Publié par Michel Garroté le 20 janvier 2014

Marche-pour-la-Vie-2014

Michel Garroté, réd en chef  —  Les Français ont répondu en grand nombre à l’appel du collectif « En Marche pour la Vie », hier, dimanche 19 janvier. Venus de toute la France et de l’étranger, ils étaient 40’000. Ce chiffre est un record pour ce rendez-vous annuel organisé depuis dix ans. Il est vrai que le soutien d’une personnalité emblématique a signifié l’importance de cette marche : le Pape François.

A noter, une présence exceptionnelle de personnalités et délégations venues de toute l’Europe : Italie, Pays-Bas, Pologne, Hongrie, Irlande, Portugal, Allemagne, etc. Plusieurs évêques espagnols entouraient quatre évêques français.

L’Espagne où un projet de loi sera prochainement voté pour restreindre l’avortement, avait une forte délégation de députés, sénateurs et représentants des grandes associations familiales et pour le respect de la vie, hier à Paris.

Il y a actuellement un mouvement en Europe qui rappelle que l’avortement est d’abord une violence à limiter et non une liberté.

Hier, la Marche 2014 a montré que l’espérance a changé de camps. L’idéologie qui a imposé l’avortement comme un droit est maintenant en recul. Dans le conflit qui oppose le droit de l’enfant conçu et le droit de la femme, les regards se portent aujourd’hui sur le plus faible, à savoir l’enfant conçu pas encore né.

Désormais, les responsables politiques français doivent regarder la réalité en face : il y a trop d’avortements en France, y compris à cause des avortements dits « de confort » ou « de convenance ».

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L’avortement ne sera jamais un acte médical comme un autre. De nos jours  —  au-delà de la dimension spirituelle  —  la science, la biologie et la génétique démontrent de manière irréfutable que le « fœtus» est un bébé vivant, une personne vivante. Le « fœtus» n’est ni un animal, ni une plante, ni une chose.

Des députés français, notamment M. Jean-Frédéric Poisson, M. Nicolas Dhuicq, M. Philippe Gosselin, Mme Véronique Besse, Mme Le Callennec, M. Le Fur, M. Gandolfi-Scheit, M. Reiss, M. Moreau, M. Gibbes, Mme Schmid, Mme Louwagie, M. Breton, M. Lurton, M. Moyne-Bressand et M. Decool, ont déposé un amendement au projet de loi sur l’égalité homme-femme, pour supprimer le remboursement de l’avortement par la Sécurité Sociale.

Ils et elles rappellent leur motivation: « Si la notion de détresse est supprimée dans la définition de l’interruption volontaire de grossesse, les conditions de remboursement de l’acte par la sécurité sociale ne sont plus remplies ».

Reproduction autorisée avec mention :

Michel Garroté réd en chef www.dreuz.info

  

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