Lorsque l’éditeur Random House a publié les premières mémoires de Barack Obama, Dreams From My Father, en 1994, il a dû, comme pour tout livre, remplir un document (Certificate of Registration) pour protéger les droits, le copyright du livre.
L’avocate Orly Taitz, qui ne baisse pas les bras sur le sujet de l’éligibilité de l’actuel président – ce qui, intellectuellement, et au delà du dossier, n’est pas pour me déplaire – a cherché à obtenir une copie du certificat d’enregistrement du livre, où se trouvent normalement des informations sur l’état civil de l’auteur.
Regardez le document en taille réelle. Quelque chose de bizarre saute aux yeux …
Orly Taitz : « Dans la case du certificat où l’on doit écrire la date de naissance, il est écrit ‘USA’. »
Bizarre qu’une maison d’édition sérieuse laisse passer une erreur aussi basique sans demander à l’auteur de la corriger. Et encore plus surprenant que le service d’enregistrement des copyrights l’ait accepté : la moindre erreur sur un document administratif, et celui-ci vous est retourné. Ca m’est déjà arrivé, et j’ai tout de suite reçu un coup de fil de l’administration qui m’a demandé la bonne information et a corrigé. Si vous vivez aux Etats Unis, vous savez de quoi je parle.
Mais admettons…
Admettons que Barack Obama se soit trompé et ait noté USA par étourderie au lieu de sa date de naissance.
Admettons que manque de chance, les secrétaires de la maison d’édition ont laissé passer l’erreur sans la voir,
Et admettons que comble du hasard, le fonctionnaire du bureau des copyrights, dont le travail consiste à vérifier le document avant de le valider, n’ait rien vu non plus.
Honnêtement, c’est fort peu probable.
Seulement voilà…
Il ne s’agit pas d’un quelconque auteur, mais du futur président des Etats Unis, lequel a depuis produit un faux extrait de naissance où il est indiqué que son père est né au « Kenya, East Africa », alors qu’à la date dudit extrait… le Kenya ne s’appelait pas encore Kenya mais British East Africa Protectorate.
Interpelée, et, comme je l’explique plus haut, ne lâchant jamais rien, Taitz s’est adressée à un expert en typographie certifié auprès des tribunaux, Paul Irey, et lui a demandé de regarder le certificat.
La typographie du mot “USA” est différente de celle du reste du document
Dans son email en réponse à Taitz, Irey explique :
La typographie du mot “USA” est différente de celle du reste du document, et le mot a été écrit avec une machine à écrire manuelle qui n’était pas utilisée par les maisons d’édition en 1994.
Le mot “USA” a été écrit aux deux endroits du certificat avec deux machines à écrire différentes car la taille des caractères n’est pas la même.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
Ce certificat d’enregistrement issu en faveur de l’éditeur Acton & Dystel Publishers pour “Dreams of my Father” où la date de naissance de l’auteur a été omise date de 1995.
En 1991, la même maison d’édition détenait une auto(?)-biographie de M. Obama intitulée “Journeys in Black and White” qui ne fut finalement pas publiée. L’encart de publicité préparé par Acton & Dystel pour ce livre indiquait alors: «Barack Obama, the first African American president of the Harvard Law Review, WAS BORN IN KENYA and raised in Indonesia and Hawaii…”. Cette information figura sur le site de l’éditeur pendant 16 ans et ne fut changée que le 21 avril 2007, 2 mois avant l’annonce de la candidature de l‘auteur à la Présidence.
Pour son premier livre, M. Obama a donc fait une erreur en disant à son éditeur qu’il était né au Kenya, et pour son second livre, il a fait une autre erreur en indiquant que sa date de naissance était : «USA». Et apparemment personne dans son entourage ne s’est étonné d’une telle persistance dans l’erreur.
Il y quelques années, lorsque cette « erreur » concernant l’auteur du premier livre fit surface, les médias gauchistes s’empressèrent de répondre qu’il s’agissait d’une erreur de la part de l’agent littéraire ; d’autres déclarèrent que l’erreur était intentionnelle, l’exotisme étant alors en faveur auprès du public. Ce qui est certain, c’est que malgré les questions que posent ces anomalies, aucun juge n’a encore accepté de recevoir les nombreuses demandes d’enquête à ce sujet qui leur furent présentées.
et pour comble les américains lui ont fait confiance pour un second mandat !! étonnant non ? pour un président qui n’est pas né aux USA
et qui a réussi à pigeonné tous les américains 😯
Pas sûr. La fraude électorale a été énorme, bien supérieure à celle de 2008, et il y a trop d’éléments inexpliqués en 2012.
Bonjour Atikva,
je viens de lire ceci :
http://weaselzippers.us/189238-lib-blogger-gop-voter-id-laws-could-lead-to-fascism/
Mais oui, North Wrecker, je ne crois pas que vous réalisiez en France à qui exactement nous avons à faire avec la clique islamo-socialiste Obama. Ce n’est plus de la politique, c’est du gangstérisme, une véritable mafia bien organisée et depuis longtemps préparée qui applique à fond les règles édictées par les marxistes-léninistes pour arriver au pouvoir et s’y maintenir.
En ce qui concerne la fraude électorale chère à Staline («Ce ne sont pas les électeurs qui sont importants, ce sont ceux qui comptent les bulletins de vote»), déjà avant les élections de 2008 des groupes tels que le scandaleux ACORN s’intitulant «community organizers» avaient été entraînés à obtenir des votes en faveur de leur candidat par tous les moyens, légaux ou non.
Le personnel des bureaux de vote fut rempli de partisans auquels la consigne avait été donnée de ne pas faire trop attention aux listes électorales, d’accepter à peu près n’importe quoi en fait de pièce d’identité (une carte bibliothécaire, pourquoi pas ?) du moment qu’il s’agissait de Noirs ou d’Hispaniques, et des scrutateurs arborant le macaron démocrate intervenaient à chaque fois que le droit de vote d’un de leur partisan semblait douteux. J’ai été témoin de telles manœuvres en tant que Precinct Officer bilingue en Californie.
Quant aux électeurs indécis ou indifférents, dans la meilleure tradition des syndicats de gangsters on ne se contenta pas de les y transporter gratuitement, on employa les promesses, les menaces, le backshish (je ne me rappelle plus du taux en vigueur à l’époque) et parfois la violence. Plantés devant les bureaux, des groupes de punks faisaient pression sur les arrivants en exigeant qu’ils votent en faveur de leur candidat.
Ces abus avaient conduit plusieurs Etats à demander qu’on vérifie dorénavant sérieusement la validité du droit de vote, ce qui souleva un tollé de la part des démocrates. Comme d’habitude, ces messieurs s’abritèrent derrière le conformisme socialiste qu’ils ont mis en place et clamèrent qu’il était raciste et discriminatoire d’exiger d’un individu Noir ou Hispanique qu’il prouve son droit à voter, ne serait-ce qu’en prouvant sa nationalité, et qu’il s’agissait d’une insupportable atteinte à son droit de vote. La plupart des Etats baissèrent les bras. Et les plaintes pour fraude électorale déposées auprès des tribunaux reçurent presque toutes une fin de non recevoir.
Et cela nous amène à 2012. Alors que presque tous les prognostics favorisaient M. Romney, par un retournement de dernière heure, les morts et les enfants se mirent à voter en masse et certains électeurs démocrates à voter, également en masse, 5 ou 6 fois de suite pour le même candidat dans les bureaux différents où ils s’étaient inscrits. Certains partisans de M. Obama (entre autres Patrick Moran) échangèrent des tuyaux sur la meilleure façon de commettre une fraude électorale qui susciterait une centaine de votes supplémentaires. Dans certaines localités, il y eut plus de votants que sur les listes électorales, plus de votants que d’habitants, les machines de scrutin électronique se mirent à fonctionner bizarrement et Dieu sait ce qu’il advint des votes comptés manuellement.
En seule Caroline du Nord (l’un des swing States), en 2012 il y aurait eu 36.000 cas de fraude électorale.
Pour en savoir plus, il vous suffit de taper Voter Fraud sur votre clavier.
@ Atikva
Oui ACORN apprenait aux racailles comment ils devaient s’y prendre pour voter plusieurs fois. Mais il y a aussi eu une grosse fraude lors des primaires démocrates.
Did Obama Cheat to Win the Democrat Primary?
posted at 2:32 pm on July 13, 2010 by Howard Portnoy
By now the stories of voter intimidation by the New Black Panthers and voter fraud by the Justice Department are too well documented to require comment. Less well known are the claims made in a new documentary which accuses the Obama campaign of underhanded, and possibly criminal, tactics in its campaign against Hillary Clinton in the 2008 primaries.
The documentary, titled We Will Not Be Silenced isn’t the work of a partisan hack, the Republican National Committee, or some other “vast right-wing conspiracy.” It was created by Gigi Gaston, a writer/director who is also a lifelong Democrat and whose grandfather was a Democratic governor of Massachusetts.
http://hotair.com/greenroom/archives/2010/07/13/did-obama-cheat-to-win-the-democrat-primary/
Obama a pris le pouvoir comme on prend le pouvoir dans un des pays où il est réellement né. C’est un véritable coup-d’état organisé avec la complicité de la presse et même d’une partie du camp républicain qui savait tout de ces pratiques et qui a tout laissé passer sans protester.
Eh bien Atikva, je viens de vous lire et je suis sans voix ! Je ne pensais pas à ce point ! Le piège se referme sur nous.
Et ce n’est pas tout. ! Je viens d’apprendre qu’à San Francisco, Leland Yee, sénateur démocrate de Californie, a reçu 300.000 votes durant les élections primaires de juin 2014. Le problème, c’est que M. Yee, mis en accusation trois mois plus tôt pour traffic d’armes et corruption, s’était retiré de la compétition.
Imbécillité des électeurs démocrates qui votent même pour un absent du moment qu’il est des leurs, ou un nouveau travail bâclé de la part des «community organizers», qui sait ?
http://www.latimes.com/local/la-me-pol-leland-yee-vote-20140607-story.html
Les américains sont-ils au courant de cela ?… Bien sûr que oui. Mais alors, comment se fait-il qu’ils ne le foutent pas dehors ???
A méditer !!!
Un de mes amis, juif américain, a hurlé de joie lorsque B. Obama a été élu. J’ai été très étonnée de sa réaction qui ne lui correspondait pas. Il m’a simplement expliqué leur fierté, eux américains avaient réalisé une première : élire un président noir. Je les vois mal aujourd’hui avouer qu’ils se sont trompés. Quoi que, sur la presse alternative américaine que je lis, beaucoup l’avouent car la tromperie sur sa naissance est connue maintenant depuis pas mal de temps.
Si vous consultiez
http://www.frontpagemag.com/
vous réaliseriez que tous les Juifs américains ne sont pas pro-Obama, not by a long shot. Beaucoup d’entre eux mènent un combat intelligent et continuel contre le régime actuel, et ce site de grande qualité qu’ils ont fondé et qui remplace avantageusement n’importe quel journal quotidien national attire et réunit de nombreux résistants.
Merci Atikva pour ce site très intéressant que je consulterai régulièrement. Je n’ai jamais pensé que la réaction de mon ami américain reflétait celle de l’ensemble des juifs américains, j’avais été étonnée par ce cas qui ne devait pas être unique.
En effet Mailys, ce n’est un secret pour personne que Barack Hussein Obama a été élu par les « colored people » et les Latinos sur des critères raciaux et par une partie de l’Amérique blanche parce qu’elle trouvait là une façon de se prouver (et de prouver au monde) qu’elle n’était plus raciste. D’où la joie de votre ami. J’ai vu ça moi aussi.
Intéressant !
Je me souviens avoir lu, mais je ne sais plus où, que 20% des électeurs américains avaient déclaré qu’ils ne voteraient JAMAIS pour un mormon à la présidence.
Et que font les Républicains? Ils se choisissent Romney, un mormon.
Il m’est arrivé de me demander parfois, si les républicains ne cherchaient pas la défaite. Choisir McCain, qui dresse un portrait d’Obama presque idyllique en pleine élection, n’était pas très judicieux non-plus.
Les Pères Fondateurs des États Unis ont verrouillé la démocratie américaine pour se protéger contre la dictature. La Raison d’État est la seule façon pour court-circuiter cette belle machine. Les deux partis sans se mettre d’accord ont fabriqué Obama pour cacher cette force militaire irrattrapable que sont les USA. Les statistiques crèvent les yeux, mais rien n’est dit de concret à ce sujet. :soldier:
Oui, une nouvelle pièce falsifiée de plus. Elle se contentera de rejoindre les autres dans la poubelle sans faire de bruit. L’administration est tombée tellement loin dans le grotesque et ridicule qu’ils seraient encore capables de nous expliquer que « USA » correspond à la date de naissance d’Obama en chiffres romains. Après avoir entendu qu’Obama voulait faire libérer un terroriste de GITMO parce qu’il s’est mis à faire du Yoga, et que Benghazi était une réponse à une vidéo faite sur le net, on peut s’attendre à tout et n’importe quoi. L’administration Obama ne s’embête même plus à rendre leurs mensonges crédibles, ils savent très bien que la presse les couvre, et que les américains ne broncheront pas.