Publié par Gaia - Dreuz le 28 juillet 2013

Elfatih Hassanein, citoyen soudanais et directeur de l’entreprise Third World Relief Agency (TWRA) qui exerçait à Vienne de 1987 à 1995, a longtemps fait partie de ceux qui accumulaient le plus de richesses.

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Il a également participé en 1993 à l’organisation de la visite d’Oussama Ben Laden à Sarajevo. Pour ces services, Alija Izetbegovic a honoré Elfatih Hassanein d’un ordre bosnien supérieur.

Elfatih Hassanein a fait passer par ses comptes 400 millions de dollars des pays islamiques destinés à Alija Izetbegovic. Il y avait aussi une entreprise basée à Vienne, qui était dirigée par Salim Sabic, un tailleur de Zagreb. Il entretenait pendant 20 ans des liens avec de riches musulmans et récoltait même de l’argent pour la construction d’une mosquée à Zagreb. Muhamed Catic est un homme d’affaires de Zagreb qui vit depuis longtemps aux Émirats arabes unis. C’est de là qu’il collecte les fonds provenant du Bahreïn, du Qatar, d’Oman, du Koweït et d’Iran.

Irfan Ljevakovic et Salih effendi Colakovic faisaient aussi partie de ceux qui récoltaient de l’argent. Les réfugiés et la diaspora musulmane (bosnienne) étaient une autre source de revenus. Ces personnes étaient obligées d’effectuer chaque année des transactions à Sarajevo. Selon certaines données, cette source apportait chaque année aux leaders politiques et spirituels musulmans de Sarajevo plus de 2 milliards de dollars.

Selon des estimations, près de 80 000 bénévoles des pays musulmans (Algérie, Afghanistan, Tunisie, Pakistan, Égypte, Iran, Soudan, Tchétchénie) sont entrés en Bosnie-Herzégovine entre 1992 et 1995. Des moudjahidin, qui faisaient partie des mercenaires, ont personnellement participé à l’élimination de 72 000 Serbes. Au départ, les musulmans ont été eux-mêmes choqués par les tortures raffinées des coreligionnaires mercenaires, les viols massifs, les paniers remplis de têtes coupées, les camps où les Serbes étaient torturés et tués.

Selon des sources sûres (des membres de la mission de l’ONU et de l’OSCE à Sarajevo), il y a toujours plusieurs milliers de moudjahidin en Bosnie-Herzégovine. Une partie d’entre eux ont reçu des papiers, après s’être mariés à des femmes locales. La citoyenneté a été délivrée par les autorités à d’autres. Désormais, ils sont tous citoyens de Bosnie. Tout ceci se déroulait sous le contrôle de Bakir Alispahic, ex-ministre de l’Intérieur, qui est actuellement homme d’affaires important. Il est toujours considéré comme un homme au passé sombre. Avant la guerre, il faisait de la spéculation avec les drogues et l’or.

Il est intéressant de savoir que, jusque 1991, les services de sécurité bosniens étaient composés de 800 personnes contre 2800 aujourd’hui. Toutes ces personnes sont formées pour mener tout type d’acte, dont les actes terroristes.

Désormais, ces citoyens loyaux, qui étaient il n’y a pas si longtemps encore, des terroristes, venus de tout le monde musulman, vivent en groupes dans des localités montagnardes. Au début de la guerre, ils ont apporté en Bosnie-Herzégovine 30 à 40 types de mines de provenance inconnue. Ces personnes peuvent, à n’importe quel moment, faire des diversions, installer des mines dans les endroits les plus imprévisibles et, en même temps, livrer des armes dans n’importe quelle partie de l’Europe de l’Ouest. Dans les années 1990, Kevin Rafael Holt, un américain de Washington, était instructeur de moudjahidin bosniens. Il a reçu une bonne formation militaire en Afghanistan et un cours de perfectionnent en sabotage au Pakistan. Il a été vu plusieurs fois au Liban.

De nombreuses bases pour la préparation de terroristes ont été tenues en tutelle et contrôlées par des diplomates iraniens en les faisant passer pour diverses organisations humanitaires. Non seulement elles apprenaient aux élèves des techniques de sabotage, mais aussi à fabriquer des cadeaux sous forme de jouets et de glaces qui s’avéraient être des mines mortelles. Une de « ces universités humanitaires » se trouvait seulement à 80 km de Sarajevo dans le petit village de Bakotic. Près de 200 bénévoles armés jusqu’aux dents y habitaient et presque chacun d’entre eux avait de bonnes relations avec le commandement de l’armée de Sarajevo.

http://french.ruvr.ru/2013_07_26/Passeports-bosniens-pour-terroristes-8787/

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gaïa pour www.Dreuz.info

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