J’évoquais hier, suite aux témoignages d’une maman, le sort d’une colonie de vacances juive de Nice qui a du fermer suite à une agression antisémite.
Je disais que « le directeur, contacté par téléphone et par email, n’a pas donné suite à nos demandes d’interview. »
J’ai réussi à le joindre aujourd’hui et je tiens à apporter les précisions suivantes :
• Tout d’abord, la colonie de vacances n’a, d’un point de vue pratique, jamais fermé. Son directeur a insisté avec une légitime fierté sur ce point : grâce à son optimisme et à l’aide extraordinaire que lui ont apporté le maire de Nice Christian Estrosi et la police, la colonie de vacances a réouvert la semaine suivant les attaques, et les enfants n’ont pas été pénalisés.
• La colonie de vacances était située dans un endroit « sensible » de Nice, m’a expliqué le directeur, ce qui n’avait cependant pas posé problème l’an dernier. Mais avec les évènements de Gaza, la sortie de la colonie, au moment où les parents viennent chercher leurs enfants, a été accompagnée par « des bandes d’enfants de 10 à 15 ans » issus de l’immigration qui ont crié « mort aux juifs » et joué la provocation.
L’inquiétude est montée parmi les parents, sensibilisés par la tension antisémite qui règne en France.
Mais c’est un autre incident, sans rapport avec le premier ni avec l’antisémitisme, qui a tout déclenché :
« Une femme d’un certain âge, de couleur, apparemment mentalement dérangée, est passée dans le quartier, a insulté les policiers, et a continué devant l’école. Pour ne pas que les enfants soient perturbés, j’ai appelé la police », m’a expliqué le directeur, « qui est immédiatement intervenue, et a neutralisé la femme. »
« A ce moment, un attroupement d’arabes s’est mis à filmer pour montrer la « méchanceté » de la police… Je leur ai demandé de quitter les lieux, ça ne leur a pas plu, ils cherchaient des histoires… »
« Des voitures de police sont arrivées et ont calmé l’excitation… »
« Suite à cela, les parents se sont passé le mot, et ont réclamé la fermeture de l’école. J’y étais opposé, je ne voulais pas céder à cause de ces provocations, mais j’ai accepté, vendredi dernier, de fermer la colonie, le temps de trouver une solution de rechange »
« Le maire a été alors extraordinaire, il a mis des agents à notre disposition afin de nous aider à trouver une école », ce qui a permis de réouvrir sans interruption pour les enfants.
« Ainsi, la colonie de vacances finit demain vendredi en beauté, nous avons organisé 4 sorties cette semaine, et avons été formidablement soutenus par le SPCJ, le Crif, la mairie, Christian Estrosi, et la police. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Bravo à Christian Estrosi qui a mis les moyens etc …
Tout est bien, néanmoins laisser cohabiter une colonie de vacances avec un quartier sensible de Nice me parait bien dangereux. Les parents doivent y songer sérieusement. Nous avons changé d’époque il me semble
C’est tout à votre honneur de faire cette mise au point. Il n’empêche que le sentiment et les actes antisémites se développent d’une manière effrayante ici. Les « Français » se lâchent sans vergogne et je ne vois rien ni personne qui puisse les arrêter.
Ne parlez pas de « Français » pour qualifier ces bêtes galeuses ! Ils n’en ont que les papiers mais n’en sont pas ! Des charognes oui! Pas des français!
D’où les guillemets…
le jour ou un savant juif trouvera un vaccin pour cette terrible
maladie,(l’antisémitisme);pasteur et einstein seront classer
en deuxième position !! la rage c’était les chiens…d’autres chiens
ont aujourd’hui la rage!!!et ils bavent
Une bête enragée mérite d’être abattue et ce genre de bête ne respecte que la force! Il faudrait peut-être quelques exemples pour calmet la meute baveuse en attendant de les reconduire sous d’autres cieux plus compatibles avec leur doctrine haineuse et mortifère !