Incarcéré à Fresnes (Val-de-Marne), un prisonnier a subi les pressions et menaces d’un codétenu islamiste radical avant d’obtenir un changement de cellule.Témoignage.
La religion fut son calvaire. Quatre mois après les faits, Antoine* peine toujours à raconter ses soixante-douze jours de détention au cours desquels il a été l’objet de menaces de mort et d’intimidations de la part de codétenus qui voulaient le convertir de force à l’islam, synonyme, pour eux, de salut.
Son histoire débute fin mai lorsque le jeune homme écope d’une peine de prison de 5 ans pour un viol qu’il a toujours nié.
A l’issue du verdict, Antoine est incarcéré à la maison d’arrêt de Fresnes (Val-de-Marne) dans le quartier des arrivants. Au bout d’une semaine, il est transféré dans une cellule de 9 m2, où deux codétenus l’attendent. « J’ai entamé le dialogue avec le premier mais le second, qui portait une longue barbe, a fait comme si je n’étais pas là », raconte Antoine. Une indifférence de courte durée. Au retour d’une promenade, le taiseux apostrophe Antoine.
« Il m’a demandé la raison de ma présence ici et, surtout, si j’étais croyant, relate-t-il. Je lui ai répondu que j’étais catholique mais que je n’étais pas un fervent pratiquant. Il m’a tout de suite rétorqué que c’était une erreur, car la seule religion digne de ce nom était l’islam ». Il exhibe plusieurs ouvrages religieux et enjoint son codétenu d’« oublier tout ce qu’il a appris à l’extérieur des murs, car son seul salut viendra de sa conversion à la religion musulmane ». Afin de pacifier la situation, Antoine s’engage à lire l’un de ces livres.
Trois jours après, il demande à s’entretenir avec une psychologue de la prison. « Elle a essayé de temporiser en me disant que les choses allaient rentrer dans l’ordre et que, si je demandais à être déplacé, je risquais d’être au contact de personnes encore plus violentes », se rappelle-t-il.
Au bout d’une semaine, le jeune homme sort pour la première fois en promenade. « Cinq personnes, dont mon codétenu, m’ont entouré dans un coin de la cour et m’ont menacé en m’expliquant que j’avais plutôt intérêt à lire les livres et à me convertir rapidement. »
Affolé, Antoine alerte son avocat et les responsables de détention. « Au fil des jours, on hurlait mon nom de famille dans les coursives, en me traitant de balance et en me promettant l’enfer. J’ai supplié d’être transféré au mitard, car je savais que c’était le seul endroit où je serai en sécurité, poursuit-il. Mais je suis resté dans la même cellule. J’étais de plus en plus terrorisé. Un soir, mon codétenu m’a parlé des Juifs et a proféré des injures antisémites. Je lui ai dit que, personnellement, je n’avais rien contre cette religion. Là, il est entré dans une colère noire. » Le lendemain, Antoine va payer ses déclarations. « En début de soirée, l’un des surveillants a fait entrer dans ma cellule un détenu d’à coté avec une lame d’environ 20 cm dans la main », décrit-il. Le surveillant, qui fait toujours l’objet d’une enquête administrative, est reparti en claquant la porte. Pendant une vingtaine de minutes, le jeune homme fait alors face, seul, à son codétenu et son complice : « Ils m’ont prévenu : Si tu ne te convertis pas, tu es un homme mort ».
Alertée par Antoine de ces nouvelles menaces — corroborées par d’autres témoignages de détenus — la direction de la prison décide de le déplacer dans une autre cellule, sous un faux nom afin d’éviter les représailles. Dans le même temps, une fouille de son ancienne cellule est organisée. Au milieu de téléphones portables et de puces téléphoniques, les surveillants découvrent plusieurs livres dont l’un : « Comment convertir un non-musulman ».
Antoine, pourtant, continue de subir. Quelques jours plus tard, il est battu à coups de pied et de poing par plusieurs détenus dans une coursive. Le lendemain, sept personnes soupçonnées de prosélytisme agressif, dont son codétenu, sont identifiées grâce au concours des agents du renseignement pénitentiaire . Elles ont été déplacées vers d’autres prisons. Antoine, lui, est libéré mi-septembre.
Dans l’attente de son procès en appel, il a repris son emploi dans une entreprise de transports en région parisienne. « J’ai connu la prison au sein de la prison, conclut-il. Je crois que le procès m’effraie moins que l’idée de recroiser l’un de mes codétenus ».
* Le prénom a été changé.
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Pourquoi continuer à mettre d’autres prisonniers avec les muzz
Pourquoi les bichonner jusqu’à leur donner de la viande halal ?
Il va falloir nous réveiller un jour, les limites sont atteintes.
Chaque jour apporte son lot d’horreurs .
Et il y en a combien comme ce jeune homme qui subisse de tels sévices et pression dans les prisons FRANCAISES! Et les gardiens qui sont de mèches HONTE à eux!
C’est normal qu’il faut se convertir a l’Islam en prison, car en prison il y a que des musulmans et pour faire partie de leur clan il faut se convertir moi je trouve ça normal la loi des plus fort
Honte à l’état, qui a laissé se détériorer le milieu pénitencier en laissant s’installer un prosélytisme acharné les 3/4 des détenus étant musulmans, ils devraient renvoyés dans leurs pays d’origine :airplane: :airplane: ça reviendrait moins cher sachant qu’un prisonnier revient à 500€/jour à la collectivité et on aurait assez de prisons si il n’y avait que des détenus non musulmans.
Et dire que ces gens se ventent d êtres des hommes fidèles et fervents pratiquants.On voit le résultat dans le grande nombre de prisonniers muzzs.Je suis contente qu il ne sait pas converti à cette fause religion diabolique ,en quoi, il n y a auccun salut.
Le salut , ils l’ont chez Allah , le Dieu des ténèbres !!
Je suis sûre que nos otages au Mali ont été libérés parce qu’ils se sont convertis ou peut-être fait semblant d’accepter l’Islam ! Je n’ai jamais compris pourquoi ils sont revenus en France , descendus de l’avion avec leur accoutrement et leur barbe à la musulmane … mais peut-on les blâmer ? non, j’espère que dans leur for intérieur , ils n’ont pas cédé et qu’ils sont restés eux-mêmes ! Un jour on saura !
Dans l’ensemble le milieu carcéral a toujours été pourri du haut en bas de l’échelle.
Le plus triste c’est que dans l’ensemble des prisons 70 à75 % des détenus sont des muzz. Ces chances pour la France sont protégées.
Combien de temps encore nos gouvernants vont en faire venir dans notre pays ?
C’est scandaleux ! Quand ca va finir cette situation ou les francais de souche douvent subir et plier devant les menaces et les agressions de la part de ces envahisseurs au nom de leur religion violente et liberticide?
Heureusement qu’il a tenu bon et n’a pas cede mais combien sont helas obliger de se convertir sous peine de represailles journalieres
Et de menaces de mort
Najat6Valaud B. nous a dit un jour que l’Islam est une religion d’amour, d’amour peut-être mais l’amour vache alors… :pig:
Il me semble que l’on est condamné à la réclusion ( cet individu est condamné pour cime il me semble),pas à subir des sévices et des violences diverses…D’autant plus qu’elles viennent de dangereux extrémistes islamistes…