Il n’y a pas si longtemps, trois générations vivaient sous le même toit : les grands parents, les parents et les enfants. Simplement parce qu’ils n’étaient économiquement pas en mesure d’entretenir plusieurs résidences.
Les trente glorieuses et la fin du siècle dernier ont apporté ce confort, l’indépendance, l’aise.
Mais le pouvoir d’achat des Français plonge – et va encore plonger. Les retraites rétrécissent, les emplois disparaissent, les impôts augmentent, la politique sociale se développe et avec elle son coût explose, et le gouvernement et les grands corps administratifs dépensent sans compter.
Je ne serais pas surpris que revienne cette période où les familles devront se serrer la ceinture au point de partager le même toit.
A toutes choses malheur est bon. Les grands parents ont un rôle essentiel dans une famille : transmettre à leurs petits enfants la sagesse, l’expérience, les traditions, les histoires du passé, que les parents, légitiment occupés à construire leur carrière et nourrir leur famille, n’ont pas le temps ou la possibilité d’assumer.
Si, et seulement si, en France et dans les autres pays appauvris par l’Europe sociale et l’euro, les familles devaient se resserrer, certains verraient cela comme une régression insupportable. D’autres y trouveraient un formidable enrichissement.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info.
vivre à trois générations sous le même toit … Si c’est dans plus grand, pourquoi pas, mais moi, avec juste mes enfants, on est déjà à l’étroit…
vivre avec sa famille sous le même toit ? sa c’était la France sous le méchant nicolas et l’UMP l’avenir c’est de dormir dans sa voiture avec femme et enfants ou pour les vrais patriotes écolo sur un vélib
La tendance à revenir ou à demeurer chez papa-maman en raison de contraintes financières affecte un peu tout le monde aux USA depuis une dizaine d’années : les jeunes gens qui n’arrivent pas à trouver d’emploi en fin d’études universitaires, les divorcés incapables d’assumer désormais deux résidences au lieu d’une, les parents célibataires dont le salaire suffit à peine pour faire vivre une seule personne. On voit aussi certains retraités, incapables de subsister sur leur seule retraite, s’installer chez leurs enfants.
Il y a aussi tous les paumés, qui non contents de vivre de la charité publique, comptent sur leurs parents et grands-parents pour élever les enfants qu’ils ont mis au monde au hasard de leurs pérégrinations, et pour les héberger eux-mêmes entre deux aventures avec un nouveau partenaire.
vivre sous le même toit ne devrait pas être un problème l’appartement assez grand et si la belle fille s’accorde bien avec leur belle-mère ..
qui peut ainsi profiter de ses petits-enfants ! seulement chaque génération perd son intimité familial et vont-ils pouvoir se supporter c’est un autre problème !! sinon ça leur fait faire de belles économies sur le montant des loyers , des taxes d’habitations .. etc…
Aujourd’hui, en attendant à une caisse de supermarché, nous étions bien quatre ou cinq à nous poser la question (ce qui arrive de plus en plus souvent, sans se connaître) comment sortir de cette impasse.
Les sexagénaires et les vieux, fatigués, obligés de continuer de travailler, les uns pour cotiser, les autres pour améliorer leur retraite. Et surtout, pas de travail pour les jeunes.
A ce moment-là, la jeune caissière nous dit : “moi, je travaille pour 700 euro. On refuse de me louer un appartement parce que mon salaire est trop bas. Je suis obligée de vivre chez mes parents. “Eux”, ils ont tout. Nous on devient des miséreux ! ”
Comme tout jeune qui se respecte, l’envol de la cellule familiale est une étape qui les grandit. Qui les responsabilise. Alors, habiter avec les générations précédentes ne sera pas un bien pour eux. La promiscuité est souvent dévastatrice.
Certes, j’ai la chance d’habiter à deux pas de mes petits enfants et de les profiter. Mais je puis vous assurer que ni mon gendre ni ma fille ne m’ont permis de m’immiscer dans l’éducation de leurs enfants. Comme je ne l’aurais jamais permis à mes parents.
Alors… Si nous avions dû cohabiter, l’éclatement de la famille aurait suivi.
Néanmoins, comme pour la petite caissière, ma nous avons une très longue lignée de “Tanguy” et “Tanguettes”
De nos jours les enfants restent (le) plus longtemps chez les parents qui accueillent parfois leurs propres parents. Tandis que les parents devront eux aller vivre chez leurs enfants. Et ainsi de suite avec les petits-enfants…
Tout empire, on devient de plus en plus pauvre mais tout va bien. Je plains sincèrement les nouvelles générations…
On y arrive à grand pas ,les salaires plongent , les offres d emploi aussi . Quant à la cohabitation pour 3 génerations, peut etre dans un penthouse. En tout cas,l avenir et le present n est pas rose du tout.
Et 75E/jour / ROMs mal logés : plus de 11 000E/mois..Et le jeune Français obligé de vivre chez ses parents… Les Musulmans qui arrivent en famille nombreuses, sont prioritaires de tous les HLM depuis des années.
Consolons nous…. les nouveaux arrivants des autres continents, ont eux la joie de disposer prioritairement et ce, dés leur arrivée d’un logement spacieux, dont le loyer est réglé par nos soins, le tout au nom de la solidarité et surtout de l’égalité , et tant pis si nous autochtones , nous devons au fil des jours nous priver dans tous les domaines, et si nos enfants et petits enfants se trouvent dans l’obligation de retourner dans le giron familial , avec tout ce que cela comporte de positif , sans oublier le côté négatif, continuons de nous taire au nom de la sacro-sainte solidarité , dormons sur nos deux oreilles les droits de l’homme , sont respectés pour les nouveaux arrivants bien sûr, quant à nous, payons , payons jusqu’à ce que tous, nous connaissions la pauvreté, toujours dans la joie du devoir accompli!!!!! A nous de nous réveiller et se révolter !
Bonjour à tous,
Je me permets de poster un petit message suite à cet article on ne peut plus vrai et actuel. Je suis moi-même journaliste, et je réalise un reportage à la télévision sur les adultes vivant chez leurs parents. Je recherche en particulier des femmes qui seraient retournées vivre chez leurs parents après la perte de leur emploi ou une séparation, avec ou sans enfants.
Si le sujet vous intéresse, que vous êtes concerné ou que vous connaissez quelqu’un qui l’est, voici mes coordonnées, n’hésitez pas, un premier contact n’engage à rien et vos témoignages me permettront d”avancer dans mon enquête :
01.46.43.90.40 ; [email protected]
Merci à tous !