La nuit de dimanche à lundi a été agitée dans les rues toulousaines. Deux rixes, dont l’une aurait pu être fatale à un jeune mineur âgé de seulement 15 ans, se sont terminées par des coups de couteau.
La plus grave s’est produite aux alentours de 23 heures, rue Hoche, dans le quartier de Bourbaki. Les protagonistes se sont d’abord bagarrés, pour une raison que l’enquête devra déterminer. L’un d’entre eux, âgé de 20 ans, est alors retourné dans son domicile tout proche.
Il s’est emparé d’un couteau avant de revenir sur les lieux de l’embrouille avec son père. C’est là qu’il a porté un coup au jeune mineur de 15 ans. La victime a été très sérieusement blessée au ventre. Secouru par les sapeurs-pompiers et le SAMU, le jeune adolescent a d’abord reçu les premiers soins sur place avant d’être transporté à l’hôpital. Son pronostic vital était alors engagé mais son état de santé s’est amélioré et il était hors de danger hier. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale.
Coups de feu, matraque et lame
Une deuxième rixe aurait pu mal tourner, dimanche soir, vers 22 h 30, rue Miguel-Pascual, dans le quartier de Lardenne à Toulouse. Un groupe d’une dizaine d’individus et quatre autres personnes en sont venus à se bagarrer, probablement sur fond de règlement de comptes.
Des membres de la bande la plus nombreuse ont tiré des coups de feu, avec un pistolet d’alarme ou à grenaille, tandis qu’une matraque télescopique et un couteau ont été exhibés par certains. Dans la rixe, trois personnes ont été blessées dont deux, âgées de 25 ans et 30 ans, ont dû être conduites à l’hôpital. Un homme souffrait notamment d’une blessure à la mâchoire.
Les agresseurs ont pris la fuite à bord de deux véhicules mais les forces de police sont parvenues à interpeller deux jeunes hommes dont un mineur. Là encore, les enquêteurs de la brigade criminelle ont été saisis.
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La ville rose perd depuis quelques temps beaucoup de ses charmes, le simple fait de s’y promener peut se transformer en drame, un portable un peu visible, un regard distrait mal interprété et c’est le drame, et li n’y pas que Toulouse qui est touchée, c’est partout,, la gangrène s’étend.
La police en a interpellé 2 mais taubi veille, ils ne risquent rien, un rappel à la loi, une admonestation, et ils vont ètre pliés de rire en sortant. on est gouverné par des guignols, ça devient le grand guignol grotesque et sanglant.
et en plus dans le quartier bourrebaki, je me pisse dessus de rire.
moi j’aime le titre: « dans la nuit toulousaine »
on se croirai dans un film d’horreur :pissedoff:
remarquez, ça en est peut être un….
Des mineurs, des mineurs !! Est-on sûr qu’ ils ne chantaient pas « LES CORONS » de Pierre Bachelet ?
Par hasard, ils ne seraient pas plutôt démineurs ?
Toulouse, Toulouse ! Ecoute le cri déchirant de Nougaro en voyant ce que sa ville est devenue ! Une annexe de la Coutellerie de LAGUIOLE!
ce n’est plus la ville rose c’est la ville grise
Non c’est la vie rouge sang !!!!!!!!
Pas la vie,mais la ville !!!!!!
Les membres des familles de ces racailles vont jurer que ce sont des jeunes gentils, qui n’ont jamais fait de mal et qui aiment et aident leurs prochains. Avec des parents pareils, comment voulez vous que leurs descendances soient des gens honnêtes , ils naissent et grandissent dans le mensonge et sont élevés avec le mépris des autres comme leitmotiv .