Un individu se présentant comme un employé de Véolia s’est fait ouvrir la porte, jeudi, avant de contraindre l’adolescent d’appeler son père… et de vider le coffre. On imagine l’émoi d’un garçon de 15 ans, s’apprêtant à partir à l’école, qui se retrouve tout d’un coup saucissonné, un pistolet sur la tempe…
C’est la terrible mésaventure qui est arrivée à un adolescent carcassonnais, jeudi, en début d’après-midi, en plein centre-ville ! Il est 14 h 30 quand un homme se présentant comme un employé de Véolia venu ‘relever le compteur’, se fait ouvrir la porte de l’appartement d’un commerçant de la Cité. Il n’y avait que son fils sur place, au moment des faits.
Le faux employé de Veolia entrave les mains du garçon, pointe une arme de poing sur sa tête et l’oblige à appeler son père. Quand ce dernier arrive sur place, il tombe nez à nez avec deux individus…
Le braqueur a été rejoint par un complice entre-temps. Le commerçant carcassonnais aurait été alors frappé d’un coup de crosse à l’arcade et contraint de donner le code du coffre. Ses agresseurs se saisissent alors du contenu : des bijoux et une certaine somme d’argent liquide (un butin estimé à plusieurs milliers d’euros).
Les deux hommes, démunis dans l’algarade de leur arme (factice en fait), prennent la fuite, poursuivis par leur victime… Chacun de ses agresseurs prenant un chemin différent, le commerçant, blessé, rappelons-le (bénéficiant d’un certificat médical faisant état de 7 jours d’interruption temporaire de travail), abandonnera la course.
Il a déposé une plainte au commissariat et s’occupe surtout, pour l’heure, de son fils traumatisé.
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Nous vivons dans un monde de bandits, mais peut-être que le chômage et la pauvreté poussent les gens à de telles extrêmités
Non. L’histoire de la pauvreté etc etc c’est une fable de gauche. J’ai déjà donné. Il n’y a aucune excuse. On n’agresse pas son prochain avec le prétexte de la pauvreté. Sans compter qu’en France, il y a le RSA, les alloc, l’Armée du Salut, le Secours catholique, les restaus du coeur, la Croix rouge…
C’est déjà courageux de sa part d’avoir poursuivi ses agresseurs. Je serai lui, inscription au stand de tir le plus proche et acquisition d’une arme de poing ensuite.
La loi texane : J’ai le droit de tuer celui qui me menace, a fortiori quand il est chez moi et qu’il m’a agressé. Et si je le poursuis, attention à ses fesses car je peux le viser là, mais aussi plus haut. Et si je ne peux courrir vite, la balle elle, court plus vite que le bandit.
Je crois qu’on va en arriver là.
De toutes manières (bonnes ou mauvaises) que ce soit du SIDA ou d’une Révolutuion, c’est toujours un trou de balle qui vous tue.
honteux
Inévitablement, inexorablement, la venue salvatrice d’un pouvoir autoritaire, ou des armes chez soi, ou les deux. On ne pourra plus faire l’économie d’un changement radical, il est en route.