Publié par Albert Bertold le 26 août 2013
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Marche blanche pour Jacques Blondel

Jeudi à Marignane, un homme de 60 ans, Jacques Blondel, a été abattu pour avoir tenté d’arrêter les auteurs du braquage d’un bureau de tabac.

Le présumé coupable
Marouen, présumé coupable

Un maghrébin de 18 ans, multirécidiste, a été mis en examen pour «vol avec arme» et «meurtre afin d’assurer l’impunité de son auteur», puis écroué, a déclaré le procureur adjoint d’Aix-en-Provence, Denis Vanbremeersch.

Le facho de journaliste Claude Askolovitch, doit être vert : une marche blanche a été organisée pour la victime.

Car cette crotte d’Askolovitch – à qui Dreuz a déjà eu l’occasion de donner quelques leçons de morale (ici, ici et ) a osé commenter l’assassinat de Jacques Blondel en ces mots :

Askolovitch : “Ce monsieur [Jacques Blondel] est infiniment pitoyable parce qu’il est mort. Tu ne peux pas l’ériger en exemple.” (pitoyable, définition du Larousse : Qui est mauvais, sans valeur, sans mérite aucun ; minable).

Vous avez bien entendu ? Pour les extrémistes de gauche qui font la presse française, et dont Askolovitch est un banal préposé à la carrière poussive, et qui tente de faire de la surenchère pour être reconnu, le possédant est toujours coupable de quelque chose, et l’agresseur toujours broyé par la société. Pour Askolovitch, Jacques Blondel est fautif d’avoir voulu empêcher le pauvre immigré forcément discriminé, de réduire l’injustice qui l’accable. Pour Askolovitch, avoir voulu défendre le sale bourgeois de buraliste est pitoyable. Blondel est la lie de la société révolutionnaire dont rêve Askolovitch, où le tiers-monde prendra sa revanche sur l’oppresseur blanc, de préférence dans le sang. Askolovitch se déteste en homme blanc et juif, et il ne cesse de se punir pour s’en faire pardonner.

Réponse de l’autre journaliste, choqué : “pour une fois qu’on en a un qui a risqué sa vie, essayons de ne pas l’accabler”…

Mais Askolovitch s’entête et ajoute l’ignoble à la crapulerie :

Askolovitch : “il a transformé deux petits voyous merdeux en assassins, c’est un gâchis terrible”.

Vous lisez bien. Si cette saloperie de RER ne s’était pas arrêté à Grigny, il n’aurait pas contraint les racailles à dérober les voyageurs, et Jacques Blondel, en se faisant assassiner, explique Askolovitch, s’est rendu coupable d’avoir transformé deux voyous en criminels. Maudit Blondel qui a eu la détestable idée de mourir. Abject Blondel à cause de qui ces voyous risquent la réclusion criminelle à perpétuité. Vous rendez-vous compte du peu d’importance que représente la vie humaine, lorsque le dogme de la gauche forcément morale est titillé ? Askolovitch est un tout petit, mais il dit tout haut avec lourdeur ce que pensent les socialistes, héritiers du socialisme national allemand, plus connu sous le nom de nazisme.

Et Askolovitch, choqué qu’un homme ait pu s’en prendre à la chance pour la France, conclut : “Il [Jacques Blondel] a agi, comme tu [le journaliste présent dans le studio] n’aurais jamais agi, car tu es un être rationnel”.

Oui. Pour Askolovitch, il n’est pas rationnel de s’en prendre au faible, à l’exploité, au laissé pour compte : le voleur, pour protéger l’exploiteur, le bourgeois, le riche profiteur, et son bureau de tabac.  Pour Askolovitch, le bien et le mal n’ont de sens qu’au travers d’un filtre établit il y a près d’un siècle par les bolchéviques.

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Sale mec, cet Askolivitch, scandalisé que le réel contredise le dogme, incapable de retrouver un peu d’humanité sous la couche nauséabonde de l’idéologie de la gauche, comme Cathy Vinciguerra, adjointe au maire de Marignane où s’est passé le drame, et qui a annoncé : “dans les jours qui viennent, je remettrai ma démission de mon mandat d’élu au maire, ajoutant qu’il y a des limites qu’’il ne faut pas dépasser et, être élue au service de sa ville, c’’est savoir accepter les erreurs et en tirer les conséquences“.

Madame Vinciguerra, vous êtes une digne femme.

Quand à nous, l’équipe de Dreuz présente ses condoléances à la famille et aux proches de Jacques Blondel, mort debout et pour le bien, assassiné par la pourriture de l’humanité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Bertold pour www.Dreuz.info

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