Les opérations militaires israéliennes contre le Hamas semblent donc, pour l’essentiel, achevées. Le choix parait avoir été fait par Binyamin Netanyahou de laisser en place un Hamas affaibli.
Une action contre le bunker situé sous l’hôpital Shifa n’a pas eu lieu. A-t-elle été considérée comme trop risquée ou potentiellement trop coûteuse en vies humaines? A-t-elle été estimée trop nuisible à l’image internationale d’Israël ou aux relations avec l’administration Obama? Ceux qui ont les réponses à ces questions se comptent sur les doigts d’une seule main, et sont tenus par le secret défense.
Si on veut voir les choses sous un angle positif, on peut dire que l’essentiel des tunnels construits par le Hamas ont été détruits, ce qui constitue un échec majeur pour les ennemis d’Israël. On peut dire aussi qu’une bonne part de l’armement dont disposait le Hamas a aussi été détruit. On peut constater que l’alliance tacite entre l’Egypte et Israël, avec en arrière fond l’Arabie Saoudite et les émirats du Golfe tient, et constitue un atout majeur pour le gouvernement israélien.
Si on veut voir les choses sous un angle plus négatif, on doit noter que le Hamas affaibli, mais pas mort, n’est sans doute affaibli que de façon temporaire: le prestige du Hamas au sein des populations arabes « palestiniennes » est, selon toute vraisemblance, renforcé. L’alliance Fatah Hamas est, en ces conditions, elle-même renforcée. L’Egypte et Israël vont, en outre, se trouver confrontés à des demandes de plus en plus pressantes de l’Europe et de l’administration Obama en vue d’assouplir les contrôles aux frontières de Gaza et de faciliter la « reconstruction ». L’Europe et l’administration Obama vont, en supplément, insister pour que s’opère un retour au « processus de paix ».
La position israélienne est claire: pas d’assouplissement tant que le Hamas est au pouvoir, pas de reconstruction sans désarmement du Hamas et des autres groupes djihadistes. La position égyptienne est peu ou prou la même. On peut s’attendre à ce que l’administration Obama et ses dirigeants européens abritent leurs demandes en disant appuyer le « modéré » Mahmoud Abbas, et en s’aveuglant volontairement sur le fait que, le Hamas n’étant pas mort, Mahmoud Abbas ne sera que le masque de l’alliance Fatah Hamas. La diplomatie israélienne va devoir redoubler d’ingéniosité pour résister aux pressions. Ce ne sera pas facile. Le maréchal Sissi va faire lui-même l’objet de tentatives de déstabilisation. Il a fait savoir récemment à Israël que le Hamas n’avait pas été assez détruit par l’armée israélienne pour qu’il soit à même de négocier en position de force.
Je crains fort, dans les conditions présentes, que des concessions soient effectuées, que le désarmement du Hamas et des autres groupes djihadistes ne soit qu’un simulacre, qu’au nom de la « reconstruction », des contrôles aux frontières soient cédés à l’Europe (des entreprises européennes frétillent déjà d’impatience à l’idée de contribuer à la reconstruction), aux Nations Unies, à Mahmoud Abbas, donc à des alliés du terrorisme djihadiste.
L’explication qui circule beaucoup concernant le choix de laisser en place un Hamas affaibli est celle que je donne plus haut concernant l’absence d’action contre le bunker de commandement du Hamas: détruire le Hamas aurait été trop risqué, potentiellement trop coûteux en vies humaines, trop nuisible à l’image internationale d’Israël et aux relations avec l’administration Obama.
Il est ajouté que cela aurait impliqué qu’Israël occupe à nouveau Gaza et se charge d’administrer la population de Gaza.
Je dois dire que je ne suis pas convaincu: je ne peux pas penser que détruire le Hamas représentait un risque si immense, et pouvait être si coûteux en vies humaines. Je pense qu’envoyer les soldats israéliens au combat en leur demandant de prendre des précautions démesurées a coûté, en soi, des vies israéliennes, sans qu’Israël en tire la moindre gratitude. Je pense qu’une victoire décisive aurait nui à l’image d’Israël, mais pas vraiment davantage que les opérations qui ont été menées (aux yeux de ce qu’on appelle « communauté internationale », Israël a toujours tort). Je pense que les relations avec l’administration Obama n’auraient pas été plus exécrables qu’elles sont présentement. Je pense que le prestige du Hamas aurait disparu avec le Hamas, tout comme l’alliance avec Abbas, et qu’Abbas aurait été plus ductile. Je pense que les pressions internationales se seraient opérées dans de tout autres conditions et qu’il aurait mieux valu que Sissi puisse négocier en position de force.
J’ai expliqué ici, par ailleurs, dans un précédent article, que détruire la tête militaire de monstre appelé Hamas n’impliquait nécessairement ni réoccupation, ni administration de la population.
Je pourrais ajouter que si, au coeur des préoccupations de Binyamin Netanyahou, il y a le contexte régional, et que s’il n’a pas voulu faire davantage à Gaza en considérant qu’Israël a besoin de toutes ses forces pour faire face au Hezbollah, à l’Etat Islamique et à l’Iran, en finir avec le Hamas aurait été à mes yeux plus efficace, et aurait éliminé un front du combat, au moins pour quelques années, tout en apportant davantage de sécurité aux habitants du Sud d’Israël qui, pour l’heure, et pour une partie d’entre eux, hésitent à revenir : ce n’est que mon avis, bien sûr.
J’ajoute néanmoins que la position du gouvernement israélien est très inconfortable. Je ne l’ignore pas.
Jamais une administration américaine n’a été aussi hostile à Israël, et jamais une administration américaine n’avait eu de pareilles connivences avec le djihadisme. Les dirigeants européens ne voyant plus leurs ardeurs réfrénées par les Etats Unis pratiquent l’apaisement et l’anti israélisme avec zèle. Dans des pays tels que la France, les chèques du Qatar accompagnent souvent le zèle.
Jamais le contexte régional n’a été aussi lourd de périls divers. Le Hezbollah est très occupé en Syrie et confronté à une offensive, au Liban, de l’Etat Islamique, mais il dispose, toujours, d’un armement plus sophistiqué que celui dont disposait le Hamas avant la guerre. Et il obéit, toujours, aux mollahs de Téhéran. Ceux-ci disposent quasiment de l’arme atomique. L’Etat Islamique (EI) est en pleine offensive, et ce ne sont pas les actions « humanitaires » d’Obama et de l’Europe, ou quelques bombes lancées ici ou là, qui vont l’arrêter. L’EI menace la Jordanie et pourrait se trouver bientôt aux portes d’Israël.
L’intention d’Obama n’est pas d’arrêter l’offensive de l’EI.
L’administration Obama voyait en l’EI, lorsqu’il s’appelait encore l’ « Etat Islamique en Irak et au Levant » (EIIL), un moyen de contrer le régime syrien et de déstabiliser les régimes arabes du statu quo: il l’a donc laisser croître, et l’a, pour partie, aidé. Ce doit être dit. Cela faisait partie de sa politique de soutien global aux islamistes (cf. gulfnews.com/us-document-reveals-cooperation-washington-brotherhood).
L’Iran finançait l’EI, jusqu’à une date récente, et ce depuis l’époque où il s’appelait al Qaida en Irak (cf. vox.com/what-is-isis), pour disposer d’un instrument de déstabilisation des régimes arabes du statu quo et pour que ce qui est devenu l’EI s’entende avec le régime syrien au lieu de le combattre. L’Iran acceptait, en ce cadre, que ce qui est devenu l’EI tienne les régions sunnites de Syrie et d’Irak.
L’EI attaque désormais clairement le régime chiite de Bagdad (une tentative d’encerclement de Bagdad est en cours), et s’approche des frontières iraniennes.
L’EI massacre des Chrétiens en Irak, à grande échelle.
Obama ne serait sans doute pas intervenu s’il s’agissait seulement de sauver des Chrétiens (ce n’est pas sa préoccupation majeure), mais sauver l’hégémonie régionale de l’Iran, qu’il souhaite, constitue pour lui un motif suffisant d’intervention (cf. pjmedia.com/who-is-isis). Il n’ira pas au delà. On le verra. L’Europe, bien sûr, n’ira pas au delà non plus. Si l’EI menace la Jordanie, ou Israël, Obama partira jouer au golf.
Jamais le contexte régional n’a été aussi lourd de périls divers, oui.
Je comprends que l’imbroglio actuel ne soit pas facile à déchiffrer.
Israël doit agir au sein de l’imbroglio.
Israël a pour alliés tactiques les régimes sunnites du statu quo, menacés par l’Etat Islamique (EI) et par l’Iran.
Le Hamas est l’allié de l’Iran et poursuit les mêmes fins, fondamentalement, que l’Etat Islamique.
Le Qatar et la Turquie soutiennent le Hamas et l’Etat Islamique.
L’administration Obama est l’alliée du Qatar, de la Turquie et de l’Iran : elle entend endiguer l’Etat Islamique. Parce qu’il menace l’Iran.
Les pays d’Europe sont sur la même ligne que l’administration Obama.
L’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas incluant toujours le Hamas, cela place Abbas, de facto, dans le camp du Qatar, de la Turquie, de l’Iran, de l’administration Obama, de l’Europe.
Obama voulait un Moyen Orient dominé par les Frères musulmans et l’Iran, devenu puissance hégémonique régionale. Il y a une infinité de détails qu’il n’avait pas prévu. Le renversement de Morsi par Sissi, par exemple (heureusement pour Israël que ce renversement a eu lieu!). Les appétits d’Abou Bakr al Baghdadi, le calife autoproclamé de l’Etat Islamique. Mais il avait prévu un encerclement d’Israël.
L’administration Obama est freinée dans son hostilité à Israël par les Républicains et l’opinion américaine. En Europe, il n’y a pas l’équivalent des Républicains américains et de l’opinion américaine.
En Europe, il n’y a pas non plus l’équivalent des commentateurs conservateurs américains, et la plupart des commentaires en France relèvent du crétinisme absolu. Pour la plupart des commentateurs français, Mahmoud Abbas est un « modéré » très modéré, le Hamas et le gouvernement israélien sont placés sur le même plan, les différences entre démocratie et totalitarisme n’existent donc pas ; l’extrême droite est au pouvoir en Israël ; le Qatar est gouverné par des hommes de bonne volonté qui ont donné à Paris un beau club de football ; Rouhani en Iran est un homme de bonne volonté lui aussi, et c’est un « conservateur », bien sûr, comme Erdogan, qui est lui aussi un « conservateur » ; la situation en Irak est la faute de George Walker Bush qui a renversé le « laïc » Saddam Hussein ; Obama est un bien brave homme qui fait ce qu’il peut ; quand Netanyahou dit que c’est le Hamas qui a attaqué Israël, il faut prendre ses propos avec circonspection, car Netanyahou est un abominable massacreur d’enfants, accusation jamais adressée au Hamas ; le Hamas et l’Etat Islamique n’ont, bien sûr, aucun point commun, car le premier est une organisation de « résistance », pas le deuxième, composé de « rebelles ».
Je pourrais m’arrêter là tant la coupe est pleine, mais j’ai lu le dossier de L’Express sur la remontée de l’antisémitisme, et j ‘ai tout compris: bon sang, mais c’est bien sûr! Les Juifs ont un sentiment de montée de l’antisémitisme parce que certains exportent le conflit de Gaza en Europe et parce qu’Israël commet des crimes effroyables. Mais il n’y a pas vraiment d’antisémitisme, et si des Juifs envisagent de quitter la France, ce sont des traitres à la patrie et à la République et des « déserteurs ». En supplément, à la place de se conduire en bons Français, les Juifs ont souvent une inclination pour un pays vil et indéfendable, Israël. Parmi les coupables désignés de la montée de l’antisémitisme, il y a le Crif (oui, le Crif), car celui-ci défend trop Israël alors qu’il devrait s’occuper de faire des Juifs français de bons républicains. Dans quelques années, à ce rythme, l’hebdomadaire Je suis partout, disparu en août 1944, pourra reparaître, Bagatelles pour un massacre sera en livre de poche, et Robert Brasillach fera son entrée au Panthéon, et tout cela sera la faute des Juifs, vraisemblablement.
Etant bilingue, quand j’écoutais George W. Bush en direct, j’entendais des discours parlant de droit et de démocratie, quand je voyais la traduction française, droit et démocratie avaient disparu et Bush était décrit comme un « fasciste ». Quand j’entends Netanyahou parler anglais, j’entends parler de droit et de démocratie, quand je vois la traduction française, les mots droit et démocratie disparaissent, et Netanyahou est décrit comme un fasciste.
Israël doit agir dans un contexte où des journalistes européens se montrent adeptes du crétinisme absolu, voire de davantage.
La position du gouvernement israélien est très inconfortable. Je ne peux l’ignorer.
Nous sommes dans une guerre qui, je le crains, ne fait que commencer. Et cette guerre a aussi une dimension journalistique. Nombre de médias européens feignent de s’inquiéter de la montée de l’antisémitisme et de la haine d’Israël en Europe. S’ils en cherchaient vraiment les causes, ils devraient se regarder dans un miroir. Ils trouveraient la réponse en regardant le miroir.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour Dreuz.info.
SI le Maréchal Sissi pense qu’Israel n’a pas encore assez affaibli le hamas, pourquoi s’ entremet-il autant pour un cessez le feu, dés maintenant?
http://news.nationalpost.com/2014/08/10/u-s-lawmakers-warn-of-isis-attack-on-american-soil-urge-strong-response-to-islamic-terrorists-in-iraq/
« Republican Sen. Lindsey Graham said the militants threaten not just Iraqis but also Americans. He said Obama’s airstrikes were insufficient to turn back the militants and were designed “to avoid a bad news story on his watch.”
“I think of an American city in flames because of the terrorists’ ability to operate in Syria and in Iraq,” said Graham, a reliable advocate for U.S. use of military force overseas.
“They are coming here,” Graham later added about the militants. “This is just not about Baghdad. This is just not about Syria. It is about our homeland.”
Très juste, aucun lawmaker .rançais n’est capable du même discours, malheureusement.
http://weaselzippers.us/196195-jihadis-gloat-over-death-of-robin-williams-hope-this-one-burns-in-the-hottest-lake-of-fire/
Hé oui, ils vont jusque là, me donnent envie de vomir.
http://www.breitbart.com/Big-Peace/2014/08/11/ISIS-Preaching-Vans-Recruit-Children-To-Kill-All-Infidels
http://weaselzippers.us/196139-aid-obama-sent-to-yazidis-useless-after-being-dropped-from-15k-feet-with-no-parachute-70-of-yazidis-are-now-dead/
Détruire complétement le Hamas n’était pas si risqué … La relève était prête avec Mahmoud Habas , pas fâché de prendre sa revanche …
Je crains qu’Israël ait laissé passer le coche d’en finir une fois pour toute d’avec cette racaille ….
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Errare…
By liguedefensejuive | 12 août 2014 2 Comments
de Jacques KUPFER
« Errare humanum est » disaient les anciens en insistant sur le fait que l’erreur est humaine. S’y maintenir, continuait l’adage, est diabolique. Il est plus que regrettable de se tromper dans nos relations avec l’ennemi mais répéter la même erreur à de multiples reprises et dans les mêmes conditions en espérant un résultat différent, relève de l’aveuglément. Ce n’est ni de la réflexion, ni de la retenue mais simplement un autisme politique.
Nous avons accepté six cessez-le-feu « humanitaires » qui ont tous été violés par le Hamas et nous ont coûté des vies humaines. La dernière trêve de 72 heures a été couronnée par un lancement de fusées contre nos villes. Les commentateurs télévisuels se sont précipités pour nous expliquer que ce n’était pas le Hamas mais le Djihad islamique ou les Comités Populaires. Un de ces spécialistes et fin analystes de service a même osé déclarer que ces tirs sont dirigés sur Ashkelon mai que c’est le régime égyptien de Sissi qui est visé.
Combien de fois allons-nous encore répéter la même expérience en mélangeant les mêmes ingrédients et en espérant que cela ne nous explose pas à la figure !
Le Hamas comme le Fatah, Hanyeh comme Mahmoud Abbas ont un seul et même but : la destruction d’Israël et le meurtre de Juifs.
Nous avons retiré du Gouch Katif ses légitimes propriétaires juifs en laissant une région prospère et agricole que les arabes ont immédiatement transformé en désert.
Nous avions déjà mené deux guerres à Gaza et récolté des milliers de fusées visant nos centres civils le plus peuplés. Nous avons libéré plus d ‘un millier de terroristes dans un échange dramatique et nous avons dû les arrêter pour leur activité terroriste actuelle. Nous avons libéré des centaines d’assassins pour avoir le « bonheur » de permettre la rencontre avec Mahmoud Abbas et les négociations sur le « processus » de paix. Nous avons reçu avec tous les égards ce John Kerry porteur du message qatari et de Hussein Obama et supporté ses propos intolérables. Nous continuons de privilégier le chef de Fatah à Ramallah malgré sa coalition avec le Hamas.
Nous ne permettons pas à Tsahal de mener à bien sa tâche et triompher. Nous avons peur de vaincre et mettre l’ennemi à genoux.
Les yazidis et les chrétiens d’Irak et de Syrie sont massacrés par milliers sans provoquer la moindre manifestation dans les rues de Paris ou de Londres. C’est le lot des minorités qui ne peuvent combattre dans le monde musulman, de disparaitre. Les pays anciennement civilisés comme la Turquie ou l’Iran sont devenus des centres de dictature islamique.
Là où l’islam passe, la civilisation et le respect de l’homme trépassent.
Les « palestiniens » n’ont pour seul et unique but que la destruction d’Israël. Le bien des populations « civiles », si tant est qu’elles existent, n’intéresse personne. L’argent international copieusement distribué depuis près de sept décennies confère aux « palestiniens » un statut de parasite privilégié de génération en dégénération. Cet argent qui eut permis de rendre les populations locales prospères n’ont servi qu’à alimenter leur haine et préparer des guerres. Leurs écoles, mosquées et hôpitaux ne servent que de décor extérieur pour permettre aux dirigeants de se cacher dans leurs souterrains et bunkers.
Cela n’empêchera pas les Kerry et Fabius de se plier aux exigences du Qatar pour assouvir leur haine de l’Occident et d’acheter sa veulerie à prix de pétrodollars.
L’occident munichois n’a jamais su détecter à temps les menaces qui pèsent sur sa civilisation et ses valeurs. Il ne l’a pas su face au nazisme et au communisme. Il ne le sait pas plus face à l’islam.
Il ne comprend pas que nous sommes malheureusement pour nous, le dernier barrage avant la chute de ce qui fut le monde libre.
En ce qui nous concerne, nous n’avons pas d’autre choix que de prendre des vraies mesures. Une guerre n’a rien d’humanitaire par définition. Il est temps de gagner celle que nous menons à Gaza.
Commençons par couper l’eau, l’électricité, le gaz et les approvisionnements alimentaires ou médicaux. Bombarder l’hôpital shiffa où se cachent les chefs terroristes. Il n’y a aucune raison d’accorder plus de cas aux Gazaouis hospitalisés que ne le font leur propre dirigeants. Tant qu’un enfant juif devra encore se réfugier dans un abri, aucune raison pour qu’un seul arabe à Gaza puisse continuer à vivre sereinement. Il n’y a qu’une seule demande du Hamas que j’aimerais leur voir accorder : l’ouverture des ponts de passage et leur départ définitif vers l’un de leurs 22 états frères ou vers les pays européens en voie de conquête islamique.
Pas de cessez le feu mais une guerre qui rase Gaza car nous ne pourrons jamais vivre à leurs côtés.
« Je préfère être antipathique et vivant que sympathique et mort » disait Menahem Begin.
La tête du serpent doit être coupée !
Je suis d’accord, Jacqueline !
D’autre part, les journalistes européens ne se montrent pas adeptes du crétinisme absolu comme G M le souligne. Ce ne sont que des pro-islamistes ! Ce sont de vrais dangers. Leur avis changera quand quelques uns d’entre eux seront touchés physiquement. Alors attendons !!!…
Les journaleux ont déjà été touches par les muzz (prises d’otage au Liban, en Irak, en Afghanistan etc….) et ils n’ont toujours pas changé d’avis. Et ce n’est pas près d’évoluer. Ces plumitifs lobotomisés verraient leurs femmes et leurs filles embrochées par les muzz qu’ils diraient encore que c’était pour leur bonne santé mentale et physique……
Cette.fameuse guerre ne fait que continuer. Cette troisième que l’on ne peut nommer a commencé en Yougoslavie et depuis des vagues de djihadistes sévissent partout où l’islam s’est endormi. Une guerre asymétrique ne peut se conclure que par un génocide ou un « Grand chambardement » comme l’a très bien dit Asher Cohen. Je pense qu’Israel s’accommode bien d’une démonstration à ciel ouvert. On ne massacre pas toutes les guêpes quant-elles tournent autour de votre Pastis.
personnellement je pense que Bibi a très bien agi en n’éliminant pas totalement le Hamas; en le remplaçant par Abbas, celui-ci deviendrait trop « fort » comme dit Obama !
et les pressions sur Israël seraient d’autant plus fortes pour renouer des négoc qui n’aboutiront jamais !
Le hamas est affaibli pour un temps , pendant lequel Bibi doit consolider ses implantations en Judée !
J’ai ouïe dire que , au Caire, Bibi est d’accord pour alléger le blocus humain , qu’il est d’accord pour donner 5000 visas par mois aux gazaouis… ça veut dire quoi ?? qu’il va peupler la Judée Samarie de ces gazaouis ???