Michel Garroté, réd en chef –- Condamnée à mort pour apostasie, Meriam a accouché dans sa cellule le 27 mai. L’indifférence de l’administration américaine à l’égard de cette jeune femme, mariée à un Soudanais du Sud détenant la nationalité américaine, est inadmissible, écrit Hoda Saliby (lien vers source en bas de page).
L’administration Obama se contente d’un simple suivi alors qu’un pays étranger organise la pendaison d’une Américaine condamnée en raison de sa foi. En effet, le gouvernement soudanais a condamné Meriam Yehya Ibrahim à la peine capitale pour apostasie, s’indigne The Washington Times.
Meriam Yehya Ibrahim, 27 ans, née d’un père musulman et élevée par sa mère d’origine éthiopienne et de religion chrétienne orthodoxe, a épousé Daniel Wani, un chrétien originaire du Soudan du Sud qui a la nationalité américaine et travaille pour les Nations unies.
Arrêtée en août 2013, à la suite d’une plainte déposée contre elle par un membre de sa famille, Meriam Yehya Ibrahim, enceinte de huit mois, a été reconnue coupable, le 11 mai, d’adultère et d’apostasie par un tribunal de Khartoum et maintenue en détention avec son fils de 20 mois, rappelle Sudan Tribune.
Elle avait trois jours pour revenir à l’islam. Elle a affirmé avoir grandi dans la foi chrétienne et nié s’être convertie, alors que la loi islamique, en vigueur au Soudan depuis 1983, interdit les conversions ainsi que l’union d’une musulmane avec un non-musulman. De ce fait, Meriam a été condamnée le 15 mai à la peine capitale pour apostasie. Elle a aussi été condamnée à 100 coups de fouets pour adultère, poursuit le site d’information soudanais.
Sudan Tribune souligne l’indignation suscitée dans le monde par la décision du tribunal soudanais, en citant les diverses réactions et condamnations exprimées par des hommes politiques aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, ainsi que par des experts des droits de l’homme aux Nations unies. Un appel lancé par Amnesty international a recueilli 620 000 soutiens. De même, un appel lancé par le collectif Urgence Darfour a mobilisé plusieurs ambassades à Khartoum.
Le 27 mai, Meriam Yehya Ibrahim a accouché de son deuxième enfant, une fille, dans la prison où elle attend son exécution, souligne The Washington Times. Les coups de fouet devraient lui être administrés lorsqu’elle sera remise de son accouchement. Pour son mari, Daniel Wani, le dernier espoir repose sur l’appel déposé par l’avocat de Meriam et qui pourrait repousser l’exécution de deux ans après l’accouchement, conformément à la loi soudanaise.
Les Etats-Unis n’ont même pas exercé de réelles pressions sur le régime soudanais d’Omar El-Béchir pour obtenir la libération de la jeune femme et de ses enfants, Martin et Maya. Le département d’Etat avance une raison d’ordre bureaucratique pour ne pas s’occuper de l’affaire en arguant que l’époux, Daniel Wani, n’a pas rempli les bons formulaires pour obtenir l’aide du gouvernement.
L’indifférence de l’administration au calvaire de ce couple est frappante. Même pas un tweet de la part de la première dame. Le président Obama s’abstient de toute critique concernant les musulmans. Sa faiblesse dans la défense des intérêts américains ne fait qu’encourager les ennemis de la nation, conclut Hoda Saliby, citant The Washington Times (lien vers source en bas de page).
Reproduction autorisée avec mention :
M. Garroté réd chef www.dreuz.info
Source :
http://www.courrierinternational.com/article/2014/05/30/y-a-t-il-quelqu-un-pour-sauver-meriam
http://www.raymondibrahim.com/islam/an-americans-experience-with-islamic-apostasy/
D’après l’observatoire de la christianophobie (voir ce lien), le Times en a parlé en Angleterre. Il semblerait qu’elle ait accouché enchaînée ! ! ! !
J’ai envoyé l’article au journal belge Le Soir…par internet….
elle a accouché !
donc dans quelques temps (après l’allaitement)
la charia fera en sortes qu’elle soit exécutée.
RIP
La loi soudanaise stipule un délai de 2 ans, correspondant sans doute au sevrage du nourrisson, pour l’application de la peine de mort à une femme nouvellement accouchée. Mais la sharia a apparemment plus de poids au Soudan que toute autre loi laïque.
Pour ce qui est des coups de fouet, les 2 ans d’attente ne s’appliquent probablement pas.
l’ONU évidemment n’a pas le temps de faire ou dire quelque chose pour aider cette malheureuse !
Les musulmans ont commencé à infiltrer l’ONU depuis les années 70 et maintenant ils la dominent complètement.
quand je pense que pour le commun ce sont les juifs qui dominent tout !
Trop difficile de réfléchir, pour le commun, la connerie détruit les neurones !
Ce n’est pas pour rien que feu mon homme, militaire Canadien, ne voulait plus combattre sous mandat de l’ONU, ne voulait plus porter le béret bleu.
Le journal belge Le Soir en parle aujourd’hui…
il est peut-être bon d’envoyer un article parlant de cette sœur en la foi à des journaux…
les médias sont paralysés à l’idée de parler islam et immigration , il n’y a qu’à regarder la tronche de ces laches quand un courageux tel W.Goldnadel prononce les mots « interdits » , ils sourient nerveusement
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/05/31/97001-20140531FILWWW00047-meriam-cameron-demande-a-khartoum-d-agir.php
elle va etre libérée
Caroline
Répondu :21 heures
elle va etre libérée
Que la volonté de DIEU se fasse pas celle d’allah-satan :pissedoff:
finalement le Soudan nie la libération , la prisonnière est médecin , quelle déchéance ! si seulement ça pouvait ouvrir les yeux de tous ces aveugles à propos de leur religion de barbares
Abd’Allah Ben Burydah a rapporté de la part de son père qu’une femme (al-Gamidya)
a dit au prophète : « ô Messager d’Allah ! J’ai forniqué, purifie-moi.
Mais le prophète l’a renvoyée.
Le lendemain, elle lui a dit « Ô Messager d’Allah !
Pourquoi tu me renvoies ?!
Me renvoies-tu comme t’as renvoyé Maëz ! Par Allah, je suis enceinte »
Il lui répondit : « Non, vas-t’en et reviens quand tu auras accouché. »
Quand elle a donné naissance à son garçon,
elle le lui a apporté dans une étoffe et elle a dit :
« Le voilà, je l’ai mis au monde »
« Vas l’allaiter et reviens après sevrage » répondit le prophète.
Quand elle l’a sevré, elle lui a apporté le gamin portant
un morceau de pain à la main
et a dit : « Le voilà, ô Messager d’Allah ! Je l’ai sevré
et il s’est bien nourri. »
Le prophète a confié le gamin à un homme et a ordonné
de creuser un trou de profondeur suffisante pour couvrir son corps jusqu’à la poitrine,
puis il a ordonné de la lapider.(…) » Rapporté par Mouslim.