Publié par Jean-Patrick Grumberg le 28 septembre 2013

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Une fois encore, les progressistes nihilistes s’attendrissent sur le sort d’un criminel, Omar Khadr, oui le terroriste Omar Khadr.

Ils se disent scandalisés que ses droits ne soient pas respectés – lui qui a décidé de rejeter les principes de droits, et qui s’est placé en dehors de ce droit qui ne vient pas d’Allah.

Une fois encore, les progressistes nihilistes piétinent un droit suprême et supérieur à ceux du terroriste : celui que possède chaque citoyen de vivre en sécurité, et d’exiger de la société et de ses représentants chargés de l’organiser, qu’elle les protège de la menace de mort du terrorisme – quel que soit le prix et quels que soient les droits juridiques qu’il faut bafouer pour y parvenir.

Une fois encore, les progressistes nihilistes crachent sur la sécurité d’innocents canadiens, leurs compatriotes, qui n’ont pas à subir la présence d’un Khader en liberté, d’un prédateur islamiste nourri à la haine de l’occident, et à l’amour du jihad pour Allah.

Une fois encore, les islamistes, Khader en tête, jurent qu’ils vont instaurer la Sharia par la violence et la terreur, et les progressistes répondent : “nous n’entendons rien”.

Cela terminera dans un nouveau bain de sang qui ne les fera pas même réfléchir.

Cette semaine, les avocats d’Omar Khadr demandaient son transfert vers une prison provinciale, plus cool, plus sympa, plus humaine, alors qu’il est enfermé dans une prison à sécurité maximale à Millhaven, en Ontario, puis celle d’Edmonton. Et pourquoi cela ? Parce qu’il était mineur au moment des faits, et que, c’est bien connu, un mineur ne ferait pas de mal à une mouche.

Wake up and smell the coffee guys: les islamistes n’attendent pas la majorité, comme on passe le permis de conduire, pour devenir terroriste.

Le gouvernement Harper, exclusivement concerné par la sécurité de ses concitoyens, a opposé un refus catégorique.

Le ministre de la Sécurité publique, Steven Blainey, a dit que le gouvernement s’opposerait « vigoureusement à toute tentative » destinée à relâcher Khadr « plus tôt dans les rues canadiennes ».

Stephen Harper a renchérit : « notre gouvernement empêchera avec vigueur toute tentative […] visant à atténuer la peine qu’il a reçue ».

Ouf ! Voilà un premier ministre qui s’intéresse d’abord aux Canadiens, et à leur droit imprescriptible à savourer bonheur et sécurité, des mots que les gauches du monde entendent comme une insulte obscène.

Omar Khadr est un terroriste, point à la ligne, et il n’est pas question d’accepter une quelconque circonstance atténuante, explique le gouvernement canadien, que nous applaudissons avec enthousiasme.

  • Il a été embrigadé enfant par son père,
  • il a été fait prisonnier en juillet 2002, lors de son crime, il avait 15 ans.
  • Sa famille est engagée dans le terrorisme, et fait son apologie.
  • Son père était un des hommes de confiance d’Oussama Ben Laden.

Aveugles, sourds, et allergiques à la réalité des faits, les progressistes ne veulent voir que “l’infâme prison” où il a été enfermé, ses conditions de détention “épouvantable”, et son plaidé coupable en échange d’une peine réduite et d’une promesse de transfert au Canada.

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Khadr est un terroriste, il est prêt à recommencer ? Peu leur importe. Les gauchistes ne voient qu’une chose : Omar Khadr a subi “huit ans de coercition et … la peur d’être condamné à l’emprisonnement à vie pour crimes de guerre, de meurtre, de complot et de soutien matériel au terrorisme.”

Pauvre Khadr… un terroriste si modéré qui “a passé une si grande partie du temps en isolement” pleurnichent ses soutiens.

Scandale absolu, outrage au respect de la liberté d’opinion, le bureau du ministre était même intervenu pour empêcher M. Khadr d’accorder une entrevue à la Canadian Press.

Parce que voyez-vous monsieur, chez ces gens là, les terroristes ont droit au respect de leur liberté d’expression.

Il s’est même trouvé des experts pour dire qu’il fallait réévaluer le danger que pose Omar Khadr, « en gardant en tête que son seul crime a été commis alors qu’il était un mineur ».

Comme si un islamiste pouvait guérir de l’islam et renoncer au jihad. Et pourquoi pas affirmer que l’islam est une religion de paix et d’amour tant qu’ils y sont !

Les progressistes affirment même que le gouvernement se prive “de chercher à prévenir sa radicalisation et à favoriser sa réhabilitation”.

Aux innocents les mains pleines. Si l’on pouvait réhabiliter un jihadiste, et défaire sa radicalisation, cela se saurait. Lorsqu’on décide de nier toute réalité, il reste tant de place pour la propagande. Celle là est meurtrière ? Qu’importe !  Laissons lui le bénéfice du doute, à ce gentil jihadiste modéré.

Et ces complices de criminels qui veulent sa libération n’hésitent pas à sortir l’argument le plus infâme : s’appuyant sur un rapport du Service canadien du renseignement, qui conclut que le milieu carcéral est un des lieux de radicalisation à l’islamisme sunnite, ils ne trouvent pas mieux que de demander qu’on le relâche, pour ne pas le laisser se radicaliser.

Car voyez-vous, les radicaux sunnites, les salafistes, les candidats au terrorisme ne se trouvent que dans les prisons.

Pauvres imbéciles, pourvu que ces énergumènes ne prennent jamais le pouvoir au Canada…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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