Publié par Hervé Roubaix le 9 novembre 2013

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A Lampedusa, les réfugiés Syriens, racistes, refusent de partager leurs dortoirs avec les réfugiés Erytréens, ce qui pose des problèmes que l’Union européenne n’avait pas prévu.

Des racistes à qui on ouvre les bras de l’Europe, quelle perspective enchanteresse pour les acharnés des bienfaits de la diversité.

Surtout, voici ce que révèle Le Point sur le traitement que les musulmans réservent à leur coreligionnaires – et si l’on me dit que ça non plus ce n’est pas l’islam, c’est bien l’islam qui crée cela.

Notons tout de même que c’est là le résultat de la criminelle intervention de la France en Libye, qui est venu y “sauver l’humanité” pour ensuite la laisser crever et s’entretuer.

Des enquêteurs italiens qui ont arrêté deux “passeurs”, ont établi avec certitude ce qui se dit – avec des éléments souvent insuffisants faute d’enquête des ONG humanitaires, sur internet depuis des mois : une partie des 500 passagers du bateau qui a coulé le 3 octobre près de Lampedusa, ont été séquestrés, torturés, et les femmes violées, avant leur départ de Libye – juste pour le plaisir.

La police italienne a interpellé un Somalien de 34 ans, l’un des esclavagistes du transport, selon la police de Palerme. “C’est l’une des rares fois où nous réussissons à arrêter un des chefs de ces organisations criminelles”, a déclaré l’officier de police Enzo Nicoli.

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Selon les témoignages,

  • un groupe de 130 réfugiés, dont 20 femmes, a subi les pires sévices en juillet dernier avant d’embarquer pour l’Europe.
  • Ils étaient reclus dans un camp de concentration à Sebha, dans le désert entre le Soudan et la Libye.
  • “On nous a pris toutes nos affaires personnelles, y compris les téléphones portables. (…) On était contraints de rester debout toute la journée. (…)”
  • “Ils nous ont obligés à regarder pendant que nos compagnons étaient torturés, avec des matraques ou des fils électriques”, raconte une érythréenne de 17 ans.
  • Ceux qui se rebellaient étaient attachés “à une corde qui reliait les jambes au cou, ce qui faisait que le moindre mouvement enclenchait un début d’étranglement”.
  • les bourreaux étaient Somaliens, Soudanais et des miliciens libyens.
  • Séquestrés pendant plusieurs jours, les fuyards sont rançonnés entre 3 300 et 3 500 dollars (2 470 à 2 600 euros)
  • “les femmes qui ne pouvaient pas payer subissaient des violences physiques”,
  • “Un soir, un Somalien et deux de ses hommes m’ont contrainte à sortir. Après m’avoir jetée à terre, ils m’ont bloqué les bras et m’ont versé sur la tête de l’essence, ce qui m’a provoqué de fortes brûlures aux cheveux, au visage et aux yeux”, raconte la jeune fille.
  • Puis l’un après l’autre, les trois hommes l’ont violée, et battue.
  • Elle déclare avoir vu ses tortionnaires emmener deux jeunes filles et revenir “avec une seule, une heure plus tard”.

Selon le procureur Scalia, “toutes les femmes du camp ont été violées par des Somaliens et des Libyens”.

Le Somalien interpellé sera jugé pour enlèvements, extortion, association de malfaiteurs, incitation à l’immigration clandestine, traite de personnes, et violences sexuelles.

L’autre passeur, un Palestinien de 47 ans, est poursuivi pour incitation à l’immigration clandestine. Il est soupçonné d’avoir organisé l’arrivée récente d’un navire de réfugiés syriens.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

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