Le Parlement européen a ratifié l’accord entre le parlement et la présidence grecque de l’UE sur l’exemption de demande de visa d’entrée dans l’espace Schengen pour les citoyens des Emirats arabes unis, de Colombie, du Pérou et de quinze autres Etats de l’océan Pacifique et des Caraïbes.
Le communiqué du Parlement européen précise que : “Cette exemption devrait être réciproque sur la base des accords signés entre l’UE et chacun de ces pays. Il sera effectif lorsque l’agrément bilatéral sera ratifié.”
Suleiman Hamed Salem Al Mazrouei, chef de la mission des Émirats arabes unis auprès de l’Union européenne et ambassadeur des Emirats en Belgique a déclaré que ce résultat est le fruit d’énormes efforts de son Ministre des affaires étrangères Sheikh Abdullah bin Zayed Al Nahyan.
Le vote définitif est prévu en avril 2014.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
Encore un peu et il n y aura plus d etoiles.
super … il aurait du en faire autant pour tous les pays du moyen-orient
y compris la Turquie qui ne doit pas rentrer dans l’UE !!
Mais encore ?
ca va etre un formidable coup d`accelerateur pour l`islamisation en marche forcee de l`europe…. Finalement ces cons d`europeens vont se faire islamiser plus vite que prevu…
Z`avez voulu anenatir l`identite juive de l`europe et au passage tuer plus de 6 millions de juif? Voila ce que vous recoltez…
Tu as raison, ils ont se qu ils méritent. J espère que l islame les bouffera.
Peste ! Les Emi-rats vont envahir Paris
Je rappelle à ceux qui l’auraient oublié (…) que cela s’ajoute à la décision de libéraliser les visas pour les ressortissants turcs…
“UE et monde
UE-Turquie : Bruxelles assouplit le régime de visas pour les Turcs
5 décembre 2013
Presseurop
Hürriyet, Süddeutsche Zeitung
L’Union européenne et la Turquie ont convenu de signer un accord en vue de supprimer les visas pour les ressortissants turcs d’ici trois ans. En échange, Ankara a accepté d’accueillir les immigrants clandestins arrivés dans l’UE via la Turquie. L’accord, “intervenu au terme de deux ans de négociations difficiles”, prévoit que les autorités turques puissent “suspendre la réadmission des migrants illégaux si l’UE n’applique pas le processus de libéralisation” des visas, rapporte Hürriyet. Dans sa version en anglais, le journal ajoute que l’accord sera signé le 16 décembre à Ankara et qu’il pourrait avoir une influence positive sur le processus d’adhésion de la Turquie.
Il constitue un pas en avant également selon la Süeddeutsche Zeitung, pour qui pour de nombreux Turcs, la libre circulation est plus importante que l’adhésion à l’UE. Mais le prix que l’Europe paie pour cette liberté est elevé : Ankara aura pour mission de rendre le chemin vers l’Europe plus compliqué pour les réfugiés, car la Truquie est un pays de transit pour se rendre en Europe. […] Si les citoyens Turcs doivent avoir un visa aujourd’hui pour se rendre en Allemagne, en France ou en Italie, ce n’est pas pour former une caravane entre l’Anatolie orientale et Berlin, Paris ou Rome. […] Si les Turcs voyagent, ils le font en touristes, avec une carte de crédit et comme businessmen en classe affaires.”
l europe est un echec sur toute la ligne , je me demande qui sont les premiers qui vont la quitter et limiter la casse . Les anglais probablement
Je pari que ce sera la France !
Et il y en a encore qui disent qu’Eurabia est un fantasme d’extrême droite !
Mais il faut quoi pour leur ouvrir les yeux ?
Action…Réaction !
Le pendule a été monté à un tel niveau que lorsqu’il se libérera, il reviendra avec une force qui balaiera tout sur son passage !
La France a connu des hauts et des bas, souvent dramatiques, mais c’est un immense peuple qui se relève toujours.
Je ne doute pas qu’il le fera à nouveau…ce qui n’est pas une raison pour ne pas agir dans ce sens !!!
Français de souche, mettons à la porte les Commensaux importés ainsi que les Collabos qui pratiquent la haine d’eux-mêmes et de leur pays !
votre enthousiasme à résister est réconfortant 🙂
Puissiez-vous être entendu !
z
“le fruit d’énormes efforts”….ou plutôt de grosses commissions et de riches cadeaux dans les poches prévues à cet effet!
plus que jamais, virons-les aux européennes
N’oubliez pas de les virer aux municipales.
Ca n’a l’air de rien,mais les municipales ont comme résultat le collège électoral des sénatoriales.
Lesquels sénateurs qui, sous une majorité socialiste-nationale a élu une algérienne au poste de vice président du sénat …
FAUDRAIT PEUT ETRE SE REVEILLER !
Turquie: le gouvernement fait adopter une loi contestée sur la justice
– Publié le 15/02/2014 à 11:52
Le gouvernement turc a fait voter samedi par ses députés la réforme judiciaire destinée à renforcer son emprise sur les magistrats, à peine amendée par les nombreuses critiques qui l’ont dénoncée comme un nouveau moyen d’étouffer le scandale de corruption qui l’éclabousse.
Au terme d’un débat sous très haute tension émaillé d’échanges de coups entre élus rivaux, le Parlement a adopté sans surprise le projet de loi, grâce à la majorité absolue dont dispose le Parti de la justice et du développement (AKP) du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan.
Entre autres mesures, ce texte autorise le ministre de la Justice à ouvrir des enquêtes sur les membres du Haut-conseil des juges et procureurs (HSKY), une des plus hautes instances judiciaires du pays en charge de nommer ses plus hauts magistrats. Il permet également au ministre d’imposer au HSYK son ordre du jour.
Déposée en janvier en pleine crise provoquée un scandale politico-financier sans précédent, cette réforme a provoqué la colère de l’opposition et les mises en gardes de l’Union européenne (UE) et des Etats-Unis, inquiets d’une remise en cause de “l’indépendance de la justice”.
Sous la pression, M. Erdogan avait consenti à “geler” les articles les plus controversés de son texte dans l’espoir de rallier l’opposition à un projet amendé. Mais, sûr de sa majorité au Parlement, il a décidé vendredi de faire passer en force un texte à peine modifié qui consacre la mainmise du pouvoir politique sur les délibérations du HSYK.
Comme lors du premier débat en janvier, plusieurs députés en sont venus aux mains dans la nuit en plein hémicycle. L’un d’entre eux est sorti de ce pugilat le nez en sang.
Ce texte a une nouvelle fois déchaîné les critiques de l’opposition. “Le Premier ministre veut devenir le +grand chef+ du pays. Il essaie de façonner une institution judiciaire qui prendra des décisions à son goût”, s’est indigné le député du Parti républicain du peuple (CHP) Akif Hamzaçebi. “Ce texte satisfait les besoins de l’AKP”, a pour sa part dénoncé son collègue du Parti pour un mouvement nationaliste (MHP), Ozcan Yeniçeri, “il veut placer le HSYK sous son contrôle”.
– Décision sous influence –
En écho à ces inquiétudes, la justice turque, victime ces dernières semaines de purges sans précédent, a ordonné vendredi la remise en liberté d’une première vague de suspects incarcérés dans le cadre de l’enquête anticorruption.
Moins de deux semaines à peine après la nomination d’un nouveau procureur pour superviser ces dossiers, l’ex-PDG de la banque publique Halkbank Suleyman Aslan, au coeur du dossier, et cinq autres personnalités ont quitté leur prison après deux mois de détention.
En perquisitionnant à son domicile, les policiers avaient découvert l’équivalent de 4,5 millions de dollars en liquide dissimulés dans des boîtes à chaussures, devenues le symbole brandi par ses adversaires pour critiquer la corruption du régime.
Les critiques du régime ont immédiatement dénoncé une décision sous influence.
“Le banquier aux 4,5 millions retrouvés à son domicile est libre. Et les lois qui permettront la libération des autres sont en marche”, a déploré l’ex-ministre de la Culture Ertugrul Gunay, qui a claqué la porte de l’AKP à cause du scandale. Seule une poignée d’inculpés reste encore emprisonnée, dont l’homme d’affaires azerbaïdjanais Reza Zarrab et les fils des trois anciens ministres de l’Economie, de l’Intérieur et de l’Environnement, soupçonnés d’avoir touché des pots-de-vin.
Au total, des dizaines de patrons, hommes d’affaires, hauts fonctionnaires et élus proches du pouvoir ont été inculpés dans le cadre de cette affaire, qui déstabilise M. Erdogan avant les municipales du 30 mars et de la présidentielle d’août.
Le Premier ministre accuse ses ex-alliés de la confrérie du prédicateur musulman Fethullah Gülen, très influents dans la police et la magistrature turques, d’avoir constitué un “Etat dans l’Etat” et de manipuler l’enquête pour le faire tomber. En riposte, il a fait révoquer ou muter quelque 6.000 policiers et des centaines de magistrats. Comme un autre texte récent sur le contrôle d’internet dénoncé comme “liberticide”, la réforme judiciaire sera soumise au président Abdullah Gül, qui peut refuser de la promulguer et la renvoyer au Parlement.
L’opposition a de son côté déjà fait savoir qu’elle saisirait la Cour constitutionnelle.
http://www.lepoint.fr/monde/turquie-le-gouvernement-fait-adopter-une-loi-contestee-sur-la-justice-15-02-2014-1792046_24.php