Ce jeudi, la procureure de la République à Bayonne a confirmé la mise en examen de deux personnes, dont le meurtrier présumé. L’homicide est lié à un règlement de comptes dans un trafic de stupéfiants.
n règlement de comptes dans un trafic de cannabis, telle est l’explication fournie ce jeudi par Anne Kayanakis, procureure de la République à Bayonne, dans le dossier de l’homicide d’Abdel-Hakim Haddad, 29 ans au moment où les faits ont été commis, le 16 septembre 2013.
Suite à la présentation à la juge d’instruction ce mercredi des deux principaux suspects – un homme de 22 ans, et une femme de 18 ans – ceux-ci sont été mis en examen.
L’homme pour des chefs d’homicide volontaire et de destruction par incendie. En effet, le corps de la victime avait été retrouvé le 17 septembre 2013 dans sa propre voiture pour partie calcinée, ligoté et le visage dissimulé dans un sac poubelle.
La femme, son amie, a été mise en examen pour dissimulation de preuves. Le mis en cause encourt 30 ans de prison et son amie trois ans.
La procureure a confirmé que la victime était décédée de coups portés à la tête, comme l’avait indiqué l’autopsie. Anne Kayanakis a précisé en outre que ces coups avaient été assénés au moyen d’un outil de jardinage, une pioche ou une bêche, outil que l’amie de l’auteur présumé des faits aurait tenté de dissimuler. Les faits ont eu lieu à Briscous, où réside le couple.
Le meurtrier présumé est né à Bayonne, et il exerce une activité dans la mécanique agricole. Sa compagne est sans activité. Suite à leur mise en examen, l’homme a été placé en détention provisoire.
Sa compagne a été laissée libre, sous contrôle judiciaire, avec des conditions permettant de garantir sa représentation devant la justice. Les trois autres personnes qui avaient été aussi interpellées ce mardi matin ont été laissées libres car sans lien avec les faits.
Le meurtrier présumé avait déjà été condamné pour conduite sous l’emprise de stupéfiants.
Mais l’enquête menée par la Section de recherches (SR) de la compagnie de gendarmerie de Pau conjointement avec les enquêteurs de la compagnie de gendarmerie de Bayonne a permis de mettre à jour son implication dans un trafic de stupéfiants, en l’occurrence de la résine de cannabis et de l’herbe. L’enquête se poursuit sous la direction d’une juge d’instruction.
fo pas stig ma ti ser ! c’est quand meme trop souvent des noms de magrhebins . quelle CPF !
Arrêtez de critiquer.C’est un hasard le nom maghrébin voyons!
Après on dit que sur dreuz on est racistes.
C’est une simple petite erreur d’un jeune homme qui a dû souffrir dans une banlieue du pays des mécréants.
Vals les arrête mais Christiane les libère .
Ils font ce qu’ils veulent au gouvernement,leur chef essaie sa nouvelle prostate rue du cirque.
c’est stupéfiant de voir le nombre de règlements de comptes à cause du trafique de drogue ..
Jacqueline, c’est volontaire votre petit jeu de mot ?? Si oui vous m’en avez scié la seringue.
l’argent rentre par wagon sans faire grand chose mis a part détruire les enfants
l’argent sert surtout au financement de mosquée et à la construction d’immense villa dans les pays musulmans
Encours toujours dira la TAUBIRA au Juge !