays d’Israël et donne au peuple juif le droit de créer leur « Foyer National en Palestine ».
  • En 1923, la Société des Nations confirme le mandat britannique sur la Palestine, mais les Anglais, contrairement à leurs engagements, attribuent 75% de la Palestine mandataire à l’émir Abdallah, un des fils du roi Hussein pour créer la Transjordanie, qui deviendra la Jordanie actuelle.

Israël et les Nations

Pendant des siècles, sous l’occupation ottomane, la Palestine n’a jamais été revendiquée par un quelconque nationalisme arabe, et Jérusalem n’a jamais été la capitale d’un État musulman.

Jérusalem n’est jamais cité dans le Coran, alors que cette ville est rappelée plus de 600 fois dans la Bible hébraïque. Le nom Jérusalem dérive de l’hébreu et non pas de l’arabe.

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Il aura fallu que les héritiers légitimes d’Israël, expulsés de leur royaume, retournent après deux mille ans d’exil sur la terre de leurs ancêtres, qu’ils la défrichent, la cultivent et fassent reverdir le désert pour qu’on leur conteste tout droit de propriété, malgré l’aval des Nations unies.

On oublie pourtant que le terrorisme arabe, en Palestine, s’était déchaîné bien avant l’indépendance de l’État d’Israël.

Rappelons, notamment, les émeutes anti-juives en 1920-21, le massacre de Hébron en 1929, les appels au meurtre répétés en 1936-1939 par le Mufti de Jérusalem, Haj Amin al-Husseini qui fut l’instigateur d’une alliance islamo-germanique contre les Anglais et les Juifs. Il déclarait, en 1947 : « Ce que l’ONU a écrit à l’encre noire, nous l’écrirons avec du sang rouge ».

Le 29 novembre 1947, les Nations Unies entérinent par un vote historique la création de deux états, un Etat juif et un Etat arabe en Palestine sur les 25% du territoire restant de la Palestine mandataire. La Résolution 181 des Nations Unies a été approuvé par 33 voix « pour », 23 « contre » et 10 abstentions. Le retour d’Israël sur sa terre résulte donc, on l’oublie trop souvent, de deux décisions officielles des Nations Unies et de son ancêtre, la Société des Nations.

Dans l’après-midi du 14 mai 1948, David Ben Gourion proclame l’indépendance de l’État d’Israël. Le jour même, une coalition de cinq pays arabes – l’Égypte, la Syrie, la Transjordanie, l’Arabie Saoudite et l’Iraq – bafouait la décision des Nations Unies et le droit international et envahissait immédiatement Israël avec le but avoué de « jeter les Israéliens à la mer ».

Le 15 mai 1948, Azzam Pacha, secrétaire général de la ligue arabe, proclamait : « Cette guerre sera une guerre d’extermination et un massacre grandiose dont on parlera comme des massacres commis par les Mongols et les Croisés ».

Le 7 janvier 1949, le Conseil de sécurité des Nations unies impose la fin des combats.

De 1948 à 1967, les lieux saints juifs vont demeurer sous domination jordanienne, le Mur Occidental et le mont des Oliviers de Jérusalem, la tombe de Rachel à Bethléem et la tombe des Patriarches à Hébron restaient fermés aux pèlerins juifs, même de nationalité non israélienne, alors que l’armistice de 1949, sous les auspices de l’ONU, en avait garanti l’accès.

La Jordanie profanait les lieux saints juifs. Le roi Hussein autorisa, à Jérusalem la construction d’une route menant à l’hôtel Intercontinental qui traversait le cimetière juif du mont des Oliviers. Des centaines de tombes juives furent ainsi détruites. Les pierres tombales érigées à la mémoire des rabbins et des sages juifs étaient réemployées par le génie militaire jordanien pour la construction des fondations, des murs, du dallage et des latrines d’un camp militaire. D’autres pierres tombales étaient utilisées pour édifier le mur du jardin de l’hôtel Intercontinental. L’ancien quartier juif de Jérusalem fut dévasté. Trente-quatre synagogues dont certaines, vieilles de plusieurs siècles, furent dynamitées. Le cimetière juif de Hébron fut détruit et transformé en terrain vague.

On oublie étonnement de dire que la bande de Gaza était sous domination égyptienne et non palestinienne depuis 1948 jusqu’à la Guerre des Six Jours, et que la Jordanie, en 1950, avait annexé de façon illégale la Judée et la Samarie, qu’on appellera par la suite, « Cisjordanie ». En 1967, à la suite de la guerre des Six Jours, Israël contrôlera l’ensemble de Jérusalem et les Juifs retrouveront leurs lieux saints, et autoriseront le libre accès aux lieux saints des Chrétiens et des Musulmans.

Les Palestiniens  et les Nations : le mensonge du siècle

Le monde voudrait nous faire croire qu’il existe une symétrie entre Palestiniens et Israéliens. La réalité est toute autre.

Il n’y a jamais eu de peuple palestinien,

il n’existe pas de langue palestinienne,

pas de culture palestinienne,

pas de capitale palestinienne.

Il y a des arabes, musulmans ou non, qui vivaient sur ce territoire quasi désertique. Avec le retour des pionniers juifs sur leur terre ancestrale, de nombreux arabes sont venus des pays entourant Israël, attirés par l’expansion économique soudaine. Yasser Arafat d’ailleurs, représentait parfaitement ce qu’étaient les palestiniens : il était né au Caire, le 24 août 1929.

N’oublions pas que lors du Mandat britannique sur la Palestine, étaient considérés comme « palestiniens » tous les habitants qui vivaient sous cette autorité, qu’ils soient juifs, chrétiens ou musulmans. Ce n’est qu’en 1948, lors de la création de l’Etat d’Israël que les Juifs prirent la nationalité israélienne. Il n’y avait plus d’identité palestinienne mais des arabes, musulmans ou autres, vivants en Israël ou dans les pays environnants. Le jour de son Indépendance, l’état d’Israël a été attaqué par six pays arabes et non pas par les « palestiniens » qui n’existaient pas encore.

Pourquoi cacher le fait que cette guerre déclenchée par les pays arabes contre Israël a créé non pas un, mais deux problèmes de réfugiés : l’un juif, l’autre arabe ? Ce sont les dirigeants arabes qui ont incité la population palestinienne à fuir, leur faisant croire qu’ils reviendraient en vainqueurs, qu’ils allaient « écraser rapidement les bandits sionistes ». Ils proclamaient que chacun pourrait non seulement revenir dans son foyer au bout de quelques jours, mais également s’emparer des biens juifs !

David Ben Gurion, Premier ministre du gouvernement israélien, avait clairement donné des instructions pour convaincre les Arabes de revenir, et d’ailleurs, 160.000 d’entre eux sont restés en Israël. Tandis que les pays arabes refusèrent d’intégrer les réfugiés palestiniens et de leur apporter une aide humanitaire, les réfugiés juifs ne restèrent pas longtemps des réfugiés malgré une situation économique des plus précaires, en Israël à cette époque.

Au terme de cette liste non exhaustive d’exactions peu dignes commises à l’encontre d’Israël, les Nations qui accusent Israël en permanence devraient se souvenir de leurs actions passées et faire repentance en pensant à cette sentence du Roi Salomon « On croit voir en l’autre, la haine qu’on lui porte »(Michlé).

Malgré toutes les critiques, toutes les accusations mensongères, toutes les menaces, Israël se développe dans tous les domaines, économique, scientifique, culturel, humanitaire, alors que les pays qui l’entourent se révoltent, s’entretuent et entretiennent leurs populations dans des conditions socio-économiques indécentes.

A l’exemple du Roi David, le peuple d’Israël est toujours prêt à faire la paix avec ses ennemis, mais il possède aussi, aujourd’hui, une force de dissuasion puissante et surtout la conviction de défendre la Vérité et la Justice qui, seuls, permettront non pas d’éterniser la poursuite de processus dits de paix mais d’atteindre une véritable paix des hommes et des cœurs.

Israël, baromètre de la moralité et miroir de l’humanité saura conserver son héritage millénaire.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Roland Yéhouda Dajoux pour www.Dreuz.info, Jérusalem.

Auteur de deux livres :

Israël miroir du monde. Histoire d’une terre retrouvée*. Editions Persée 2009

Quand l’Occident s’éveillera…L’Islam raconté à l’Occident*. Editions Persée 2012

1 Renée Néher. La vie juive en Terre Sainte sous les Turcs ottomans*. Calmann Lévy, 2001

* En achetant les livres avec ces liens Amazon, vous bénéficiez d’une remise de 5%, et vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%.

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