Publié par Jean-Patrick Grumberg le 25 juin 2014
Esclaves noirs des musulmans
Esclaves noirs des musulmans

Le texte suivant, écrit en 1897, annonce avec une acuité impressionnante le mal qui traverse la société française en 2014.

L’auteur était à la fois un grand ennemi de l’islam et une pourriture antisémite. Cela ne m’empêche pas de publier ces quelques lignes : elles doivent l’être, car elles fournissent un éclairage stupéfiant du légitime questionnement contemporain :

 

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S’il existe dans le monde une entreprise difficile entre toutes, c’est celle de vouloir faire connaître à la France la composition de l’lslam, Mahomet, la religion musulmane…

Cette immense difficulté, cette confusion inextricable, cette hésitation à présenter, au public français, l’esquisse psychologique, doivent être attribuées à l’éducation moderne des Français, au système de l’instruction publique en France, à l’empoisonnement par les romanciers de l’époque, aux multiples erreurs des historiens, des théologiens, des littérateurs qui ont enveloppé l’Islam et Mahomet dans des récits et des tableaux d’une séduction étrange et les ont présentés au monde comme s’ils étaient des événements providentiels et bienfaisants ou des flambeaux d’une civilisation inappréciable.

Pour qu’un individu puisse se faire une idée exacte de la composition morale et constitutive d’un peuple étranger, d’une nation différente de la sienne, il faut qu’il possède, lui-même, à un très haut degré, le « connais-toi toi-même » c’est-à dire, qu’il ait la conscience absolue du type psychologique auquel il appartient ; il faut qu’il ait vivant, pour ainsi dire, le sentiment de l’origine et de la raison d’être de sa nationalité, de sa race, de sa religion, des lois fondamentales qui régissent la société dont il fait partie, ses intérêts sociaux et individuels, sa famille, etc.

Si, en contemplant un monde qui n’est pas le sien, cet individu perd un moment ce sentiment ; si au lieu de suivre la voie que lui ont tracée ses traditions nationales, au lieu d’obéir aux lois constitutives de son type psychologique, il se laissait circonvenir et guider par ses ennemis séculaires qui ne manqueront, indubitablement pas, de l’engager dans des voies différentes et inconnues, il résulterait sans qu’il s’en doute, un ébranlement subit dans son organisme mental ; on le verrait travestir la vérité de son passé historique, s’approprier, avec une sorte d’ardeur, les outrages de ses ennemis, pour les déverser sur ses ancêtres, dénoncer les gloires de sa patrie comme des erreurs et des mensonges, et travailler, sous la direction de ses mortels ennemis, maîtres de lui, à la désorganisation de la société laquelle il appartient, à la dissolution de sa race, à la destruction de son propre pays, livrer enfin ses enfants à l’esclavage et à la honte et se résigner à la perte de ses biens et de son foyer.

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J’ai songé un instant à commenter ce texte afin de pointer du doigt ce qui, dans l’environnement français, se rapporte au raisonnement de l’auteur, puis j’ai renoncé. Cette lucidité – on croirait ce document écrit hier – à décrire ce que vivent les Français se suffit à elle-même, à condition de lire chaque mot et chaque phrase avec soin.

Le chapitre se termine ainsi – dites-moi que, bien qu’écrit fin 19e siècle, nous ne sommes au présent :

[message_box title=”” color=”yellow”]Ce n’est que le jour où tout, autour de lui, sera bouleversé et ruiné, lorsqu’il sera plongé dans les angoisses les plus rigoureuses, qu’il se réveillera pour embrasser du regard l’immensité de la perfidie de ses conducteurs et l’égarement dans lequel il s’est stupidement laissé aller. Heureux, s’il lui restait encore des forces pour briser les chaînes qu’il s’est laissé river aux mains, réagir avec vigueur et frapper cruellement ses exploiteurs et ses bourreaux. En tous cas, il ne sortira pas de cette lutte affreuse sans avoir reçu d’horribles blessures. [/message_box]

Merci à Claude pour avoir porté ce texte à ma connaissance.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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