Publié par Rosaly le 9 mai 2014

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Année après année, les Musulmans et les organisations islamiques travaillent avec un acharnement des plus zélés à l’islamisation de nos pays, de nos cultures, de notre civilisation.

Pour arriver à leurs fins, ils utilisent une tactique musulmane bien connue : la victimisation via l’offense. Un rien suffit à heurter leur sensibilité à fleur de peau. Ce sont des êtres très sensibles…

Leur mentalité victimaire, poussée à l’extrême, et leur manque de responsabilité à l’égard de leurs propres actions, sont les conséquences naturelles de leur culture islamique immature, qui promeut une croyance fondamentale selon laquelle ils ne peuvent contrôler les événements qui les affectent, croyance connue en psychologie sous le nom de « locus de contrôle » externe.

Les Musulmans sont éduqués à accepter que leurs vies soient contrôlées par des éléments extérieurs. Ils ne sont pas maîtres de leur destin.

Les « Inch Allah » (si Allah le veut) foisonnent dans leurs conversations. Les nombreuses lois religieuses, les innombrables interdits, les traditions, et les puissants guides spirituels, leur laissent très peu de place pour la responsabilité individuelle. C’est la racine de cette fameuse mentalité victimaire, si caractéristique des musulmans : le coupable est toujours l’autre, et c’est lui qui doit être blâmé et puni pour tous les problèmes.

Il est choquant, voire effrayant de constater la façon servile dont nos autorités laïques continuent de tomber dans le piège de la victimisation, stratégie souvent enfantine mais toujours menaçante, utilisée par les Musulmans pour exprimer leur émotion à la moindre critique de leur « religion », de leur dieu, de leur prophète, de leurs traditions, considérés comme l’offense absolue.

La conséquence de ce somnambulisme aveugle de nos responsables est la mise en œuvre progressive de la Sharia, la loi islamique haineuse, raciste, homophobe, antisémite, misogyne, pourtant condamnée par l’ONU et la Cour européenne des Droits de l’Homme, comme étant contraire aux droits humains et l’antithèse de la démocratie.

Oui, l’islam m’offense … nous offense…

Le fait que les Musulmans aient pu aller aussi loin en jouant cette carte ridicule, mais oh combien efficace, de la victimisation, prouve clairement la faiblesse de notre propre culture, dominée par les droits-de-l’hommisme. Mais cette faiblesse, nous pouvons aussi l’exploiter, vu qu’elle semble être la rhétorique la plus puissante de notre temps.

Dès lors, tout citoyen qui se sentirait offensé par l’islam, devrait porter plainte.

Ce serait le seul moyen, actuellement à notre disposition, de récupérer notre liberté d’expression :

Inondons la police, les rédacteurs en chef, Facebook, les Autorités de plaintes par e-mail, pour stigmatisation, victimisation, offense, menaces, à l’instar des Musulmans.

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Oui, offensés par les organisation islamiques, qui ne se distancient pas des messages de haine et de violence du coran, mais les diffusent dans les mosquées, sur leurs sites internet et ne s’indignent pas des rivières de sang qui ensanglantent la terre, au nom de leur « religion ».

Oui, offensés car la police n’arrête aucun dirigeant islamique, qui répand des discours de haine envers les non Musulmans, mais poursuit implacablement quiconque exprime sa colère, son indignation ou sa critique rationnelle à l’égard des injonctions coraniques génocidaires envers les non Musulmans, les Chrétiens et les Juifs en particulier.

Oui, offensés par la façon dont les Musulmans traitent leurs femmes, sans aucun respect de leurs droits fondamentaux, de leur dignité.

Oui, offensés par les crimes d’honneur, les mariages forcés de petites filles, la pratique barbare de l’excision, non seulement en terre d’islam, mais aussi en Occident.

Oui, offensés par l’explosion des viols des femmes non musulmanes par les Musulmans, ce crime horrible motivé par la haine, un acte de guerre, un marqueur de conquête et de victoire, un signe de puissance : on domine la femme de l’ennemi.

La haine islamique pour les femmes occidentales qui ne couvrent pas leurs corps de tentes islamiques ne connaît pas de limite. En 2006, le Mufti d’Australie, le Cheikh Hilali considérait les femmes occidentales comme de la viande «pour les chats» : ces femmes occidentales méritent d’être mangées (sexuellement) par les hommes musulmans qui les croisent : “l’islam permet aux hommes musulmans de violer les femmes non musulmanes qui ne couvrent pas leur “viande”.

L’islam considère la femme comme un objet de honte. Tout son corps, de la tête aux pieds est obscène, et il est nécessaire de le couvrir, à chaque fois qu’elle s’aventure à l’extérieur. Cette haine extrême des femmes est enracinée dans de nombreux versets du Coran, de nombreux sahih (authentique) ahadith qui qualifient les femmes de bestiales, mauvaises, pécheresses, lascives et stupides.

Oui, offensés par le souci des autorités de ne pas stigmatiser les agresseurs, des hommes soi disant marginalisés et traumatisés, qui n’expriment jamais aucun remord, aucune honte, aucune compassion.

Oui, offensés par les persécutions et les nettoyages ethniques des minorités non musulmanes en terre d’islam. Le Moyen Orient a été vidé de ses Juifs et il est sur le point de voir disparaître le reste de ses Chrétiens et ce, dans l’indifférence glaciale de l’Occident.

Oui, offensés par les conséquences dévastatrices de l’immigration musulmane dans nos pays occidentaux.

Oui, offensés par cette invasion musulmane ingrate, qui saigne notre système de sécurité sociale à blanc, colonise des zones entières de nos villes et y impose son idéologie suprémaciste, la loi d’Allah, au mépris de nos lois.

Si nous agissons de la sorte, nos législateurs seront bien obligés soit de poursuivre les Musulmans pour stigmatisation et offense constantes envers les non Musulmans, soit d’annuler les lois qui limitent la liberté d’expression et menacent quiconque ose exprimer des vérités salvatrices.

Les politiciens choisiront sans doute d’annuler les lois liberticides, plutôt que d’offenser les Musulmans en les poursuivant via les mêmes lois, qu’ils utilisent allègrement et sans modération pour condamner les non Musulmans.

Jouons aussi à la victime, ne les laissons pas exploiter nos valeurs et nos droits

Pour défendre la liberté d’expression, utilisons-la, retournons à notre avantage la tactique, bien huilée, de la victimisation et de l’offense utilisée par les Musulmans. Jouons aussi à la victime, ne les laissons pas exploiter nos valeurs et nos droits démocratiques pour leur permettre un jour de nous asservir.

Pour savoir ce que l’extrémisme islamique, fort d’une expérience de 14 siècles et actuellement en plein essor, nous réserve à l’avenir, il suffit de suivre au jour le jour les ravages de cette idéologie sanguinaire au Moyen orient, en Afrique, en Asie …

Nous sommes encore en démocratie, nous avons dès lors le droit et le devoir de nous opposer à une idéologie totalitaire et intolérante, d’en dénoncer les dangers, d’appeler à la vigilance, de l’empêcher de nous vampiriser, sans être ostracisés, insultés, calomniés, menacés, n’en déplaise aux bien-pensants, aux intellectuels, aux journalistes et aux politiques de gauche, de droite ou aux écolos, pour qui la démocratie signifie se taire devant la présence de plus en plus visible de l’extrémisme islamique dans nos Sociétés.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : inspiré de l’article de Nicolai Sennels «Let us be offended.” Jihad Watch

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