
La richesse ne peut venir que de la création, et la création ne peut exister qu’avec la liberté d’entreprendre.
Google fête ses 15 ans et présente la dernière évolution de son algorithme de recherche, “Hummingbird” (colibri) pour la vitesse et la précision de cet oiseau fascinant qui peut faire du sur place en déplaçant ses ailes plus vite que ne peut le déceler l’œil humain. Le Google nouveau permettra à l’utilisateur de recevoir des résultats encore plus pertinents aux requêtes complexes, notamment pour les recherches conversationnelles, l’avenir de la recherche sur Internet, qui passe par un apprentissage du contenu des sites internets, et non plus seulement des mots-clefs qu’il contient.
Pendant que les uns, dans la Silicon Valley, inventent, réfléchissent, innovent, créent et avancent, d’autres en France, brident, limitent, dénoncent, contrôlent, menacent et ligottent.

- En 2008, L’UMP voulait donner au CSA le droit de contrôler l’Internet, pour “assurer efficacement la protection des mineurs face aux contenus audiovisuels mis à disposition du public par un service de communication en ligne ou par un service de média audiovisuel à la demande”.
- En 2010, le CSA exigeait une “neutralité” de Google en faveur des contenus français et il voulait imposer à Google de mieux positionner les contenus produits en France.
- En 2010 encore, Le CSA imposait que la VOD (sur mobile et internet) respecte des quotas d’expositions d’œuvres – 60% européennes dont 40% françaises.
- En 2011, Le CSA bannit les mentions Facebook et Twitter des écrans de télévision. C’est de la publicité clandestine dirent les fonctionnaires sortis de Zola.
- En décembre 2011, le CSA prend en main le dossier de la TV connectée. Objectif : réglementer les contenus issus du Web qui échappent aux lois nationales.
- Septembre 2013, un expert va être désigné par la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) pour proposer des amendes et des mesures coercitives à l’encontre du géant de l’Internet Google.
- Septembre 2013, le Sénat donne au CSA le pouvoir de réguler les vidéos sur Internet, notamment celui de censeur, en lui permettant de concevoir une usine à gaz administrative où tout éditeur de vidéos, même personnelles, devra se signaler. Le CSA pourra également décider du sort de ces vidéos, dire ce qui peut être diffusé et ce qui ne le peut pas.
Comment voulez-vous créer quoi que ce soit avec une armée de fonctionnaires non productifs, placés au dessus de vous, qui vous cherchent constamment des poux dans la tête pour justifier leurs heures de travail, et qui n’ont jamais rien inventé de constructif pour la société.
C’est tout simplement impossible. Et Google ne pouvait ni être inventé en France, ni s’y développer, et s’il le fut, il se serait enfui de l’enfer administratif français pour ne pas être asphyxié.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info
J’en profite pour y glisser un petit lien :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=fbka9J_YkJg
Google ne pouvait surtout pas être inventé dans un pays cultivant un tel étatisme que la France. Mais à vrai dire une telle innovation pouvait-elle éclore ailleurs qu’aux Etats-Unis d’Amérique?
A propos, l’année de création de Google est 1998. Qui était donc le POTUS à l’époque? En définitive, Bill Clinton n’a-t-il pas administré avec perspicacité l’héritage reaganien?
Administré avec perspicacité, ou profité de l’inertie ? Rappelons quand même que les mécanismes qui ont créé les subprimes, et la crise qui s’en suivi, ont été imposés par l’administration Clinton.
Comme monsieur Jourdain la prose, le monde occidental pratique les crédits “subprime” depuis que le prêt avec intérêt a été inventé. L’administration Clinton en a simplement facilité le refinancement par des institutions parapubliques initialement crées à l’époque de Roosevelt. L’attitude de l’administration G.W.Bush à ce sujet a été pour le moins ambigüe, pour une raison très simple: cela soutenait l’activité économique.
Dans ses mémoires (Decision points, Crown Publishers), George W reproche avant tout, et paradoxalement, à son prédécesseur la quasi abolition du Glass-Steagall Act de 1933 qui instituait une incompatibilité entre banques de dépots et banques d’affaires, loi déjà passablement édulcorée durant l’ère Reagan! Il avoue accessoirement s’être inquiété à de multiples reprises du gonflement des activité du GSE…
La crise de 2008 résulte en fait d’une accumulation de fraudes massives dont l’administration G.W.Bush s’est obstinée a ignorer l’existence, et dont les intellectuels de gauche s’obstinent à nier l’importance afin de discréditer l’économie capitaliste libérale dans son principe.
Ne vous laissez pas manipuler par des gens qui sont soit ignorants, soit aveuglés par l’esprit partisan.
Bush a également reconnu qu’il avait fait passer son combat contre le terrorisme avant des décisions de politiques intérieures, le premier lui semblant plus vital. Quand à votre prétention que le monde occidentale pratique le subprime, entendons nous le prêt à une personne insolvable dont on est plus que probable qu’elle ne pourra pas le rembourser, vous m’excuserez de vous répondre qu’elle est assez ridicule. C’est justement l’intervention du politique (et des community organiser qui hurlaient au racisme dés qu’on refusait son prêt immobilier à une mère célibataire asociale voir toxico) qui a fait de ce qui était jusqu’à ce jour le prêt le plus sûr, le prêt immobilier, une pomme pourrie qui a fini par sauter à la figure des USA.
Et merci, en passant, pour votre dernière remarque, particulièrement insultante. Je ne vous ai certainement pas attendu pour penser par moi même, ne vous déplaise, ni pour avoir un regard critique sur ce que je lis… Sachez également, mon cher, que je ne vous ai pas attendu pour lire Decision Points.
Pardon pour ma muflerie, mais votre formule “mécanismes qui ont crée les subprime…” ne reflète pas une bien grande maîtrise du sujet, c’est le moins que l’on puisse dire!
Un subprime mortgage est un prêt hypothécaire à taux majoré d’une prime de risque, fonction d’un indice de solvabilité inférieur à un certain niveau (en principe actuellement, FICO score compris entre 620 et 740 points, 620 étant le seuil d’éligibilité au refinancement GSE, encore que d’autres critères soient pris en compte: montant de l’apport initial, cautions éventuelles etc…)
Hors période de folie comme celle qui a conduit à la crise de 2008, une banque prête dans le but d’être remboursée intérêts et principal, et de réaliser un légitime bénéfice. Il en va de même du GSE, et un bénéficiaire incapable d’assurer, sauf défaillance ponctuelle, ses échéances s’expose à une ruine parfois définitive.
Aussi stupide leftist soit-il, un community organiser est peu susceptible de souhaiter la ruine de ses affidés, d’autant que ça ne lui rapporterait pas un radis! Tandis que le courtier et la hiérarchie bancaire empochent des commissions sur chaque prêt octroyé, indépendamment de son remboursement futur. Les tricheries dans le montage des dossiers ont toujours existé à petite échelle, d’autant qu’il est difficile de déterminer une frontière rigoureuse entre fraude et complaisance, mais l’échelle industrielle des fraudes survenues à partir de 2002 ou 2003 n’a pas de précédent historique, et ne peut pas ne pas avoir été délibérément encouragée, voire orchestrée à des fins spéculatives…
Clinton n’y est pour rien, et quant à notre cher George W, il est selon la fameuse formule, “responsable mais pas coupable”!
A propos, le sujet de l’article de Jean-Patrick, c’était Google?
Merci Jean-Marie Aigrot pour ces informations précises et joliment présentées.
Ce genre de commentaires font aussi la qualité de dreuz. :yes:
La muflerie pourrait être acceptable, si elle n’était pas accompagnée d’une mauvaise foi criante… Vous oubliez notoirement d’inclure dans votre raisonnement que la solvabilité était viciée par la présence de Fannie Mae & Freddie Mac, censées assurer aux banques qu’elles ne seraient pas perdantes vu qu’elles prenaient elles à charge le risque. On a bien vu le résultat…
C’est bien le Community Reinvestment Act, instauré non pas par Roosevelt mais par Carter, et notablement renforcé par Clinton, qui a fait que des banques ont prété à des insolvables, faisant enfler démesurément la bulle immobilière d’un coté tout en faisant exploser le nombre de créances pourries de l’autre. Plus de 50% des hypothèques rachetées par Fannie et Freddie concernaient des ménages gagnant moins que le revenu médians de leur région, 20% en gagnant moins de 60% dudit revenu, autant dire des gens qui n’auraient jamais, sans ces distorsions politiques, obtenus de prêts.
De plus, dire qu’un gauchiste ne cherche pas la ruine de ses affidés est risible : il n’espère que cela, au fond de lui même, pour amener à une situation “révolutionnaire”. Lire un peu Gramsci et Allinsky (le mentor de Barack Obama) vous éviterait ce genre de bisounourserie bien éloignée de la réalité. Si la gauche, en particulier l’extrême gauche, souhaitait réellement le bien être des classes laborieuses, depuis le temps qu’elle les enfonce dans la misère, elle se serait remise en question. Mais vu que tel n’est pas son réel but, et seulement une façade de communication…
Pour vos remarques sur Bush, lisez donc les liens donnés un peu plus bas par Annika.
NB : vous avez l’intention, sinon, d’arrêter de prendre vos interlocuteurs pour des cons incultes ? Je ne vous ai certainement pas attendu pour savoir ce qu’est un subprime mortgage, par contre votre fatuité et votre condescendance comme sérieusement à me courir sur les haricots…
L’expérience m’a appris d’une part à ne sous-estimer ni le niveau de culture ni le niveau de rationalité d’un interlocuteur, d’autre part à éviter de m’exprimer sur un sujet maîtrisé.
Le Community Reinvestment Act interdit aux banques de pratiquer une discrimination (évidemment négative) à l’encontre des habitants des quartiers dits défavorisés. Je partage votre aversion à l’égard de ce type de lois fondées sur une bonne intention mais engendrant très vite des effets pervers. Mais cela n’a aucun rapport même lointain, avec la genèse de la crise de 2008. Et je ne comprends pas votre refus de distinguer les subprimes accordés de bonne foi (risque de défaillance à l’époque 2 à 5%) et les subprimes accordés sur la base de dossiers truqués (risque de défaillance quasi 100%)!
Le GSE assume le risque pour près des deux tiers des crédits refinancés. Mais il peut se retourner contre les banques émettrices de crédits frauduleux. Et c’est bien ce qui se passe actuellement.
Quant à savoir si l’exigence d’un FICO score minimum de 620 est insuffisamment ou trop sévère, la question continue à faire débat actuellement parmi les spécialistes! En ce bas monde, tout critère incorpore sa part d’arbitraire…
Parmi les multiples raisons ayant conduit l’administration Bush à l’inertie, la plus profonde pourrait-être celle-ci: l’accès de chacun à la propriété immobilière fait partie intégrante du mythe fondateur de l’Amérique…
Ce qui n’exclut par par ailleurs un certain aveuglement idéologique…
En espérant que notre courtoise correspondance pourrait aider quelques lecteurs de DREUZ à affiner leur propre perception des origines de la crise, et bien cordialement.
Permettez moi de douter de cette profession de foi, vu les échanges précédents (je parle du début de la citation, vous maitrisez visiblement votre sujet, même si vous sélectionnez parmi les faits ce qui vous arrange pour votre argumentation
Je n’ai jamais refusé ce distinguo, ces fraudes existaient, seul un hypocrite ou un aveugle pourrait le dénier. Il faut cependant assumer le fait que premièrement ces fraudes se sont développées sur un terreau qui avait été fourni par une distorsion politique des règles économiques, et ensuite que les grands spécialistes du montage de dossier mensonger n’étaient pas les banquiers ou courtiers, bien qu’ils furent nombreux à le faire (la cupidité est une tare commune de l’humanité, ce n’est pas un scoop), mais bien les community organisers qui montaient des dossiers bidons à la chaîne. Et cela aussi, il faut une sacrée dose d’aveuglement pour ne pas le reconnaître, tant ce fait est connu et documenté…
Et pour revenir sur le terreau, il est quand même assez osé de faire porter aux banquiers et courtiers véreux la responsabilité, intégrale ou tout du moins principale, de la crise, quand le rôle du politique est non pas de donner auxdits malhonnêtes les armes pour faire leurs magouilles, mais de mettre les barrières les empêchant de faire lesdites magouilles, ou tout du moins de se dispenser, par aveuglement idéologique, de donner aux aigrefins que toute société, quelqu’elle soit, portent en son sein la possibilité de foutre la totalité de l’économie de ladite société dans le rouge… Quand à accepter l’existence de groupes de pressions dont le seul but et la seule action est de monter les gens les uns contre les autres, attisant toutes les tensions raciales, sociales, … ; les accepter et même leur donner un tel poids (typiquement, mais pas exclusivement, via le CRA) que leur pouvoir de nuisance en est devenu une véritable plaie…
Oui, en effet Gally – GW Bush a sonné l’alarme nombreuses fois (de mémoire, huit fois), sans que ses efforts soient écoutés, la presse était trop occupée à dénigrer cet homme qu’elle nommait « le cancre » « Hitler » « l’extrémiste », etc. Les références sur internet sont numerous pour ceux qui veulent savoir…
En Avril 2001 « the size of Fannie Mae & Freddie Mac is a potential problem »
En Decembre 2007 “December: President Bush again warns Congress of the need to pass legislation reforming GSEs, saying “These institutions provide liquidity in the mortgage market that benefits millions of homeowners, and it is vital they operate safely and operate soundly. So I’ve called on Congress to pass legislation that strengthens independent regulation of the GSEs”
http://georgewbush-whitehouse.archives.gov/news/releases/2008/10/20081009-10.html
Timeline sur Fox News avec Brit Hume http://www.youtube.com/watch?v=cMnSp4qEXNM
REPONSE A GALLY
Félicitations pour votre combativité! N’ayant jamais fréquenté le milieu des community organisers, j’ignore dans quelle proportion (marginale ou conséquente) ces gens-là sont impliqués dans les fraudes, s’ils y ont participé en croyant sincèrement venir en aide à leurs victimes ou dans le but de faire d’effondrer le système financier… J’ignore même si les banques, en tout état de cause juridiquement responsables de l’authenticité des dossiers, pourraient se retourner contre eux.
De mon point de vue, ce sont bien les banques émettrices des prêts qui son responsables.
Vous dites qu’il ne faut pas donner aux malhonnêtes les armes leurs permettant de magouiller. Mais il n’est nul besoin de les leur donner, ils se servent tous seuls, comme les petits voleurs se servent dans les rayons des supermarchés…Faut-il interdire les supermarchés en libre-service?
Si le principe de l’existence du GSE ne me choque pas, il est évident que ses dirigeants de l’époque et leur inénarrable consultant Gingrich étaient des andouilles. Au même titre que les dirigeants de la General-Motors, entreprise en ces temps-là privée!
Au delà des grands principes, dans nos pays développés, l’Etat ne peut pas ne intervenir un tant soit peu. Qui reprocherait, par exemple, à George W Bush la loi “No child left behind”?
Merci pour l’éloge ^^
Je n’ai jamais prétendu cela, la ploutocratie n’est évidemment pas une solution envisageable, mais il y a intervenir pour poser des barrières (législatif) et faire appliquer lesdites barrières (judiciaire), et prétendre imposer une idéologie qui distord la réalité. Pour reprendre votre exemple du supermarché, la vraie question serait plutôt ; oui, des voleurs se servent dans les rayons. Serait-il normal que l’Etat impose d’enlever toutes les caméras de sécurité et les détecteurs anti-vol à l’entrée du magasin ? C’est cela qu’aurait du être votre question, pour correspondre à la réalité.
D’accord, l’exemple du supermarché n’est pas très convaincant! J’avais aussi songé aux assurances, porte ouverte à bien des escroqueries…Mais, permettez-moi de vous le rappeler amicalement, l’objet du débat proposé par Jean-Patrick, c’était Google !
Un débat est-il obligé de rester aligné sur des rails ? De toutes façons, pour le sujet Google, tout a été dit il me semble 😉
Gallo et jean Marie, merci pour votre brillante passé d armes. J ai beaucoup appris en vous lisant.
Est-ce que Clinton n’aurait pas plutôt profité des avancées de Reagan pour ne rien faire, la meilleure méthode pour se faire aimer (méthode pratiquée par VGE, Mitterrand, Chirac chez nous).
Quand l’autre parti a fait repartir la machine, c’est facile de se reposer…
Le PS veut toujours contrôler l’information sur Internet ; il y a une commission Justice/Police qui planche là-dessus depuis un an, en plein jour, car ils ne se cachent pas pour nous préparer une belle censure.
Il faut dire que Google a aussi connu quelques dérives en obéissant au doigt et à l’oeil à l’espionnage US. (et cela on ne s’y attendait pas de pouvoirs dans l’état, de les voir se plier aussi docilement !)
Les adhérents au RSI, commerçants, artisans et professions libérales, sont victimes d’appels de charges fantaisistes et peinent à faire valoir leurs droits à la retraite ou à la couverture maladie.
cet entrepreneur, plaquiste peintre, a fait la douloureuse expérience de la gestion désastreuse du RSI. Pour commencer, il a reçu un appel de cotisations de 3 000 euros. Une erreur manifeste : il en était exonéré du fait de l’aide au chômeur créant ou reprenant une entreprise dont il bénéficiait. Puis, ce fut la valse des appels de charges fantaisistes. “J’ai reçu vingt-quatre appels à cotisation en un an, tous avec un montant différent, au lieu d’un par trimestre”, explique-t-il. Sans compter les mises en demeure d’huissier
Un quart des cotisants victimes de dysfonctionnements
Selon la Cour des comptes, 20 000 dossiers de 2008 n’ont pu être traités que deux ans après. En attendant, sans carte Vitale, les assurés n’ont pas pu obtenir le remboursement de leurs soins. Certains indépendants, ayant demandé vainement leur radiation, se sont vu réclamer des cotisations suivant le mécanisme de la taxation d’office : en l’absence de déclaration de revenus, le RSI leur impose des cotisations extrêmement élevées. Selon les magistrats, au moins 10 % des comptes ont connu un problème d’affiliation ou de radiation
http://lentreprise.lexpress.fr/statut-creation-entreprise/pagaille-au-regime-social-des-independants-rsi_38906.html
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et cela ne concerne qu1 seul administration française alors imaginer pour tous les autres ? chambres de commerce, tribunal administratif, impôts, mairie etc. ? voila comment l’économie est l’emploi et détruit par des connards de bureaucrate de merde
Nos cartes vitales ont été bloquées il y a deux ans , j’ai récupéré la mienne , mon mari qui est le cotisant en est toujours privé . En fait j’ai eu en tout trois cartes avec des noms différents portant des numéros différents mais bien ma photo .
la pagaille surement , par contre nos demanes de cotisations ne sont pas en retard .
Trop d’impôts tuent
http://www.youtube.com/watch?v=2CJUr0-rF18&list=RD02JCLjbrUufk4
caroline oui ils savent encaisser les chèques mais pour le reste …
sans oublier le harcèlement fiscal qui étouffe les petites entreprises.
les ingénieurs et jeunes entrepreneurs francais qui quittent la france en savent quelque chose.
Google est né aux USA dans un environnement Approprié ou le Business minded est une valeur sure. La france elle produit des assités, c’est l’ordre du mérite !) l’égalité dans la misère.
A propos du travail du dimanche , l’intervenant d’un débat déclare que si une tierce personne demande la fermeture d’un magazin en application de la loi , le plaignant reçoit les pénalités encourues , de ce fait les syndicats se sont fait une fortune en attaquant à tout va !
on comprend un peu mieux la motivation des sydicats
C’est à pleurer, désespérant… et pourtant j’ai bien ris devant ce tableau poussiéreux représentatif de cette administration française arrogante qui marche sur la tête. Allez comprendre.
Google ne pouvait être inventé qu’au USA et pas ailleurs !!!!!!
On pourrait parler aussi de la mentalité à la con qui règne dans les entreprises en France…
Oui, je pense que l’UMP reproduit les erreurs qu’a commis le PS il y a quelques années et l’extrême droite s’en frotte les mains.