Publié par Rosaly le 19 novembre 2013

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Tandis que la plupart des cultures se transformèrent de sociétés primitives et médiévales en sociétés démocratiques et égalitaires, une seule réussit l’exploit incroyable d’en être incapable. Il s’agit hélas de la plus brutale, aux valeurs liberticides et anti-démocratiques depuis son origine – il y a de cela 14 siècles – à nos jours : l’islam.

La majorité des Musulmans préfère vivre selon les valeurs des tribus du désert au sein desquelles vivait le fondateur de leur religion.

Observer a vie dans les familles et les sociétés musulmanes, c’est un voyage dans le temps. C’est remonter à l’époque de Mahomet. Ce qui explique l’existence de nos jours de lois et traditions choquantes, criminelles et inhumaines, qui, pour des raisons obscures, sont acceptées dans notre culture humaniste.

Alors que les scientifiques découvrent, jour après jour, des médicaments, des nouvelles technologies – dont bénéficient aussi pleinement le monde musulman -, qu’ils sondent les mystères de l’univers, et que les luttes politiques et sociales ont permis de créer des sociétés plus humaines, plus riches et plus libres, la plupart des pays islamiques ne contribuent absolument en rien (ou si peu qu’on cherche encore) à la science, à la paix, aux Droits de l’Homme. En terre d’islam, on ampute toujours les membres des voleurs, on lapide les femmes à coups de pierre, et on pend les homosexuels. On condamne à mort l’apostat, et plus généralement, on restreint aux populations leur liberté d’expression, et leur droit à la démocratie – incompatible avec la loi d’Allah.

Ce constat impossible à contester étant posé, quels sont les facteurs psychologiques qui permettent à l’islam de rester figé au 7e siècle ?

LA RELIGION

Contrairement aux autres religions, autorisant les fidèles à interpréter les textes sacrés afin de les adapter – à la loi laïque, aux droits humains et aux besoins individuels – l’islam considère tout Musulman qui n’a pas une lecture littérale du coran comme un apostat, et selon la loi islamique, l’apostasie est passible de la peine de mort. La charia empêche dès lors les sociétés islamiques d’évoluer et de se transformer en sociétés modernes et humanistes.

Le fait de punir les Musulmans éclairés, dont les opinions contredisent le point de vue coranique, entraîne, comme conséquence, la mise à l’index de tout fait scientifique qui entre en conflit avec la vision naïve et infantile du coran. Ajouter à cela les nombreux mariages consanguins – 70% des Pakistanais, 45% des Arabes et au moins 30% des Turcs, de génération en génération – cela explique le faible pourcentage, un dixième de la moyenne mondiale, de la contribution du monde musulman à la recherche scientifique et sa sous représentation – et c’est peu de le dire : 8 Nobel pour 1.2 milliards d’individus – dans l’attribution des Prix Nobel. Par exemple, infiniment moins de livres ont été traduits en arabe en mille ans qu’en Espagne en une seule année !

Dans un reportage* réalisé par Tazeen Ahmad en Grande Bretagne sur le mariage consanguin et ses conséquences terribles sur les enfants, des Musulmans en ont vanté les mérites et ont déclaré que toute remise en cause de cette pratique est une attaque contre leur communauté et même contre l’islam…

Les musulmans sont endogames, et ont un haut niveau de consanguinité. Mais c’est un sujet tabou. Les Britanniques préfèrent assumer les coûts de soins de santé découlant des maladies génétiques liées à la consanguinité, plutôt que d’être accusés de stigmatiser les musulmans. Si ça leur convient ainsi… Quand le problème se présentera, nous ne ferons pas différemment, en France.

Plus de 50% des Britanniques d’origine pakistanaise épousent leurs cousins. A Bradford, la proportion est de 75%. Cette pratique, également courante au sein des populations originaires d’Afrique orientale, du Moyen-Orient et du Bangladesh, est en hausse à travers le pays.

Le tiers des enfants britanniques atteints de maladies génétiques récessives rares est issu de la communauté pakistanaise. Elle ne constitue pourtant que 1,5% de la population.

Dans l’islam, foi et tradition ont de loin plus de valeur que les inventions et découvertes qui pourraient alléger les souffrances de l’humanité et permettre une compréhension plus raisonnable de la complexité de l’univers et du potentiel de ses habitants.

L’EDUCATION DES ENFANTS

Un autre puissant mécanisme de défense de la culture islamique se trouve dans l’éducation des enfants. Une véritable menace de violence, voire parfois de mort, repose sur la tête des enfants musulmans, au cas où ils décidaient de choisir un autre style de vie que celui de leurs parents. Et même si les parents permettent à leurs enfants de choisir leur propre religion ou de devenir athée, d’autres musulmans dédieront leur vie à les poursuivre pour les tuer et ce, même en Occident, sans que cela ne perturbe nos Autorités, ni nos médias islamophiles, qui brillent par leur silence assourdissant sur ces pratiques criminelles, car “l’islam ce n’est pas cela» se plaisent-ils à nous ressasser à l’infini, sans avoir lu une ligne du coran.

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La violence, parfois même la torture, le nombre (terrifiant) d’exécutions quotidiennes de jeunes musulmans par les membres de leurs propres familles, souvent déguisées en “crimes d’honneur” quand elles concernent les jeunes filles et les femmes, sont des moyens efficaces pour dissuader la grande majorité d’avoir, ne serait-ce qu’une très pâle envie de quitter l’islam. Le coran et les hadiths promettent les feux de l’enfer à quiconque ose agir à l’encontre des commandements du prophète et le sort atroce réservé à ceux qui désobéissent effraye de nombreux musulmans et ne les incite pas à quitter cette culture, qui pourtant ne leur apporte que souffrances.

Je me souviens très bien des réactions de « compassion » des Musulmans dans la prison où je travaillais comme psy, quand je leur disais que je ne croyais pas en Allah.

Et pour s’assurer que les enfants suivent bien le modèle imposé par leurs familles, nombre d’entre eux sont soumis à des lavages de cerveau via des répétitions abrutissantes de versets coraniques, extrêmement violents, si bien qu’ils deviennent des bombes à retardement, peu importe où ils vivent.

MARIAGE

Mahomet enseigne qu’une musulmane ne peut épouser qu’un musulman, souvent choisi au sein du clan familial, et ce afin de protéger la culture islamique contre les influences extérieures. Les épouses sont considérées comme des esclaves, avec très peu de droits et de libertés. Elles ne peuvent divorcer qu’avec le consentement des Autorités islamiques et cela les empêche de fuir des maris, souvent très violents, et leur «religion» misogyne. Si elles décidaient de partir ou de divorcer, elles seraient, dans la plupart des cas, coupées de leurs familles. Le père, souvent violent, a tous les droits sur les enfants, et ces femmes, considérées comme des parias, dans la plupart des cas très peu éduquées, ont des moyens très limités pour subvenir à leurs besoins. Ajouté à cela la menace de mort qui les accompagne le reste de leur vie pour avoir insulté l’honneur de la famille, elles choisissent dès lors de préférence la prison à vie, enfermées à jamais dans le carcan familial et religieux.

La plupart des femmes musulmanes sont menacées ou même forcées d’assumer leurs responsabilités, en se pliant à la culture islamique, y compris ses nombreux aspects misogynes. Et ces règles de mariage, dictées par l’islam, veillent à ce que l’influence néfaste des non musulmans ne soit pas invitée dans la famille.

LA PERCEPTION DU NON MUSULMAN

Dans l’islam, la haine et la volonté de faire du mal aux non musulmans constituent des principes de base.

Les écrits islamiques sont des modèles de propagande visant à les déshumaniser et regorgent de douzaines d’injonctions incitant à faire du mal aux infidèles, à les supprimer, à tuer les athées et les membres des autres religions. La dévalorisation et la diabolisation des non musulmans peuvent être facilement comparables à la propagande de temps de guerre contre l’ennemi, dans le but de débarrasser les soldats de toute entrave psychologique qui pourraient les empêcher d’attaquer l’ennemi. Cela ne surprend guère : les Musulmans ne sont pas autorisés à avoir des amis non musulmans, et l’islam est une religion de conquête.

Rosaly : et ce sont les islamolucides, les islamophobes occidentaux, que l’on qualifie des racistes, de dangers pour la cohésion sociale et la paix.

En imposant une distance physique et mentale vis-à-vis des gens d’autres cultures, l’islam empêche ainsi ses adeptes d’être influencés et inspirés par des valeurs moins barbares.

FIERTE ETHNIQUE

Un autre facteur psychologique culturel, permettant à la culture islamique de rester immuable dans un monde globalisé, concerne la fierté ethnique musulmane. Peu importe si cela peut sembler ridicule ou embarrassant pour un observateur extérieur, la plupart des Musulmans sont fiers d’être musulmans et des adeptes d’Allah. Selon la croyance islamique et les “paroles d’Allah”, ils sont destinés à nous dominer, nous les non musulmans, et à leurs yeux nous sommes tellement mauvais que nous méritons de brûler dans les flammes d’un feu éternel. (Ils se consolent de leur complexe d’infériorité et de leur infériorité sociale avérée comme ils peuvent)

De par mon travail de psychologue dans une prison, j’ai maintes fois entendu comment les Musulmans considèrent leurs victimes non musulmanes. Et leurs victimes étaient toujours des non musulmans, sauf quand cela concernait les femmes ou des gangs rivaux.

Je puis affirmer sans l’ombre d’un doute qu’il existe au sein des communautés musulmanes un violent racisme généralisé envers les non Musulmans.

Rosaly : ce racisme musulman est totalement oblitéré par nos dirigeants, médias et intellectuels islamophiles, pour qui seuls les citoyens de souche sont racistes. C’est tellement plus réconfortant de le croire et de reporter sur les islamophobes toute la responsabilité de l’échec du multiculturalisme, si cher à leurs cœurs.

L’OSMOSE CULTURELLE

La culture islamique jouit de plusieurs mécanismes de défense, érigeant une barrière de protection contre l’influence des valeurs occidentales de démocratie et de liberté. En même temps, les Occidentaux qui osent exprimer leur fierté identitaire, culturelle ou religieuse, sont immédiatement taxés de racistes, de nationalistes ou d’intolérants.

Nous, en Occident, avons une longue tradition de tolérance et d’ouverture. Si on ajoute à cela la politique du multiculturalisme, à nous imposée par la gauche, les médias, l’UE et l’ONU, l’osmose culturelle ne peut dès lors se faire que dans un seul sens, celui de l’islam, resté figé dans ses croyances du VIIe siècle, entraînant l’Occident dans la régression et l’obscurantisme médiéval, avec sa limitation de la liberté d’expression et l’imposition de dogmes et de sensibilités religieuses, qui prévalaient avant le Siècle des Lumières.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : » Cultural psychology: how islam managed to stay medieval for 1400 years?” by Nicolai Sennels (traduit, adapté et commenté par Rosaly)

The greatest taboo: One woman lifts the lid on on the tragic genetic consequences of when first cousins marry by Tazeen Ahmad

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